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{RP}Il est où le cap'? Bah il prend son pied! ATTENDEZ!!

Sofio
Petit chemin menant au port, sous le regard de la lune bienveillante, sont parties comme des comparses avec seule idée en tête, ce bain de minuit qui symbolise la fin de la nuit de leurs folies passagères, un bain de fraîcheur moment d'égarement au milieu d'une guerre.


La dernière à l'eau dansera la première !

Nafout, l'eau doit être gelée puis toute façon sont la pour cela, alors autant profiter de ce moment qui ne durera pas, pouvoir perdre pied quelques instants dans l'immensité, l'eau, lui a toujours apporté des sensations fortes et troubles, mais elle n'a jamais pu se baigner a la mer,et se trouver ce jour la, face a la grande bleue lui file la nausée, c'est ici qu'elle aurait du balancer son cailloux, c'est ici qu'il devait finir, pas dans les poches d'une catin.

Je t'emmènerais voir la mer, lui avait t'il dit, il l'a emmené en enfer, sans jamais toucher l'eau, il venait de ces terres, il a crevé dans le nord,doucement elle ouvre son chemisier, bouton après bouton, afin de sentir sur sa peau, la fraîcheur de la nuit, le fait glisser sur ses épaules, pour le laisser tomber au sol, défait la cordelette de ses braies qui finisse sur ses pieds,entrer un bout de pieds, dans cette eaux gelé la fait frémir, comment isa a pu entrer d'un seul coup.

Elle trempe son pied le ressort assez vite, misère mais quelle idée, qui a eu cette idée la encore!elle grimace, se dégonfler cela fera le tour du camp en un rien de temps, ses poils s'hérissent sur ses avant bras, elle serre les dents qui commencent déjà a s'entrechoquer, se répète malgré elle courage courage.

Un pas en avant, pas un bien grand pas, mais l'eau monte déjà aux chevilles, les vagues viennent a grands rouleaux fouetter ses jambes rougies, elle y est a la mer et hésite tant encore,entrer pour la première fois dans cette eau glacée en compagnie de isa et ninon, c'etait pas le plan prévu, rage et colère, et d'un pas déterminée elle entre enfin dans ces eaux noire, le souffle saisit quand l'eau vient caresser sa poitrine, comme pour l'envelopper d'une main protectrice.

Légère fierté, pour ce combat gagné, une pointe d'ironie dans la voix elle se tourne vers Ninon,
alors tu te dégonfles ou tu sais pas nager?


Quelques brasses pour leur tourner le dos et ne pas montrer sa froideur montante, hé les filles c'est pas tous ca mais après faut danser a la lune, et on a pas pris de quoi sacrifier!

La mer est si douce, ce soir la, elle se sent bien dans ces eaux gelées, toutes ces illusions se sont égarées, se baigner comme pour nettoyer toutes ces pensées morbides, s'égarer quelques instants encore, les gestes réchauffent ses muscles, le vent apporte son souffle, comme si l'eau ne suffisait pas.

Je n'oublie pas tu vois...

La brise, ne suffirait pas pour laisser penser qu'elle puisse souffler mots en son creux de l'oreille,la brise ne sera pas l'excuse, il existe encore comme un vieux démons dont elle ne peut se défaire, elle ne veut pas de ce passé de traverse,sans prendre garde sent déjà le néant sous ses pas, l'obscurité est pénétrante, elle revient prés du bord, sentant enfin sous ses pieds, les galets , tous ces cailloux qui revêtent le sol.

Sortir de l'eau, après avoir fait sa fière, sortir nue, et trempée, elle grelotte a présent, manquerait plus qu'elle se choppe la crève, elle grogne entre ses dents.

Vous z'etes barges, on se pèle! et on a rien a boire pour réchauffer!ha bravo!

_________________
Gorborenne
[Arles, mi-février 1458]

Arles, ville en guerre, ville occupée...... En attendant la suite, on s'occupe. La victoire fut facile, rompre l'ennui qui guette est une autre affaire...... Déjà, on patrouille beaucoup dans les rues, on applique ledit "contrôle militaire". Ca oscille entre s'enquérir de l'état des blessés qui se défendirent avec honneur, et sévir ceux qui sont encore trop hargneux pour reconnaître leur défaite....... Distributions d'onguents ou de baffes, selon l'humeur et le client.......

