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[RP] Cérémonie d'allégeance de la noblesse champenoise

Ghost60
Le duc entra dans la salle encore vide, il avanca vers le trône. Il se tourna vers la grande porte et pris place. Jetant un oeil vers le héraut, celle ci lui faisant un signe de tête faisant comprendre que la cérémonie pouvait commencer.

La lourde porte s'ouvrit, c'est le baron d'autry, le grand aumonier royale qui fit le premier a pénétré dans la salle marquant ainsi le début de cette longue journée.


Baron, nous, Ghost d'Izard, Duc de champagne, au nom de sa majesté Levan III de Normandie, acceptons votre hommage et vous accordons justice et protection pour vos terres d'Autry
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en travaux
Cerberos
Sans grand empressement, quoique sans retard, l'ancien Duc s'était rendu à la salle du Trône sans attendre. Pièce du Château qu'il connaissait désormais comme sa poche, il se mît à l'écart pour laisser le temps suffisant au Baron d'effectuer don Hommage sans dérangement.
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Gwenhwyvar
Gwen avait reçu sa convocation. Elle était toujours à Reims, et ses hommes gardaient avec application les portes de la capitale. Elle n'eut pas beaucoup de chemin à faire pour se rendre en personne au château, où le nouveau duc régnant attendait les hommages des nobles de Champagne.

Elle arriva dans la salle du trône. Maltea y faisait son office de héraut, Ghost était assis sur le trône ducal, le baron d'Autry venait de finir son hommage et Cerberos se tenait non loin des marches menant au siège ducal.

Gwen avança d'un pas rapide et dégaina son épée. Sans arrêter, elle leva son arme et l'abattit en direction du cou de Ghost. Elle arrêta sa lame à deux doigts de sa gorge, recula d'un pas et tint son épée sur la paume de ses mains. Elle déclama alors :


Moi, Gwenhwyvar uí Fergus d'Éirinn, Duchesse de Brie, Baronne de Boissy-le-Châtel, Dame de Creil, Dame de Mathusalem, Saphir de l'Ordre Royal du Lys, renouvelle mon hommage à mon suzerain et souverain, Lévan III de Normandie, Roy de France. Je lui promets obsequium, auxilium et consilium, depuis qu'Il ma confié les terres dont j'ai la charge, et pour toujours. Baron Ghost, duc de Champagne sous tutelle, je vous rappelle que mon hommage va au Roy dont vous êtes le vassal. Je vous soutiendrai tant que vous serez son digne représentant en Champagne. Je n'hésiterai pas en revanche à vous traîner par les cheveux si elle le faut devant Sa justice royale si elle vous prenait de faire acte de félonie.

Vous venez, en quelques jours de règne, de démanteler la hiérarchie des Loups de Champagne, dévoués au Roy, par vos paroles déplacées. Vous avez par le passé, eu des propos anti-royalistes, et même fait une demande contre la décision du Roy de mettre la Champagne sous tutelle, dont vous avez été débouté, en toute logique. Dorénavant, prenez garde à vos paroles et vos actes, rappelez-vous que vous engagez la parole du Roy en tant que duc, même sous tutelle. Et souvenez-vous bien que la Curia Regis gouverne le Domaine de Sa Majesté comme elle l'entend, et que vous êtes subordonné aux Ministres de Sa Majesté.


Gwen rengaina son épée et attendit la réponse de Ghost...
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Gwenhwyvar uí Fergus, Duchesse de Brie, Baronne de Boissy-le-Châtel, Dame de Creil
Ghost60
Le duc etait étonné de l'empressement de la duchesse et encore plus quand celle ci leva son épée sur lui. Diantre mais elle a passée sa matinée en taverne pour oser levé son arme sur un regnant????

