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Rp ouvert par Victoire_loo_Oriane. merci de la contacter avant d'y entrer

[RP] Un coeur déchiré.

Victoire_loo
C'était tot le matin, Victoire était de retour a Saumur apres une croisade des plus désolante ou rien ne s'était passé, ou une fois de plus elle avait été un pion. Elle était allé tout droit sur les terres des ValOrl voir son époux qui n'était pas la. Ses pas l'avaient ensuite conduis chez sa mere, qui n'était pas plus la que son mari.

Elle était lasse, dieu comme sa vie avait changé depuis son mariage. Elle avait, la veille, écrit a sa cousine Vendettal, la derniere rescapée du club des pucelles de saumur, a ce sujet, lui expliquant son désarois.

Elle aurait pu continuer a vivre ainsi, si seulement elle ne l'avait pas revu. Ce n'était pas prémédité, ils s'étaient croisés en ville par le plus grand des hasard, mais elle en fut toute retournée.

Cet homme qu'elle avait éconduit, qu'elle avait meme voulu combatre ,lui avait en un seul regard, fait réaliséer a quelle point sa vie n'avait pas de sens.

Elle était bouleversée, et alla chercher refuge dans le seul endroit ou elle se sentait préservée du monde extérieur : son dispensaire. Il était fermé depuis lontemps maintenant, tous a Saumur s'étaient habitués a voir les portes closes.

Elle entra discretement, et referma derriere elle. Elle se sentait fébrile et ne respira qu'une fois a l'intérieur. Son regard balaya la piece, rien n'avait changé. Chaque objet lui rapellait des souvenirs, de jolis souvenirs, elle en aurait presque sourit. Elle repensa a son premier patient : Abraxe, enfin plutot Rillette, son cochon qui ne grossissait pas. les patients s'étaient succédés durant de longues semaines,chacun avait apporté avec lui un moment de partage privélégié.

La vie était si simple a cette époque, comment avait elle put se compliquer a ce point ? elle n'avait pas la réponse a cette question. Elle alla jusqu'a son bureau et se recroquevilla sur le lit qui l'avait vu passé tant de nuit a s'inquiéter pour ses patients, avant d'éclater en gros sanglot.

Sa vie avait changé, a moins que ce ne soit son mari. Depuis leur marriage elle avait l'impression d'etre devenue transparente a ses yeux. Il la regardait a la maniere d'un meuble qu'on regarde sans vraiment y préter attention. Elle faisait partie du décors, rien de plus, rien de moins. L'aimait il encore ? Elle pensait que oui, d'ailleur elle s'accrochait fermement a cette idée qui lui faisait supporter la solitude qui la rongeait.

Au final elle était malheureuse, malheureuse a en mourir. L'idée venait de faire son chemin, profitant de ce moment de desespoir, de confusion, pour s'insinuer et devenir une évidence logique, la seule issu possible.

Elle se releva, et marcha jusqu'au bureau pour griffoner a la hate quelques mots sur du papier défraichis. Elle pensa a sa mere et a sa petite soeur, elle leur demandait pardon pour la peine qu'elle leur causerait, elle demanda aussi pardon a Urbs de ne pas avoir sut etre l'épouse qu'il attendait. Elle n'oublia pas non plus Killijo qu'elle avait fait soufrir inutilement, et Joffrey sa maraine qui avait toujours été la. Elle témoigna aussi de l'affection qu'elle avait pour ses cousines, Vendettal, Fitzounette et Elegie.

Cela fait, elle se saisie d'un simple canif posé non loin. Elle ne se remémora meme pas les vies qu'elle avait sauvé grace a ce simple bout de métal et de bois, seule perdre la sienne comptait a présent, faire taire la soufrance, s'en libérer...

La lame traversa la peau du poignet sectionant quelques vaisseaux sangains. C'était douloureux, vraiment douloureux, aussi elle ne réïtéra pas l'opération sur l'autre poignet. Elle était hypnotisé par le filet de sang qui coulait sans s'interrompre.

Elle rejoignit sont lit et attendit que la mort veuille bien faire son oeuvre.

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Killijo_de_denere
Killijo avait été fortement troublé par cette rencontre. Il ne l'avait plus vue depuis son mariage. Celui qui lui avait brisé le coeur à tout jamais. Elle était sa cousine, mais bien plus que cela encore pour lui. Il s'y était tout de même rendu, pour accompagner sa mère, et aussi pour enterrer la hache de guerre avec elle. Elle avait fait son choix, il ne lui restait qu'à le respecter et à l'oublier.

