Anoblissement de Yarwelh de Lacombe

Yarwelh avait était introduit dans la salle où la cérémonie devrait avoir lieu.
Elle pensait que Mun la verrait avant pour les détails, mais apparement non. Aussi, elle demanda à un valet un endroit où elle pourrait se remetre du voyage et se changer.
Une fois chose faite, elle retourna dans la salle puis observa les lieux. Elle n'avait aucune idee de ce qui allait se passer et cela ne la rassurait guère.

Des fauteuils étaient installé un peu partout.
En attendant le maistre des lieux et les instructions, elle décida de s'assoir sur un fauteuil au dernier rang.

Ersel se dirigea ver la Dame qui venait de prendre place sur un des sièges à l’arrière.
Secouant légèrement la tête tout en montrant les premiers fauteuils.
Votre place est devant Dame .
Sortant une clé de sa poche tout en lui présentant.
Vos effets ont été montés en votre chambre.
http://chateaudevittel.forumpro.fr/appartement-de-yarwelh-de-lacombe-f42/
Le Duc ne devrait tarder dés que tout le monde sera arrivé.

Alors qu'il sortait des écuries, Olivier avait aperçu au loin dans la cour deux silhouettes qu'il connaissait bien désormais, pour les côtoyer au quotidien. Ses charmantes adjointes étaient là également, la maréchaussée spinalienne presque au complet...
Olivier les laissa partir devant, au moins il était sûr maintenant de savoir si l'objet de tout ce remue-ménage au chateau se trouvait dans la salle...rien qu'aux cris de joie de ses deux adjointes, il serait immédiatement fixé !
En attendant, il se demanda où il pourrait bien trainer, le froid ne lui donnant guère envie de rester dans la cour, pour accueillante soit-elle. C'était néanmoins un excellent endroit pour voir qui serait présent à la cérémonie.

Yarwelh attendait patiemment.
La première a arriver fut Gribouille, suivit de Viv. La jeune femme fut contente de voir cette dernière. Elle l'avait prévenue si tardivement et celle ci n'etant plus spinalienne, elle n'avait plus le loisir de se voir. Aussi etait-ce une bonne occasion de se retrouver.

Elle se dirigea vers elles et leur fit la bise comme a son habitude. Elle se sentait empêtrer dans sa robe mais elle devait faire avec.

Ca va ca va et vous? Pas trop de mal a venir?

Jo entra dan sla grande salle et alla saluer les personnes qu'elle connaissait deja. elle Leur fit une bise à chacun et leur demanda des nouvelles. Surtout à Vivline qu'elle n'avait pas vu depuis un moment

Olivier faisait les 100 pas dehors. Les gardes qui allaient et venaient ne manquaient pas de lui jeter un regard mi-soupçonneux mi-rigolard. Diantre, que passait-il donc par la tête de ce seigneur pour se geler dehors alors que tous les autres convives étaient bien tranquillement au chaud dans la salle des gardes !
Il avait bien remarqué ces coups d'oeil, mais il n'en avait cure. Ils pouvaient bien le prendre pour un fou, un original, voire les deux à la fois, lui savait ce qu'il faisait. Certes, il eût été beaucoup plus agréable de se trouver à l'intérieur, mais la seule pensée de la surprise qu'éprouverait la future Dame de Contrexéville lui réchauffait le coeur bien davantage que le plus intense des brasiers.

Olivier fut soulagé de voir arriver Isis, la cérémonie allait pouvoir commencer, toutes les amies de Yarwelh étaient présentes désormais. Il s'inquiétait surtout de voir ses deux charmantes adjointes trop proches du buffet, il ne connaissait que trop bien leur penchant pour la mirabelle...si les autres étaient pareil, il n'y aurait plus que de l'eau pour lui, même si elle semblait excellente, à voir comment son cheval avait descendu son auge à l'écurie...

Le duc avait été prévenu que les personnes venaient d’arriver ainsi que sa nièce qui témoignera de la cérémonie.
il est temps pour lui d’aller saluer Yarwelh qu’il n’avait eu le temps de rencontrer. Mais chambre lui avait été préparée.

