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{RP}Il est où le cap'? Bah il prend son pied! ATTENDEZ!!

_ninon
Transe ... Délires éthyliques ou diaboliques, nul ne pourrait le dire à les voir se trémousser de la sorte, elles-même le savent-elles ?

Elle ne sait plus trop bien où elle en est, la charbonneuse, elle n'a même plus froid. Elle tourne autour du minable feu de buissons en hurlant des incantations dont elle ne connaît même pas l'origine, des mots sans suite, mêlant sa voix à celles de ses compagnes dans le même état qu'elle, portant régulièrement le goulot à la bouche à chaque fois que sa main rencontre la fiole, avant de la repasser. Combien de fois déjà ? Quelle importance ? Elle danse...

Caresse sur la joue, apportée par le vent... Une plume ... Qui sitôt posée s'envole à nouveau pour rejoindre l'épaule de la dernière des danseuses ... Caresse éphémère... Si douce, si légère...


Brûlures... Brûlure des entrailles alors que le magma lui parcourt le corps... Brûlure des pensées qui l'assaillent, incendiant tout sur leurs passages... Brûlure d'yeux avides posés sur elle...

Pensées qui se faufilent à travers la brume de la semi inconscience... Pensées à la fois proches et étrangères, mais pas les siennes... Pensées lubriques et obscènes... Pensées amies aussi, étrangement entremêlées. Regards qui la transpercent... Malveillants... Concupiscents.
Et la conscience livre bataille à l'autre, celle qui ne veut pas céder sa place, pour remonter, se faire entendre, elle craint, elle a perçu quelque chose.... Danger ! Danger ! La bataille est rude... Réveille toi Ninon...

Le rythme de la danse ralenti alors que la réalité redevient palpable, lui livrant peu à peu les bruits environnants... Chuchotis de la mer et des vagues venant mourir sur le sable en clapotis légers... Brindilles crépitantes... Murmures du vent...


Héééé hooooo les filles....c'est moi azouuuu....
heuuuuuu...


Azou ? Retour sur terre. Brutal. Elle s'arrête net et se tourne dans la
direction de la voix. Mais c'est le moment que Sofio choisit pour s'écrier


A nos chers disparus, détournant ainsi son attention. Disparus ? Nafout des disparus ! A plus urgent là ! L'or de ses prunelles fouille dans l'encre de la nuit, pas une ombre, rien... Et pourtant...

Son instinct lui crie que quelque chose ne va pas, il hurle même. D'un geste brusque elle bloque ses deux compagnes en plein délires, les secoue un peu, sans ménagements.


N'avez vous donc donc rien senti, rien entendu ? Écoutez !

j'ai aussi trois bonnes couvertures bien épaisses !!!!
hooo hooooo....ça vous dit???




Edit suite au zappage de la plume ^^
_________________
Zahra.2
{Mode décalée ON}

Allongée sur sa couche sous sa tente, enroulée de milliers de draps pour se rechauffer la Zahra dort profondement, coma ethylique? ou bien juste fatigue des chevauchées puis des bastons qui se succèdent, personne ne sait? Ou chagrin d'amour ou simple manque la Santa Valentin l'était passé, la fête des z'amours, chacun se rechauffait à sa façon dans le camp de la Pe capituna ou alias Memento mori.

Les membres passaient le temps comme ils le pouvaient, entre les bains de nuit, les orgies autour du feu, la Zahra s'était retirée , retrouvant un côté solitaire qu'elle avait perdue depuis longtemps, plongée dans ses rêves , odeur de la liqueur de mirabelle qui parfume la tente de la dame de Beaulieu, les flasques vidées jetés à même le sol, et une qu'elle entoure de ses bras comme si c'était son amant , son amour tout près du coeur, pas trop loin de la bouche? même en dormant elle picolait? heu peut être...

Mais soudain, un bonhomme la tire de son lit sauvagement; puis hurle =


DAHUT!


Zahra sursaute , elle se retrouve à moitié à poil, fesse à même le sol, puis le bonhomme la pointe du regard en hurlant DAHUT plusieurs fois... elle arrache un drap de sa couche , pis regarde inquiète le type, le reconnaissant pas, pis tentant de comprendre le mot là..."dahut"...


GNE?????

Elle cherche du regard son épée, puis son écu, rien, elle était desarmée face à un bonhomme qui hurlait au "dahut"...


Elle se caresse les cheveux, tentant de se souvenir où elle se trouve, pourquoi qu'elle est seule dans sa tente, avec sa flasque dans la main, pis que ce type là, planter comme un pique devant elle l'agresse ...


Dis donc, le gland! "Dahut" c'est le nouveau code?
Ce n'est plus BASTON, ou restez GROUPIR!
Maintenant c'est "dahut", bon écoute, je suis pas très presentable, vois tu, pis j'apprecie pas qu'on me tire de mon heu .."lit" comme ça; en pleine nuit, juste pour me dire "dahut"


Le type la regarde et lui lance sur un ton genre "capitaine":C'est VOUS! le dahut, Dame Zahra, on vous a reconnu!

