Yarwelh
Tout vient à point pour qui sait attendre.... ou comment s'excuser de ne pas avoir fait le rp en même temps que l'IG. Mais bon l'envie est là alors avec du retard, voilà l'arrivée d'un couple à Nancy.
Petit rappel de l'histoire pour ceux qui ne la connaissent pas (mais si joueurs je vous mets au courant pour comprendre le rp, vos marionnettes l'ignorent tant qu'on le leur a pas raconter de vive voix).
Un couple ca implique deux personnes. Un homme et une femme. Comment ca vous le savez? Et si si je vous assure, au Moyen age, un homme une femme ou alors le bucher. Enfin je dis ca je dis rien, elle aurait du y aller depuis bien longtemps.
Bref, je disais: Une jeune femme: Yarwelh. Un homme (pourquoi pas jeune? Je sais pas, il doit être un peu plus vieux): Olivier. Ils s'aiment. Oui sauf que comme deux idiots, ils font pas grand choses. Ils se tournent autour, se font quelques avances prudentes mais faudrait pas se mouiller.
La jeune femme finit son mandat à la mairie d'Épinal. Lui s'arrange à la maréchaussée où il est lieutenant pour pouvoir partir construire un motel pardon hôtel particulier à Nancy. En tant que maçon, Yarwelh se propose pour l'aider.
Le voyage se prépare, chacun de son coté.
Le départ est fixé. Le jour de l'anoblissement de la jeune femme.
Le matin, la jeune femme part pour Vittel, terres pour laquelle elle devra se battre si besoin (principe de la féodalité et notamment de la vassalité). Elle y sera rejointe par, entre autre, le dit Olivier qu'elle a invité. De Vittel, ils prennent ensemble la route, direction Nancy et le futur hôtel.
1er arrêt Vaudemont.
Là vous imaginez qu'ils ont passer toute la nuit a voyager ensemble et qu'elle a une libido qui crève déjà le plafond. Alors elle lui saute dessus et, enfin, il l'a prend. Ne vous faites pas un film, non non il est faux, je le sais.
Depuis le temps qu'ils se tournent autour, il en sont plus à 3 min près. Non cela fut très poétique, très doux.
Le voyage reprend, et les voilà sur la route, Nancy étant un point sur l'horizon.
Bonne lecture (si si vous lisez, si vous voulez écrire, écrivez nous avant, pour accord, merci)
Petit rappel de l'histoire pour ceux qui ne la connaissent pas (mais si joueurs je vous mets au courant pour comprendre le rp, vos marionnettes l'ignorent tant qu'on le leur a pas raconter de vive voix).
Un couple ca implique deux personnes. Un homme et une femme. Comment ca vous le savez? Et si si je vous assure, au Moyen age, un homme une femme ou alors le bucher. Enfin je dis ca je dis rien, elle aurait du y aller depuis bien longtemps.
Bref, je disais: Une jeune femme: Yarwelh. Un homme (pourquoi pas jeune? Je sais pas, il doit être un peu plus vieux): Olivier. Ils s'aiment. Oui sauf que comme deux idiots, ils font pas grand choses. Ils se tournent autour, se font quelques avances prudentes mais faudrait pas se mouiller.
La jeune femme finit son mandat à la mairie d'Épinal. Lui s'arrange à la maréchaussée où il est lieutenant pour pouvoir partir construire un motel pardon hôtel particulier à Nancy. En tant que maçon, Yarwelh se propose pour l'aider.
Le voyage se prépare, chacun de son coté.
Le départ est fixé. Le jour de l'anoblissement de la jeune femme.
Le matin, la jeune femme part pour Vittel, terres pour laquelle elle devra se battre si besoin (principe de la féodalité et notamment de la vassalité). Elle y sera rejointe par, entre autre, le dit Olivier qu'elle a invité. De Vittel, ils prennent ensemble la route, direction Nancy et le futur hôtel.
1er arrêt Vaudemont.
Là vous imaginez qu'ils ont passer toute la nuit a voyager ensemble et qu'elle a une libido qui crève déjà le plafond. Alors elle lui saute dessus et, enfin, il l'a prend. Ne vous faites pas un film, non non il est faux, je le sais.
Depuis le temps qu'ils se tournent autour, il en sont plus à 3 min près. Non cela fut très poétique, très doux.
Le voyage reprend, et les voilà sur la route, Nancy étant un point sur l'horizon.
Bonne lecture (si si vous lisez, si vous voulez écrire, écrivez nous avant, pour accord, merci)
Yarwelh avait préparé bagages pour l'aventure nancéenne. Elle avait pas mal voyagé, traversé le royaume de France de part en part. visité villages, villes et capitales diverses en France ou dans le Saint Empire, mais n'avait encore jamais mis les pieds à Nancy. Enfin pas réellement. Son travail l'y avait déjà conduit, mais cela se limitait à arriver le matin, se diriger directement vers le castel et une fois la journée finie à repartir aussi sec.
Là, elle y séjournera, prendra le temps de visiter la ville, de flâner dans les rues.
Ce qu'elle n'avait pas prévu, c'est que l'aventure se transformerait en l'Aventure. La grande, la vraie. Celle qui fait palpiter les curs, emballer les émotions et suer.