Ce qu'il avait fait, à travers des voyages, des aventures sans lendemain, des servantes lutinées dans leur chambrette ou dans une grange. Sans sentiment, juste pour un soulagement physique. Se sentir un homme, sentir qu'il plaisait malgré tout et que malgré sa jeunesse, il avait du charme pour les jeunes dames. Il lui avait été préféré un vieux barbon. Il ne comprenait pas. Il avait besoin de savoir ce qu'elle lui avait trouvé au vieux bonhomme qui avait un pied dans la tombe. Etait-ce ses titres ? Ses possessions ? Killijo n'avait point tout cela. Il n'était que fils de noble, mais il voulait faire ses preuves sans proclamer le nom de Dénéré à tout va. Mais elle n'avait rien voulu savoir. Elle l'avait jugé et condamné.

Il était revenue depuis peu du Berry, ayant fait des belles rencontres. Le Berry est un duché assez intéressant et très agréable. C'est là qu'il avait rencontré une Saumuroise, qu'il avait aidée. Elle était frêle et fragile, elle avait touché son coeur, lui qui s'éatit promis de ne plus jamais aimer. Elle était douce, agréable. Il était arrivé à Saumur heureux, avec des souvenirs agréables de son voyage. Il se promenait dans les rues de Saumur en se disant qu'il pourrait montrer cela ou cela à Douchka. Son regard neuf lui faisait redécouvrir une ville qu'il connaissait depuis toujours. Il l'avait vue par le plus grand des hasards, mais le trouble qu'il en avait ressenti ne l'était pas. Il s'était ainsi aperçu que les sentiments qu'il croyait oubliés pouvaient refaire surface à tout moment. Elle lui avait dit qu'elle était malheureuse en mariage. Il n'avait pas voulu lui dire qu'il l'avait prévenue. Il ne voulait pas profiter de sa détresse. Elle était si fragile en ce moment. Il l'avait prise dans ses bras pour la consoler, lui l'homme fort. Qui devait se montrer fort en toutes circonstances. Il l'avait embrassée. Comme ça, comme un réflexe qu'il avait auparavant. Elle avait répondu à son baiser, en s'abandonnant dans ses bras. Le trouble qu'il en avait ressenti était intense. Qu'allait-il faire désormais ? Rien. Il n'y avait aucune issue possible. Elle était mariée. Il n'était pas disposé à briser la famille. Derrière leur amour, il y avait deux familles qu'il ne fallait pas déshonorer. Il y avait Douchka qui avait toute confiance en lui. Il ne voulait décevoir personne. Surtout pas sa famille.


Il s'inquiétait pour elle, néanmoins. Malgré cet amour qu'il devait taire, qu'il savait oublier en ne la voyant plus, il voulait s'assurer qu'elle allait bien. Sa marraine en mourrait si elle devait perdre un autre enfant. Evoquer son fils lui provoquait toujours une grande détresse. Vic était si mal en point la dernière fois qu'il l'avait vue. Elle qui était si fière, si sûre d'elle d'ordinaire, il ne l'avait point reconnue. Il aurait tout donné pour retrouver sa Vic. Celle qui lui mettait les nerfs en pelote, mais qu'il aimait ainsi. Il était retourné à son dispensaire d'abord, pour vérifier si elle avait choisi de rester en ville, ou si elle était allée retrouver sa mère. Reprendre le chemin de cet endroit lui rappelait de nombreux souvenirs. Les souvenirs de son premier amour. De ceux que l'on n'oublie pas. Il frappa à la porte, le coeur battant. N'ayant aucune réponse, il ouvrit et s'avança pour voir s'il n'y avait personne. Il était encore tôt, Killijo voulait ensuite aller travailler à son échoppe de charpentier. Il fabriquait une barque pour Douchka. Il lui offrirait bientôt pour l'aider à pêcher plus de poissons. En regardant de plus près, il vit qu'elle était là, allongée.

Elle était si belle quand elle était endormie. Il lui caressa les cheveux, attendrit. Elle ne bougea pas. Il regarda sa poitrine, appréciant au passage ses formes qui étaient toujours aussi attrayantes et vit qu'elle respirait à peine. Surpris, il la souleva un peu et vit seulement qu'elle avait un bras qui saignait. Il la porta fébrilement, inquiet, ne sachant que faire. Il préférait la voie de l'armée et les combats, mais en cet instant, il regretta de n'avoir suivi des cours de médicastre comme sa tante. Il l'emmena vers la place de la ville, en courant, et criant au secours à celui qui voudrait l'entendre.


Un médicastre ! Une infirmière ! Quelqu'un qui puisse la soigner ! Vite !