Et bien sur, on picole, on gueule, on boit tout ce qu'on trouve qui fait pas rouiller...... et on retourne patrouiller.......
maltraiter quelques blessés......Et on revient picoler.......

Puis comme la lassitude guette toujours, on cherche de nouveaux jeux, on s'improvise sorcier pour leur en mettre plein les yeux...... Mais sorcier, ça s'improvise pas. Enfin, déplacer des objets par la pensée, faire apparaître des esprits, jeter des boules de feu, tout ça, ben, restons sérieux une minute hein, c'est pas donné à tout le monde....... Mais l'homme est de nature crédule et facile à abuser, laissez moi vous expliquer.....


[Brève leçon "d'Arcanes Secrètes qu'On Peut Pas Dire" par Gourou Gorbo]

La recette est fort simple. Tout d'abord, réunir les pré-requis à un tour bien réussi: une taverne copieusement occupée par une soldatesque désœuvrée et imbibée, et quelques comparses, facile à convaincre de jouer le jeux, puisque justement en route pour la taverne eux aussi.

Là, il faut la jouer subtil-goupil......

Offrez à vos comparses de savourer une quelconque boisson de préférence alcoolisée, et surtout, propre à gonfler rapidement la vessie......

Partagez le goulot avec eux un instant, puis laissez les terminer la bouteille pendant que vous même vous rendez à la taverne.

Une fois à l'intérieur, joignez vous subtilement à la conversation, et peu à peu, essayez de la détourner et de mener le jeu, jusqu'à pouvoir glisser le nom d'un de vos comparses à voix haute - voir même accompagné d'un frappé du poing sur la table, et pourquoi pas d'une apostrophe du genre "A BWAAAR WAY" - de manière à ce que votre voix puisse porter à l'extérieur sans éveiller les soupçons de l'assistance......

C'est ici que se joue le plus compliqué du calcul. En effet, à ce moment là, la bouteille que vous avez laissée à vos complices devrait être vidée de son essence, avec ceci pour conséquence la plus probable: sur deux complices, l'un attend, l'autre pisse...... À vous de juger correctement lequel des deux résiste le moins aux envies pressantes, et d'appeler l'autre, qui, de façon quasi automatique, entendra l'appel et vous rejoindra dans la taverne.......

Et de un......

Là, vous insinuez l'invocation, que vous avez le pouvoir de faire apparaître les gens. Tous seront certes intrigués, mais certains demeureront encore incrédule, et c'est ceux-là qu'il revient de convaincre. Pour preuve, proposez leur de réitérer l'expérience, et cette fois, développez la gestuelle, faites une pseudo-danse rituelle, psalmodiez le nom du deuxième comparse et attendez......

Celui-ci revenant en théorie de la vidange, ne voyant personne dehors, poussera tout naturellement la curiosité jusqu'à l'intérieur de l'auberge. Même pas besoin qu'ils vous entendent l'appeler.....

Là, comme tout le monde poussera "OH!?" et AH?!" que le deuxième comparse en tirera une tête de "mais quoi????" L'effet n'en sera que plus réussi.......

Et de deux.....

Crédulité et naïveté feront le reste, même les plus dubitatifs cèderont à l'autre tendance naturelle de l'être humain, à savoir le panurgisme.......

Bon, bien sur, c'est comme au ramponneau, on ne bluff pas sans un minimum de nerfs et de bagout, ni dans ce cas-ci, un sens aigu du timing et une certaine rigueur dans le choix des complices. C'est là qu'on reconnait le talent d'un grand jeteur de poudre.......

Un exemple.....

Le Géant, pour comparses, prit le tavernier qui se rendait à la taverne, ainsi que la chère et tendre de celui-ci. Observons toute la subtilité du choix.

Au moment où le Chauve entre dans la taverne, le tavernier n'y est pas puisque coincé dehors par une bouteille - oh le pauvre.... Il n'y a donc aucune contre indication à ce qu'en bon géant assoiffé, il hèle d'une voix qui porte pour être dignement abreuvé....... Mais cela va plus loin. En effet, de choisir le tavernier et sa compagne, il peut se fonder sur une quasi certitude que c'est la dame qui aura a vider sa vessie en premier. C'est mathématique..........

N'oubliez pas bien sur, d'être prodigue de vos écus, que les esprits ne pensent pas trop et se laissent abuser...... Car vous êtes là pour la gloire, pas pour l'argent..... enfin, pas encore......

