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[RP] La grange aux mots

Thealie
Théa s’ennuyait ferme. Elle avait fini de récolter son champ, le marché n’était guère florissant ces jours ci… Voila qu’elle se retrouvait sans le sou….
Elle passa donc à la grange aux mots, histoire de se dégourdir les jambes et de faire marcher son cerveau un peu embrumé par la blanche. Il faut dire que lorsqu’on s’ennuie, rien de tel que de boire une bonne bière pour se rafraîchir les idées.
Elle regarda les mots laissés en deux fois. Elle se demandait ce qu’elle allait pouvoir bien écrire. Et puis l’idée d’une jeune et ravissante bergère s’ennuyant ferme comme elle s’imposa dans son esprit, aussi écrivit-elle :

Devoir garder une brebis, quelle astreinte !
Elle ne fait que manger les chardons,
Et sa laine, en noir, n’est même pas teinte.
Voila ce que pense la jeune bergère de renom…

Elle relut son poème se disant qu’encore une fois les muses n’étaient pas de son côté. Décidément, il faudra faire mieux la prochaine fois…
Elle inscrivit à la suite les prochaines rimes :

Clef, prier, folie, esprit

Elle se remit ensuite en route se disant que faire du ménage dans sa maison ça l’occuperait…
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Davecity
Un seul être vous manque et tout est dépeuplé ,c'est ce que Dave ressentait pour le moment.Après avoir accomplit toutes ses taches , elle s'en alla dans les bois , là où son bien aimé allait se ressourcé quand il en avait besoin.
Aujourd'hui c'est elle qui en avait besoin , et après avoir été se promener, elle repassa par la grange pour voir si il y avait des nouveaux mots.En voyant c'est mots laisser par Théalie, elle prit sa plume et inscrivais;

Après lui avoir donner la clef
Sans jamais lui faire prier
Avec lui j'aime à la folie
Pour lui je me libère l'esprit.


Elle souriait a ce qu'elle venait d'écrire, puis s'en allant elle laissa c'est autres mots.

Toi, Moi, Souvent, moment
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Rien n'est plus fort que la douceur et la tendresse
Idiotemariote
Je me sentais bien dans la grange alors je m'y rendais...en lisant le quatrain de ma tendre nénette, je sentais un manque énorme dans son coeur, j'espérais qu'elle soit bientôt comblée !!!

Je lisais les mots laissés par ses soins mais mon inspiration s'était éteinte...l'odeur du foin envahissait la grange et c'était fort agréable, je m'allongeais à même le sol pour profiter de la sérénité de ce lieu et m'endormis !!!
Thealie
Théa passa par la grange. Elle inspira comme d'habitude l'odeur de foin et de paix qui résidait là. Elle allait s'installer comme à son habitude dans le foin mais fut surprise en découvrant dame Mariote qui y dormait déjà.
Elle ne voulait pas la réveiller. Elle dormait si paisiblement. Aussi prit elle soin de ne faire aucun bruit.
Elle réfléchit au poème et l'inspiration lui vint.

Depuis bientôt un an je n'appartiens qu'à toi,
A nous les souvenirs de nos heureux moments,
A eux les idées de nous déranger souvent,
Depuis bientôt un an tu n'appartiens qu'à moi...

Elle sourit en repensant à son fol amour pour Théo. Puis elle se retourna prestement. Elle venait de déclamer ses vers oubliant les songes de dame Mariote. Elle fut soulagée de voir qu'elle n'avait point troublé son sommeil.
Elle inscrivit les prochains mots, peut être qu'ils l'inspireraient.

Enfer, entière, saccadé, enlacé

C'est sur la pointe des pieds et en prenant garde de ne pas faire grincer la lourde porte que Théa repartit rejoindre son cher Théo.
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Idiotemariote
Je me réveillais en m'étirant pasiblement et sentais le doux parfum d'une personne qui ne m'était pas inconnue...dame Théalie... elle avait pris soin de ne pas me réveiller et je la remerciais...je lisais son quatrain, son amour pour Théo était si beau que j'en avais des frissons...je réfléchissais, me torturais l'esprit mais toujours rien...je repartais un peu triste de ne plus pouvoir...laissant la place à une autre !!!
Davecity
Quand j'arrivait à la grange je vit Mariote , qui s'étirait de tout son long.
Apparemment elle s'était endormie.Je lui demandais si elle allait faire le quatrain , mais elle me dit que non car elle ne trouvait plus son inspiration .
(Je lui proposait de chercher avec elle dans le foin ha ha ha )Bon elle reprit son sérieux et écrivit ceci;

Mes larmes coulent en saccade
Car elle on traversés l'enfer
Il me faudra une vie entière
Pour que nous puissions être enlacés

Elle se retourna et se dit qu'elle laissait ceci derrière elle;
Rêveur, Coeur, Visage, Rage
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Rien n'est plus fort que la douceur et la tendresse
Idiotemariote
Coucou vous...c'est moi Mariote, me revoilà ! Ce matin au réveil, je me suis dit trop c'est trop, ma fille va falloir te ressaisir, alors fidèle à la grange, je m'empressais de courir à travers champs en humant la rosée du matin et me voilà face à vous mais lisez plutôt !!!

ô que ô jamais, je ne veux de cette rage !
Je veux juste découvrir votre esprit rêveur,
Juste contempler votre doux visage,
Juste efleurer l'intimité de votre coeur...