Duchesse, vous êtes ici en salle d'hommage et non dans une salle de troubadour, votre comportement n'est pas digne de vos titres.
Vous avez levé votre arme sur un regnant assermenté par sa majesté Levan III de Normandie, ce qui signifie vous en prendre au roy. De part se fait nous refusons votre hommage.
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en travaux
Maltea
La Brienne laissa le duc s’installer alors que le Baron d’Autry arrivait. Elle lui lança un regard afin de lui donner le feu vert pour commencer. Voyant le Baron s’avancer, la duchesse posa son regard totalement innocent sur le tapis sur lequel les pieds du Grand aumonier étaient posés… dommage qu’elle ne pouvait tirer dessus sans que cela se remarque… non décidément, elle ne pourrait pas mettre à exécution ce qu’elle avait dit au ban… tant pis, il croirait qu’elle avait vraiment tenu parole afin de ne pas le faire choir devant un parterre de noble… c’était dommage ceci dit. Maltea le salua d’un signe de tête et d’un sourire malicieux avant d’écouter l’hommage tout en voyant le futur vicomte de Châlons arriver. Celui-ci alla se placer dans un coin, l’air songeur, alors que la duchesse de Brie arrivait en trombe… Stupeur, la noblesse de Champagne devenait folle… était-ce contagieux? Même Maltea qui avait bien souvent un comportement emporté, n’aurait jamais osé lever la main sur le représentant du Roy, ce qui était un crime de lèse-majesté, vu que le duc était en quelque sorte le Roy… La duchesse sourcilla aux propos du Duc… fallait vraiment que ça tombe sur lui, il ne lâcherait pas, c’était certain.
Elle pensa à son testament qui n’avait toujours pas été changé et se dit, tant pis, il est de mon devoir d’intervenir ici, ou ca va mal se terminer.


Duchesse de Brie, puis-je m’entretenir un moment avec vous en privé?

Elle hésita à poser ses mains autour de son cou comme pour le préserver d’un coup de lame tranchante… mais elle se devait de prévenir la duchesse et de lui faire refaire son hommage ainsi que présenter des excuses au duc pour ce moment d’égarement… elle risquait gros et tout cela pour rien…

D’un signe de tête, elle lui montra une petite alcôve attenante à la salle du trône. Ce qu’elle avait à dire à la duchesse ne regardait personne et elle ne voulait surtout pas que cela jase….
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Ysa
Deux mois ... et rebelote. Une impression de déjà vu, de déjà fait mais c'était ainsi, il y avait des devoirs auxquels on n'échappait pas. Enfin si certains se le permettaient en envoyant une nième missive prétextant une maladie imaginaire, une indisponibilité, un voyage de dernière minute ou autre, la Duchesse de La Ferté sous Jouarre n'en faisait rien. Les titres s'étaient bien beau mais encore fallait il les honorer comme il se doit. Par contre cette fois ci, nul enfant, seulement le couple ducal en vadrouille. Le duc était comme à son habitude ronchon ... et aujourd'hui la raison en était cette cérémonie qui serait un peu particulière pour la Duchesse qui elle préférait ne point y penser.

A leur arrivée au castel, comme toujours Ysa descendit en second, son époux l'aidant au vue de sa tenue très légèrement encombrante. Tenue qu'elle avait mis bien évidemment des heures à choisir. Robe de soie sauvage écarlate dont le bustier et les bordures des manches étaient brochées d'un fin fil doré. La broderie, un magnifique motif floral, avait été choisie par la jeune femme pour sa finesse et son élégance. Par contre, la coiffure avait demandé bien moins de temps, la Duchesse supportant difficilement de rester en place plus de dix minutes, la coiffeuse avait malgré tout réussi à rassembler la tignasse brune en un harmonieux chignon rehaussé d'une pince à chignon finement ciselé. Le seul bijoux qu'elle portait était un luxueux pendentif orné d'un rubis.

Tout était en place, Amory et Ysa purent donc entrer dans le château et se diriger vers la salle du trône où pour une fois ... il y avait foule, chose fort peu coutumière en Champagne. Un noble ... deux et même trois sans compter le Duc et le héraut. L'étonnement de la brune fit place à la stupéfaction quand elle entendit au moment même où les portes s'ouvraient le régent refuser l'hommage de la Duchesse de Brie ...

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Flavien.


Le jeune homme assistait à la cérémonie. On l’y avait presque trainé de force car c’était son paternel qui était le Duc. Pff, répétait-il sans cesse sur le chemin qui menait à la fameuse salle du trône où tous les nobles Champenois, du moins la plupart, s’étaient réunis pour rendre leur hommage.

Quel ennui ! Il y avait du monde qui se présentait devant son père pour prononcer les mots obligatoires. C’était d’un prévisible. Pendant le premier tour des hommages, il ne put s’empêcher de bailler s’attirant des regards plein de foudre des nobles près de lui. Il n’en avait cure.