Faites d'abord croire à un million de personnes que vous savez marcher sur l'eau ou la changer en vin, et l'or coulera à flots.......

Fin de leçon

Le Géant se marre, les autres ont avalé la couleuvre tout rond sans mâcher. Il se dit à lui même que si un jour la Cardinalice à besoin d'un Messie, il serait bien tenter de postuler..... Les tronches qu'ils tirent, c'est trop bon...... Bien sur, il ne s'attend pas à être vu aussi rapidement comme un prophète, et il est d'ailleurs bien surpris quand plus tard, lors d'un détour de ronde par l'auberge, il entend des incantations ventant de l'intérieur ressemblant furieusement à son nom........

Remercions ici dame Fortune, sachant, quand il faut, offrir ses largesses au bon moment, au bon endroit...... À l'instant même où il ouvre la porte pousser par la curiosité, une mur de mistral passe dans son dos, soulevant sable et portant poussière, faufilant comme un large nuage de fumée dans l'auberge masquant l'entrée du Géant. Surpris, il a avalé un peu de sable, et sa voix en paraît plus grave et plus rocailleuse au moment où il dit.....


- Bonswaaaaaar

Non seulement, la chance convertit instantanément les plus obtus, mais surtout! Il arrive à point nommé pour intercepter des projets de bain de minuit....... Large sourire dissimulée, clin d'œil à Way......

- Ah? Vous allez vous baigner? Ben, pour la plage, c'est facile, vous descendez jusqu'au port puis vous suivez la rivière jusqu'à l'embouchure......

On fait semblant de rien, énumérant déjà les cachettes potentielles aux environs, et l'air innocent, on les laisse à leurs occupations féminines pour se concentrer sur des choses d'hommes.....

- Way, Nous on va aller patrouiller hein?..

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Azoura
[Toujours....jamais....]

Une matinée qu'il n'oubliera jamais,encrée en mémoire pour toujours!!
Deux mots qu'il nosait et ne voulait plus utiliser...et pourtant....
C'était par pur hasard et pitrerie qu'il croisa le regard d'une bien jolie femme, s'y présentant avec sois disant retard pour intégrer les lances,riant de cela car il était déjà installé dans celle du Nam!!
En réponse,la belle rousse eut quelques mots amusants avant un ""GO GO GOOOO""^^
Depuis , ils ne restent JAMAIS bien longtemps sans se voir...se tournant autour...se cherchant...voulant TOUJOURS plus ....cette matinée là,le plus était total...union passionnelle de leur amour

[Taverne...Taverne...quand tu nous tiens^^]

Tardivement ,Azoura poussa la porte en piètre état de la taverne surement suite à un coup de pied violent pour y rejoindre sa douce...
Arrivant en pleines discution, il ne compris pas grand chose...juste un pacte ...un baim de minuit...une danse et la lune...tous ses mots mélangés dans sa tête
En secouant celle ci il compris enfin que sofi ninon et isa allaient immerger leurs corps dans l'eau glacée et après se dandiner le popotin en une danse sur la plage...
Pour qui ,pourquoi, ça il ne le savait toujours pas.
Les voila donc partie en direction de la plage,emboitant le pas de Deux dragon,Gor et way qui devaient vaquer à une autre occupation...
Azou ,seul en taverne fini par sortir,mais son esprit le laissa hésitant sur le chemin à prendre.
Soit la tente de Sofi et somnoler jusqu'à son retour ou...jetter un oeil du genre indiscret sur la plage exposant trois "lunes"dansant sous la lune...

Arfff ...la tente...ou...la tentation...
hummmmm....héhé...j'ai choisi^^.....

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_ninon
Debout face à ce miroir limpide, noir, angoissant, nue. Les deux autres sont déjà dans l’élément liquide, elle les regarde en souriant, elle sera la dernière, bah voui, mais quelle importance ?

Un long frisson lui parcours l’échine sous la caresse du vent léger… Elle se secoue comme un chat lève les bras vers la lune et s’écrie…


Que ce bain de minuit scelle une amitié à jamais ! Que cette danse à la lune fige les sentiments à jamais ! Je suis heureuse et je veux le rester !

alors tu te dégonfles ou tu sais pas nager?

Mouahahahah ! Garez-vous les filles j’arriveeeeeee !