Ce matin, l'esprit coquin, je me sentais d'humeur mutine et coquine...
Thealie
Théa qui passait par la grange vit avec plaisir que dame Mariote avait retrouvé la voie du poète. Elle était heureuse de la voir plus enjouée.
Elle s'installa comme à son habitude dans le foin et se tout en regardant le plafond déclama ces quelques vers :

Lorsque vous me réveillez le matin,
Je sais que vous avez l'esprit coquin,
Et vous pouvez voir à ma mine mutine,
Que mon humeur est aussi coquine.

Elle rougit en relisant ses vers. Il n'y avait que dame Mariote pour laisser de telles rimes ! Elle sourit tout en laissant les prochaines rimes :

Volupté, beauté, chevelure, pure

Ne restait plus qu'à prouver à Théo que l'humeur coquine elle pouvait l'avoir à n'importe quel moment de la journée. C'est en chantonnant qu'elle repartit rejoindre son adorable fiancé.
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Zolealie
Les mots laissés par théalie remémorèrent à Léalie le passé, pas si lointain... elle n'avait pas le temps ! Mais elle n'y resista point.

Nulle part au monde, n'ait vu pareille beauté,
Jamais ne caresserai plus douce chevelure,
Et jamais connaitrai d'affection aussi pure :
Nos fils...qui sont le fruit de notre volupté.

Laissant à la va vite quelques mots derrière elle, la comtesse s'en fut presque en courant...

Jardin, gredin, main, sein...
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Davecity
Le temps devenait de plus en plus long pour Dave , qui n'arrêtais pas de tourner en rond..., malgré les promenades qu'elle faisait dans les bois pour ce sentir plus près de son bien aimé,rien n'y fit .Aussi elle repassa par la grange ... histoire de voir si on avait laisser de nouveaux mots .
Jardin, Gredin, Main, Sein....., laissant aller son imagination, de sa plume elle écrivit ceci?

Toi comme un agréable gredin
Dans un coin secret de mon jardin
Tu caresse avec ta main
La tendre douceur de mon sein

En partant elle laissa ceci:
Que l'automne , me donne , un fruit , pour une nuit.
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Rien n'est plus fort que la douceur et la tendresse
Thealie
Théa dans la soirée, après avoir semé son champ de blé, passa par la grange.
Elle lut en souriant le poème de dame Dave.
Les mots laissés lui rappelèrent de doux moments passés. Aussi écrivit-elle :

Près de la flambée lors des soirées d’automne
Que de ta main, câline et douce, tu me donnes
A manger, gorgés de sucres, quelques fruits.
Dégustons les et d’autres encore toute la nuit.

Elle inscrivit les prochaines rimes avant de s'en aller tout en fredonnant.

Grimace, menace, froid, droit
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Davecity
Dave remerciant Théalie , car elle savait qu'elle appréciait ses quatrains tout autant que Dave appréciait ceux de Théalie. Se laissant à nouveau à rêver Dave ecrivit ceci:

C' est la misère d'un soir qui nous menace
Moi j'ai voulu t'aimer sans faire la grimace
Ce jour là ,il faisait tellement froid
Que blottis contre toi, la vie à repris c'est droits.

En partant Dave laissa ceci

je garde un Souvenir, de ton Sourir, et Souvent plein de Sentiments
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Rien n'est plus fort que la douceur et la tendresse
Thealie
Théa passa par la grange. Elle travaillait aujourd’hui chez Théo et rien que de savoir qu’elle travaillait pour lui, la rendait joyeuse. Aussi arriva-t-elle d’un pas guilleret et c’est en souriant qu’elle ouvrit la porte. L’odeur du foin arriva immédiatement à ses narines. Quel plaisir ! Elle adorait cette odeur qui ne lui rappelait que de bons souvenirs.
C’est avec intérêt qu’elle lut les mots laissés par dame Dave. Elle savait vu son humeur qu’elle parlerait encore d’elle et de Théo. Romantique un jour, romantique toujours…
Elle prit une plume et un morceau de parchemin et écrivit d’une belle écriture :

Quoi de plus cher et précieux que nos souvenirs ?
Comme lorsque nous partageons nos sentiments
Ou que nous échangeons un regard, un sourire.
Ces réminiscences m’apaisent souvent.

Elle relut son poème et fut plutôt satisfaite. Non pas qu’elle le trouvait prodigieux, mais décidément elle était dans l’optique allons de l’avant et soyons optimistes. Elle réfléchit alors aux mots qu’elle allait laisser derrière elle. Bizarrement elle ne voulait pas rendre la tâche facile, ou peut être que si pour finir… Au diable mes pensées chaotiques se dit-elle. Et c’est sans songer plus loin qu’elle inscrivit :

Minuit, midi, flétrir, pourrir.

C’est d’un pas léger qu’elle alla finir de tuer la vache, va y avoir de la viande ce soir au souper !
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Paillard
Les meuglements desespérés d'une vache à demi tuée dans les oreilles, il observa, curieux, une femme couverte de sang sortir de la masure.
En entrant il découvrit le principe du lieu. Une plume à disposition...



Si la pastèque n'est pas flétrie
Sous le chaud soleil de midi
Alors on peut penser qu'à minuit,
Elle n'aura pas encore pourri.

Il pouffa, assez content de lui, et inscrivit avant de partir :

Boue, Roue, Chemin, Malin.
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Tiamarys
Tia lut les mots d'affichés, un sourire naquit sur ses lèvres...

[Par une belle matinée venteuse de mars...
Entre champs de cailloux et champs de boue!
Idée de pique-nique et de câlins...]

Nous nous promenions en charrette par les chemins
Quand , dans le sol détrempé une roue
Se bloqua soudainement dans la boue
Nous étions coincés...C'était pas malin!!!


Elle afficha les mots suivants :
giboulées, embuée, éclaircies, puit
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