Il regretta subitement de n'avoir protégé son poignet qui saignait. Elle avait certainement voulu attenter à sa vie. Il ne voulait pas que le scandale entâche sa famille. Il la posa sur le sol et déchira un pan de sa chemise pour lui faire un large bandage sur tout l'avant-bras. Il raconterait qu'elle s'était blessée. Il paierait pour le silence du soignant. Tout, tant qu'il arrivait à la sauver. Il ne voulait pas la perdre.
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Amoureux d'une douce sauvage
Lolitaspace
Lolitaspace qui passait par la place du comté afin d'aller chercher son pain quotidien aperçut Sir Killijo , au milieu de la place , agenouillé sur une jeune femme qui n'avait pas l'air trés en forme . C'est lorsqu'elle entendit Sir Killijo crier à en perdre haleine

-Un médicastre ! Une infirmière ! Quelqu'un qui puisse la soigner ! Vite !

qu'elle s'approcha du couple.
Trés vite elle vit que quelquechose n'allait pas et s'agenouilla auprés de Sir Killijo qui avait l'air trés perturbé. Mettant la main sur son épaule afin de le réconforté , lolitaspace lui dit :


- Bonjour Sir Killijo , je ne suis pas douée pour grand chose mais je peux peut être vous venir en aide ?

- Non , Dame lolitaspace , je crains qu'il ne soit trop tard !

- Laissez moi voir sir!


Et sur ce Lolitaspace se pencha sur la dame et comprit ce qu'il en était . Ebahit elle regarda étonnée Sir Killijo qui lui dit :
- Ne dites rien , je vous en supplie ! Je ne supporterais pas que sa réputation soit salie .

- Ne vous en faite pas Sir Killijo , ce que j'ai vécut en dehors de ce comté m'a permit de comprendre qu'une réputation est trés fragile , vous pouvez compter sur ma discrétion . Maintenant je pense qu'il faudrait s'occuper de votre amie .

- Ah oui en effet , son nom est Victoire_loo , sauvez la je vous en prit .

A cette supplique Lolitaspace comprit qu'elle devait venir en aide à cette jeune femme , pourtant elle n'était pas infirmiere et ne savez pas quoi faire . Pour se donner contenance elle tata le pouls de Dame Victoire . Soulagée de sentir une pulsation Lolitaspace regarda Sir Killijo et lui enjoignit de garder son calme . Puis elle dit :

- Sir Killijo , votre amie est vivante , elle est faible mais vivante . Je ne suis pas infirmiére et ne sait pas quoi faire mais je sais par un ami médecin de Thouars qu'il faut empecher le sang de se répandre. avez vous un mouchoir ou autre chose en tissu assez grand pour lui enserré le bras?

Celui ci fouilla dans ces poches et ne trouva rien qui puisse convenir . Désespéré il défit sa chemise et la donna à Dame lolitaspace.

-Tenez prenez ceci et faites le necessaire !

Lolitaspace arracha un morceau de chemise et s'en servit afin de faire ce que l'on appelle communément un garrot . S'assurant que le sang ne coulait plus ou trés peu , elle tata de nouveau le pouls de la dame . Rassurée elle se leva , se tourna vers Sir Killijo et lui dit :

- Sir , votre amie ne devrez plus être en danger , toutefois je suppose qu'il faut qu'elle soit vu par un médecin . Savez vous ou je peux en trouver un ?

- Un médecin mais nous n'en avons qu'un seul itinérant , je ne sais point si vous pourrez le trouver .

- Ah , bon alors si je ne trouve point le médecin , je chercherais quelqu'un capable de la soigner , et sinon je reviendrais en esperant le ciel que quelqu'un vous soit venu en aide . Avez vous un endroit ou la tenir au chaud , Il ne serait pas souhaitable pour votre amie de rester ici a la vue de tous .

- Oui , j'ai un endroit ou l'emmener , je vais la conduire de ce pas chez ma soeur Aloara de dénéré , savez vous ou cela se trouve?

- Oui Sir , j'en ai entendu parler , je vous y rejoindrait au plus vite . Ne vous inquietez pas , le secret sera bien gardé .

- Merci Dame , a bientot j'espere !


Et ce fut sur ces mots que lolitaspace se mit en devoir de chercher quelqu'un afin de venir en aide à Dame Victoire .
Et se retournant une derniere fois elle vit Sir Killijo se lever à son tour , emmener Dame victoire dans ces bras , en prenant soin de camoufler la blessure et partir hors de la vue des autres.
Puis elle se remit en route .

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--Killijo
La jeune Lolitaspace avait donné les premiers soins à Vic. Il la serrait contre elle en marchant, il sentait sa respiration faible, mais elle respirait toujours. Il marchait plus vite, courant presque, en direction de la maison d’Aloara. Elle l’avait soigné à la main dernièrement, lui faisant quelques points pour que cela se referme plus vite. Elle saurait certainement quoi faire. Sinon, il pourrait toujours la lui confier le temps d’aller chercher Tatie Rose, mais il savait très occupée. Il se demandait pourquoi il n’avait pas pensé à elle immédiatement quand il avait parlé avec la damoiselle Lolita. Il lui avait donné l’adresse d’Aloara, en espérant qu’elle saurait la retrouver. Puis à la réflexion, peut être valait-il mieux l’emmener au château des dénéré. Mais que diraient-ils ? Finalement, ce choix était le meilleur. Sa sœur saurait quoi faire, elle saurait certainement le conseiller. Il était perdu, il voulait surtout qu’elle se remette vite et qu’ils oublient ce triste évènement.