Et de s’élancer, courir, entrer dans cette mer sans faillir, sans hésitation, soulever des gerbes d’eau glacée en éclaboussant ses comparses, et, quand l’élément lui arrive aux cuisses, la freine dans son élan, plonger dans un rire …

Yeeeeeeeehaaaah ! Plouf !

Souffle coupé ! Le corps prit dans un étau qui serre, serre… Ne pas ouvrir la bouche pour crier, noooonnnn, pas ouvrir la bouche ! Moment d’éternité ! Une certitude ! Je vais mourir ! Je meurs ! Une dernière pensée pour lui, son ours, un adieu, à lui, à eux, à leurs projets, fous, certes mais tellement enivrants... Adieu ! Pincement de cœur... Adieu ? Heu... Non pas question ! Je veux pas mourir ! Noooon ... Tête qui émerge enfin, le corps suit comme un diable hors de sa boîte…

Rhaaaaaaaaa ! Vivante ! Je suis vivante ! Youhouuuuuuu ! Les filles ! Je suis vivante ! Pinaise ! Z’êtes folles vous ! Et je l'aurai, mon navire ! Je l'aurai ! Mouahahahaha !

Et la brune de rejoindre la plage avec ses amies, grelottante, transie, mais vivifiée. Elle court vers ses vêtements abandonnés en un tas informe sur les galets, se ravise, change de direction attrape au passage la main d’Isa, se jette sur So en riant aux éclats… Et maintenant … Dansons !
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Waylander..
Il suivait le géant chauve avec un léger sourire aux lèvres. Ces femmes avaient vraiment des idées bizarres parfois. Il avait pas tout pigé, un peu paumé dans ses pensées. Gorbo l'avait fait apparaitre lui et Ninon un peu plus tôt dans la journée. Enfin d'après ce qu'il en avait compris. Et voila que ça se met a faire des pactes secrets et autre pentacle. Il se marra. Quelle drôle d'idée...

Il suivait le géant. Ils étaient censés patrouiller dans Arles. Il avait récupéré une bouteille de truc bizarre et qui rend aveugle et la montra a Gorbo:


-R'garde j'ai même ramener a boire pour ce soir...

Ils la picoleraient surement lorsqu'ils seraient arriver au fameux endroit où leur compagnes allait achever leur rituel étrange. Ils sortirent d'Arles et s'enfoncèrent dans les taillis des environs...
Isa.
* Tiens ... c'est vaguement froid c't'eau ...*

Eméchée, excitée aussi, Dieu sait pourquoi puisque c'est pas la pleine lune, l'Isa commençait à se rendre compte de sa bêtise. Sans doute la froideur de l'eau avait-elle le don de lui remettre les idées en place .... Hmm ... bon à savoir ça, mais pas le dire au géant surtout. En attendant, elle grelote et se replonge dans l'eau jusqu'au cou, alors que la So entre dans l'eau à son tour. Nager, bouger en tout cas, ne pas rester immobile ni hors de l'eau. Quelques brasses et Ninon arrive elle aussi ... givrée comme Isa quelques secondes auparavant. Nager encore, puis d'un seul coup, elle disparait sous la surface, longe le fond pour se rapprocher de la plage et éviter le vent qui ne peut que renforcer l'impression de froid. A présent il faut sortir... prenant son courage à deux mains, la jeune femme se relève et chaque parcelle de son corps qui sort de l'eau est transpercé de mille pointes de glace. Courir, courir vers la plage ... les vêtements ? Non ! Déjà Ninon lui attrape la main et l'entraîne vers So.

Et maintenant … Dansons !

Mains qui se tendent et referment le cercle , les comparses se regardent, attendant les instructions chorégraphique de la meneuse de projet. Soudain ...


Eh !! Stop les filles !! Faut un feu là, à défaut de pleine lune !

Aussitôt, l'Isa se précipite vers les fourrés avoisinants, grelotante dans le froid de la nuit et fouille dans les buissons, ramassant au sol de petites brindilles et quelques branches. Elle ramène le tout sur la plage ou So s'affaire déjà à faire prendre le feu...

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Sofio
Quelques brindilles, quelques galets, frotter les cailloux pour faire un grand feu, chose aisée surtout sans vêtements, enfin toutes ces manches bouffantes, et braie serrant, elle s'assit sur la plage jambe en tailleurs, commença par frotter son baton contre le cailloux, un mouvement régulier en cercle,jusqu'à ce que la petite étincelle se produise, minuscule fumée, qui se dégageait, très vite elle souffla dessus, quelques lumières rougeâtres signes de braises, et le feu prit.

