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[RP] Révolte et Prise du Château d'Aix

Enored
Dernier regard appuyé vers Istanga alors que les trois soldats s'approchent.

Sa iras...On vous fouilleras plus tard.

Pas rassurant cela ... léger haussement de sourcils alors qu'Istanga ne bouge pas ... la mercenaire n'a qu'une envie lui dire de dégager, de ne pas se faire prendre.

Vous voulez qu'on vous amène vous aussi ? Alors dégagez de la et laissez moi l'amener sinon mes camarades s'occuperont de vous.


Le sang de l'Irlandaise se mit à bouillir. Elle serra le poings. Elle n'avait qu'une envie se jeter au cou de l'impudent. Seulement l'épée était toujours engagée face à elle et elle ... sans arme.


Va Istanga ... ne lui fait pas ce plaisir là ! Dis leur que tout va bien. puis tournant son attention vers l'homme d'arme Fichez lui la paix ! elle n'est pas condamnée ! elle doit pouvoir partir librement ! elle n'a rien fait à part échanger quelques mots avec moi ... c'est un crime de parler ?

La mercenaire toisa le lieutenant alors que ses acolytes se mettaient à trois pour lui attacher les mains dans le dos, ramasser ses lames, la menacer d'une arbalette ... l'arbalette ... souvenir douloureux encore présent à son épaule gauche ... elle du faire un effort pour revenir à l'instant présent et se rendit compte qu'elle aurait presque rit de la situation ...presque .. comme si elle allait s'échapper alors qu'elle venait de n'opposer aucune résistance à son arrestation ... mais si ça pouvait lui faire plaisir ...

Elle n'espérait qu'une chose, que tout cela se termine rapidement afin d'être soustraite aux yeux des habitants dont certains à leurs carreaux semblaient se réjouir de ce qui se passait sous leurs yeux.

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Max12
Citation:
Fichez lui la paix ! elle n'est pas condamnée ! elle doit pouvoir partir librement ! elle n'a rien fait à part échanger quelques mots avec moi ... c'est un crime de parler ?


Le Lieutenant l'attrapa par la tète et lui intima l'ordre d'avancer.

Collaborer avec des loyalistes est un crime, soyez heureuse que je ne l'arrête pas sur le champ, trêve de bavardages allez on avance !!

Le petit groupe composés des 3 soldats, du lieutenant et de la mercenaire, partirent en direction du gros des troupes Provençales.

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Enored
La mercenaire ne broncha pas quand il la saisit, cela ne servait à rien de réagir.

Collaborer avec des loyalistes est un crime, soyez heureuse que je ne l'arrête pas sur le champ, trêve de bavardages allez on avance !!

Autant attendre un peu avant de se prendre un coup ... aussi la mercenaire avança ... en silence. Pas la peine non plus de répondre à cette provocation. Quoique ... autant le frustrer un peu ...


Trêve de bavardages ? dommage ... moi qui ... pensais ... discuter un peu avec vous. Très bien ... je ne dirais plus un mot.

Et elle s'y tiendrait. Elle haussa un sourcil lorsqu'ils laissèrent le château loin derrière eux. Où est ce qu'ils pouvaient bien l'emmener ? La mercenaire scrutait les alentours lorsqu'elle réalisa enfin qu'on l'emmenait au Campement des Provençaux.

A cela, elle ne s'y attendait absolument pas... l'idée même de se retrouver au centre du campement de ses ennemis eut sur elle l'effet d'un seau d'eau glacée, le matin au réveil après une soirée bien arrosée ... autant dire qu'elle n'appréciait pas particulièrement ... d'un château à la rigueur ... on pouvait s'échapper ... mais d'un campement de gens hostiles et armés jusqu'aux dents ... à cet instant elle regretta de ne pas avoir laissé sa dague bien à l'abri de sa cuissarde ...


[HRP : suite au campement des Provençaux comme convenu]
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Reinemab


Même jour

[Sur les remparts]


Cela faisait des jours qu'ils tenaient le château, alors qu'il n'espéraient point le tenir plus de deux jours... La fatigue et la faim se faisait sentir... dans leurs besaces, ils n'avaient point prévu de denrées encombrantes et supplémentaires, seulement quelques miettes de pain et fruits à peine murent...

C'est là que reinette remarqua la solidarité de se groupe, sa force, la confiance entre chaque un, le partage... Les repas se partageais entre tous, les plus aisés d'entre eux, n'hésitaient pas à donner de leur réserves pour leur compagnons de galères, éreintés par leur action...
Les mots d'encouragement, fusaient à l'heure des maigres repas, cela redonnait à beaucoup, la force de poursuivre et se battre...

