Kachina
Les ténèbres, la douleur
.. Mais surtout la peur, la peur qui lui broyait les entrailles, la faisait suffoquer et trembler.
Elle entendit des gémissements, des plaintes avant de réaliser que cétait elle qui poussait ces petits cris.
A tâtons, dans le noir, elle essaya de deviner où elle se trouvait.
Ses mains touchaient la pierre glacée et humide, ses vêtements étaient déchirés par endroit.
Elle grimaça de douleur et porta la main à sa tête. Sa main toucha une substance poisseuse et liquide, du sang.
Elle saignait. Elle essaya de se relever mais elle sentit le sol se dérober sous ses pieds et sagenouilla pour ne pas tomber.
Alors tout lui revint à lesprit tel un cauchemar dont on ne se réveille pas.
Elle se revit cheminant aux côtés de Théa, tenant les rennes de Cadichon qui tirait leur charrette.
Théa était allée pècher à Tarbes.
Et Kachina était allée à sa rencontre quand la jolie brunette avait décidé de rentrer à Lectoure. Elles étaient donc sur le chemin qui menait à leur ville .
Elles s'étaient laissées distancer par Taka et Wolf leurs compagnons de route, et petit à petit, s'étaient retrouvées seules.
Elles parlaient comme le font les amies, de leurs joies, de leurs déceptions aussi.
De lamour, de la vie.
Elles marchaient dun pas rapide, une torche à la main.
Elles sétaient laissées surprendre par la nuit qui tombait tôt à cette époque de lannée. Elles avaient hâte de se retrouver dans leurs chaumière devant un bon feu de cheminée.
Soudain au détour dun sentier, des cavaliers, trois hommes puissants qui sans un mot, leur barrèrent le passage.
- Holà Donzelles, vous allez où comme ça mes toutes belles ? Vous ne vous sentez pas un peu seules ?
Elle entendit des gémissements, des plaintes avant de réaliser que cétait elle qui poussait ces petits cris.
A tâtons, dans le noir, elle essaya de deviner où elle se trouvait.
Ses mains touchaient la pierre glacée et humide, ses vêtements étaient déchirés par endroit.
Elle grimaça de douleur et porta la main à sa tête. Sa main toucha une substance poisseuse et liquide, du sang.
Elle saignait. Elle essaya de se relever mais elle sentit le sol se dérober sous ses pieds et sagenouilla pour ne pas tomber.
Alors tout lui revint à lesprit tel un cauchemar dont on ne se réveille pas.
Elle se revit cheminant aux côtés de Théa, tenant les rennes de Cadichon qui tirait leur charrette.
Théa était allée pècher à Tarbes.
Et Kachina était allée à sa rencontre quand la jolie brunette avait décidé de rentrer à Lectoure. Elles étaient donc sur le chemin qui menait à leur ville .
Elles s'étaient laissées distancer par Taka et Wolf leurs compagnons de route, et petit à petit, s'étaient retrouvées seules.
Elles parlaient comme le font les amies, de leurs joies, de leurs déceptions aussi.
De lamour, de la vie.
Elles marchaient dun pas rapide, une torche à la main.
Elles sétaient laissées surprendre par la nuit qui tombait tôt à cette époque de lannée. Elles avaient hâte de se retrouver dans leurs chaumière devant un bon feu de cheminée.
Soudain au détour dun sentier, des cavaliers, trois hommes puissants qui sans un mot, leur barrèrent le passage.
- Holà Donzelles, vous allez où comme ça mes toutes belles ? Vous ne vous sentez pas un peu seules ?