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[rp] Le dispensaire de guéret: Causae et curae

Pleuven
Pleuven partait rendre visite à mira ,une mauvaise fiévre yolane lui avait dit. Pleuven se rappelait bien les plantes qu'il fallait pour soigner ce mal. Il décida donc de passer en fôret avant de rejoindre le dispensaire . Si Pleuven trouvait ce dont il avait besoin comme plantes Mirana guérirait. Pleuven arriva au dispensaire fier de lui ,remettre sa cueuillette à Arthaud afin qu'elle prépare le reméde et l'administrer à mira ,voilà ce qu'il fallait faire. A l'entrée du dispensaire, par chance ,Pleuven l'aperçu ,il se dirigea vers elle et lui remit les plantes ,en lui indiquant la façon de préparer le reméde . Ne traine pas Arthaud cette fiévre est mauvaise, ses jours sont comptés !
Yolane
yolane s'approche de Mira lui sourit !

tu penses pas que je vais te laisser seule ici je vais rester avec toi !

fais moi plaisir BATS TOI ne nous laissent pas !

me lui prends sa main toute pale et la caresses repose toi je suis là
Arthaud
Arthaud vit pleuven lui tendre des plantes et lui dire de faire vite

Elle lui sourit tristement


"je te remercie Pleuven ,mais j'ai déja administré ce traitement à Mirana.mais vois tu les plantes ne peuvent être efficace seules .il faut que le malade est envie de vivre aussi et je ne sais pourquoi mais Mirana ne lutte pas . Elle veut mourir et tout les remèdes du mond e n'y pourront rien changer;Peut être que Antoninus pourrait la sauver . La force de son amour arriverait peut etre à combattre cette terrible fièvre qui l'emporte.



Lui posant la main sur l'épaule ,elle dit

"Tout ce que je peux te dire c'est soit courageux Si vous n'arrivez pas à lui rendre le gout de vivre ,aidez la à partir en digne servante d'Aristote .Il faut que le diacre receuille ses dernières paroles et prit pour son que son âme atteigne ce monde qu'elle à l'air de vouloir rejoindre

Emue ,elle se détourna ,se dirigeant vers la salle des femmes pour 'examiner Mirana et lui redonner à boire de la décoction

A son chevet ,se trouvait Yolane .Une rose avait été depose pres d'elle .Tout en la soulevant pour lui faire avaler un peu de liquide ,elel lui murmura
"tu dois pas mourir ,les gens t'aiment.La vie peut parfois paraitre difficile mais elle est merveilleuse.Pense au chagrin de tout ce qui t'aime ici bas ;Toi tu va être bien peut etre la haut mais songe à la souffrance sans nom que tu laisserais ici .Tu n'as pas le droit de leur faire cela .Si ce n'es t pour toi ,bat toi pour eux ;

Puis la reposant sur l'oreiller delicatement ,elle essuya son front .Puis appliqua sur sa plante de pied un cataplasmede feuille fraiche de pourpier salé et hache dans du vinaigre .

Puis se tournant vers pleuven et Yolane ,


"priez ,il ne reste plus que cela
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Antoninus88
Antoninus avait appris la nouvelle. Il entra dans le dispensaire et s'approcha du lit ou se trouvait Mirana, déja entouré par tant de monde. Il regarda sa pauvre amour le temps balfard et se disant que peut être comme dans les conte de fée... Il se pencha sur elle et l'embrassa pui lui murmura a l'oreille: "Vit mon amour, vit pour moi."
Mirana
Un tourbillon de gens se formait au dessus de Mira...Tout ces viages qu'elle voyait, toute ses belles paroles et tendres mot qu'elle entendait ce doux parfum de rose qu'elle sentait et ....Son amour.....Anto..Elle entendit sa voix si pure et douce qui lui disait de se battre, de vivre....pour lui...Et Yolane et Pleuven et Art...ils étaient tous là ...elle sentit toutes les larmes de son corps glisser sur ses joues pendant que son amour l'embrassait tendrement...Mira ne pouvait parler elle ne réussit a dire mot...sa gorge était nouée ses yeux fixés sur tout ceux qu'elle aime tant...