Se soir là, la petite grenouille n'en pouvait plus, elle savait bien depuis un moment que le mal qui la rongeait de l'intérieur n'était point de l'indigestion alimentaire... Son moral était changeant, quoi de plus normal quand dans se corps, vous n'êtes plus, un...
Se mettre en retrait, quelques jours, se taire, réfléchir sur un avenir, en n'arrêtant sens cesse les tours de gardes, comme si de rien n'était...

Entre bureau du procureur qu'elle occupait et surveillance là haut sur ses murs... Arrivait à la jeune soldate, de se cacher et fondre en larmes... Cela ne lui ressemblait guère... plus souvent optimiste que pessimiste, elle ne se reconnaissait pas...
Soudain, un Fracas contre le mur, la sortie de ses apitoiements... Sursautant, elle se mit sur ses deux pattes... Mains posées sur le rebord des remparts pour se pencher...

Là, des dizaines de civiles et soldat provençaux frais comme des gardons, plaquant échelles à rallonges contre les remparts... Ils étaient bien trop nombreux pour eux...

Inconsciente peut être, où simplement fatiguée, elle cria en se penchant vers eux

Vous nous faites pas peur, cochons! Allez vous faire cuir un œuf !
Je me mouche sur votre soi-disant liberté marquisat


Puis du haut des ses remparts, elle mit ses pouces sur les tempes, les doigts écartés sur le cotés afin de les secouer, pour une grimaces, langue tirée
(inspiration Monty Python ^^)

Provocation? Ou simplement réalisme, que c'était sens doute leur dernier jour de ronde sur ses remparts... Elle n'avait plus rien à perdre... Alors gaminerie, oui peut être... Mais surement plus défoulement et soulagement, de la fin de cette capture de château...

Les premiers soldats arrivaient à mit hauteur, alors que d'autres plus bas, le bélier dans les bras se préparaient à défoncer les portes... Il était temps d'arrêter de jouer et prévenir les autres, à l'intérieur...

[Dans le château]

Arrivée en courant, dans les couloirs du château, reinette cria
ILS SONT Là, PLUS NOMBREUX ET PLUS FRAIS....
reprend son souffle, pliée en deux, les mains sur les genoux, se calme et attend que tout le monde soit là.

Dehors

Montre du doigts par la fenêtre, comme si la fatigue, lui faisait croire que pour avoir passé autant de temps là dedans, plus personne savait où était d'extérieur.
Avale sa salive.
Ils sont des dizaines, béliers en mains, et certains, passant par en haut avec de longues échelles.
Respire
On va pas être en état de tenir... On devrait partir, de plus on a fini se que l'on devait faire... laissons leur le château, pas la peine de risquer nos vie pour rien cette fois, vous croyez pas?

Ils n'avaient pas le choix, de toute façon, il était temps de réunir se dont ils avaient encore besoin et sortir en catimini, par l'arrière du château, là où il y avait moins de soldats, facilement maitrisables.

[Quelques jours plus tard]

Ils n'étaient plus au château, planqués dans leur repère... Mais la plus part d'entre eux, préférèrent continuer leur lute en ville...
Pourquoi se caché, quand on est persuadé que notre bataille est légitime...
C'est ainsi que souvent on pouvait les croiser dans les rues, où en taverne, certains au sein de la ville, d'autres à l'extérieur comme reinette, qui recherchait ses compagnons d'armes d'Albi...

Alors qu'elle partait en direction d'une de ses tavernes, la grenouille croisa Istanga, allant direction leur campement
Hé!!! que fais tu toute seule?
Puis elle se souvenu que du bivouaque, elle l'avait vu partir avec la pirate
T'étais pas avec la tête brulée, dis moi?
Reinette aimait la surnommer ainsi, la mercenaire n'avait peur de rien et souvent fonçait dans le tas...

Attentive quand même aux mouvements les entourant, mains sur le pommeau de son épée, reinette attendait réponse de la part de Istanga...

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Istanga
Entrechats, pesants

insint dóibh ... Ní insint Dó le teacht ... fós i bhfolach... oui, je leur dirai de rester cachés. Pourtant c'est un comble, défendre l'Empire est ici un crime!

