Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 6, 7, 8, ..., 12, 13, 14   >   >>

[RP] Salle du Trône.

Paddy
Les heures passaient, il faisait de plus en plus soif dans la grand salle où le public commençait à s'assoupir... Paddy avait repéré une jeune paysanne fort bien de sa personne et se dit qu'il serait bien mieux à lui compter fleurette dans une taverne plutôt que de trainasser là à perdre son temps. Il se retira tout d'abord dans un coin et griffonna les formules convenues sur un papier... puis il alla voir son grouillot qui glandouillait là et lui chuchota:

Tiens, va porter ce pli à la blonde là bas au pupitre, elle s'appelle Ingénue mais ça se dit "heu... j'ai... nie" , surtout ne te trompes pas en lui parlant si tu ne veux pas finir embroché sur un pal

Puis il se faufila dans la foule en direction de la jeune paysanne repérée auparavant quand il entendit :

Que s'avance à présent Paddy de Ouiskaï, Seigneur de Sancte-Fe de Morlaas

Il s'arrêta brusquement, puis tout en grommelant intérieurement de ce qu'il allait rater une belle fin d'après midi, il se dirigea vers la comtesse qui venait de l'interpeler.
_________________
Coms du Béarn
Gnia
C'était magique le Béarn. Des membres de la noblesse que l'on pouvait compter sur les doigts de la main, donc plus de la moitié était hors Béarn, mais bizarrement à l'inverse proportionnelle du nombre de feudataires, on y passait un temps fou. La cérémonie durait, durait, durait, durait...
Le stade du grommellement intérieur était passé depuis longtemps chez la Saint Just, dire qu'elle bouillait littéralement pouvait se résumer à un doux euphémisme.

Avisant le Seigneur de Sancte Fe de Morlaas qui ployait genou devant elle, Agnès lui posa laconiquement les questions d'usage.


Paddy de Ouiskaï, voulez-vous être tout à fait mon homme ?

Jurez-vous de servir avec loyauté, fidélité et sans dissimuler, le Béarn et son Coms ?
Jurez-vous de lui apporter conseil et service armé ?

_________________
Paddy
Il avait posé rapidement à terre le coussin que le grouillot lui avait remis et y posa le genou tout en pestant intérieurement sur la journée passée à attendre... Il jeta un coup d'oeil vers le pupitre de la blonde qui semblait dormir ce qui n'arrangeait pas au bon déroulement des opérations.

Il entendit les phrases habituelles :


Paddy de Ouiskaï, voulez-vous être tout à fait mon homme ?

Paddy avait hâte d'en finir... au moins sauver la soirée. Vite il répondit:

Tout à fait votre grandeur, je le veux.

Puis il poursuivi d'une voix ferme, le genou confortablement posé sur le coussin... au moins il n'avait pas commis l'erreur de la fois précédente

Nous , Paddy de Ouiskai, seigneur de Sancte Fe de Morlàas, jurons de servir avec loyauté, fidélité et sans dissimuler, le Béarn et sa Comtessa.
Nous jurons également de lui apporter conseil et service armé si le besoin s'en faisait sentir.


Cela dit il attendit la suite des opérations...
_________________
Coms du Béarn
Godasse57
Garath attendait patiemment son tour c'est vrai que ça commençait vraiment a trainer en longueur cette cérémonie , il lacha un baillement discret et continua d'attendre son tour.
Gnia
Elle aimait ses moments là.
L'on était là tous ensemble. Un genou ployé au sol. Les regards qui se croisaient.

C'était toujours les mêmes gestes. D'abord tendre la main droite. Toujours.
Aligner son bras, aider à se relever.
Puis le serment.

Et puis le baiser de la paix. Toujours.
*

Nous, Agnès Adélaïde de Saint Just, XIIe Coms du Béarn, avons entendu votre serment et vous accordons en retour bonne justice et protection pour vous et vos gens, ainsi que subsistance en vous conservant seigneur de la terre qui vous nourrit et symbolisée par cette aumônière contenant une poignée de la terre de Sancte Fe de Morlaas.

Un baiser de la paix et une petite bourse de terre déposée dans la main plus tard, liberté fut rendue à Paddy, qu'Agnès enviait presque.
Au rythme où allait la cérémonie, elle ne pourrait jamais la clôturer comme elle l'avait prévu par une remise de collier de l'ordre du Mérite et pire, elle allait rater l'heure de l'apéro.