Elle se met debout, lançant un regard noir à son "invité surprise", pis se depeche d'enfiler ses frusques, elle fixe sa couronne seigneuriale sur sa tête, pis son chapeau; se dirige vers la "fente" (porte?) de sa tente, pis essait de comprendre , elle était accusée d'être un dahut?...


Bon écoute, j'ignore de quoi tu me causes, mais non, je suis Zahra, suis pas heu; Dahut? ....pis hum... j'ai déja entendu parlé de "ça", un animal imaginaire, même qu'il ressemble à un renne? même que j'ai jamais vu de renne, ça ressemble à un cerf? à une biche? ...hum
* reflechit*

Dis -donc, vous me prenez pour le Gros beau Renne?....si c'est le cas là; je vous suggère de vous reprendre de suite et de presentez vos plus plate excuses!

Est ce que je suis géante? je fais à peine 1,60m; pis j'ai des cheveux moi, même qu'ils sont coupé à la Jan Dark par ce que je le vaux bien! J'suis pas chauve ! donc je ne suis pas Gros beau renne, lui qui est géant, lui qu'on dit qu'il est Orion! pis qu'il est même un peu skyso! ....je le suis un peu aussi, mais je me prend pas pour un renne, sûrement pour une reyne de la mirabelle, mais pas pour un renne....et encore moins pour un dahut!



L'homme lui avait expliqué, que quelque chose rodait dans les parages au camps, pis qu'il s'autoproclammait "dahut", vu qu'elle s'était autoproclammée guerrière impériale, dans la mélée elle aurait très bien pu se prendre pour le géant et pourquoi pas por une bête poilu le dahut?...


Dis donc faut arréter le space cake ! pis la fumette
, * qu'elle hurle *

On avait pas vu la Zahra depuis quelques temps dans le camp, c'est donc en mode furie qu'elle sort de sa tente, entrainant avec elle celui qu'il l'accusait ouvertement d'être "une animale"!


GORBOOOOOOOOOOOOO!! Gros beau renne, vous avez fini de vous pavaner dans le campement, on me confond avec vous!


Elle lance un regard innocent au gland qui était à ses côtés.

Tu vas voir... je te dis, c'est un malentendu, Gorborenne c'est lui le dahut, moi suis Zahra, je me met jamais à quatre pattes...hum, d'ailleurs entre nous celà m'étonne que le géant se met à quatre pattes, il doit être ivre.... hein?


Longue minute de silence, regard qui scrute l'horizon, à la recherche de Gorbo, pis, elle hausse les épaules....



Pis si c'est une femme qui était à quatre pattes, qui se prenait pour le dahut, faut pas chercher loin, ça ne peut être que Soso.... parfois elle a des réactions bizarres t'sais...


Elle lève la tête au ciel, pis fouille dans son corsage, en sort une flasque de mirabelle, elle l'ouvre en boit quelques gorgées et la lance derrière elle, pis recommence ses recherches....

J'suis pas dahut! ..........

_________________
--Stark_barberousse
L'homme en bleu à la barbe rousse avait peur, tellement peur qu'il en attrapait du vocabulaire. Il agitait haut ses bras et cherchait à comprendre ce qu'il se passait, la voix prise d'une sainte frayeur, hurlant à travers le campement.

[rembobinage rapide ON]


L'homme en bleu déplace sa petite stature à travers le campement. Si on ne l'a guère entendu ces derniers jours c'est que le malheureux à été pris par une extinction de voix connue sous le nom du "baillon C-totomat-X" dont souffrait autrefois un barde légendaire. Mais nous nous égarons! Revenons à notre homme en bleu qui entretemps à rejoint un fouillis de taillis, propice à le cacher le temps d'un pipi.

Tout affairé à se rendre plus léger, il laisse son regard un moment vaquer sur l'horizon noyé des ombres de la nuit quand un rayon de lune éclaire subitement une silhouette fantomatique semblant toute droite sortie des cauchemars des saints jours de jadis........


DAHUT!!!! HELP OSCOOOUR!

Course en panique, les membres qui s'agitent à tout va - y compris celui qu'il a oublié de ranger dans la foulée - et nous revoilà au campement.

Trouver de l'aide, il n'a que ça en tête, se rassurer, quelqu'un pour le convaincre qu'il ne s'agit que d'une odieuse supercherie,


DAAAAAHUUUUUUT! DAAAAHUUUUUUT!


Enfin une âme secourable semble écouter ses cris de détresse, mais l'homme en bleu ne saisit pas tout, la Dame semble encore noyée dans les vapeurs de mirabelle flottant sous sa tente, mais déjà un semblant d'ancre de ce tourment qui le prend.

Mais déjà d'autres doutes l'agitent, questionnement sans fin, fastidieuse métaphysique! Qui est-il? D'où vient'il? Où va-t-il? Peut-il se fier au réel? Ce qu'il perçoit a-t-il la moindre essence tangible ou n'est-ce qu'une hallucination prolifique de son esprit torturé?


