Ombeline
En pénétrant dans la grande salle, Ombeline chercha Gnia des yeux et la découvrit non loin de là. Cette dernière la salua d'un sourire et d'un signe de tête, auxquels la Baronne d'Ytres répondit. Nathanael tenait plus fermement sa paume d'une main, et de l'autre, la laissait fermement accrocher à la jambe gauche de sa mère, et resta à moitiè dissimulé derrière elle. Il ne se lassa pas toutefois de regarder partout autour de lui, intrigué sans doute par les lieux et les personnes présentes peu familières pour lui. Il avait tellement l'habitude de ne cotoyer que des uniformes que son regard resta perdu quelques intants avant de devenir brillant de curiosité. Ombeline s'abaissa un instant, afin de lui murmurer quelques paroles, tout en montrant du regard Gnia, puis après quelques recommandations d'usage, déposa un petit baiser sur son front et se releva.
La Capitaine se retourna en entendant arriver derrière elle, le Comte de St Omer et Puylaurens, et ensuite les salua quand ils passèrent non loin d'elle. Elle remarqua aussi l'ancienne duchesse champenoise et lui fit un rapide hochement de tête. Elle irait converser avec elle après. La jeune femme se trouva une place afin d'avoir une meilleur vue d'ensemble. Tout semblait être enfin prêt. Gnia attaqua donc la cérémonie en appelant son confident et ami, Puylaurens.
Elle avait déjà assisté à ce genre de cérémonie... cela la ramena à un passé qui lui parut d'un coup si lointain.... Life prêtant allégeance à Deedlitt... bien loin oui, en effet que tout cela... Un regard triste arbora soudain son visage qu'elle effaça rapidement en tournant la tête vers son fils... La vue de ce dernier faisait des merveilles lors de ce genre de ternes pensées et comme toujours depuis sa naissance, cela n'y coupa pas.
Elle put prêté à nouveau une attention plus de sereine envers la cérémonie, observant d'un regard attentif l'allégeance ainsi que le baiser de paix entre le vassal et sa suzeraine. Ombeline fut quelque peu étonnée de ce choix étant donné que ...
Tout à coup, un bruit sec résonna dans toute la grande salle sans aucune discrétion, interrompant ses pensées. La jeune femme mira bien vite en direction de ce dernier et tomba sur la silhouette d'Erel qui venait de quitter hâtivement la salle.
Elle soupira mais comprenait oh que combien la raison de cet émoi. Elle regarda Gnia, puis la porte que venait de prendre Erel, hésitante. Devait-elle aller le rejoindre ou le laisser affronter ses propres turpitudes amoureuses... délicat dilemne, sachant que dans ce genre d'affaire, l'aide n'est point toujours bien accueillie.
La Capitaine se retourna en entendant arriver derrière elle, le Comte de St Omer et Puylaurens, et ensuite les salua quand ils passèrent non loin d'elle. Elle remarqua aussi l'ancienne duchesse champenoise et lui fit un rapide hochement de tête. Elle irait converser avec elle après. La jeune femme se trouva une place afin d'avoir une meilleur vue d'ensemble. Tout semblait être enfin prêt. Gnia attaqua donc la cérémonie en appelant son confident et ami, Puylaurens.
Elle avait déjà assisté à ce genre de cérémonie... cela la ramena à un passé qui lui parut d'un coup si lointain.... Life prêtant allégeance à Deedlitt... bien loin oui, en effet que tout cela... Un regard triste arbora soudain son visage qu'elle effaça rapidement en tournant la tête vers son fils... La vue de ce dernier faisait des merveilles lors de ce genre de ternes pensées et comme toujours depuis sa naissance, cela n'y coupa pas.
Elle put prêté à nouveau une attention plus de sereine envers la cérémonie, observant d'un regard attentif l'allégeance ainsi que le baiser de paix entre le vassal et sa suzeraine. Ombeline fut quelque peu étonnée de ce choix étant donné que ...
Tout à coup, un bruit sec résonna dans toute la grande salle sans aucune discrétion, interrompant ses pensées. La jeune femme mira bien vite en direction de ce dernier et tomba sur la silhouette d'Erel qui venait de quitter hâtivement la salle.
Elle soupira mais comprenait oh que combien la raison de cet émoi. Elle regarda Gnia, puis la porte que venait de prendre Erel, hésitante. Devait-elle aller le rejoindre ou le laisser affronter ses propres turpitudes amoureuses... délicat dilemne, sachant que dans ce genre d'affaire, l'aide n'est point toujours bien accueillie.