Soupir à peine contenu tandis que le regard fouille à nouveau l'assistance léthargique.
Aaah. Le seigneur de Sauveterre était là. Agnès aurait été déçue que ce pilier inamovible de toute bonne allégeance comtale béarnaise qui se respecte ne vienne pas prester serment en personne.
Resterait la vicomtesse du Montanérès puis les lettres.


Que s'avance Garath de Rivien, Seigneur de Sauveterre-en-Béarn.

Lui laissant le temps d'émerger de sa torpeur, elle marqua une pause jusqu'à ce qu'il s'avance devant elle et pose genou à terre avant de poursuivre.


Garath de Rivien, êtesvous tout à fait mon homme ? L'homme du Béarn ?

Ralala, même blasée, cette simple phrase continuait à charmer la Comtessa de part cet aspect à la fois si incongru mais si juste dans le contexte où elle était dite.
Un nouveau silence, le temps de la réponse avant de reprendre.


Jurez-vous de servir avec loyauté, fidélité et sans dissimuler, le Béarn et son Coms ?
Jurez-vous de lui apporter conseil et service armé ?



*[HRP : avec l'aimable inspiration de la pub pour une marque d'eau minérale et Z.Zidane.]
_________________
Godasse57
Garath avait attendu cet instant toute la journée a croire qu'il n'y croyait même plus lui même quand on l'appella , il marqua un temps de pause et s'avança vers la Comtesse posant un genou a terre. La phrase rituelle fut lachée et c'était a lui de répondre.

Oui nous me voulons .

Il laissa reprendre la Comtesse et répondit enfin à son tour.

Nous, Garath de Rivien, Seigneur de Sauveterre en Béarn, jurons de servir avec loyauté, fidélité et ce sans dissimuler le Béarn ainsi que son Coms.
Nous jurons également de lui apporter conseil et service armé si le besoin s'en faisait sentir pour le Béarn.


Après avoir prononcé ces paroles, Garath attendit la fin de son allégeance.
Gnia
La dextre qui aide à relever le Seigneur de Sauveterre.

Nous, Agnès Adélaïde de Saint Just, XIIe Coms du Béarn, avons entendu votre serment et vous accordons en retour bonne justice et protection pour vous et vos gens, ainsi que subsistance en vous conservant seigneur de la terre qui vous nourrit et symbolisée par cette aumônière contenant une poignée de la terre de Sauveterre.

La bouche se referme pour sceller le tout par un traditionnel baiser de la paix. La dextre, toujours, se saisit d'une aumônière aux couleurs de Sauveterre qui finit par atterrir dans la main de Garath.
Voilà une affaire rondement menée.

Regard vers le pupitre du héraut. L'on en avait bientôt terminé de cette cérémonie sans fin. Puis regard inquiet vers les fenêtres à meneaux, le soleil déclinait et avec ce déclin approchait inexorablement l'heure fatidique de retirer le bouchon de cire d'une bonne bouteille de moelleux à siroter avec quelques amuses bouches.
A cet simple évocation, un sentiment d'urgence s'empara de la Comtessa qui s'empressa de convoquer le dernier feudataire béarnais à être présent ce jour. Avec une furieuse envie d'ajouter "Dépêchons, dépêchons !"


Que s'avance à présent Damiselà Eugénie de varenne, Vicomtesse de Montaner et Baronne de Monein.

Laissant le temps à la démarche claudiquante de la mener devant elle, elle reprit ensuite.

Eugénie de Varenne, êtes-vous être tout à fait ma femme ?

Jurez-vous de servir avec loyauté, fidélité et sans dissimuler, le Béarn et son Coms ?
Jurez-vous de lui apporter conseil et service armé ?

_________________
Gnia
Et ben voilà. La nuit était tombée. Ratée l'heure de l'apéro. Et ratée la fin de cérémonie d'allégeance. Et la comtesse en avait ras le pompon d'attendre le bon vouloir du héraut pour aller boire l'apéro d'abord puis aller tout simplement souper, pour le coup.

Dernier soupir exaspéré avant de se lever brusquement du trône et d'annoncer d'une voix tonitruante


Bon ben vous finirez sans moi ! Donc autant dire que c'est fini pour cette fois-ci !

La bonne nuitée.