Arthaud lui soulève la tete...elle sent descendre dans sa gorge un breuvage chaud et dégoutant a l'odeur mais qui lui faisait du bien pour l'instant....Et ce qu'appliquait Arthaud sur sa plante de pied, était froid ce qui lui causa un trop plein de frissons dans le dos.

Elle ne pouvait être égoiste et quitter ses gens et cet amour qui l'entourait...Du moin elle devait essayer de se battre et lutter contre ce mal qui l'envahissait...Elle s'endormit la main dans celle de son amie...

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Lankou
J'attendis le soir, le moment où les visites sont interdites pour voir Mira. Elle dormait à peine lorsque je m'approcha d'elle. Elle sursauta de me voir ainsi, les yeux rouges et la mine déconfite. Moi même je me faisais peur.

Coucou toi! Tu as l'air d'aller mieux. Eh beh la ville entière est venue te rendre visite. je vois que tu as l'air bien mieux que quand je t'ai raméné ici (heureusement)

Puis je lui pris la température sur le front, alors que la toux est virulant et grasse. Puis je lui fis boire un mixture pour l'apaiser de sa quinte de toux.
Sa température avait quelque peu chutée mais elle resta quand meme élevé.

Puis, je lui déposa un baiser sur le front.
Je vais te laisser te reposer je revien... je reviendrais plus tard

Je lui ajusta son oreillé et ses draps et je me dirigea vers l'apothicaire.
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Mirana
Lankou ! cria t-elle faiblement mais assez fort pour se faire entendre par m'sieur le maire....son ami...

-Lankou que t'arrive t'il ? répond moi je t'en prie !

Mira regardait Lankou, son teint blafard et vert, ses yeux rougit par...surement des larmes...Elle lui demanda et lui pria de revenir pres d'elle pour lui dire ce qu'y n'allait pas...

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Lankou
je rebroussa chemin en direction de Mira qui avait l'air inquiète à mon sujet, ces cris d'alarmes me firent penser qu'il y a eu autre chose, ainsi je gagna son grabat et lui prit la main

Oui Mira? qu'est ce qui se passe?
Oh ne t'en fais pas je vais bien...


Mais les larmes s'écrasèrent sur la main de Mira.

Oh Lank! me dit elle

Voilà Ramses m'a envoyé un pigeon en me disant qu'elle ne m'aimait plus. Que soit disant je l'ai trahi en allant avec d'autres femmes. Alors que j'étais cloitrer à la mairie et au dispensaire.
Donc voilà une page qui se tourne, le pire c'est que j'ai rien à me reprocher.

Enfin ainsi va la vie, ainsi me siéra la mort.

Puis j'appliquais une ongue à base de camphre et de menthe sur la poitrine de Mira pour lui dilater les bronches et lui permettre de mieux respirer pendant la nuit, je lui fis boire une infusion d'herbes pour la faire dormir paisiblement.

Je lui donna à nouveau un baiser sur le front alors qu'elle plongea dans une sommeil profond
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Mirka250
Mirka s'était éveillée bien en forme ce matin là, dans son lit du dispensaire. Elle s'était bien reposée et depuis quelques jours, plus rien à signaler. Elle pouvait recommencer à se lever et à marcher. D'ailleurs, il allait falloir qu'elle pense à quitter ces douillets petits lits qui l'avaient acceuillie, d'autres patients, ou plutôt patientes puisqu'elle logeait dans la salle des femmes, en auraient sûrement besoin.

Alors, courageusement, elle se leva pour aller trouver la barbière qui s'était occupée d'elle, dame Arthaud, d'ailleurs c'est bizarre elle ne l'avait jamais recontré à la caserne... mais alors... existait-il des barbières en dehors de la COLM ??? Ben ça alors... étonnant mais après tout, à dix-huit ans, la jeune maman ne pouvait pas non plus prétendre tout connaître... au contraire de son fier Anderg d'ailleurs !


Pfffh... Celui-là alors !

Mirka sourit en pensant à lui. Elle marchait dans les couloirs, déambulant à la recherche d'Arthaud, quand finalement elle la croisa dans... ce qui devait être son bureau... ou peut-être une réserve de médicaments... en tout cas y'avait une table au milieu. La jeune femme salua sa guérisseuse bien bas, enfin non pas trop, disons plutôt d'un léger signe de tête parce que sinon gare aux bobos du ventre !!