Sa mâchoire manquât de tomber à cause d’un long bâillement quand soudain il vit une femme, qui lui semblait bien laide, s’attaquer à son père et à le menacer. De quel droit l’affreuse voulait faire du mal à son père ? Puis pour une histoire d’opposition au Roy ? Il comprenait peu ces histoires mais il savait parfaitement que son paternel avait bien le droit d'avoir son opinion mais tout le monde avait droit d'avoir leur avis, non ? Maintenant, ne peut-on avoir une pensée qui va contre celui du Roy ou de ceux qui semble parler en son nom ? Bien étrange ces gens qui font comme les moutons : suivre le meneur sans réfléchir. Ce n’était pas ça qu’on lui avait appris. Il se devait de toujours raisonner et penser par lui-même !

Il sortit de ses pensées quand il remarqua que cette femme n’avait pas encore bougé d’un pouce. Ses lèvres ne purent retenir un cri de rage. Hé, de quel droit tu oses t’en prendre à mon père ? Lâche-le de suite ou je vais me fâcher tout rouge ! Sous le coup de la colère, il en avait oublié les bonnes manières, encore quelque chose qu’il va devoir confesser et vite. En sentant une main se poser sur son épaule, il se calma immédiatement et ses joues se rosirent car il était sorti de sa réserve habituelle.

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Ana.lise


Ana.Lise s’était préparée judicieusement et avec patience, optant pour une tenue discrète, dans les tons bleutés-gris, assortis à la couleur de ses yeux. La coupe en était parfaitement classique, resserrée à la taille, mettant en valeur ses courbes fines et sa grâce naturelle. Sa longue chevelure avait été savamment noyée afin de lui donner un maintien impeccable qui contrastait avec son habituelle coiffure détachée. Désireuse pour une fois de sortir de sa coquille et de suivre Ghost dans ses déplacements, elle qui n’avait jamais mis les pieds dans la salle d’allégeance, avait pris l’invitation de ce dernier avec sérieux et la curiosité avait été à son comble depuis que son futur époux était devenu duc. Ne résistant pas à la tentation de voir comment se déroulait ce genre de cérémonie, elle fit le voyage avec ce dernier et Flavien.

Impressionnée dès son arrivée, elle avait surtout peur de commettre une bourde comme elle seule savait le faire aussi la jeune fille suivit aussi rapidement qu’elle le pouvait les pas du duc qui, connaissant les lieux comme sa poche, n’avait pas besoin de se repérer au milieu de ces derniers. Et une fois les portes franchies, elle fut saisie par la solennité de la pièce mais ne dit rien et se mit non loin de Flavien tandis que Ghost prenait place afin de recevoir les allégeances.

Repérant sa cousine, elle lui sourit, ne voulant nullement la déranger alors que cette dernière menait la cérémonie. Puis elle avisa du regard les nobles qui commençaient à arriver, se faisant toute petite pour ne point déranger quand soudain, une femme arriva, menaçant le duc de son épée.


« Décidément, à croire que c’est chose courante que de pointer son épée sur Ghost ! » pensa la jeune fille mais bien vite, elle chassa cette pensée loin d’elle tandis qu’elle devenait pâle comme un linge, les souvenirs affluant d’eux-mêmes. Saisit, elle ne bougea pas jusqu’à ce que la voix de Flavien la tire de sa torpeur. Fermant un court instant les yeux, Ana glissa sa main sur l’épaule du fils de Ghost se voulant rassurante. Le père de l’enfant saurait réagir s’il prenait l’envie à quelqu’un d’intenter à sa vie, du moins l'espérait-elle sincèrement.

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Gwenhwyvar
Ghost60 a écrit:
Le duc etait étonné de l'empressement de la duchesse et encore plus quand celle ci leva son épée sur lui. Diantre mais elle a passée sa matinée en taverne pour oser levé son arme sur un regnant????

Duchesse, vous êtes ici en salle d'hommage et non dans une salle de troubadour, votre comportement n'est pas digne de vos titres.
Vous avez levé votre arme sur un regnant assermenté par sa majesté Levan III de Normandie, ce qui signifie vous en prendre au roy. De part se fait nous refusons votre hommage.


Je sais parfaitement où je suis, duc. Je voulais vous rappeler par ce geste fort que vous restez un homme en dépit de votre couronne ducale, et que vous avez des devoirs. Je voulais vous rappeler que la noblesse de Champagne est toujours royaliste, et vous avertir que si vous n'êtes pas digne de la couronne ducale, vous en seriez privée bien plus rapidement que vous ne le pensez. Par ailleurs, si j'avais vraiment voulu attenter à votre vie, je n'aurais pas retenu mon épée...