Et de quitter la salle du trône dans un froufrou de robes rageur.

_________________
Ingenue
Même jour, 21 Mars 1458.

Gratouillement de natte circonspect au départ rageur de la Comtesse. La perception du temps qui s'écoule n'était pas la même pour tous, ni à chaque instant de la journée. Allons bon, voilà que la nuit tombait...

La retenir ? Non. Car qui connaissait la Saint Just savait que s'entêter ne ferait qu'envenimer les choses. Quel regret de ne pas l'avoir connu un peu plus tôt et d'en avoir fait les frais.

Alors, elle attrapa une plume et de sa plus belle écriture, mandat un pli à destination de l'Infâme, diligemment transmis par le chevaucheur d'armes, ainsi que les allégeances des nobles n'ayant pas pu être présent ce jour.


Citation:
A vous, Agnès de Saint Just, Comtessa do Béarn,

De nous, Eugénie de Varenne,


Par la présente, en ce jour de 21 Mars 1458, vous jurons obsequium, auxilium et consilium.


Avec nos excuses,




Citation:
Par la grâce d'Aristote,
nous, Fabien Stephan Romuald du Clos du Chesne, dict Faster, humble seigneur d’Abidos en Béarn,

à vous, Agnès de Saint Just, Comtesse de Béarn par la grâce des urnes,

salut.

Par la présente, nous reconnaissons comme suzerain vous, Agnès de Saint Just, Comtesse de Béarn par la grâce des urnes.

Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),

Que si un conflit venait vous opposer vous, Agnès de Saint Just, Comtesse de Béarn, notre suzerainne, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrerions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Pour que l'autorité de notre sermentation obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer par l'impression de notre sceau.

nous, Fabien Stephan Romuald du Clos du Chesne, humble seigneur d’Abidos en Béarn, a écrit et ratifié,

Fait à Vannes en Grand Duché de Bretagne, le vingt-et- unième jour du mois de Mars de l’an de grâce mille quatre cent cinquante huit.

Qu'il en soit ainsi et heureusement. Amen.



[/quote]

Feignant a écrit:


Par Odin, Père de tous les Dieux,
nous, Feignant, humble Seigneur de Navarrenx en Béarn,

à vous, Agnès de Saint Just, Comtesse de Béarn par la grâce des urnes,

salut.

Par la présente, nous reconnaissons comme suzerain vous, Agnès de Saint Just, Comtesse de Béarn par la grâce des urnes.

Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),

Que si un conflit venait vous opposer vous, Agnès de Saint Just, Comtesse de Béarn, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrerions l'indignation des Dieux et de ses farouches Valkyries.

Pour que l'autorité de notre serment obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer.

nous Feignant, humble Seigneur de Navarrenx en Béarn, a écrit et ratifié,

Daté du camp français en dehors de l'enceinte de la cité d'Arles en Provence Impériale, le 21 mars 1458.

Qu'il en soit ainsi et heureusement. Odin et Thor en sont témoins.



caro a écrit:
Citation:
[font=Georgia]Par la grâce d'Aristote,

nous, Caro Maledent de Feytiat, Vicomtesse de Gerderest, Dame de Saint Lezer en Béarn,

à vous, Agnès de Saint Just dite Gnia, Comtesse de Béarn par la grâce des urnes,

salut.

Par la présente, nous reconnaissons comme suzerain vous, Agnès de Saint Just dite Gnia, Comtesse de Béarn par la grâce des urnes.

Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),

Que si un conflit venait vous opposer vous, Agnès de Saint Just dite Gnia, Comte de Béarn, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrerions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Pour que l'autorité de notre sermentation obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer.

nous Caro Maledent de Feytiat, Vicomtesse de Gerderest, Dame de Saint Lezer en Béarn, a écrit et ratifié,

D’Arles en Provence, le 22 mars de l'An de Grasce 1458

Qu'il en soit ainsi et heureusement. Amen.

Caro Maledent de Feytiat
[/font]




Lara a écrit:
Citation:


Par la grâce d'Aristote,
nous, Lara Marqueyssac-Ravel, humble Dame de Les Anglès en Béarn,

à vous, Agnès de Saint Just, Comtessa de Béarn par la grâce des urnes,

salut.

Par la présente, nous reconnaissons comme suzerain vous, Agnès de Saint Just, Comtessa de Béarn par la grâce des urnes.

Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),

Que si un conflit venait vous opposer vous, Agnès de Saint Just, Comtessa de Béarn, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrerions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Pour que l'autorité de notre sermentation obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer par l'impression de notre sceau.

nous Lara Marqueyssac-Ravel, humble Dame de Les Anglès en Béarn, a écrit et ratifié,

Date en l'enceinte du donjon de Lyon, le 21 mars 1457

Qu'il en soit ainsi et heureusement. Amen.




_________________
Gnia
Même jour, le plus long de l'année. A croire que l'exact jour où justement les journées commençaient à rallonger, il fallait que tout soit aussi plus long.
Sauf qu'en attendant, l'estomac criait famine à heures fixes et que, Par tous les Saints, c'était blasphémer que de rater l'apéro quoi... Tsss...

Avant que l'on ne desserve la table où la Saint Just finissait son souper par un boute hors composé de pâte d'amende et de.. Jurançon, bien sûr, elle regardait d'un oeil circonspect les missives qu'on lui avait fait porter et après un lourd soupir, s'attela aux réponses.


Citation:


Nous, Agnès Adélaïde de Saint Just, XIIe Coms du Béarn, par la grasce des urnes et la volonté du Très Hauct,

Déclarons par la présente avoir pris connaissance de la lettre d'allégeance d'Eugénie de Varenne, Vicomtesse du Montanérès et Baronne de Monein.

Lui promettons en retour bonne justice, protection et subsistance en la conservant seigneur des terres du Montanérès et de Monein tout au long de notre règne.


Gratia Dei Sum Id Quod Sum.

Faict à Pau, le vingt et unième jour du mois de Mars de l’an de grasce mil quatre cent cinquante huit


Citation:


Nous, Agnès Adélaïde de Saint Just, XIIe Coms du Béarn, par la grasce des urnes et la volonté du Très Hauct,

Déclarons par la présente avoir pris connaissance de la lettre d'allégeance de Lara Marqueyssac-Ravel, Dame de Les Anglès.

Lui promettons en retour bonne justice, protection et subsistance en la conservant Dame des terres de Les Angles tout au long de notre règne.


Gratia Dei Sum Id Quod Sum.

Faict à Pau, le vingt et unième jour du mois de Mars de l’an de grasce mil quatre cent cinquante huit


Citation:


Nous, Agnès Adélaïde de Saint Just, XIIe Coms du Béarn, par la grasce des urnes et la volonté du Très Hauct,

Déclarons par la présente avoir pris connaissance de la lettre d'allégeance de Feignant, Seigneur de Navarrenx.

Lui promettons en retour bonne justice, protection et subsistance en la conservant seigneur des terres de Navarrenx tout au long de notre règne.


Gratia Dei Sum Id Quod Sum.

Faict à Pau, le vingt et unième jour du mois de Mars de l’an de grasce mil quatre cent cinquante huit


Citation:


Nous, Agnès Adélaïde de Saint Just, XIIe Coms du Béarn, par la grasce des urnes et la volonté du Très Hauct,

Déclarons par la présente avoir pris connaissance de la lettre d'allégeance de Caro Maledent de Feytiat, Vicomtesse de Gerderest et Dame de Saint Lezer.

Lui promettons en retour bonne justice, protection et subsistance en la conservant seigneur des terres de Gerderest et Saint-Lézer tout au long de notre règne.


Gratia Dei Sum Id Quod Sum.

Faict à Pau, le vingt et unième jour du mois de Mars de l’an de grasce mil quatre cent cinquante huit


_________________
Gnia
Dernier jour de mandat.
Demain à l'aube les résultats des votes des élections du nouveau Coms seraient connus et avec eux viendrait enfin le terme du mandat.
Il restait une dernière chose à faire et que l'on avait déjà trop repoussé. Remettre les colliers de l'Ordre du Mérite.
Le conseil s'était exprimé, il ne restait plus qu'à officialiser.

La salle du trône fut donc réouverte, les personnes qui devaient être récompensées prévenues et dans une atmosphère assez intimiste finalement, Agnès appela le premier.


Lieutenant Pyrrus, avancez devant moi, je vous prie.