- C'est pas vous? c'est qui alors?

Seulement, les inconnues et les variables n'attendent pas pour déferler dans l'équation, laissant si peu de constantes auxquelles se fier, nouveaux questionnements à intégrer et dériver entre hyperbole et parabole......

- C'est quoi Gorbo?

Comme pour se rassurer, et parce qu'il faut bien, l'homme en bleu à la barbe rousse se retourne vers mirabelle et beugle pour se détendre, le bras dressé, les deux autres pendant.....

CHAAAAAAAAAAAAAARGEEEEEEEEEEEEEEEEEEZ!!!!!!
Zahra.2
{ Elle n'avait pas remarqué qu'ils étaient trois non pas DEUX! }


Zahra était donc seule avec le grand barbu, à chercher le dit "dahut" ou juste Gorborenne, elle devisage le barbu hysterique....

- C'est quoi Gorbo?

Pis regard qui devisage l'inconnu, qui avait osé rentrer sans permission dans sa tente, qui l'avait sorti de sa couche, pis qui avait peut-être pris le temps de la reluquer, pis le comble était là.... dans la foulée , elle n'avait pas remarqué que le glandu était sans braies, pis que son soldat était en mode garde à vous près à attaquer... Comme pour oublier le spectacle qu'elle avait devant elle, elle tente de donner des explications vaseuses...

C'est quoi Gorbo, bien heu, c'est heu ...un dragon qu'on appel Orion, 'fin heu *bafouille* il est heu...han MAZETTE qu'il est grand ton soldat! *qu'elle lache en fixant du regard le membre denudé* heu j'veux dire, qu'il est GRAND le Gorborenne, on l'appel le géant ... attention c'est un dragon, mais c'est pas trop comme le dahut, lui il existe , sauf qu'il ne crache pas du feu... il crache autre chose ....! heu qu'est ce que je ...* bien oui se retrouvait un peu énivrée mal reveillée face à un inconnu quasiment à poil , ça ne pouvait que marquer l'esprit de la jeune femme*
Vois-tu , je suis persuadée que c'est lui le dahut...

Tandis qu'elle poursuit ses explications vaseuses, plus ou moins tordues et peu clair, voila que l'invité surprise barbu se met à hurler ...


CHARGEZZZZZZZZZZZZZZZZZZZ

gné?....


Zahra ne se sent pas très à l'aise, pis désarmée avec l'homme vétu de bleu, au troisième bras bien levé.


Elle prend son chapeau et lui jete en pleine face...

heu nan nan pitié, je sais que j'ai l'air malheureuse là, peut-être mal en point, mais je veux pas ....de cette attaque ! CACHE MOI çaaaaaaa! met donc mon chapeau sur la tête de ton soldat! pis charge pas vers moi, suis déja pas toute fraîche là..... manque plus que "ça".... crache ailleurs s'il te plait! attend.......

GORBOOOOOOOOOOOOOOOO! alias dahut; ou GROS BEAU RENNE!!! Y A LE FEU!!

BASTONNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN!!!!!


Cri de desespoir dans le campement?
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Sofio
L'ombre et la lumière, pour ces visages qu'elle ne reverra plus, pour tous ce mal répandu, pour ses souffrances en veilles, et ses nuits de cauchemars, expulser, par le feu ceux qui ont périt et la hantent, ne plus voir a s'en bruler les yeux, c'est se soir le terme de la vie.

Tremblements vifs, la font sortir de sa torpeur, rouvrir ses yeux mi clos, s'éloigner du feu d'un geste d'instinct, peur de se brûler les ailes , d'être si prêt, il se passe quelque chose.....

N'avez vous donc donc rien senti, rien entendu ? Écoutez !



Regard incrédule autour d'elle, la plage, la mer les buissons le calme avant la tempête?une plume noire qui vole dans les flammes, et qui finit calcinée réduite en fumée, la bise du soir qui vient l'envelopper lui redonnant le froid en son cœur, et humer la mer quand les vagues viennent se frotter en la berge, déposant le sel si utile a la viande séchée, tout ca elle l'a sentit, elle se tourne vers Ninon, avec un regard d'incompréhension.


Puis son corps se met a trembler, le froid , la relâche, l'alcool, du bas de ses pieds au sommet de ses cheveux, chaque parcelle de peau s'herisse , un sentiment de mal être la prend, le feu doucement se meurt, il faiblit , elle défaille droite sur ses jambes son esprit retombe, le feu mourra, elle se videra.