Mais je ne bouge pas, je regarde, fascinée, pas moins de quatre hommes emmener mon amie. Attachée, mais tenue en joue par un arbalétrier. Au théâtre, j'aurais ri. Ici, je me retiens de maudire leur couardise. Mais je ne bouge pas, pas encore.

L'ex-Président de l'Assemblée Fantôme fait la circulation. Circulez, y a rien à voir! Sinon, j'vous passe les menottes!

Je vois Enored blêmir de rage contenue, quii m'enjoins de partir. Mais je ne bouge pas, pas encore.

Collaborer avec des loyalistes est un crime, soyez heureuse que je ne l'arrête pas sur le champ, trêve de bavardages allez on avance !!

Oh! Le vil requin! -j'avais envie de placer vilebrequin, mais désespérée de ne le pouvoir, me suis rabattue sur une sonorité proche- aurait-il l'autorité nécessaire pour procéder à quelques arrestations musclées? J'en doute fort, sinon les dogues se seraient déjà lâchés sur la proie facile que je suis...

Et puis, il se trompe, ce crétin, grommelle-je à voix basse, je ne collabore pas avec les loyalistes, je SUIS loyaliste!

Je les regarde s'éloigner, repérant la direction prise puis démarre ma filature lorsque je tombe nez à nez avec la grenouille.

Hé!!! que fais tu toute seule? T'étais pas avec la tête brulée, dis moi?

Aïe! Ma filature tombe à l'eau! Quoique...non, ils sont loin, Reinemab ne les a même pas aperçus.

La tête brûlée? Figure toi qu'elle va s'éteindre, si on ne réagit pas très vite. Quatre hommes en armes l'ont arrêtée près de l'Animal Fabuleux, ils l'ont emmenée, par là....

Je pointe le doigt en direction du campement des adorateurs de la marquise.

Dans leur campement. Je crois, du moins. Ces fous risquent de la lyncher! Allons-y, discrètement. Observer.

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Reinemab


Reinette écouta Istanga, soudain des images défilèrent sous ses yeux... une salle obscure dans les entrailles de la terre...
Eno attachée à une chaise, menacée par une machine de torture, afin de lui envahir le corps pour des aveux de son esprit...
Terreur, violence, chaos...Désespoir, haine, folie... Perdue au milieu du dédale de ses songes infernaux...
La grenouille observe cette révolution et violence qui se livrent ici une guerre sans merci et remettent en question la définition même d’humanité.

Comment échapper aux calomniateurs qui ravage se monde?

Reinette, en flashback, songeait à leur belle action, déclaration d'amour à la pensée et à la poésie, un appel au réveil de tous les vivants...
Avaient ils définitivement échoués, avec cette première prise... qui n'était autre que la solide pirate.

Quel choix s'offrait à eux? Se laisser mourir? «le néant ouvre une liberté infinie. Liberté vis-à-vis de soi, des choses et des autres êtres»...
Continuer à se battre? «il est possible de vaincre le macabre depuis ses gouffres les plus ténébreux», «Prélude à la délivrance» ?

Pour l'heure, il s'agissait de retrouver la mercenaire...

Secouant la tête pour reprendre ses esprits, reinette plaça le capuchon de sa cape sur sa longue chevelure...

Je te suit et soyons discrète, espérons que l'on puisse la sortir de là.

un soupir, de se dire qu'elles se jetaient toutes deux, dans la gueule du loup... Attendre n'aurait servit à rien, non plus... De plus, elle n'aurait point supporté, rester en retrait et attendre que cela se passe... encore plus avec ses visions d'horreur que reinette se projetait sens cesse en tête...


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Cajoline22
La bretonne aimait se faufiler dans les rues, passer de l’ombre d’un porche à celui d’une maison, observer ce qui se passait autour d’elle, prendre la température ambiante, entendre et observer. En passant inaperçue c’est fou le nombre de choses que l’on pouvait apprendre et découvrir…mais elle était loin de penser en se ‘baladant’ qu’elle assisterait à cette scène : son amie se faisant embarquer comme une malpropre…elle avait utopiquement pensée qu’Enored passerait toujours au travers des mailles du filet mais c’était sans compté son caractère enflammé et sa volonté farouche …

Elle s’était retenue d’intervenir la blonde, ils étaient quatre, son amie était attachée sans armes, même avec Istanga, elles n’auraient pas l’avantage…elle n’aimait pas ça la bretonne, elle n’aimait pas ça du tout…ils étaient capable du pire ces brutes, ces rustres, il suffisait de voir comment ils emmenaient son amie alors qu’elle s’était ‘rendue’ sans résistance.