Nues et fraîches, a la lune, encore des frissons, c'était pas le printemps et l'idée commençait déjà a lui paraitre folle, le feu prenait son éclat, les flammes qui grimpaient dans le ciel se dandinaient en se tortillant, aspirées par la clarté de la lune, comme pour enflammer les jeunes femmes de leurs sorcelleries du soir.

Une danse,a la lune, comme une supplique a la vie, un espoir en son sein, il est l'heure puis nafout connait personne en Provence, c'est un peu comme faire le pitre dans un endroit ou tu connais personne, c'est bien moins grave que de faire ca chez soi


Mains dans la mains, en cercle autour du feu qui a lui déjà entamé sa danse, elles se tiennent, la danse quelle danse?


Hé les filles, chez moi il se dit que la nuit de la lune , c'est la nuit enchantée, ou chaque animal communique avec le monde humain, ce soir au nom de tous les canards abattus, car des goinfres se les bectent nous allons en implorer en leurs noms, la nue ronde!!!

Pour les canards!!!!vous me suivez??



savez pas trop, ce qu'elle venait de dire, tout ce qu'elle savait, c'était que le chouchen c'était bon, que l'alcool de mirabelle ca chauffe, que l'anisette du Sud, mélangé a tous ca, ca lui filait des drôles de truc dans la tête.
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_ninon
Stop ! Du feu ? Ah ! En voilà une idée qu'elle est bonne ! On se caille les miches, hein les filles !

Danser à la lune, mais quelle idée aussi ! Course au petit bois derrière Isa et Sofio.. Toute nue ! Encore une chance qu'a personne ! On les prendrait pour des folles.
Dans sa précipitation c'est carrément tout un arbuste qu'elle arrache, racine et tout, le tout étant une grosse motte. Ça brûle la terre ? Bah ... Retour au petit trot près de la rousse qui s'escrime à provoquer l'étincelle.


Brrrr.... Clac clac clac... (bruit des dents qui s'entrechoquent) Dès que le feu jailli, elle balance son arbre (lisez bébé arbre, 'fin buisson quoi !) et se met à taper des pieds en cadence, les bras serrés autour de son corps. Dans son esprit, un éclair jaillit, comme le feu, ou a cause du feu, souvenir de brûlures délicieuses qui la réchauffe encore durant ses nuits solitaires. Bibine au goût de lave sulfureuse dans la besace ! Viiiite !
Braies qui volent, chemise qui se jette... Mais ou est cette fichue besace ?
AAAAhhhh ! Valaaaa ! Fiole ainsi extirpée aussitôt portée à la bouche. Suffocation, coulée qui crame tout sur son passage, sensation merveilleuse. Chaud ... wouaaaaahhhh, c'est chaud .... Tend la bouteille miraculeuse aux deux glaçons qui la regarde, les yeux exorbités d'envie.

Z'en voulez ?

Sofio marmone des mots sans suite, pige que dalle, enfin, si, canard... Qué canard ? Nan pas canard !

Les entrailles en feu, la peau gelée, mélange de brrrrr et de rhaaaaa, elle commence à sautiller d'un pied sur l'autre autour du feu, tapant de sa main sur sa bouche en rythme..

On danse à la lune, les filles à la lune

Edit : mise en page
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--Personne
Ombre dans la nuit, se glisser parmi les rochers, rester à l'écart, pour juste miroiter, ce que la vie peut offrir, et ne peut résister, attiré par la houle, même pas un soir d'été.

Belle lune, que voila, beau spectacle si charmant, temps de guerre pourtant, belles donzelles en feu et flamme, charmant spectacle pour un félin égaré.

En prendre pour en apporter, dansez donc la cavalcade enchantée, un regard tout en biais, ce soir les griffes sont rentrées, aguicher pour mieux cogner, tout un art mesdames.


Se glisser séant sur cette plage, telle l'ombre rampante, se soir il fera lune, peut être en avançant une main telle l'obole réclamée, toucher se rétracter, quand la chaleur entraîne, une ombre qui se houle et se déroule, point de tranchant, un reflet en la lune, fers et métal ouvriront bien, un passage, une saignée en un feu, dague a la main l'ombre peut bouger.