Réajustant son épée il parcouru les escaliers menant à la place d’arme et se dirigea vers l’ancien bâtiment des gardes.
Celui si était entouré des flambeaux pour que les invités ne puissent se perdre.
La nuit tombait vite en cette saison froide.
Saluant Ersel pour le travail qu’il avait accompli pour une fois sans problèmes ; Il l’étonnait de plus ce mercenaire Germain, commencerait il à se clamer ou bien ce sont les coups de bâtons qui l’aurait calmé.

Entrant dans la pièce qui était chauffée par la grande cheminée, il vit bon nombre de personnes présentent en connaissant certaines de vue d’autre essayant de se souvenir ou ils les avaient vus, . Son regard fit le tour de l’immense pièce.
Voyant son amie Yarwelh, il se dirigea vers elle d’un pas décidé.
Restant légèrement en arrière et murmura tous bas.

Pas trop énervée par lé cérémonie
Accompagné d’un léger sourire pour la rassurer
Sois la bienvenue à Vittel désolé si je n’ai pu t’accueillir moi-même.
Une chambre t'a été préparée, j'espère que tu y trouveras tout le confort nécessaire.
Réfléchissant un instant
Nous aurons tout le temps de discuter après la cérémonie.

Yarwelh vit Mun arriver. Cela fit de l'ambiance détendue plus solennelle, enfin pour elle en tout cas.

Lorsqu'il s'approcha d'elle, et lui dit quelques mots très bas, elle répondit sur le meme ton et avec le sourire

Non, les livres dans la chambre m'ont bien fait rire

Puis faisant fit comme lui de ce petit échange, elle fit une réverence devant son futur suzerain. Il l'aurait pas souvent, mais en ce jour, elle pouvait lui offrir ce plaisir.

Je te remercie pour ton accueil, et je pense parler aussi au nom de mes amies en disant cela.
Pour la chambre, j'apprecie l'attention car je pars sur Nancy ce soir et suis légèrement chargé. Et j'ai ainsi pu me changer.

Yarwelh avait en effet passer sa houppelande achetée tout spécialement pour l'occasion.
Elle s'était aussi coiffée (elle appréciait particulièrement cette coiffure) et maquillée avec soin.



Tu connais Isis et je crois que tu connais Vivlyne, mais connais tu Gribouille, la douanière d'Epinal? Et Jo, de la maréchaussée.

La jeune femme désignait ses amies en meme temps, pour les présenter.

Yarwelh regarda la porte. Des personnes, qui lui étaient inconnue, avait fait leur entrée

Toujours occupé à profiter du grand air, Olivier avait quelque peu perdu la notion du temps, affairé à se réchauffer en jouant avec son milan, qui ne le quittait jamais. Connaissant le propriétaire des lieux, il se demandait s'il ne serait pas plus sage d'attacher solidement son volatile quelque part ; il avait bien pensé aux écuries, mais à la seule vue du rapace, les autres canassons étaient devenus plus nerveux, et le palefrenier avait eu tôt fait de chasser l'intrus à coup de fourche. Il fallait pourtant bien trouver un endroit sûr, car il voulait à tout prix éviter que son oiseau subisse la même mésaventure que son épervier de l'époque...étant rentré dans la mairie par le biais d'une fenêtre ouverte, il avait été tant et si bien gavé par le maire de l'époque, actuel Duc de Vittel, qu'il en était ressorti par la porte, roulant plus qu'il ne marchait. Il avait mis plusieurs semaines pour se remettre...
Olivier sourit en se remémorant cette histoire de passé, et c'est alors qu'il remarqua les gardes se poster devant la salle de cérémonie ; sans doute pensaient-ils que tout le monde était à l'intérieur et voulaient-ils empêcher tout importun. Olivier se précipita vers eux et entama la discussion ; l'un d'eux l'avait reconnu, et il fut rassuré sur le fait de pouvoir rentrer un peu plus tard ; il se fit même indiquer une fenêtre discrète d'où l'on pourrait suivre la cérémonie sans être vu, il n'aurait voulu manquer celà pour rien au monde, quitte à foutre en l'air son plan.
Son milan tournant toujours au dessus de lui, les gardes, bien que confiants, étaient quand même soupçonneux des intentions de cet oiseau aux serres ma foi bien acérées, et Olivier préféra l'envoyer sur le toit, au pied de la cheminée afin qu'il profite de la chaleur et se repose.

A l'intérieur, les présentations et courbettes de rigueur allaient bon train, annonçant le début de la cérémonie...