Il sentait le vent froid lui caresser le dos. Il se dépêchait, voyant les paysans qui le regardaient d’un air bizarre. Il était fils de noble, ils avaient l’habitude de leur comportement excentrique, mais en plein hiver, se promener sans chemise, ils avaient dû rarement voir ce type de comportement. Il serra Vic de plus près pour tenter de lui donner un peu de chaleur, et certainement cacher son torse nu par la même occasion. Il avançait à pas rapides, se demandant pourquoi le chemin était si long. Il ne se préoccupa pas des regards des gens et réussit enfin à atteindre la porte de la maison de sa sœur. Il frappa sans ménagement et réussit à l’ouvrir. Il entra précipitamment et alla déposer Vic sur la table.


Alo ! Alo ! Où es-tu ? Vite ! J’ai besoin de toi !

Sans attendre de réponse, il chercha une couverture pour la réchauffer et sortit vite chercher du bois dans le jardin pour augmenter le feu qu’il y avait dans la cuisine. Il revint avec des buches qu’il avait dû diviser en deux encore. Il était sale, plein de copeaux de bois. Il avait l’habitude de travailler le bois, il aimait ce contact. Il déposa une bûche dans l’antre, et éventa les flammes pour les faire monter plus vite. Tout à son office, il en oubliait le reste. Le principal était qu’elle reprenne des couleurs.

Il revint auprès d’elle. Elle ne perdait plus de sang, c’est déjà ça. La damoiselle Lolita avait fait un traitement bien efficace qu’il ne connaissait point. A l’occasion, il lui redemanderait car il se dit que cela pourrait être utile sur les champs de bataille.

Il se redressa et se regarda. Il était dans un état assez déplorable. Il prit un seau d’eau et se débarbouilla un peu. Il débarbouilla aussi Vic, qui avait des traînées de sang sur les bras et le visage. Sa jolie robe était dans un triste état. Il se demandait s’ils ne seraient pas obligés de la brûler, car les tâches de sang ne partiraient pas sans mal. Mieux valait détruire les preuves. Un peu plus propre, il se mit à la quête d’une chemise, mais il ne trouverait point de chemise d’homme chez sa sœur. Il en doutait fortement, sinon, cela voudrait dire que… Il ne voulait même pas y penser. Sinon, il devrait tuer l’impudent qui avait osé poser les mains sur sa précieuse sœur avant le passage devant l’autel.
Aloara


Voilà des jours qu'Alo ne s'était rendue dans sa petite maisonnette... Elle y était s'y bien pour travailler au calme... Et c'est ce qu'il lui fallait en ce moment... Du calme... Afin d'élaborer un programme pour les future élections municipales... Elle se rendit donc dans sa chambre, s'installa sur son bureau et se mit à bûcher sur cet écrit... Après de longues heures passées à écrire, raturer, écrire... Elle entendit un boucan d'enfer et sursauta laissant échapper sa plume des mains... On l'appelait... On avait besoin d'elle... KILLI avait besoin d'elle... Mais qu'avait-il encore fait ?

Elle descendit les marches quatre à quatre et regarda son Amour de frère tout paniqué auprès d'une Demoiselle inconscience... Elle se pencha pour regarder la jeune femme et écarquilla les yeux en voyant quelques endroits de sa robe, non couverts, tous tâchés de sang...

Ki...Killi...Tu peux... M'expliquer...
Que lui est-il arrivé ? Et puis c'est qui cette Demoiselle ?


Elle posa son regard sur son poignet et regarda Killi en disant :

J'ai compris... Mais s'il te plaît tu dois trouver Tatie Rose !!! Je sais coudre des plaies mais là... Je ne sais pas quoi faire... Je vais veiller sur elle au mieux et faire ce qu'il faut mais tu dois trouver un médecin... File vite Killi !!!

Elle regarda son frère se ruer vers la sortie et elle espéra qu'il ne tarde pas à ramener leur Tante...

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Rosebudy


Sortant d'une longue journée de cour donné dans l'amphithéâtre principal de l'université sur le thème de la médecine avancée,
    -cours quelle avait fort agréablement partagé avec celui qui faisait battre à nouveau son coeur, Romain de St Clair-
Rose prit la direction de sa demeure de Saumur.

Longeant les bords la Loire, ses pas la portèrent au devant de Killijo qui courrait vers elle, l'air effrayant et terrible
    - Ma tante, oh tante, il est encore arrivé malheur ,

Mon dieu quoi Kili, ne me dit pas qu'il lui est arrivé quelque chose à ta soeur ?

    Non, mais non, pas elle ma tante, c'est la Belle Victoire, vite, vite, , elle est inconsciente, chez Aloara mais, je crois que c'est plus grave. va vite vite,


Rose attrapa son neveu par le bras, et prit un pas des plus rapide pour faire le chemin qui devait lui montrer une fois de plus, toute la misère du monde tombant sur les épaules d'une jeunesse malmenée.