Une dague, pas un souffle, un instant un arrêt, une envie, d'en découdre, femmes du soir, moins dangereuses que celles du matin.

Envolée, comme une oie, une plume qui glisse, du ciel, noire elle se dépose, sur l'épaule de la non pucelle.


Azoura
Azou avait choisi la "tentation"...
rhooo ben ,y avait son tit coeur qui était là bas...il doit en prendre soin^^

Pas difficile de trouver la plage, encore moins les trois oiseaux de nuit....
On entend leurs cris à quinze lieu à la ronde ^^

Les bras bondés de gros morceaux de bois,couverture accrochée à son épaule
besace remplie...il s'enfonce vers le ridicule feu et les danseuses

PLus il avance ,plus il se dit :"" mais elles sont folles,sont nue et on se les gèles""
""suis sur que l'alcool y est pour quelque chose""

HHHHEEEEE HHHOOOOOOOOO...!!!!!

Azoura s'arrête à une bonne dizaine de pas de la réunion féminine et réitaire

Héééé hooooo les filles....c'est moi azouuuu....
heuuuuuu...

si vous voulez...j'ai de quoi alimenter votre feu...
j'ai aussi de quoi mettre sous la dents...genre olive...viande sechée....pain....


il attend encore et continue


j'ai aussi trois bonnes couvertures bien épaisses !!!!


hooo hooooo....ça vous dit???



La "brute" attend réponse bien sagement...profitant des brèves éclaircies lunaire pour regarder.....
le ridicule feu^^
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Gorborenne
Au bord de la camargue, le Dragon et le Breton montent la garde. Et ils font bien leur boulot! Ils ne quittent pas leur poste malgré le froid, ni des yeux leur objectif malgré la fatigue...... Leur poste? un taillis de broussailles arides poussant dans le sable, offrant un poste d'observation d'une discrétion de compétition...... L'objectif qu'ils gardent...... en fait, qu'ils regardent surtout? Ben, les trois donzelles qui se trémoussent à la lune en beuglant leur bonne humeur...... Y'a pas à dire, une jeune femme, c'est quand même parfois bien plus gracieux sans toutes ces couches de tissus...... Courbes qui tourbillonnent, rires qui éclatent, et dents qui claquent?

Il est a noté que son passé de chasseur forestier à développé chez le Chauve un instinct avec lequel il faut compter, et sur lequel lui-même compte bien souvent...... Mouvement de recul pour s'enfoncer plus profondément entre les taillis, main ferme qui entraine Way avec lui......


- Attention

Juste à temps et v'la-t-y pas la Pirate du Breton qui arrache le buisson masquant leur poste d'observation...... Contraints à la retraite, nos deux vaillants espions se retranchent promptement derrière la deuxième ligne de broussailles, se recouchent dans le sable, retenir un fou-rire et reprendre la regarde sans plus de danger pour cette fois......

Quelques gorgée de la gnôle de Way décapant aussi bien les entrailles que la rouille des boucliers et en bon loup, on ne quitte pas la lune des yeux......

- Héééé hooooo les filles....c'est moi azouuuu....
heuuuuuu...

Foutu beau gosse, le Géant retient un juron en reconnaissant la voix de son homo-taille un peu plus loin. Orion grogne un peu, sentant venir la fin du spectacle et l'approche d'une débâcle.....

- Pfffff, il va tout faire foirer l'idiot...... ce coup là, Ninon va pas lui laisser ses cigales!.......


Ah, mais tiens..... pourquoi pas...... ça aussi, ça pourrait être drôle. Finalement, Orion se retient d'intervenir, préférant garder sa présence secrète pour le moment...... Pourtant, étrangement, son instinct à nouveau semble lui souffler que quelque chose cloche...........

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Waylander..
Ils montaient la garde, telle une gargouille des cathédrales, derrière un taillis. Ils observaient le rituel consciencieusement et mis a part quelques problèmes mineurs de buissons, tout se passait bien. Jusqu'à l'arrivé d'Azoura, discret comme un éléphant. Way marmonna entre ses dents:

- Mékilékon c'est pas possible...

Il se marra discrètement, puis attendit la suite, voir ce qui allait lui arriver. Il se bu quelques gorgées du décapant a bouclar, le truc qui fait fondre un mur en pierre quand t'en met dessus. Il sentait que la suite allait être passionante.