A présent, j'ai fait mon hommage de manière tout à faite légitime et sincère. Au nom du Roy, vous me devez justice et protection pour la durée de votre règne. Faites donc en sorte que ce règne arrive au terme prévu. Je vous écoute attentivement.
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Gwenhwyvar uí Fergus, Duchesse de Brie, Baronne de Boissy-le-Châtel, Dame de Creil
Cerberos
D'une attitude impassible, le Noble Champenois avait opté pour un silence courtois. La scène qui se déroulait sous son regard avait un attrait étonnant, bien que la réaction de Brie semblait légitime de par son caractère. La salle du Trône se voyait plongée d'une ambiance particulière - rare devait-elle être. 

Les têtes couronnées commençaient à se rassembler. Cette histoire deviendrait publique sous peu, les langues sauraient se délier sans mal. Une habitude en Champagne.

Soudain, un gamin protesta. L'homme en noir se retourna derechef pour lui adresser un regard noir. Tss. De quoi se mêlait-il ? Léger haussement de sourcil à l'attention de la femme à ses cotés. Il était temps de lui apprendre les bonnes manières et la tenue. Sans quoi... Sa maturité ne serait que les prémices d'une fin rapide au milieu de hautes instances.

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Maltea
Et la duchesse avait complètement ignoré son intervention… alors soit… ce serait face aux autres qu’elle le lui dirait.

Duchesse, par l’acte que vous venez de faire, vous avez menacé le Roy au travers de son représentant reconnu en son nom. Sa Grace Ghost, a tout à fait le droit de refuser votre hommage. Sans le vouloir, vous la royaliste, venez de commettre un acte inqualifiable à l’encontre de notre Roy, alors reprenez vous, excusez vous pour ce moment d’égarement. Quelques soient vos raisons, vous n’aviez nullement le droit de menacer le représentant du Roy. Dois je vous rappeler qu’il a été reconnu par notre suzerain, et que vous le vouliez ou non, il est à la tête de la Champagne. Reprenez-vous duchesse, vous allez droit vers des ennuis dont vous ne soupçonnez rien, bornée à vous penser en votre bon droit.
Voilà une des raisons qui fait que tout fiche le camp en cette province, il n’y a plus aucun respect pour la hiérarchie et ce même lorsque les décisions prises sont logiques, tout cela à cause des sentiments amicaux. Réveillez vous, vous n’êtes point Roy à la place du Roy, vous ne pouvez être juge, maintenant je demande à ce que cette cérémonie reprenne son cours logique.
Allez vous calmer quelque peu et revenez ensuite prêter votre hommage. Un petit bol d’air serait bénéfique je pense.
Je n’ai nullement envie de voir les gardes du château vous arrêter duchesse, mais si cela persiste c’est-ce qu’il arrivera. On ne menace pas le duc de la lame de son épée.


La duchesse était d’ailleurs étonnée que l’ordre n’avait pas été donné plus tôt, et que ceux-ci comme des ahuris regardaient la scène sans même bouger… elle était belle la garde ducale, y avait rien à dire.
Toute à cet incident, la duchesse n’avait pas eu la présence d’esprit de saluer sa cousine et n’avait rien entendu des paroles proférées par un jeune garçon qu’en fait, elle n’avait même pas remarqué avant de le voir blême.

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Gwenhwyvar
Gwen tourna la tête en direction de Maltea

Je vous avais bien entendu, Champagne et non moins Duchesse.

Sans la quitter des yeux, Gwen rengaina son épée, puis ferma les yeux quelques secondes et regarda le duc sur son trône.

Soit, qu'elle en soit ainsi. Au moins, mon intervention aura servi à deux choses. Le duc n'oubliera jamais cette journée, et la sécurité de la salle d'armes est à revoir.


Puis elle enchaîna en regardant Ghost droit dans les yeux :

Votre grâce, veuillez accepter mes excuses de vous avoir bousculé et de vous avoir fait peur. Votre position est la plus difficile dans nue province royale, et vous serez jugé par vos pairs pour vos paroles et vos actions. Vous avez à présent des devoirs, ne l'oubliez pas. A présent, je vais effectuer les miens, de devoirs, en tant que vassale de Sa grâcieuse Majesté.