Elle se rappela tout en marchand le mariage de la belle Victoire, beau, grand, magnifique mariage,
mais pourquoi en Anjou, les mariages se finissaient immanquablement dans les bras d'un médicastre ? encore lorsqu'il s'agissait d'enfançons, elle comprenait, mais non, la plupart du temps, la vie s'acharnait sur les jeunes épousés, et leur infligeait des séparations cruelles qui se transformaient le plus souvent en drame.

La maison fut rapidement en vue, et Rose s'y précipita, précédée par kilijo qui lui montrait le chemin .


ils croiserent Aloara sur le pas de la porte d'une chambre,

Rose prit le temps de regarder la jeune fille, de voir la peur se lire sur ce très jeune visage.

Elle lui donna une échappatoire pour soulager sa conscience,

    Aloara file vite au domaine de Kilia, et fais nous porter une voiture confortable, je pense que victoire sera mieux chez elle qu'ici.


puis elle entra dans la chambre .

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Aloara


La Jeune Dénéré n'en pouvait plus... L'attente de voir revenir son frère avec sa Tante était trop longue... Elle jetait un regard par la fenêtre, un autre sur la Demoiselle, puis un autre dehors jusqu'à ce qu'elle décida d'attendre sur le pas de la porte leur arrivée... Un soupire de soulagement se fit entendre en voyant sa Belle Tatie presser le pas avec Killi... C'est lorsqu'elle la vit entrer que son regard se porta sur la blessée... Un soulèvement au coeur, on pouvait lire dans ses yeux une terrible angoisse...

C'est en écoutant l'ordre de sa Tatie, qu'Aloara sortit en courant direction la demeure de Tatie Kilia...
Une fois les ruelles de Saumur traversées, elle entra chez la Duchesse Kilia et cria :


Tatieeeeee Kiliaaa !!! Viteuhhhhh !!! Faut préparer un coche pour ramener une Demoiselle inconsciente qui se trouve chez moi !!! Viteuhhhhhhhh !!!

Elle vit sortir une servante qu'elle ne connaissait pas et lui dit que la Tatie Kilia n'était point là... Toute paniquée, Alo expliqua la situation et la Gouvernante lui demanda de rester au chaud et de ne pas retourner la bas... Elle ne dit un mot et regarda la Femme s'apprêter après avoir demander à ce que l'on prépare un coche... C'est toute tremblotante que la Demoiselle de Dénéré la regarda partir...

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Lolitaspace
Lolitaspace , au bout de plusieurs minutes à chercher c'était mise à courir partout afin de trouver au plus vite une personne capable de soigner Dame Victoire . Mais sans aucun espoir , toutes les personnes de sa connaissance ne connaissaient rien a la medecine .
Désespérée Lolitaspace décida en son âme et conscience d'aller retrouver Sir Killijo et son amie bléssée à la demeure de Dame Aloara. Plusieurs fois dans le chemin elle se perdit ne connaissant pas parfaitement le chemin , car n'y etant jamais allé .
Elle demanda plusieurs fois osn chemin et se dirigeant tant bien que mal finit par se rapprocher de la maisonée de Dame Aloara , mais sur le point de s'approcher plus prés Lolitaspace se mit à se comtempler , se rendant compte qu'elle n'était pas présentable face a ces personnes si bien vétus.
Plus tard elle prendrait garde à faire attention à elle , quand elle serait contrainte d'aller en ville , même si elle n'avait pas beaucoup d'argent elle se rendait compte qu'elle n'avait pas grand chose à se mettre.
Las de ces considérations et surtout pensant à la demoiselle en détresse qui attendait , Lolitaspace prit sur elle même et s'approcha de la porte .
A ce moment , la porte s'ouvrit à la volée et Lolitaspace vit une jeune et jolie femme courir dans une direction bien précise .

- ce devait être dame Aloara , se dit elle .
Suite à ça Lolitaspace toqua légérement à la porte et fut accueillit par Sir Killijo et une dame qu'elle ne connaissait pas .
- Sir je n'ai trouvé personne pour nous aider . Dit désespérement Lolitaspace avant de se prendre la tête entre les mains
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Victoire_loo
Quelque part a mi chemin entre les vivant et les morts.

Victoire n'avait plus mal, elle n'avait meme plus conscience du monde qui l'entourrait. Elle flotait, tout simplement.

Elle se demandait si c'était ça la mort, ca s'annonçait enuyeux a mourir si l'on peu dire. Alors c'était juste ça ? Flotter dans le noir ?

Elle resta lontemps ainsi et se rendit compte que tout lui était indiférent a présent, Urbs et Killijo lui semblaient etre de lointain souvenir. Une petite lumiere au loin déchira les ténébres. Est ce que la lumiere grandissait ou alors est ce qu'elle se raprochait, elle n'aurait sut dire.