Gribouille discutait avec son amie Vivlyne car elle entendit prononcer son mon ....
elle se retourna et se retrouva devant yar et un messire qu'elle ne connaissait pas .

Elle s'inclina :

Bonjour ,Messire je suis Gribouille d'Epinal , enchantée de faire votre connaissance . Votre chateau est magnifique et je suis honorée que vous m'ayez invitée pour l'annoblissement de mon amie Yar .

Elle se redressa et lui sourit.

Voyant les gardes courir en tous sens, le germain s’avança dans la pièce regardant le Duc, la main posée sur son épée.
Attendant les ordres .

Olivier avait fini par sympathiser avec les gardes. L'attente était longue, classique se disait-il dans ce genre de cérémonies. Au moment de la relève, plus fréquente qu'à la normale, mais sans doute était-ce dû au froid, ils l'invitèrent à venir se mettre au chaud avec eux, promettant qu'il serait prévenu dès que tout le monde serait là et que la cérémonie commencerait.
Rassuré, il les suivit dans leur poste, et n'insista pas (trop) longtemps pour accepter un petit remontant. Il ne connaissait pas trop les spécialités locales, mais il en appréciait le goût et comprenait mieux après l'avoir bu comment ces gaillards tenaient le coup dehors...S'excusant, il sortit pour se diriger vers les écuries, où il récupéra une bouteille de mirabelle, qu'il ramena au poste. Il leur en servit, échange de bons procédés, afin de comparer les productions spinaliennes et vitelloises. Après plusieurs comparatifs, ils en conclurent unanimement que les deux avaient du bon...
Olivier essayait cependant de ne pas trop abuser, histoire de garder les idées claires pour la suite. En même temps, une bonne gifle par la froidure du temps aurait tôt fait de le remettre d'aplomb...

La Duchesse avait suivit son compagnon jusqu'à la salle ou les convives étaient présent. Allez savoir pourquoi mais elle n'était pas très à l'aise. Discrètement elle se plaça derrière Raoul qui semblait la contempler afin d'agripper sa veste le plus discrètement possible. Une personne interpella le Baron de Montjoie, la Von Frayner se pencha légèrement sur le côté pour voir de qui il s'agissait, d'un sourire elle salua son oncle puis sorti de sa cachette tout en glissant sa main dans celle de son bien aimé.

Mon oncle permet moi de te présenter l'homme qui partage ma vie depuis un bon moment déjà. Son Excellence Raoul, l'actuel Prime Chancelier Impérial.

La jeune femme fut surprise de ne pas voir Flavien.

Mon cousin serait il souffrant car je ne le vois guère parmi nous. Devons nous attendre d'autres personnes ou pouvons nous commencer l'anoblissement ?

Mun se dirigea vers le couple. Après un bref échange, les portes furent fermées. Aussi Yarwelh se dit que cela allait commencé.
Elle avait plusieurs regrets: les obligations de la noblesse et un autre que les filles devaient soupçonner fortement.

Mais elle s'était décidée et ne pouvait reculer.

Aussi à la demande de Mun, elle s'approcha de celui ci.
S'agenouiller ne lui plaisait pas. Un goût d'infériorité, et de servitude qui ne plaisait guère au chat sauvage qui sommeillait en elle.
Elle pensa à Boule de Suif. La chatte noire était elle aussi sauvage, pourtant elle était la fidélité incarnée envers la jeune femme.
Cette pensée lui permit d'accepter de s'agenouiller.

Elle ferma les yeux et s'agenouilla devant son suzerain. Car désormais, leur relation serait la vassalité.

Un jeune page s'approcha avec la couronne, puis Mun commença la cérémonie proprement dite.

Le début lui fait plisser les levres. L'estime qui lui porte, pas de soucis, mais l'amour? Il la rend chevre oui! Elle a crus 100 fois, 1000 fois perdre la raison lors de conversations avec lui. L'amour vache peut etre?

Ah il lui demande réponse. Qu'est ce qu'elle est sensé dire? "Oui"? "J'accepte?" ou repeter le tout...
Bah faut se lancer.

Aujourd'hui et icelieu, je prete allégeance au duc de Vittel et tout le tralala qui va avec

Ce n'etait pas tres "noble " de sa part, mais Mun devrait s'y faire. Yarwelh ne changerai pas et elle s'encombrait rarement de superflu comme développer les choses. Pour elle, un oui etait un oui, un serment était un serment, et seul un j'accepte aurais suffit a son gout.