Bonjour dame la barbière. Enfin... je vous ai appelé comme ça jusqu'à maintenant mais si vous préférez une autre appellation je changerais hein !

Elle sourit puis en vint au fait, s'asseyant sur un tabouret pour pas trop se fatiguer.

Heu... je suis venue vous trouver pour vous demander si je pouvais retourner séjourner dans une chambre de taverne ou enfin par là quoi. Je vais beaucoup mieux depuis quelques temps et après tout il va falloir que je me remette à vivre, et puis sans compter que je ne voudrais pas encombrer inutilement vos lits.

Mirka attendit un instant la réponse de la barbière quand soudain, lors d'une pensée fugace tournée vers sa famille, et particulièrement vers ses filles, la jeune femme fronça les sourcils. Posant la main sur son ventre, troublée, elle respira calmement pendant un moment avant d'oser poser sa question :

Heu... Je me demandais... J'ai deux filles et un... fiancé dirons nous et... enfin bref je voudrais savoir si... si je pourais... Enfin...

Elle soupira légèrement, se donnant du courage pour poser sa question. Elle voulait connaître la vérité, même si elle était dure à accepter, il y avait un temps pour tout et si celui d'avoir des enfants était passé...

J'ai bien conscience de la gravité du coup que j'ai reçu. C'est ce qu'on appelle une éventration n'est-ce pas ? Hum... Ce que je voudrais savoir... c'est si je pourais à nouveau porter la vie ? Est-ce qu'il pourait y avoir des complications ou des... je ne sais pas...

Les yeux rivés au sol le temps de sa dernière tirade, Mirka releva néanmoins le regard en se taisant. Elle espérait que, peut-être, elle pourait tout de même donner à Anderg son fils tant désiré, mais il se pouvait tout aussi bien qu'elle ne le puisse plus...
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Antoninus88
Antoninus venait a son tour pour veiller sur Mira comme elle l'avait fait pour lui. Sur le chemin il croisa Lankou
Lank... Je voulais te dire.. Je te remercirai jamais assez d'avoir sauver ma jambe. Ce que tu veux, je le ferai. Et en plus tu semble guerir celle que j'aime. Tues vraiment un grand médecin. Je te doit la vie Lank....
Puis il s'approcha du lit de Mira et la regarda en souriant, voyant qu'elle avait repris de scouleur.
Coucou mon amour, repose toi bien. je veille sur toi
Arthaud
Arthaud avait entendu ANtoninus .elle avait sourit car elle avait veillé ,soigne et prie Mirana pendant deux jours et deux nuits .mais peut importer ,le principal c'etait effectivement que Miranan s'en sorte

Elle se rendit dans lapothicairie afin de prendre un peu de repos quand elle vit arrivé Mirka, ne relevant pas le barbière car elle ne l'etait point ici en ce limousin même si au moyen orient elle avait exerce aupres de grand medecin et en savait suffissament pour pouvoir soigner correctement

Elle sentit son regard se voilait quand Mirka parla d'enfantement .Elle même à force de surmenage ,venait de perdre l'enfant qu'elle portait .
Reprenant le dessus ,elle sourit


"ne vous inquietez pas la blessure etait severe mais n'a touche aucun organe lié à lenfantement Vosu pourrez sans souci si , tel est la volonte du tres haut , donner à nouveau la vie .Cependant ,il faudra patienter un peu le temps de l acicatrisation totale

Elle sourit lui tendit une sorte d'eponge avec une decoction de plantes

"mais je sais que la chair est faible ,alors utilisez ceci pendant trois mois avant d'éviter toute grossesse prématurée .
Elle lui expliqua comment l'utiliser
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Anderg
Les bottes couvertes de boue, le mantel ruisselant encore de la pluie de la nuit, Anderg tout juste de retour à Guéret se précipita au dispensaire. Là, il savait qu'il pourrait revoir son aimée. Elle, la femme qu'il fut contraint d'abandonner à son ami après sa blessure sur le champ de bataille.