Une forme se forma dans la lumiere, on aurait dit une foem humaine, et en plus elle venait vers elle. Elle ouvrit grand les yeux tandis que la forme continuait d'avancer.

Elle le reconaissait a présent, c'était son pere, Alberic, mais qu'est ce qu'il pouvait bien faire la ? Un halo leger l'entourait, et son visage était emplis de sérénité et de douceur.

Victoire, mon enfant, tu te trompes de chemin. Ce n'est pas encore le moment pour toi ma fille.

Mais je ne...

Je le sais, et tu le sais, c'est un choix que j'ai fait il y'a lontemps maintenant.

Papa... Enmene moi avec toi, j'ai tout raté, j'ai fais n'importequoi, et j'ai fait du mal a des gens que j'aimais.

C'est pour ca que le moment n'est pas venu. Tu dois repartir, trouver le moyen d'etre en paix avec toi meme.

Une longue conversation s'en suivit, elle lui disait ce qu'elle n'avait pas eut le temps de lui dire, et il lui fit comprendre qu'elle avait un pere, qu'elle serait toujours sa petite fille. Alberic disparut progressivement jusqu'a ce qu'il ne reste plus rien de lui et les ténebres reprirent leur droit sur la lumiere.

Elle était a nouveau seule, peut etre que si elle attendait encore quelqu'un d'autre viendrait.

j'aurais bien pris le pâle mais y a pas, donc merci de me laisser le vert.
je vous ai tout mis en rouge.
réclamations par MP
{joker}

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--Killijo
Après avoir porté Vic dans la chambre d’Aloara avec moulte précautions, il était allé du côté de l’université pour voir s’il pouvait trouver la tatie Rose. Aloara veillait sur Vic. Elle lui disait qu’elle ne savait pas soigner le mal dont Vic était atteinte. Il se demandait si elle n’était pas aussi malade de l’esprit. Il ne connaissait pas la gravité de l’état de Vic, mais s’inquiétait beaucoup. Il préférait prendre des garanties. Mieux valait être prudent.

Il avait quasiment couru pour l’emmener chez Aloara, lui prenant la main pour la faire marcher plus vite. Il lui expliqua comment il l’avait trouvée chez elle, en train de se vider de son sang. Il était fou d’inquiétude, il s’emmêlait dans ses paroles, tenant un discours assez décousu. Ils arrivèrent chez Alo. La tatie l’envoya chercher Kilia.

Killijo laissa sa tatie examiner Vic en tentant de ne pas la déranger durant son examen. Il regardait ce qu’elle faisait en lui expliquant que la damoiselle Lolitaspace lui avait fait un garrot pour arrêter le sang.


Je ne sais pas quelle quantité de sang elle a perdu. Je l’ai transportée sur la place pour qu’on puisse la soigner. Tu crois que tu peux la sauver ? Dis Tatie ! Elle ne va pas mourir hein ?

Il tenait la main de Vic, comme s’il pouvait lui rendre un peu d’énergie en lui caressant les doigts. Il la regardait, pâle comme une morte, l'air froid, comme si elle ne voulait plus vivre. Il marqua une pause.

Dis Tatie, tu crois que c'est une bonne idée de prévenir ma marraine Kilia ? Je me demande comment elle prendra la nouvelle si elle sait que sa fille a voulu mourir en se coupant les veines. On ne peut pas lui raconter une histoire de maladie plutôt ?

Il s'inquiétait tout autant pour sa marraine, sachant qu'elle adorait ses enfants plus que tout et qu'elle supporterait certainement très mal cette nouvelle. Quand au vieux barbon, il pouvait déjà prendre ses chevaux pour courir loin si elle lui mettait la main dessus. Finalement, à la réflexion, peut être qu'il préférait cette solution, ainsi, il n'y aurait plus de rival. Il balaya cette idée d'un signe de tête, en regardant sa tante.
Rosebudy


En entrant dans la Chambre, Rose vit les traits de Vic, pâle , des cernes grises sous les yeux, les levres pincées, et tout juste rosées.

Doucement, elle se pencha sur sa poitrine pour entendre son coeur, et sentir son souffle de vie.

Elle examina la blessure, constata que la sang ne s'en écoulait plus, refit un pansement plus académique, non sans voir que le premier avait été efficace. Pinça doucement la peau au dessus de la main, pour voir combien de temps la peau restait levée au dessus des os.

Rassurée sur un point, oui, Victoire respirait correctement, mais faiblement, Rose se retourna vers son neveu qui n'arrêtait plus de parler.