Elle regarda Mun, curieuse de voir sa réaction.

Ah voila la céremonie commençait les portes mi-closes, Jo regardait tout autour d'elle, ben oui rarement elle venait dans de ci beau endroit. Il fallait profiter et couvrir ses yeux de belles choses. Tout le monde était fixé sur Yarwelh et Mun pour le début de la cérémonie et moi je faisais vaguer mes mirettes de droite à gauche. Non non je ne m'ennuie pas du tout, jaurais bien pris un verre cependant mais bon restons polie et attendont qu'on nous l'autorise avant. Faut savoir tenir une saoulotte de nos temps.

visitant discretement du regard, Jo apperçut entrer quelqu'un, et fut surprise, elle voulut bien rire mais celui ci ce voyant repérer de son retard apparement, lui fit signe de ce taire. Surement qu'il serait capable de me virer de son équipe si je parlais du coup j'aurais plus jamais la possibilité moi de prendre sa place alors chut, enfin prendre sa place pas demain la veille hein car ma petite tete n'est pas la pour ça en ces jours. On va le garder encore un peu ce dit elle. Jo lui sourit et lui fit comprendre qu'elle ce tairait tout en lui souriant. L'homme en bleu ce faisait discret et ou ien ce moment c'est comme ça qu'on l'appelait quand on parlait de lui, l'homme en bleu, ralala. Jo eu envie de pouffer de rire à ce moment la, elle ce retint tant bien que mal, mais garda son sang froid.

Pour ce calmer elle redirigea es yeux sur la céremonie, Yar était deja à genoux devant Mun.

Isis se recula et se mit à coté de ses amies.

Elle sourit en voyant Jo regarder les draperies et les tapisseries et autres tentures de la pièce.
Elle-même avait fait la même chose la première fois qu'elle avait été au Castel de Sancy.
Elle se souvint des grands yeux qu'elle avait fait en voyant tout le luxe de la demeure.

Isis se tourna lorsque Mun prit la parole et sourit à Yar l'encourageant en silence.
Elle failli éclater de rire aux paroles de son amie. C'était la première fois qu'elle entendait cette façon de prêter allégeance à un suzerain.
Vraiment, Yarwelh ne changerai pas même et Isis espérait bien qu'elle ne changerai pas.

Entendant un léger bruit derrière elle, elle se retourna et aperçut Flavien arrivé.
Elle fut contente de l'apercevoir après tant de semaines sans avoir eu de ses nouvelles et de le voir en pleine forme.
Mais, elle se fit un peu de soucis de ne pas voir Elou, la tendre épouse de Mun. Elle aurait bien aimé lui présenter ses hommages et discuter de choses et d'autre avec elle comme lorsqu'elles se vouaient en Taverne à Verdun.
Isis espérait tout de même qu'elle ne soit pas souffrante et que tout allait bien pour Elou.

Toujours à genoux, Yarwelh avait failli recevoir la couronne sur la figure. Ca aurait fait tache. Une belle ecchymose sur le visage en ce jour, drolement dommage.
Elle avait envie de dire a Mun "retiens toi" mais elle ne se le permit pas. Quoique au point où elle en était...

Elle eut conscience de mouvements dans la salle. Mais la jeune femme préfera ne pas détourner le regard, elle crut toutefois reconnaitre Flavien.

Mun continua, imperturbable.
Il prit ses précautions pour la suite en lui murmurant quelques mots.
*Tu as voulu m'avoir pour vassale, je te fais ce plaisir, tu vas souffrir* pensa-t-elle, bien que pas à mal.

Au moins cette fois ci, elle savait ce qu'elle avait à dire. Elle eut bien envie de dire autre chose pour le faire tourné en bourrique mais ce n'etait pas le jour.

Aussi elle repeta, sagement, le serment:

Nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium).

Elle était mal à l'aise d'avoir fait ce serment sur le Saint Livre. Elle se doutait bien que Mun lui demanderais un jour où l'autre qu'elle se fasse baptiser. Mais pas si tot.