J'ai senti la peur

Son regard se porte sur la plage, elle appercoit une silhouette qui se dégage des ombres, un reflet connu, une carrure qu'elle pourrait dessiner a main levée, elle esquisse un sourire, mais déjà sa vue s'est brouillé, elle tourne sa tête vers la gauche, la noirceur de la lune et l'éclat de la chose qui arrive, la font trembler encore plus, incapable de proférer un son, immobile et sans réactions, elle fixe du regard une forme qui semble se diriger vers elles, ayant gardé la main de isa dans la sienne , elle se sent serrer la main au plus fort possible, incapable de détacher son regard de la chose, elle ne se souviens plus ou elle a déposé sa dague, ne se souvient plus du pourquoi de sa présence ici, sur cette plage et nue.
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Isa.
Et soudain tout s'arrête. Encore embarquée dans son délire, Isa heurte violemment Ninon qui s'arrête tout net devant elle avant de la secouer pour la faire atterrir violemment.

Houlà !!! Y se passe quoi là ?

Isa tend l'oreille ..., fronce les sourcils et frissonne. Y'a bien l'Azou qui fait le zazou mais .... il y a autre chose en effet. Pas les vagues ni le vent, ni les derniers crépitements du feu qui lentement s'éteint. C'est comme ... une menace qui plane ... une présence maléfique oui ... Elle a déjà ressentit cela avant. A plusieurs reprises même. Mais jamais elle n'a eut peur. Là ... c'est sans doute les mots de So qui la rendent tout à coup moins sûre d'elle. A moins que ça ne soit le fait de réaliser qu'elle est nue, sur une plage au milieu de la nuit, à la merci de n'importe quel visiteur mal intentionné ...
Elle voudrait courir vers le rocher, là où sont posés ses vêtements. Et Azou se rapproche ... Ses pensées s'entrechoquent .. fuir ou rester ? Appeler au secours ou ... se terrer. Et appeler qui ? Le géant de son coeur fait sa ronde, comme un bon soldat ... et Azou fait la sienne tiens, comme un bon "géant-bo-goss" ... MINCE !!!! On fait quoi là maintenant ??

Sans réfléchir d'avantage, les yeux rivés sur le noir environnant, la peur au ventre, Isa s'élance vers le rocher ... ou du moins vers où elle pense le trouver. S'habiller et filer de là ... retrouver les bras de Gorbo et oublier cette soirée qui avait pourtant bien commencé.


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Azoura
Sa voix n'était pas assez forte, ou dumoins dispersée par le vent qui soufflait par intermitence...elles ne l'avaient peut être pas entendu ou vu...

Etrange, quelques pas de danse encore et puis tout s'arrête, jusqu'au feu qui commence à faiblir...

Azou jette les bois sur son coté droit ,se délestant pour accélérer sa marche,son sixième sens lui dit que quelque chose ne va pas..un mauvais ressenti...une ombre dans l'ombre...

neuf mètres...huit mètres...
il tient dans sa main gauche les couvertures posées sur son épaule du même coté....

sept mètres...six mètres...
Ses yeux ne quittent pas un instant les trois femmes et le feu, une vision d'ensemble par sureté de n'en perdre aucune...
Il senti sous sa botte un ptit obstacle s'écraser,plutôt s'applatir sous son poid,surement un coquillage ou peut-être même un crabe qui vient de finir sa vie broyé dans le noir absolu...

Cinq mètres...Quatre mètres....
les flammes se font minuscules jusqu'à ne plus se montrer, le feu s'éteind,juste une odeur de bruler viens lècher le nez de "la brute"...

A ce moment , le "bo gosse" devient aussi une ombre, une masse dans la pénombre,il doit maintenant s'annoncer , intervenir de la parole...d'un ton sec et autoritaire,il lance...

Allez près du feu!!!...restez proche du feu j'ai dit!!!...

Trois mètres..deux mètres...
La il est proche, elles hésitent encore , restent un temps sur place,surprises, appeurées,débousolées dans le sombre...
Prenant sa dâgue en main,il avance vers sofi criant vers les deux autres...

c'est azoura...azouuu...restez près du feu, je viens vous donner une couverture,ninon isa vous avez entendu...j'arrive...

Sofiiii...??chérie...??

Il se trouve devant elle,cherchant sa main pour lui glisse sa dâgue...

Tiens chérie ma dâgue et voila une couverture,met ça sur ton dos en attendant que je trouve tes vêtements...

Ninon...voila une couverture..va près de sofi ste'plait


Isa était plus loin,pas trop non plus,elle se rapprochait des rochers ,surement y avait elle mis en tas ses vêtements...difficile de voir ou de bien distinguer...il lui intone

