Waylander..
Mon coeur s'arrêta de battre quelques secondes lorsque Ninon se rapprocha de nous. Elle était en train de s'exposer au danger et je devais avouer que cela ne me plaisait guère. De plus elle ne semblait pas voir clairement dans la nuit, contrairement a moi. Je lui prit le poignet et lui rendit son baiser:
- Si tu compte partir, ne part pas seule...
Je la regardai et un sourire éclaira brièvement mon visage. Son contact avait repoussé ma bête intérieure un peu plus loin dans les profondeurs de mon esprit. Je regardai le provençal qui souhaitait se battre contre moi s'approcher:
- Peu m'importe que mon adversaire soit une femme ou un homme...
A mon habitude lorsqu'une chose évoquait en moi autant d'intérêt que peut le faire la pêche aux moules, mes épaules se levèrent brièvement devant la demande de duel de l'homme:
- Bref... Tu veux donc m'affronter... Ainsi soit-il.
Je plantai a nouveau mon épée au sol et m'agenouillai devant elle. Mes yeux parcouraient les provençaux nous entourant, ceux qui allaient monter la garde et ceux qui allaient profiter du duel. Mes mains plongèrent vers le sable et j'en pris une pleine poignée. Je frottais mes mains avec afin de les assécher et garantir une meilleure prise sur la poignée. Je pris ensuite mon couteau et le planta dans le sol, ainsi pas de risque de tricherie qui pourrait survenir dans le feu du combat. Je levais ensuite mes yeux où brillait une fureur animale vers mon adversaire:
-Nous allons devoir finir ce duel très rapidement... Bloodlust a soif de sang et je pourrais ne pas réussir a le contenir jusqu'au bout...
Je repris d'une voix bien plus rauque que la normale:
- Marv, gwad ha kasoni.
Je tournai ensuite mes yeux vers le reste de l'assemblée:
- Le premier qui tente d'intervenir ou d'entrer dans le cercle se fait déchiqueter, par moi ou mon adversaire.
Alors, je pris la peine de me relever. Je n'allais certes pas me battre a genoux. Ma main droite agrippa la poignée de l'épée et la sortit du sol. C'était une bonne épée. Une lame large d'environs 3cm, la longueur dépassant le mètre, un quart de centimètre d'épaisseur, finement aiguisée. Maniable aussi bien a une main qu'a deux. Ma main gauche se posa a son tour sur la poignée et je me mis en garde. Garde classique, rapproché, tout le poid répartie sur la jambe gauche, jambe droite en avant.
Je pris la peine de regarder la position de mon adversaire. J'avançai alors d'un seul pas, coup de taille portée latéralement vers lui, De droite-haut vers bas-gauche. Simple test, je me remis en garde juste après.
- Si tu compte partir, ne part pas seule...
Je la regardai et un sourire éclaira brièvement mon visage. Son contact avait repoussé ma bête intérieure un peu plus loin dans les profondeurs de mon esprit. Je regardai le provençal qui souhaitait se battre contre moi s'approcher:
- Peu m'importe que mon adversaire soit une femme ou un homme...
A mon habitude lorsqu'une chose évoquait en moi autant d'intérêt que peut le faire la pêche aux moules, mes épaules se levèrent brièvement devant la demande de duel de l'homme:
- Bref... Tu veux donc m'affronter... Ainsi soit-il.
Je plantai a nouveau mon épée au sol et m'agenouillai devant elle. Mes yeux parcouraient les provençaux nous entourant, ceux qui allaient monter la garde et ceux qui allaient profiter du duel. Mes mains plongèrent vers le sable et j'en pris une pleine poignée. Je frottais mes mains avec afin de les assécher et garantir une meilleure prise sur la poignée. Je pris ensuite mon couteau et le planta dans le sol, ainsi pas de risque de tricherie qui pourrait survenir dans le feu du combat. Je levais ensuite mes yeux où brillait une fureur animale vers mon adversaire:
-Nous allons devoir finir ce duel très rapidement... Bloodlust a soif de sang et je pourrais ne pas réussir a le contenir jusqu'au bout...
Je repris d'une voix bien plus rauque que la normale:
- Marv, gwad ha kasoni.
Je tournai ensuite mes yeux vers le reste de l'assemblée:
- Le premier qui tente d'intervenir ou d'entrer dans le cercle se fait déchiqueter, par moi ou mon adversaire.
Alors, je pris la peine de me relever. Je n'allais certes pas me battre a genoux. Ma main droite agrippa la poignée de l'épée et la sortit du sol. C'était une bonne épée. Une lame large d'environs 3cm, la longueur dépassant le mètre, un quart de centimètre d'épaisseur, finement aiguisée. Maniable aussi bien a une main qu'a deux. Ma main gauche se posa a son tour sur la poignée et je me mis en garde. Garde classique, rapproché, tout le poid répartie sur la jambe gauche, jambe droite en avant.
Je pris la peine de regarder la position de mon adversaire. J'avançai alors d'un seul pas, coup de taille portée latéralement vers lui, De droite-haut vers bas-gauche. Simple test, je me remis en garde juste après.