Olivier commençait légèrement à s'ankyloser dans sa position plus très confortable, tandis que les autres invités, sagement assis sur leur chaise, semblaient moins souffrir...Il se demanda si par hasard le héraut ne l'avait pas suivi chez les gardes, à déguster quelque alcool dont l'accumulation lui aurait fait oublier le but de sa visite.
Afin de se dégourdir un peu les jambes, Olivier profita de superbes tentures pendant au mur pour s'y dissimuler, heureux de pouvoir se redresser et se tenir debout.
Il ne manquait rien de la scène, mais de toutes façons c'était plutôt calme pour le moment...

Voyant le regard de Yarwelh se lever vers lui.
Tournant une nouvelle fois la tête vers la personne qui devait officialiser la cérémonie. Occupée à discuter .

Levant un bras vers un des valets qui était présent .
Apportez de quoi nous sustenter et aussi assise pour Dame Yarwelh

(HRP elle est souffrante actuellement donc si vous voulez qu'elle belle occassion de pouvoir jouer RP pour nous)

La cérémonie n'allait pas comme prévu apparement.
La jeune femme ne connaissait pas le protocole pour ce genre de cérémonie, mais c'était évident que Mun partait hors des sentiers battu. Etonnant de la part de Mun. Surtout pour un sujet si sérieux.
Mais c'était pas pour lui déplaire. Un jour elle réussirait à lui retirer le balais qu'il s'était coincé dans le dos, pour retrouver le Mun qu'elle avait aimé. Joyeux, fêtard, et buveur invétéré. Autant croire aux miracles...

Lorsque celui ci lui tendit la main pour l'aider, elle voulu lui dire qu'elle se débrouillait très bien toute seule. Elle se retint juste à temps. Car elle avait toute les chances de se prendre les pieds dans les pans de sa houppelande. Noble ou pas, elle continuera de porter les braies. Plus confortable, moins encombrante mais surtout plus pratiques.
Se retenant de pester, elle prit la main tendue et de l'autre, releva un peu sa houppelande pour éviter de tomber. Accepter d'estre noble, c'était décidément accepter de s'humilier. Elle se força à penser à la teste de son ennemie. Elle aussi devait regretter que cette cérémonie ai lieu. Laquelle des deux allair haïs le plus la noblesse de Yarwelh? Possible que ce soit Yarwelh, mais elle ne voulait rien en montrer.

Elle accueillit la position debout avec plaisir, et souria à Mun en un remerciement.
Elle n'avait pas envie de s'assoir, ni faim, mais une mirabelle, ou un petite prune (habitude prise de sa vie limousine) lui ferai le plus grand bien. Elle avait la gorge sèche et elle savait pourquoi.

Isis avait suivit la cérémonie en silence.

Elle était heureuse pour son amie. Elle méritait bien son titre de noblesse n'en déplaise à certaines personnes.
Elle attendit encore un moment avant d'aller la féliciter et d'aller saluer Flavien.

Elle commençait d'ailleurs à trouver la cérémonie un peu longue.
Mais elle savait comment cela se passait puisque ce n'était pas la première fois qu'elle y assistait.
Elle attendit donc en silence mais ses pensées étaient ailleurs.

Jo continuait de suivre la cérémonie qui s'allongeait un peu. La fin était proche et l'envie de boire un verre était très présente, et oui on est pas pillier de bar pour rien.

Continuant de sourire, Yar fut anoblie en cette belle journée bien fraiche

Se penchant pour entendre les mots murmurés
Se mordant la lèvre inférieure pour ne pas lui dire et le coup de pied au ...
Avant même d’avoir fini de se parler intérieurement.
Mais j'accepte

Reprenant sa position, se frottant le front comme si il avait chaud.
Croissant ses mains dans son dos cette fois
Levez vous Dame Yarwelh de Contrexéville et accueillez vos invités et amis présent pour votre cérémonie.
Se demandant si Ersel n’était pas entrain de s’empiffrer sur le compte du Duché.

S'écaatant un peu laissant entrer les ménestrelles
Après avoir pris Ersel de côté.