Isa!!!...c'est azou...allez bon sang...ramène toiii ici...j'ai une couverture pour te draper..je vais aller chercher tes vêtements...toi tu rejoints les deux autres....tu m'entend....
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--Dahut
Dahut n’en perdait toujours pas une miette. Il ne cherchait même plus à se cacher, il se sentait en sécurité, enveloppé dans les draps sombres de la nuit, dormeur éveillé et invisible, et il avançait vers le feu, vers ces femmes langoureuses, hystériques et impudiques, vers ses lèvres entrouvertes et humides, vers ces chairs exhibées à sa lubricité, pas par demie-pas, geignant entre deux, haletant, le souffle rauque, des bouffées de chaleur qui montaient par vague et incendiaient son visage.
Dahut était homme. Enfin, un homme…. De ceux qui voyaient les femmes en kit, une bouche, des nichons, un cul, un vagin, rien de plus, le strict nécessaire pour alimenter sa perversité. Il avait de ces regards qui salissent, de ces rictus qui vous inspirent le dégoût de vous-même, qui vous poussent à aller immédiatement au bain et à vous frotter le corps au gant de crin.
Oui, Dahut était homme, il avait donc peur de lui-même. Il s’était forgé au fil du temps cette carapace, enfin plutôt ce manteau de poils, pour s’oublier, se cacher ce qu’il était vraiment. Et à vrai dire, si quelqu’un avait eu la malchance de le rencontrer, il aurait été bien incapable de déterminer à quelle espèce il appartenait ! Dahut avait réussi sa mutation. Son aspect général collait maintenant parfaitement à son caractère dépravé. Quant à le décrire exactement, impossible, nul n’avait jamais réussi à soutenir son image assez longtemps pour réaliser une telle prouesse !
Il n’était plus qu’à quelques mètres du ballet sensationnel qui se déroulait sur la plage. Assez près pour qu’on l’entende boiter bas, pour qu’on perçoive son râle sourd, sa gueule qui salive, pour qu’on recueille les effluves de son odeur fétide. Peu, à peu un vent d’incertitude, presque de panique, sembla gagner les trois femmes. Elles arrêtèrent de danser, l’une tremblante, l’autre cherchant une main rassurante, et Dahut faillit tomber à la renverse quand il vit la troisième foncer sur lui, au milieu de ses voix qui partaient d’on ne sait où, peut-être des danseuses, peut-être d’ailleurs, peu l’importait, il n’essaya même pas d’entendre, il était à nouveau callé sur sa demie-jambe, prêt à attraper son cadeau en plein vol, merci la nuit, pouvoir enfin toucher ces merveilles tant convoitées, depuis tout ce temps à s'abîmer les yeux pour alimenter sa frustration, et il lança ses mains éperdument dans le noir, à l’instant même où il sentit ce souffle de femelle à sa portée.
Sofio
Face a la mer, j'aurais du courir....

Tout s'enchaine, tout dérape, une isa qui détale, une chose devant elle, une chose...elle ne peut mettre de nom de forme dessus, une chose dans la nuit, isa est seule de son coté une proie isolée,

Un métal dans sa main, instinctivement elle resserre sa paume, un métal froid qui se glisse en elle,une couverture de la chaleur.


Tiens chérie ma dâgue et voila une couverture,met ça sur ton dos en attendant que je trouve tes vêtements...

Le feu se meurt, elle appercoit encore sa dernière lumière, puis plus rien, l'obscurité , le néant,la chose est proche de isa, elle se crispe sur sa dague.


Isa bon sang!!!!!!!!!!

AZou.....
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Gorborenne
Enveloppé dans la nuit comme sous une chaude couverture, le Géant invisible dans la pénombre observe la scène d'un œil où pointe peu à peu le doute...... La regarde et l'écoute à l'exacerbe, il ne focalise plus son attention sur le ballet des courbes qui se termine, mais guette le moindre mouvement dans la obscurité......

Quelque chose ne va pas, il en a maintenant la certitude, Damocles approche insidieusement son altitude..... Le Géant derrière son buisson se redresse et s'accroupit, mains posées dans le sable, à l'écoute........ Quelqu'un où quelque chose approche........ Il ferme les yeux, décortique le moindre souffle, perçoit au bout des doigts la moindre vibration de la terre........ Déjà, tout ses muscles se tendent....... Orion l'aveugle en chauve-sourit scrute jeux d'ombre sur nuit, Surt le bruleur renifle la moindre effluve se portant à lui.......

Le feu retombe lentement, alors qu'en approche l'autre géant, non, là n'est pas le danger....... Isa! entrain de s'écarter, non!


- Là, à Dextre! ça pue la charogne......

Le Démon l'a senti le premier,
et déjà le Géant bondit dans la direction où il sent la présence d'Isa qui se rapproche de celle de..... de quoi en fait? Qu'importe, Gorborenne des deux facettes de sa conscience à perçu le danger guettant la lumière de ses jours...... Non, jamais! jamais il ne laissera l'obscurité la ternir!

Orion se rue, chasseur en silence, rapide et invisible, à peine le bruit du sable qui glisse dans les empreintes qu'il laisse...... Way est laissé derrière, sans explication, mais le Breton s'il n'est trop décapé comprendra qu'il y a danger...... De son approche, Isa et la chose n'auront sans doute senti que le souffle de l'air repoussé par sa masse de Géant, et déjà ses bras se referment autour du corps frêle de sa belle, et l'emporte dans une pirouette alors qu'il éclate d'un rire rassurant........


- Coucou ma chérie, alors, on danse à la lune?