[ Mode Modo On] Gare, 5 lignes Mini aux Arpenteurs, on étoffe un peu la prochaine fois! S [ Mode Modo off]
Isa.
Enfin un peu de chaleur ! Isa trépigne près du tas de bois, attendant en sautillant que le feu prenne un peu d'ampleur. Un coup d'oeil rapide vers ses vêtements qu'elle a posé non loin sur un gros rocher arrondi... mais le rituel veut apparemment que la danse se fasse ... en tenue d'Eve. Vivement, elle attrape la bouteille tendue par Ninon.

Et comment qu'on en veut ! Et j'espère que ça brûle aussi bien que la mandragore sinon ...

Sans prendre la peine de finir la phrase, Isa ingurgite quelques lampées de la mixture inconnue ... mais qui déjà allume un feu au moins aussi brûlant que celui que So a réussit à faire prendre. La flasque à la main, elle regarde intriguée le pas de danse qu'improvise Ninon. Sau-ti-ller, tournésursoi , s'in-cli-ner, on se r'lève et on repart ... au-ti-ller, tournésursoi , s'in-cli-ner, on se r'lève et on repart ... héhé mais c'est qu'en tournant autour du feu, ça devient même amusant !

Petit à petit, la cadence s'accélère, les pas s'exécutent instinctivement, une sorte de transe s'emparent des trois jeunes femmes. Isa passe la flasque à Sofio et se prend à pousser quelques cris aigus à chaque tour sur elle même . Une plume noire vient se poser sur son épaule. Amusée, elle l'attrape et la plante dans ses cheveux avant de reprendre la danse. Une impression bizarre s'empare d'elle : impression de flotter dans les airs, juste au dessus de la scène, et de la contempler d'un air détaché . Et souffle sur la plume qui virevolte à nouveau, valse au-dessus des flammes ... et se pose sur la tête de Ninon...

Au détour d'un tournant, un cri lui fait reprendre ses esprits un instant. C'est qui ce géant tout noir ? Arf ! L'Azou !! Mais Isa est bien trop cuite pour comprendre ses paroles et reprend son pas de danse rythmé.

La soirée n'est pas finie....


_________________
Sofio
La ronde , rondonnante, incessante, une bouteille qui tourne, encore une, elle se dit toujours c'est la dernière, mais n'a pas la bonne conscience , puis nafout, il se peut que il n'y ait pas de lendemains, alors autant danser a la lune et surtout vider sa tête une bonne fois pour toute, afin de faire disparaître pour toujours sa voix de l'intérieure.

Se dandiner, autour de ce feu, en secouant les bras et claquer des dents, l'espace d'un instant elle se rend compte du ridicule qui va surement pas la tuer, par contre ceux qui l'attendent au tournant eux le feront sans trop se marrer, casser la dérive, juste laisser la place a l'ivresse.



Héééé hooooo les filles....c'est moi azouuuu....
heuuuuuu...


Les mots lui parviennent bien, elle les entend , les comprend, azou.....je tu .nous, mais elle est la pour refaire le monde ce soir, et s'abandonner pour lui après quand elle sera vidée de tout, quand sur cette plage elle aura laissée son passée et son cailloux.

Une plume qui vole dans le ciel, signe du destin, la lune envois surement un signe, pour aider les jeunes femmes dans leurs quête de l'absolu, elle souffle dans les cheveux d'Isa, la plume légère reprend son envol, pour aller chatouiller le visage de Ninon en lui retombant dessus .


j'ai aussi trois bonnes couvertures bien épaisses !!!!


hooo hooooo....ça vous dit???


Elle regarde le feu, qui se hisse devant elle, en se tortillant, son crépitement semble lui parler, en tendant l'oreille elle perçoit quelques bribes de mots, et ce n'est pas azou qu'elle entend a travers la rougeur des flammes, certaine que cette voix lui est pas inconnue.


Per semper fidelis


Une envie de rire en dansant, la prend elle sait maintenant, une flamme s'approche d'elle et sort de son brasier, pour venir caresser son épaule, un visage en prend forme, puis un autre a ses cotés, la chaleur envahit enfin son corps, mais son esprit est déjà bien loin, il voyage de par les volcans, en survolant les plaines d'Auvergne, libre et planant, voila un moment qu'il a quitté le bord de la méditerranée, et voyage en terre profonde, elle entend a son passage sur les toits de chaumières quelques, personnes parler, du Terrible au Riderfort, tous encore la présents, ulrich semble si souriant.........