Moi, Gwenhwyvar uí Fergus d'Éirinn, Duchesse de Brie, Baronne de Boissy-le-Châtel, Dame de Creil, Dame de Mathusalem et Saphir de l'Ordre Royal du Lys, renouvelle mon hommage à mon suzerain et souverain Lévan III de Normandie, Roy de France, au travers de son légitime représentant sis devant moi, le Baron de Chaumont et Duc de Champagne régnant, Ghost d'Izard. Je promets à Sa Majesté obsequium, auxilium et consilium, depuis qu'Il ma confié les terres royales dont j'ai la charge, et pour le restant des jours que le Très-Haut me permettra de vivre.

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Gwenhwyvar uí Fergus, Duchesse de Brie, Baronne de Boissy-le-Châtel, Dame de Creil
Amory
Amory qui avait une nouvelle fois accompagné son épouse pour qu'elle fasse son homage, était resté légèrement en arrière et regarda la scêne amusé. Pour une fois qu'il y avait de l'ambiance en cette salle, il n'allais pas rater cela. Il resta donc en retrait attendant de voir si la duchesse de Brie allait s'excuser ou pas. Elle le fit, tout rentrait dans l'ordre.

Zut, zut pensa t'il, pour une fois qui y a ambiance c'est déjà finit.

Il vit le regard noir de son épouse, il leva les épaules et tenta de s'en sortir par une pirouette.

"Ne fait pas comme Brie, et fait bien attention a ne pas embrasser Ghost sinon pour sur y aura deux têtes de couper et aucunes excuses de faites." lui murmura t'il grand un mélange de grognement et de mots.
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Duc de la ferté sous jouarre/Baron de Coulommiers/Seigneur de Brainville
Haut Dignitaire de la GE:
Sénéchal /Aspirant vidame Reims/ Gd officier de l'ordre de Saint Kyrène
Officier Royale: Garde de la ville de Paris (chevalier du guet)
Ana.lise


Certains regards se tournèrent dans la direction d’Ana mais cette dernière les soutint sans sourcilier. Elle n’allait pas bâillonner un enfant parce qu’il laissait parler ses émotions et encore moins lorsqu’il s’agissait du fils du duc. Et si quelqu’un trouvait à redire, elle saurait quoi lui répondre. De toute manière, il était vrai qu’en champagne, certains aimaient à tout contrôler du plus petit vermisseau aux grands nobliaux alors elle n’était guère étonnée. Quand à ce que certains pouvaient penser, elle n’en avait cure. Cela devait être un trait de caractère dans la famille.

Levant un sourcil, elle attendait que quelqu’un dise quelque chose mais comme ce n’était ni le lieu ni le moment, elle sentit comme un vent passer entre les nobles présents puis la jeune femme reporta son attention sur ce qu’il se passait devant qui était certainement plus intéressant que le jugement qu’on pouvait émettre sur sa personne ou celle de Flavien. D’ailleurs, sa main sur l’épaule du jeune garçon montrait qu’elle tenait à se faire rassurante à ses côtés sans lui imposer une conduite.

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Elyaelle


Et un noble, et encore un autre, et encore un autre et toujours le même refrain, Ely commençait a s'ennuyer a mourir. Flavien lui avait assurer qu'il s'amuserait et qu'il y aurait plein de bonne chose à manger mais pour le moment, elle ne voyait rien d'intéressant, et surtout pas de buffet .

Se tenant tout près de sa mère, la fillette lançait de temps à autre des petits regards vers son père et l'assemblée... Combien encore devaient-ils passer devant le Duc avant la fin de la Cérémonie ?
Beaucoup...
Beaucoup trop même...
Pfff quel ennuie !

La fillette se rapprocha de sa mère doucement, espérant trouver un peu de réconfort et une distraction en même temps.
Et puis... Une dame arriva, épée en main. Ely ne perdit pas une miette de ce qui se passa, et lorsqu'elle la vit lever son épée contre son père; la fillette se réfugia derrière sa mère en se cachant.

Mais qu'est ce que c'était encore que cette histoire ! Et voilà que son frère se mettait à élever la voix ! Il n'allait tout de même pas aller se battre ? Ely glissa son regard vers son frère en s'agrippant à la taille d'Ana.

-Flavien... Flavien... Chuchota-t-elle pour interpeler son frère. Tiens ! Balance lui un nescargouille !

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