Heureusement, il avait eu des nouvelles, non pas direct, mais par des amis, des collègues, soldats, tout comme eux. Elle était en vie, cela était sûr... mais dans quel état ?

Chanceux, il tomba tout de suite sur une barbière qui put le renseigner. Il devait aller voir la barbière en charge de sa belle, Dame Arthaud, pour avoir plus de nouvelles, et éventuellement, avoir la permission d'aller au chevet de son amante.

On lui indiqua le chemin menant au bureau, et frappa à la porte.

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Anderg,
Amant de Mirka,
Père d'Aël, Maëllys, Thibault
Beau père d'Ange.


Nulle défaite quand on se bat avec honneur !
Arthaud
Arthaud entendit frapper et dit d'entrer .Elle vit un fort bel homme pénétrait dans le bureau. Au regard de Mirka et à celui de cet homme ,elle su qu 'il etait. Elle ne leur laissa même pas le temps de se laisser aller à des retrouvailles fort merités et s'éclipsa ,les laissant seuls.
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Mirka250
Mirka soupira de soulagement lorsque dame Arthaud lui annonça que sa blessure ne l'empêcherait pas d'enfanter à nouveau. Grâce à Dieu, elle pourait encore donner la vie malgré cette guerre alors qu'il aurait pu la punir de s'être battue en lui ôtant cette part de sa féminité... Oula... mais c'est qu'elle avait changé la Mirka durant son passage à l'infirmerie. Elle, l'hérétique qui blasphémait si souvent auparavant, remerciait maintenant le seigneur... ouf... quelle changement...

La jeune femme écoutait avec assiduité la façon dont elle devait se servir de la décoction de sa barbière pour éviter de tomber enceinte quand elle entendit des coups frappés à la porte. Redressant la tête, elle se retourna pour voir qui venait et se figea en apercevant... Anderg ! Arthaud était déjà loin, Mirka n'avait même pas remarqué son départ d'ailleurs tant elle était heureuse de retrouver l'homme qu'elle aimait.

Quelques pas maladroits pour elle, de grandes enjambées pour lui, et voilà qu'elle se trouvait de nouveau dans ses bras... Elle inspira son odeur qu'elle aimait tant, doucement, pour ne pas se faire mal. Sa main se posa doucement sur la joue de son aimé qu'elle caressa doucement.


-Tu m'as tellement manqué mon amour...
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Anderg
La permission d'entrer lui fut accorder à travers la porte. Il l'ouvra, la poussant lentement, comme pour se faire pardonner d'avance du dérangement qu'il aurait pu occasionner.

Son regard plongea dans la pièce, et, s'arrêta. Mirka était là, trônant au milieu, éclairée comme un ange par la lumière qui provenait de la fenêtre derrière.

Il se précipita sur elle, avec l'intention de la saisir dans ses bras, de la serrer, la soulever pour mieux l'embrasser encore; lorsqu'il se rappela de cette lame qui l'avait transpercé il y a maintenant plus de deux semaines.
Il se retint in extremis de la compresser contre lui, mais pas de la prendre dans ses bras.

Il déposa un baiser sur ses lèvres avant de la blottir contre son épaule.

Le plaisir, la joie, voir même l'euphorie de la revoir lui en avait fait oublié l'usage de la parole. C'était un de ses moments où les gestes voulaient plus en dire que les mots.
Et ce fut Mirka qui parla la première.


"Tu m'as tellement manqué mon amour..."

Mais toi aussi mon aimée tu m'as manqué. Ces derniers jours furent si lent à passer, loin de toi. Mais ce temps est révolu, et maintenant, plus jamais nous ne nous séparerons !

D'autant que...


Anderg ne fini pas sa phrase, et se détacha légèrement de sa belle pour fouiller dans une poche intérieure de son mantel. Il y sorti un pli cacheté.

Regarde. Ceci est une missive de l'archêque de Bourges, Monseigneur Very, et qui dit que mon mariage avec Dame Auxanne est... définitivement annulé !

Il l'embrassa une seconde fois, se détachant de nouveau, tout sourire pour guetter la réaction de sa Mirka.
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Anderg,
Amant de Mirka,
Père d'Aël, Maëllys, Thibault
Beau père d'Ange.


Nulle défaite quand on se bat avec honneur !
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