Elle tend la bouteille a Ninon, toujours plongé dans les flammes de la vie et s'écrie dans une voix qu'elle ne reconnait pas elle même.

A nos chers disparus
_________________
--Dahut
Le Dahut attendit désespérément que ces putain de nuages veuillent bien se tirer de là pour laisser place à la lune, une lune qu'il espérait ronde comme le crâne d'un moine et luisante comme euh...un..ben un crâne de moine, tiens, brillant de fièvre religieuse autant que d'ardeur pas du tout catholique.
Mais non, nada, nuages-bougent de là ne marche pas, au contraire, s'obstinent, en rajoutent même une couche, un voile pudique, à ce rythme bientôt la nuit sera noire, ce qui n'a rien de paradoxal mais a de quoi foutre les boules à un voyeur.
Pauvre Dahut.
Le Dahut, le comble pour un voyeur, souffrait d’une mauvaise vue. Alors, une nuit sans pleine lune, même pas la peine, voyait que dalle, autant rester peinard dans sa grotte à repeindre les murs. L’avait qu’à sortir le jour, hein ? Ben non, puisque le Dahut, qui n’était pas avare en tares de toutes sortes, avait une peur bleue-nuit des hommes. L’ennui, c’est qu’il aimait les femmes, enfin, les aimait, à sa manière, bref, suivez mon regard de cochon, et les femmes, qui étaient d’ailleurs des hommes comme les autres, ben elles étaient justement avec les hommes ! Donc le Dahut sortait la nuit, au moment où les hommes se tournent sur le côté après avoir fait leurs affaires, et guettait une forme féminine à travers une lucarne, une porte ouverte, espérait une à sa toilette, l’autre à son bain. Il aurait aimé inventé un truc qui lui permit de saisir l’instant, une lourde mamelle, une fesse grimaçante, une toison fournie, il en aurait fait une belle collection à afficher dans sa caverne !
Là, il en avait gros sur la patate. Ca faisait des plombes qu’on n’avait pas vu la lune dans ce fichu royaume, alors il se décida, tant pis mes mirettes, je n’y vois goutte mais c’est mieux que rien, il sortit de son repère et descendit à flanc de colline, comme tous les Dahuts.
Ici, il faut préciser une particularité physique du Dahut : patte plus courte d’un côté, ce qui lui permet de se déplacer à flanc de colline de manière gracieuse et équilibrée. Chouette, non ? Par contre, un tel avantage tiré de la nature ne peut aller sans inconvénient, car le Dahut se déplaçant de la sorte ne peut raisonnablement faire demi-tour, donc impossible de revenir chez lui ! Ce qui remet fortement en cause ses projets cavernicoles.
Ou en étais-je ?
Ah oui, donc le Dahut descendait, mais.. euh.. pas de la colline puisqu’il n’y en avait pas, alors, il choisit de descendre une dune, direction la plage et un feu de camp encore lointain avec des ombres qui dansaient dans la lumière, normal, le pauvre il ne voyait que ça, cette lumière dans une purée de pois, et il se retrouva sur le plat de sable. Un supplice pour ses pattes mal proportionnées. Il avança donc comme il put, clopin-clopant, il avait l’impression que l’objectif s’éloignait au fur et à mesure qu’il avançait sur son chemin de croix, jusqu’au moment où il se rendit compte qu’il l’avait dépassé, laissé dans son dos. Et ce fut toute une affaire de revenir sur ses pas, comme vous pouvez l’imaginer.
Du coup, comme il avait eu quand même le temps de jeter un coup de son mauvais œil en passant, il décida d’opter pour une lâche discrétion et s’approcha en sautant-boitant de buisson en buisson. Car, faut bien le dire, ce qu’il avait –mal- vu était un spectacle miraculeux pour un Dahut, trois donzelles nues comme des vers à soie dansant un truc sauvage, animal, des seins qui gigotent, des fesses frénétiques, des bouches offertes aux goulots ! De mémoire de Dahut, on avait jamais vu ça !
Alors donc, il s’approcha, de plus en plus prês, espérant ne pas être vu ou entendu, mais trop gourmand, pris d’une excitation malsaine, voir ses sexes et ses fesses presque ouvertes, ces demi-lunes chahutées par les flammes, à tout prix.
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