    Écoute moi bien et retiens ses mots, elle est en vie, mais il faut qu'elle s'y accroche.
    Il n'y a qu'elle pour décider de rester avec nous.
    Car pour qu'elle aille mieux il va falloir qu'elle mange, et qu'elle boive.
    Si tu es assez persuasif, tu y arriveras peut être,

    alors, va au marché, et achète ce qui te paraitra le plus appétissant pour Vitoire,
    ainsi qu'à boire.
    Ne lésine pas, prend ce qu'il y a de meilleur, et revient vite.
    Prends des fleurs aussi odorante que tu trouveras pour la saison.

    Surtout, surtout, C'est à toi de choisir pour elle, n'envoie pas une servante.

    Aucun mot ne doit sortir de cette maison.

    Tu m'as bien comprise ?


Disant cela, Rose lui serra les mains fermement pour lui donner un peu de courage, et le calmer, puis le poussa doucement hors de la chambre,
il le fallait pour le repos immédiat de Victoire.

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--Killijo
Killijo, alors qu'il s'était fait mettre dehors par sa tatie, vit la jeune Lolita arriver.

Lolitaspace a écrit:
Sir je n'ai trouvé personne pour nous aider . Dit désespérement Lolitaspace avant de se prendre la tête entre les mains


Il la prit dans ses bras avec douceur.

Vous l'avez sauvée damoiselle. Ma tante, qui est médecin, l'a soignée. Il nous reste à prier maintenant. Votre pansement a été décisif pour les premiers soins. Je vous remercie de tout coeur pour elle.

L'embrassant sur la joue, amicalement, il lui prit la main. Venez donc avec moi, je dois aller marcher pour acheter des denrées pour la nourrir et ce qui pourrait lui faire plaisir et lui donner le goût de s'accrocher à la vie. J'aurais bien besoin d'une aide féminine.


Il lui prit le bras pour l'emmener plus loin, histoire de l'aider aussi à reprendre pied dans cette épreuve. Il lui expliquait, alors qu'ils marchaient en direction du marché ;

Par contre, il est bien entendu que nous devons rester discrets sur la maladie de Victoria. Si l'on nous pose des questions, nous devrons dire que nous n'en savons rien. J'aimerais aussi aller prier Aristote de lui donner la force de continuer. Elle est jeune et belle, elle ne peut pas...

Il arrêta de parler pour ne pas tomber dans le sentimentalisme.

Ah bien, nous arrivons devant le meilleur boucher du village. Nous allons acheter différentes viandes. Que dites-vous de prendre aussi des légumes, du poisson et peut être aussi une tarte ?

Il allait et venait en regardant les différents étals.


Le mieux est de choisir ceux qui ont le meilleur fumet. Cela lui rappellera peut être notre repas.

Il regardait au loin.

Que dites-vous d'aller aussi cueillir des jolies fleurs ? Connaissez-vous des fleurs qui ont une odeur agréable ? Euh... Mais peut-être devrions-nous déjà acheter ce que nous disions, non ?
Lolitaspace
Lolitaspace n'en croyait pas ces yeux , une personne d'un rang aisé , l'avait prise dans ces bras et lui avait dit merci . Jamais à Thouars quelqu'un ne lui avait dit merci , pourtant elle en avait rendu des services .
Mais même si elle était heureuse que Sir Killijo l'ai remercié ce pourquoi elle était le plus fier c'est d'avoir bien écouté son ami médecin et ainsi avoir put sauver Dame Victoire .
Maintenant elle était là , au marché avec Sir Killijo , il lui avait prit la main et lui avait demandé de venir l'aider à choisir de quoi manger et boire pour Dame Victoire mais aussi de jolies fleurs .

- Sir je pense en effet , que prendre plusieurs viandes et des légumes serait parfait pour un ragout , il n'y a rien de mieux pour nourrir . Répondit Lolitaspace à la question de Sir Killijo .
Tout a coup Lolitaspace pas loin de l'étal des viandes , vit de merveilleuses roses jaunes sur un étal .
- Sir , Dit-elle , ces roses sont merveilleuses , je les trouves aussi belles que Dame Victoire . Cela égayerait merveilleusement la pièce. Et si je puis me permettre , pour le cadeau qui la ferait revenir à elle , je pensais , pourquoi ne pas lui confectionner vous même un objet qui vous tiendrait à coeur ?Vous avez l'air d'aimer beaucoup Dame Victoire et je pense qu'un objet venant de vous et surtout fabriqué par vous sera bien plus beau que n'importe quoi .
Et sur ces mots ils continuèrent leur marché .
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--Killijo
Killijo regardait la damoiselle choisir les morceaux de viande et les légumes pour un ragoût.

Euh, je vais vous laisser faire. Je n’ai point l’habitude de faire la cuisine. Je profite de cette de ma nourrice.