Diversion conjointe du Dragon et du Démon, Orion protecteur qui écarte Isa du danger, carcasse qui s'interpose comme un mur en même temps que furtivement, les yeux d'émeraude s'embrasent tels des rubis, luisant presque dans la nuit......
Surt brièvement passe dans le regard que le Géant pose sur la chose inconnue si proche mais encore invisible, laissant le temps d'un éclair un sourire carnassier fendre son visage, l'air de dire "approches si tu l'oses......"

Mais déjà il continue son mouvement tourbillonnant, se rapprochant du feu - retrait stratégique - puis déposant Isa l'air de rien, lui claquant un baiser - peut être un tantinet trop fougueux - avant de se retourner vers tout le monde la mine rigolarde.......

- Et beh quoi? z'en faites des têtes? J'aurai p'tet du sonner du cor pour m'annoncer?

Rictus blagueur et insouciant, pourtant sous le crâne du Géant l'esprit est aussi tendu que la corde d'un arc, à l'affut du moindre mouvement, regard qui passe brièvement sur les deux autres filles et l'Azou..... Puis il se tourne vers l'obscurité pour héler le Breton, tant qu'à faire, hein, on va pas laisser Ninon seule......

- Way, ramène tes fesses! et ramasse de quoi aviver le feu! On se les pèle ici!

Pas tant que ça en fait, enfin, lui, ça va, pas trop, et déjà il à ôté son long habit de cuir pour le passer sur les épaules d'Isa....... Surtout pour y voir un peu plus clair, le danger guette toujours, il le sent, ils le sentent.......


- Il y en a un autre.......

- Oui, celui-là n'était qu'un charognard..... et je flaire la présence d'un prédateur.......

Deux yeux, deux regards, deux oreilles deux ouïes, le Géant de ses deux esprits guette le moindre souffle de la nuit.........




Je précise ici, pour les lecteurs non averti que Gorborenne est un humain tout ce qu'il y a de plus humain..... Il n'est pas possédé par un démon........ juste un peu schizo.......Surt et Orion distinguant les deux facettes de sa personnalité...... et précise de même que les dialogues en italique se passent à "huis clos" sous le crâne....... donc, à moins d'être télépathe......

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_ninon
Ca y est ! Enfin, elle a réussi à ramener les filles à la réalité. Mais pas encore à la raison lui semble-t-il. Entre Sofio qui a l’air complètement égaré et Isa qui cède à la panique et s’éloigne en courant, quittant le giron protecteur du feu, certes mourant, mais feu quand même, Ninon hésite … De l’excitation de la transe, il ne reste rien… Juste cette sensation étrange qui l’empêche d’agir avec efficacité… Ou sont-ce les effets de l’alcool ?

Allez près du feu!!!...restez proche du feu j'ai dit!!!...

Ordre de l’Azou, elle reconnaît sa voix… Ce n’est que lui ! Un soupire de soulagement s’échappe en un long souffle entre ses lèvres entre-ouvertes. Un léger fou rire la prend… Mouarfff, quel instant angoissant ! J’ai vraiment eu l’impression que nous étions menacées. Mais qu’est-ce qu’il fiche ici lui ?

Le géant lui envoie une couverture en lui recommandant de rester près de So, appelle Isa. Isa ! La chasseuse se retourne brusquement vers l’endroit du rocher, tous ses instincts réveillés, fouille à nouveau l’encre de la nuit à la recherche de son amie. La couverture toujours en main, grelottante sans en avoir conscience alors que la peur la saisi tout entière… Isaaaa !!!

Coucou ma chérie, alors, on danse à la lune?

Mouvements ondulants brassant l’air et l’autre géant émerge de la nuit tenant sa moitié dans ses bras, la dépose tel un fétu de paille auprès d’eux, la mine rigolote… La brune le regarde, interdite… Apaisement teinté de surprise. Se sont tous donné le mot ou quoi ?

Et beh quoi? z'en faites des têtes? J'aurai p'tet du sonner du cor pour m'annoncer?

Ninon n’en peut plus d’osciller entre inquiétude et soulagement… Soulagement d’avoir son amie à ses côtés, couverte du manteau de Gorbo… Un éclair de lucidité l’atteint de plein fouet…. Habits… Froid… Couverture… Mince ! Suis toujours à poil, moi…. Et ça grouille de mâles ! Elle déplie fébrilement la couverture et la jette sur ses épaules alors que géant crie après Way. Quoi, l’est là aussi ? Mais où ? Deux prunelles sondent la nuit à la recherche du breton, en vain… Soudain… Toute la tension se relâche d’un coup chez la demi sauvage devant le comique de la situation et c’est un éclat de rire tonitruant, sorti du plus profond de ses entrailles, qui troue la nuit, allant se perdre au loin, loin… loin …