Gast.

Juron à voix basse, elle avait laissé filer le groupe et Istanga, vite se mettre en route, les rattraper…
Ha deux ombres devant elle, prudente la bretonne, elle avance doucement, jusqu’à reconnaître Reinette et la cousine de Samuel et faire les derniers pas qui les séparent…la bretonne se glisse à droite d’Istanga doucement sans bruit…


Vous savez ou ils l’emmènent ?

Elle reste discrète chuchotant sa question aux filles...
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Reinemab


Alors qu'elles s'appétaient à se rendre au campement provençale, cajoline qui semblait n'avoir rien manqué de la scène, arriva pour se joindre à elles

Je n'ai point vu que l'on l'emmenait, je sort tout juste de notre campement, c'est là que j'ai croisé iztanga.

Regarde Iztanga pour avoir des précisions, car effectivement, elles s'étaient peut être précipité sur leur action
Apparemment c'est au campement provençal qu'ils la mènent c'est ça?
Pourquoi on l'amenait au juste là bas?
Comment ça se fait que c'est pas au château? c'est pas pour la juger qu'ils l'on fait prisonnière?

Soudain, la grenouille se pinça les lèvres et si ses pensés n'étaient autre qu'une terrible prémonition, regardant les deux jeunes filles face à elle
Quand tu m'a dis campement provençal, tout à l'heure.
Je t'avoue avoir crains le pire de suite, si comme je le présent, ils vont certainement la torturer, pour des aveux.


Sourire en coin soudain en pensant à cette forte tête de pirate
En tout cas, une chose est sure, c'est qu'ils vont avoir du mal à lui tirer les vers du nez, la connaissant.

Inquiétude quand même
Par contre, faut pas la laisser là bas.

Mais dans se cas, que faire? que décider?
Mettre au point, une évasion, avant qu'il ne soit trop tard?

décision difficile à prendre, surtout dans l'immédiat...
En temps de guerre, le risque d'une sanction est d'autant plus lourde, en cas d'échec...
Comment aboutir, face à des gardiens armés par centaines? C'est se jeter dans la gueule du loup

Risques énormes... Chances de succès infimes... Pourtant, reinette était résolue à ne point renoncer à libérer, sa nouvelle amie...
Un plan, il nous faut un plan. Car rester à observé face à l'ennemie, ça va nous avancé à rien, réfléchissons intelligemment

Reinette regardait les deux femmes, espérant que l'une d'elle aurait une idée et serrait où trouver une faille dans le campement adverse.

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Cajoline22
[A l’extérieur du campement des provencaux, dans un coin isolé. Quand trois femmes observent.]

Elles s’étaient approchées du campement au maximum, mais étaient restées assez éloignées pour ne pas se faire repérer, tapis dans l’ombre, elles observaient l’endroit ou leur amie avait été emmener de force.

Observation intense, observation et méninges qui tournent à toute vitesse, observation et mal de tête qui gagne, observation et boule au ventre, nœud dans la gorge qui se font et restent de l’inquiétude grandissante qu’elle se faisait pour son amie, pour la rouquine téméraire, audacieuse, qui mériterait son coup sur le crane pour s’être fait avoir ainsi…l’inconsciente…si jamais elle sortait vivante de ce campement, la bretonne lui en mettrait un bon sur la tête pour lui apprendre à ne pas suivre les conseils de prudence qu’elle lui donnait.

Observation, observation longe, discrète et silencieuse, ne pas se faire repérer surtout....

Observation et rien, impossible de sortir de là la rouquine. Impossible…non ça ne se pouvait…poings qui se serrent…impossible de libérer la rouquine s’en risquer leurs vie, sans se faire capturer….et elle le savait la rouquine ne supporterait pas qu’elles se fassent attraper en essayant de la sortir de là…impossible et cela la mettait en rage…rentrer dans le camp ça oui elles pouvaient faire, les failles il y en avait, elle les avait repérer, les moyens pour entrer aussi…mais après ? Trouver Enored, la trouver et arriver à sortir sans anicroche, sans se faire repérer, blesser ou tuer, ça c’était impossible, trop de paramètres inconnus…


Ca là mettait en rogne, le nœud au ventre grandissait, elle serrait les poings de rage à s’en faire mal, son regard se tourna vers Istanga et Reinette

Entrer on peut….sortir par contre….

Signe négatif de la tête qui voulait tout dire de l’impuissance devant laquelle, elles se trouvaient…
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