Il regardait les viandes et les herbes en se demandant comment les marier, et savoir lesquelles sont les meilleures avec les autres. Il aurait bien demandé à Mamounette de l’aider, mais il préférait que sa vieille nourrice n’en sache rien. Il devinait déjà le sermon qu’il se prendrait, sur ses relations avec sa cousine, le fait qu’ils se soient revus, et l’état dans lequel cela l’avait mise. Elle l’aurait assailli de questions, et il n’aurait pas eu d’autre choix que de lui dire la vérité. Il ne savait pas lui mentir, elle le devinait à chaque fois, depuis tout petit qu’il était. Elle lui aurait bien dit que ce n'était pas bon après ce qu'il s'était passé de la voir, seul à seule. Elle lui aurait parlé du mal que ça fait aux gens, et des mariages brisés pour moins que ça. Lui qui était un homme, et qui devait faire attention à tout cela. Il était toujours attentif à la réputation des dames, surtout de sa soeur, mais il avait tout oublié quand il l'avait revue.


Lolita a écrit:
Sir , Dit-elle , ces roses sont merveilleuses , je les trouves aussi belles que Dame Victoire . Cela égayerait merveilleusement la pièce. Et si je puis me permettre , pour le cadeau qui la ferait revenir à elle , je pensais , pourquoi ne pas lui confectionner vous même un objet qui vous tiendrait à coeur ?Vous avez l'air d'aimer beaucoup Dame Victoire et je pense qu'un objet venant de vous et surtout fabriqué par vous sera bien plus beau que n'importe quoi .


Il se tourna vers les roses. Il regarda la fleur, belle et délicate comme l’est sa cousine. Elle exhalait un délicat parfum. Il en prit une en main et la sentit de plus près. Regardant le marchand ;

Vous avez raison. Mettez m’en un beau bouquet messire. De quoi garnir une pièce.

Il lui jeta une bourse pour le payer.

Faites-le livrer chez la damoiselle Aloara de Dénéré sans tarder.

En chemin, il dit à Lolita qu'il voulait aller à l'église. Sans lui laisser le choix, il prit la damoiselle par le coude, et l’entraîna vers l’église. Il n’était pas un grand habitué du lieu, oubliant régulièrement d’y aller, et n’ayant plus connu depuis bien longtemps un curé. Il entra dans le bâtiment, impressionné par la solennité du lieu. Ici, il y prierait Aristote et qui voulait l’entendre de sauver sa précieuse cousine. Il abandonna quelque peu Lolita pour une génuflexion et un signe de croix. Il alla prier plus près. Il était assidu dans des paroles qu’il n’avait plus prononcées depuis bien longtemps. Il resta un moment agenouillé, à s’en faire mal aux genoux. Puis il se releva et sortit.

J’espère n’avoir pas été trop long. Je vous remercie de votre soutien. Il m'est très précieux.

Il lui prit le bras à nouveau, ayant grand besoin d’une amitié féminine en ce moment.

Dites-moi, vous me parliez d’un objet fabriqué par mes soins. Je suis charpentier, que puis-je lui faire ? Je lui aurais bien tissé une robe, mais je n’ai point ces talents. Pensez-vous qu’un bijou en bois lui siérait ? Une fleur ? Quoi d'autre ?
Lolitaspace
Lolitaspace avait accompagné Sir Killijo partout ou il voulait pour le soutenir . Il était allé à l'église pour prier pour sa chére amie . Lolitaspace aurait voulut pouvoir rentrer et prier mais cela faisais maintenant un moment qu'elle ne croyait plus en l'église et sa bénédiction .
Pourtant elle n'en avait rien dit à Sir Killijo pour ne pas lui faire perdre espoir mais , elle n'était pas rentrer dans l'église.
Elle avait attende un bon moment et il sortit finalement avec un air plus rasséréné qu'avant .
Ce fut là qu'il lui demanda ce qu'elle entendait par un cadeau fait par lui . Il lui demanda ce qu'il pourrait lui fabriquer .
Lolitaspace ne pouvait pas savoir les gouts de Dame victoire mais elle répondit :

- Sir je ne puis répondre à votre question . Tout ce que je peux dire c'est , utilisez votre talents pur lui faire plaisir . Si ce que vous lui fabriquerez vient du coeur alors elle ne pourra qu'être heureuse .
Lolitaspace se mit a rire lorsqu'il suggéra de fabriquer à Dame Victoire un bijou en bois . Elle ne se moquait pas de lui , et le lui dit mais elle pensait qu'un bijou en bois ne se portait pas facilement avec de beaux habits comme ceux de Dame Victoire .
C'est pourquoi elle suggéra à Sir Killijo :

- Et pourquoi ne lui fabriqueriez vous pas une jolie boite ou elle pourrait entreposer ce qu'elle à de plus cher ?
Voyant qu'il était en train de considérer avec sérieux ce qu'elle venait de lui dire , elle détacha son bras de sous le sien et lui dit :
- Sir , ne désirant point vous déranger plus longtemps et surtout ne m'autorisant pas à vous suivre de nouveau chez vous . Je vais donc vous laiser continuer le chemin seul . Les dames qui sont chez vous ne trouverez pas convenable que je revienne avec vous . Dit elle .
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