Les ménestrels et la ripaille arrivèrent. C'était le coté festif qui allait de paire avec la cérémonie.
Mais Yarwelh n'avait pas la teste à la feste. Malgré le plaisir qu'elle avait eu a faire tourner en bourrique Mun, rien ne lui était réellement plaisant. Elle venait de s'emprisonner dans des devoirs dont elle ne voulait pas, venait de s'humilier en se mettant à genoux, chose qu'elle avait toujours refuser de faire, pour énerver une femme qu'elle n'aimait pas. Et par dessus tout, le seul homme qu'elle avait invité avait préféré de remplir des papiers plutost que de venir.
Son envie était de partir pour Nancy. Mais la encore qu'est ce qui lui avait pris? Ce voyage allait estre une torture: voyager à coté de l'homme qu'elle aime sans pouvoir le toucher, sans pouvoir l'embrasser. Vivre dans la mesme ville lui était déjà douloureux alors ces longues heures avec lui...
Ses paroles ces derniers temps était sans équivoques. Il ne l'avait certes pas repousser mais il n'avait rien fait non plus. Avait-il conscience qu'il la torturait?
Non en fait elle avait envie de... de rien. Il aurait fait plus chaud, elle se serait réfugiée dans la forest d'Epinal ou dans le jardin de sa petite maison d'Epinal qu'elle appréciait tant. Et si elle attrapait Boule de Suif et Boule de Neige et partait? Peut être que la boule qu'elle avait dans la gorge partirait.

Son regard croisa Vivlyne. Son amie était venue de loin, dans le froid, pour elle. Isis, Grib et Jo aussi. Juste pour elle.
Bien que la jeune femme haïsse l'hypocrisie, elle se força à sourire, comme si de rien n'était. Elle n'avait pas le droit de leur faire cela. Au contraire, elle devait les accueillir, les remercier pour leur présence.
Elle prit des verres sur le buffet et leur donna. Tournant discrètement et rapidement le dos, elle s'enfila cul sec une mirabelle avant de prendre un autre verre plein, espérant que le premier ferait vite effet.

Elle leva sa coupe, et pour faire bonne figure, la leva à Mun.

A la santé de mon suzerain

Et elle but la coupe, comme si c'etait la première

Voyant le personnel se presser à dresser le buffet Mun entendu Yarwelh, la regardant elle semblait contrariée.
Le moment n’était certainement pas à savoir le pourquoi malgré que quelques questions se posaient à lui .
Prenant un des verres de mirabelles tout en se dirigeant vers las amis et amies qui avaient rejoint la nouvelle Dame de Contrexéville.
A votre santé Dame Yarwelh puis se tournant vers les invités.
Merci à vous tous d’être venu en cette merveilleuse journée pour accompagner votre amie.

Puis Mun vit son ami Olivier sortir de derrière la tenture, il l’avait été mi au courant de son envie de rester discret pour la surprise à Yarwelh.
Le laissant s’approcher sans mot dire, il failli laisser tomber son verre quand Olivier embrassa Yarwelh.
Buvant d’une traite la mirabelle se frottant les yeux un instant la bouche entrouverte .

Yarwelh sentit une présence dans son dos puis une main sur son épaule. Une main masculine. Tout comme la voix suave qui accompagna le geste. A ces quelques mots, le coeur de la jeune femme fit un bond dans sa poitrine. Non pas de leur signification mais de la personne qu'elle avait reconnue.

Un tambourinement sourd dans la dite poitrine, elle se retourna vivement. Un rayon de soleil venait de percer les murs gris du castel. Le reste de la pièce s'obscurcit momentanément.

Elle était stupéfaite de le voir la. Stupéfaite mais heureuse. Elle ne s'y attendait pas, le croyant ailleurs. Un beau mensonge de sa part. La mettant un peu en colère.
Elle voulut lui en faire la remarque mais ne put meme pas dire "toi..." qu'il l'embrassa, la réduisant au silence.
Il avait osé! Oser lui mentir, oser venir comme un cheveux sur la soupe, et maintenant il l'embrassait sans lui laisser le temps de placer un traitre mot. Comment avait-il pu?
Elle ressentait la tension d'Olivier dans ses bras. Elle aurait du le repousser avec violence, mais parfois le corps ne réagit pas comme on lui demande. Elle ne le repoussa qu'après un temps plus long et avec plus de douceur qu'elle l'aurait voulu.
Toutefois, cela ne loupa pas. Sans lui laissait le temps de reprendre son souffle, la gifle retentit dans la pièce. Impulsive, la jeune femme ne l'avait pas réfléchit.
Le doigt tendu comme en une menace (et tant pis pour sabifax et son jugement contre les gifles) et le ton sec

Toi!!!!! Ne me mens plus! Plus jamais.