Aujourd'hui vous êtes devant le Coms du Béarn pour recevoir collier de l'Ordre du Mérite Béarnais.
En accord avec sa charte, le conseiller Azdrine a proposé votre nom au conseil, le conseil s'est exprimé et a voté.
Le quorum de 9 votant a été atteint. Sur les 9 votes exprimés, nous avons eu 7 pour et 2 blanc.

Ainsi, pour votre engagement et dévouement au sein de l'Ost depuis octobre 1456, votre aptitudes à partager vos expériences et votre savoir auprès des nouvelles recrues, pour votre gestion réussie de la garnison de Tarbes, pour vos initiatives notamment de manoeuvre volontaire de l'Ost pour sécuriser les routes béarnaises, je vous remets aujourd'hui le collier d'Ecuyer.


Et de passer le collier au cou du lieutenant qui se tenait devant elle puis d'accrocher la médaille sur son habit avant de reprendre



Lieutenant Pyrrus, vous voici fait Ecuyer de l'ordre du mérite du Béarn.
Que le très hauct vous ait en sa Sainte garde.


Et d'offrir, malgré la lassitude, un franc sourire au lieutenant.
_________________
Pyrrus
Pyrrus, un genou à terre, reçut les ornements de la Comtesse. Un premier pas dans la consécration ^^. Fier de servir son Comté d'accueil, fier de n'avoir fait que son devoir, l'émotion le gagnait petit à petit. Puis se relevant, il déclara,

Votre Grandeur, c'est un honneur pour moi que de servir cette terre qui m'a accueillit. Et c'est un honneur beaucoup plus grand que de recevoir, de la part des représentants du Béarn, cette reconnaissance. Je jure de ne point faillir au Mérite qui m'est conféré aujourd'hui. Permettez aussi que je joins mes compagnons à mes pensés. Je suis fier de leur travail dans l'Ost.

Puis il lança à haute voix,

Vive le Béarn, vive l'Ost Béarnais !
_________________
Dotch
Comme le voulait la charte de l'Ordre du mérite, le Porte Parole devait assister le Coms dans la cérémonie de remise du collier.

Dotch à gauche de la Comtesse de Sainct Just, tenait le dernier collier sur un petit cousin rouge de velour.

Elle fit un pas en avant et parla d'une voix claire.


Lieutenant Philios, si vous voulez bien avancer jusqu'à notre Coms je vous prie.

Elle avait fait son travail, quelques minutes en soit, le nombre de personne décorée lors de cette cérémonie était restreint.

Elle fit un quart de tour, pour regarder Philios et la Comtesse. Le cousin bien à l'horizontal, elle le présenta à Agnès.

_________________
Philios
Philios avait reçu un message de la Comtesse l'invitant à se rendre en salle du trone. Quelle ne fut pas sa surprise en apprenant que c'était pour avoir l'honneur de recevoir une telle récompense...

Philios s'avança à l'appel de son nom, s'inclina devant la Comtesse, puis posant un genou à terre attendit qu'elle ne procède à la remise du collier.
Gnia
Lorsque Philios fut devant elle, la comtesse annonça d'une voix forte et claire

Lieutenant Philios, vous êtes à présent devant le Coms du Béarn pour recevoir collier de l'Ordre du Mérite Béarnais.
En accord avec sa charte, le conseiller Azdrine a proposé votre nom au conseil, le conseil s'est alors exprimé et a voté.
Le quorum de 9 votant a été atteint. Sur les 9 votes exprimés, nous avons eu 6 pour et 3 blanc.

Ainsi pour votre implication et votre dévouement à la Prévôté béarnaise que vous avez intégré en mai 1457, pour l'ensemble de votre travail de formation des recrues de la prévôté et de la maréchaussée, pour vos qualités de lieutenant de la prévôté lourdaise et enfin parce qu'à ce jour, cela fait plus de 250 jours d'affilé, sans interruption, que vous défendez le pouvoir dans la bonne ville de Lourdes, je vous remets aujourd'hui le collier d'Ecuyer.


Elle se saisit du collier que la Porte Parole tenait à sa portée pour le passer autour du cou du lieutenant puis l'aidant à se relever elle lui accrocha la médaille sur l'habit.




Lieutenant Philios, vous voici fait Ecuyer de l'ordre du mérite du Béarn.
Que le très hauct vous ait en sa Sainte garde.


Elle lui lança un regard amène, le laissant prendre la parole s'il le désirait.
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 6, 7, 8, ..., 12, 13, 14   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)