MOUAHAHAHAHAHAH MOUAHAHAHMOUahahahahrhaaaa

Sans transition, l’angoisse lui étreint le cœur… Encore… Et le rire s’étrangle pour n’être plus qu’un râle, se transforme en halètements saccadés… Bras serrés sur la couverture, un regard éperdu vers ses quatre compagnons... C’est d’une voix rauque qu’elle ne reconnaît pas être la sienne qu’elle lâche dans un souffle…

J’ai peur…
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Waylander..
Encore une fois, j'avais fini par me perdre dans mes pensées... L'alcool, la nuit et la scène avaient apaisé mon corps. Planqué dans ces buissons, cela avait achevé de m'engourdir. C'était calme, même pas une de ces fameuses cigales. Azoura était arrivé jusqu'aux filles et leur parlait. Je ne les entendais pas. Je ne les voyais plus non plus, j'avais fermé les yeux... Mais a quel moment? Un éclat de voix... Isa. Etrangement, je sentis Gorbo s'élancer a ce même moment a coté de moi. Je ne lui demandis pas vers où il se dirigeait. Je me contenta de rouvrir les yeux. Toujours autant d'obscurité... Ce bref instant de dérive avait suffit à dilater mes pupilles et lorsque je me retournai vers le feu, une douleur aigüe transperça mon crâne. Je regardai alors vers l'endroit où était aller Gorbo.

Il ramenait Isa vers le feu de camp, enveloppé d'un mantel. Cependant, une forme vaguement humanoïde était derrière eux, tapis dans l'ombre... Un instinct que je n'avais pratiquement plus ressentit depuis près de dix ans, mis a part en de rare occasion. Cet instinct m'avais sauvé la peau plusieurs fois fût une époque lointaine. Enfin, ce que je ressentais là n'avait pas grand-chose a voir avec ce qu'il était a cette dite époque. Ce n'était qu'une bribe, une simple étincelle. Quoiqu'un peu plus forte que lors des récents combats, a Arles. Il faut dire que cela avait été fort peu passionant. Cet aspect ne risquait pas de s'éveiller a ce moment là.

Je me levai alors, avec furtivité. Cette bribe d'instinct avait contribué a me faire sortir de ma rêverie. Maintenant la curiosité me poussait a voir ce qui avait bien pû l'éveiller. Je plissais les yeux avec méfiance, essayant de percer ce que les ténèbres voulaient me cacher. Je me dirigeai lentement en direction du rocher. Cela commençait a devenir plus nette, et il s'agissait bien d'un être humain. Du moins c'est ce que je pensais au vu de ce que je voyais. Un voix décida alors de me déranger dans mon inspection:


- Way, ramène tes fesses! et ramasse de quoi aviver le feu! On se les pèle ici!

Je me retournai machinalement en direction du feu suite a cet appel. Trop de distraction, il fallu que ce soit a ce moment-là qu'un coquillage se trouva sous mes pieds. Posé sur un galet, il se craquela sous mon poid de façon aussi furtive qu'un carosse roulant sur un être humain. Et puis, ça faisait un bruit qui y ressemblait un peu. Je regardai malgré tout en direction de la forme humanoïde, mais il n'y avait plus rien. Mon instinct me poussa a poursuivre mon investigation, vu les rochers environnants il avait pu se planquer dans un coin. Mais tout comme je l'avais bridé dans le passé, suite a une erreur que je n'avais pu laisser passer, je décidai d'abandonner ici. L'étrange éclat de Ninon me conforta dans cette idée. Je repris donc le contrôle de mon corps et de mon esprit, et beugla dans leur direction:

-Oui, j'arrive!

Ma bribe n'abandonna malgré tout pas aussi facilement. Je pris discrètement un couteau en main, juste au cas où, et ne quitta les rochers des yeux qu'une fois retourné dans la forêt. Couteau a nouveau glissé a la ceinture, je rassemblai alors un tas de bois. En haut des brindilles et du petit bois, en dessous des morceaux de bois de la taille d'une buchette. Le bois étant étrangement sec, je me dis que la cause était peut-être le sel issu de la mer. Je ne me souvenais plus vraiment de comment était le bois a Brest, mais a Roazhon il était pas mal humide, surtout prêt de la Vilaine. Je fouillai mes poches a la recherche d'une corde, histoire de pouvoir prendre le tas de bois d'une main, mais j'en avais évidemment pas. Je mis bien quelques minutes a rassembler les tas sous un seul bras, mais finalement j'y étais arrivé. Je retournai alors vers le feu, une main libre, histoire de pouvoir reprendre le couteau en cas de besoin.

Je posai le tas a coté du feu, puis me dirigea vers Ninon. Je défis les nœuds de mon mantel et le lui tendis avec un sourire:


- Tiens, prend-le, il faudrait pas que t'attrape froid.

Je me retournai alors vers le feu, y jetant d'abord les brindilles, puis le petit bois. Mon reste d'instinct avait fini par s'apaiser. Ma curiosité, elle, se demandait si j'avais été victime d'hallucinations causés par l'alcool, ou si ce que j'avais vu était réel:


- Gorbo, j'ai oublié la bouteille d'alcool, je m'occupe du feu. Tu veux aller la chercher ou j'y vais?