Nancy est encore un point à l'horizon qui grandit rapidement, mais Nancy la Grande est le futur. Pourtant, l'Aventure est déjà bien entamée.
Cela fait deux jours qu'ils voyagent. Ils avaient quittés Épinal séparément. Elle devait se rendre à Vittel et il lui avait fait la surprise d'y estre aussi. Ils étaient donc repartis ensemble, chevauchant cote à cote.
La première journée fut horrible pour la jeune femme. Elle s'y attendait mais la torture était là, présente, comme une blessure latente, une douleur sourde mais lancinante, persistante qu'il fallait refouler à chaque instant, à chaque mouvement du cheval qu'elle montait.
Elle était si près et pourtant si loin....
Elle regardait parfois son compagnon de route, furtivement ou quand le chemin faisait paraître normaux ses regards. Cela ne calmait pas la douleur ni psychique, ni physique. Vous savez, cette douleur dans les reins, celle du Désir non assouvi. Au contraire, cela la rendait plus forte, plus dure à supporter, mais la jeune femme ne pouvait s'en empêcher.
Au soir tombant, Vaudemont était en vue. Ils allait y coucher pour la nuit. Olivier a un appartement, avec chambre d'amis, à Nancy où ils logeraient tout deux pendant leur séjour. Mais à Vaudemont ils devaient trouver une auberge. Toutefois, les choses ne s'étaient pas déroulées comme prévues.
L'Aventure commença alors. Dans la soirée, elle avait prit le visage d'Olivier dans ses mains et avait déposé ses lèvres sur les siennes. Ce moment de passion empli de fougue passé, elle s'était nichée un temps dans ses bras, appréciant leur puissance. Puis, petit à petit, la passion les avait menés doucement à se libérer l'un l'autre de leur étoffes. Yarwelh avait alors profité de sa musculature, partant à la découverte de son corps, le caressant doucement, passant son doigts dans les sillons que les muscles saillants avaient laisser apparaître.
Les caresses s'étaient ainsi succédées, les dévoilant aux yeux de l'autre, avec douceur et envie.
Plus tard, le Désir assouvi, elle s'était endormie dans ses bras. Elle si solide, elle si indépendante, si caractérielle.. elle, petite chose fragile dans les bras de l'Amour.
Ce matin, elle s'était réveillée la jambe en travers des hanches d'un Ange. Et la journée fut merveilleuse. Comme la veille, elle avait chevauché à son coté. Mais les regards n'étaient plus cachés. Et une phrase prononcée la veille avant de sombrer dans les limbes de Morphée, une phrase merveilleuse, retentissait sans sa teste encore et encore « Alors femme à tes cotés je serais ».
Ces souvenirs plein la teste, elle ne voit pas Nancy grandir à vue d'il. Les remparts sont bien discernables maintenant. Elle se tourne et lui sourit. D'un sourire qui fait penser que Nancy sera le nid douillet de leur Amour. Sa main lâche les rennes, retenues de justesse dans la main dextre, et se tend vers lui.
Les gardes, lourdement armés, les laissent passer les larges portes traversant les murs épais protégeant la cité.
La jeune femme voit la capitale lorraine d'un il neuf. Tout lui paraît plus lumineux, les rues plus grandes, les étals du marché plus fournis. Là, les étoffes sont tout simplement sublimes. Il lui faudrait quelques houppelandes. Elle préfère les braies, plus confortables et bien plus pratiques et elle avait décidé que malgré son anoblissement, elle resterait en braies. Mais depuis la veille, elle a envie de lui plaire. A partir de ce jour, cela sera braies la journée et houppelande le soir, pour le retrouver. Simplement pour Lui, pour elle.
La foule, compacte, fait ralentir le pas de leur chevaux. La ville est bruyante, emplie de cris de vendeurs de rue vendant leur marchandises, de troubadours narrant histoires et quémandant quelques écus.
Elle est plus à l'aise en forest, pouvant mettre à profit son agilité. Ses mouvements peuvent y estre rapide et lestes, troublant à peine le silence relatif de la forest.
Elle jète un coup d'il aux alentours. Boule de Neige, le chat blanc de la jeune femme, à passé le voyage sur la croupe de son cheval et y est encore. Flemmard quant il s'y met. Mais Boule de Suif, la chatte noire, s'est déjà faufilée dans les ombres de la ville. Elle s'y fond tant et si bien qu'il est difficile de la voir. N'ayant de respect que pour Yarwelh, et malgré qu'elle ai grandi avec celle ci, la chatte reste sauvage. Yarwelh est d'ailleurs très étonnée que la tigresse ne se soit pas encore manifestée après l'intrusion d'Olivier dans l'intimité de la jeune femme. La dernière fois que celle ci avait aimé un homme, Boule de Suif s'était rué sur lui, le griffant violemment au visage et feulant ensuite à chaque fois qu'il s'approchait de Yarwelh.
Elle doit préparer son coups. La jeune femme ne s'inquiète pas de ne plus la voir. Elle ne les quitte surement pas des yeux, protégeant Yarwelh avec une fidélité exemplaire. Au pire, elle saura les retrouver.
Pour le moment, elle se laisse guider par son bien Aimé à travers Nancy la Grande, l'esprit détendu. Il la mène à son appartement
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Porte Parole de Lorraine. Amoureuse de Lorraine et de Mirabelle.