Le plus jamais avait été plus doux, ne résonnant pas comme une menace, mais plus comme une demande, un souhait témoignant que la colère laissait place à d'autres émotions.
Puis elle déposa ses lèvres sur les siennes, faisant attention à ne pas blesser la joue meurtrie. Ses lèvres étaient pleines et agréables à embrasser. Qu'il serait bon de les embrasser de nouveau, seuls, pensa-t-elle subitement.
Le baiser fut court. Court mais intense, empli d'un amour sincère et jusqu'à présent retenu.
Comment le prendrait-il après la gifle? Lui en voudrait-il? Leur relation était-elle déjà finie avant d'avoir commencée?

Elle se détacha de lui, puis se tourna vers les filles, lissant sa robe comme si de rien n'était, mais un peu obsessionnellement.
Elle ne sut trop quoi dire. C'est alors qu'elle remarqua un inconnu dans la pièce. Elle qui esperait un petit comité, de sorte de rester la même, préférant l'ombre à la lumière, les petits comités à la foule. Elle qui vivrait surement jamais en son castel, ou très peu pour rester à Epinal, dans sa maisonnée chaleureuse et conviviale.
Elle observa le nouvel arrivant. Il était chichement vêtu, et se dirigea directement vers le maistre des lieux. Au vu de l'absence de protocole monstrueux entre les deux hommes, l'inconnu devait avoir pas mal d'importance.

Ce que Yarwelh redoutait, arrivait déjà. Elle pensait qu'elle y aurait droit, espérant le contraire, mais pas en ce jour.
Mun allait lui présenter toutes les personnes qu'il considérait comme importante. Sauf que pour elle, l'importance des gens ne se compter pas en nombre de fief, seules les quelques personnes présentes lui importait. Enfin il y en avait d'autre, mais la plupart des connaissances qu'elle appréciait n'avait aucun titre, ne faisait pas de chichis et cela lui convenait parfaitement.

Elle regrettait déjà son engagement. Au final, elle ne serait qu'un jouet dans les mains de son suzerain.
Elle leva les yeux au ciel, mais n'y vit qu'un plafond froid et strict.
Elle n'y avait fait attention jusqu'à présent, mais ce castel lui parut encore plus terne et froid que les autres.
A l'image du maistre des lieux en fin de compte.

Le sourire sur son visage n'avait pas fait long feu.

Gribouille avait trouvé la ceremonie longue , elle du avouer qu'elle avait failli s'endormir une ou deux fois ....
mais ça y est le buffet est servit ...

Elle se dirigeat vers Yar pour la feliciter qaund elle vit la scène .....
Elle s'arreta attendant de voir les réactions ...

(Dans deux jours le RP sera fermé si il n' y a plus d'interventions)

Mais qu'est ce qui lui a prit? Quelle idiote elle fait! Maintenant il va lui en vouloir et tout est fichu.

Elle le regarda. Il prenait un verre. Elle essaya de se concentrer sur la discussion en cours mais ne pouvait de s'empêcher à comment se passerait la suite.
Lui reprocherait-il la gifle au point de ne plus vouloir d'elle? Ou ferait-il comme si de rien n'était? Toutes les possibilités entre ces deux extrêmes étaient possibles.

Dites donc, Mun a l'air drôlement secoué.. il était pas le seul d'ailleurs. Elle même était toute chamboulée.

*Mince Olivier vient par là...Recomposes toi une expression. Prends un verre cela te donnera une contenance. Non tu t'en ai déjà enfilé deux. Et Mun qui s'en va.*

Départ vite suivit par ses amies. Elles avaient toutes plus ou moins de route à faire et la neige et le froid ne facilitaient pas les voyages.
Eux aussi d'ailleurs avaient du chemin à faire.
Dans la salle, il ne restait plus qu'eux deux. Elle le regarda un instant et gênée, elle se retourna, lançant à la cantonade qu'elle allait chercher ses affaires.
Elle passa dans sa chambre et fit sortir ses malles puis retourna dans la salle des gardes.
Elle prévint Olivier qu'ils pouvait y aller. Ce qu'ils firent. Ils pourraient toujours en parler sur la route s'il le voulait.