Je soufflai a la base du feu, et y jetai une petite bûchette, attendant sa réponse.
Isa.
Mais où est ce foutu rocher ... il n'était pas si loin pourtant ... En avançant dans la nuit noire, Isa sent ses poils se hérisser et un frisson lui parcourir l'échine. Un signe qu'elle connait bien et qui ne trompe pas. Aussitôt elle s'arrête, les sens aux aguets, et cette sensation d'être trop près d'un danger s'amplifie alors que là, près du feu qui doucement s'éteint, Azou se veut rassurant et tente de la faire revenir. Instinctivement, sa main glisse dans son dos, mais pas de dague cette fois... impossible de la garder sur soi quand on est en tenue d'Eve. Des images déboulent à toute vitesse dans son esprit : Lileia et Goran ... le val et Orion si attentionné et qui lui tend leur fils .. Breiz et Gauvain .. Théo combattant le sapin de Noël en feu ... Gorbo ...
Au même instant, un souffle la soulève et elle se retrouve serrée contre un torse puissant dont elle reconnait immédiatement l'odeur et qui l'empêche de céder à la panique qui menaçait de lui faire très vite pousser un cri de peur. Petite phrase rassurante et des bras qui se serrent autour de son cou alors que Surt déjà menace dans les yeux de Gorbo, tournés dans la direction du danger qu'elle a ressenti elle aussi.
L'instant d'après les voilà virevoltant et tourbillonnant pour rejoindre les autres près du feu. Baiser qui se voudrait rassurant et un géant qui essaie de détendre l'atmosphère...

Mais elle le sent. Il est là, tapis dans le noir. Pestant un peu sans doute d'avoir laissé échappé sa proie ....Que va-t-il faire maintenant ? Isa resserre le manteau de cuir sur ses épaules et ne peut détacher ses yeux de l'obscurité. Way arrive à son tour ... main qui serre celle du géant, comme une prière ...
* Ne t'éloignes pas ..*
Azoura
Se dirigeant vers Isa pour la saisir et la ramener vers ce foutu feu qui rend l'âme,un déplacement d'air emporta la "dragonne" et tourbillonna loin de ses rochers...

Dans le peu de clarté ,il n'avait pas reconnu de suite qui était l'auteur de se déplacement d'air ..c'est le son la voix lui fit le reconnaitre...gorbo...

Mais..t'es fouuuuu..Gorrr..tu m'as fichu......
S'arrêtant net ,il rectifia ses dires...

Heuuu..tu m'as fichu rien du tout.....j'ai failli te couper en deux...ça va pas non....qu'est ce que tu fiches dans le noir

Azou savait très bien que Gor n'était pas tapis dans l'ombre sombre...il avait beau essayer de percer cette pénombre pour en distinguer une forme, un éclat de regard,un mouvement....mais rien...et pourtant....sensation d'être observé,scruté...sensation étrange, inexplicable...

Revenant(houuu houuuuuuuu,ouaiii une tite envie de fantôme^^) à lui, sortant de cette presque transe...il recula rejoindre sa Sofi

Sofi...mon coeur ...ça va ....
S"appochant d'elle rapidement , il l'as pris dans ses bras,la tenat serré contre lui,la réchauffant de la chaleur de son corps, la rassurant par sa présence, sa voix...

il lui murmure au creu de l'oreille...alors comme ça on bois et on montre ses fesses au sable, au feu et à la lune, drôles d'idées que tu as des fois ....ha ouiii je t'ai pas dis...alors écoute moi....

il lui fit un bisou en pleine joue et lui souffla

je t'aimmme toiiiiiii

Quittant sa joue pour chercher sa bouche et l'embrasser langoureusement...embrassade se voulant rassurante.....
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Alexandrosse
Alexandrosse qui avait bu pour fêter la naissance de ces deux enfants ne savait plus qui il était ni pourquoi il marchait vers la côte alors qu’il venait de partir de Aix.


C’est donc a la limite du coma éthylique qu’il arriva sur une plage il ne savait pas trop où.

C’est alors qu’il entendit des voix féminine. Il ne comprenait pas de quoi elle parlait un monstre,

mais non, sa existe pas par ici c’est pour faire peur aux marmots.


Faudrait que j’ pense à raconter a mes gosses quand ils s’ront pas sage dit il a haute voix.

Il sut alors que sa devait être une erreur de parler a hautes voix a côtés de gens qui semblait parler le français de France.

La France ce pays dans le sud eu… ou le Nord enfin j’men fous jsuis provençal oups j’ai encore pensé trop fort.

De sa démarche titubante il se rapprocha de l’âtre qui s’éteint alors au même moment. Il trébucha ensuite sur les jambes de quelqu’un. [b][size=12]

Il ne bougea alors plus enfin il tanguait légèrement le fait d’être plus discret, couché ne l’effleura pas, il resta donc debout a attendre que ce cauchemar passe.
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