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[RP] Chasse du groupe 4: ichi on chache le changlier

--Gribouille_le_chien


Aaaaaaaaaaaaaaaaaawwwww !!! Kaï Kaï Kaï !!!

Ça restera les mots les plus marquants de cette chasse et les plus cuisant aussi pour moi. Pourtant tout avait bien commencé. On suivait la trace du sanglier, bon forcément on était ralenti par les zoms. Même avec des chevaux sont capables d'être pas rapide, ou alors c'est qu'au lieu de nous faire confiance il fallait toujours qu'ils discutent. Enfin bref, on avait fini par les mener au sanglier.

Une grosse bête comme on les aime nous. Un défi pour la race canine. Seulement un canard s'en était mêlé, et moi ça m'avait déconcentré et forcément, y'avait fallu que ça soit LE moment que la foutue proie choisit pour m'envoyer apprendre à faire l'oiseau. Sauf que moi j'ai des pattes, 4 même que, et pas des ailes, donc forcément la leçon de vol plané finit par un lamentable atterrissage qui m'arracha moult cris.


Aaaaaaaaaaaaaaaaaawwwww !!! Kaï Kaï Kaï !!!*
[*Aiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie! bobo ! bobo! bobo!]

Bah oui forcément, en plus ça saignait, et je pouvais plus bouger ma patte arrière gauche comme je voulais. Donc j'allais en prime rater la curée, misère de malheur.
Heureusement une des chasseuses pensa à moi. Je mâchouillais ma part avec béatitude. La fichue bête avait eu que ce qu'elle méritait et moi je me vengeais en la mangeant, enfin pas en entier, mais j'en avais eu un bout.

A peine fini de gober ce qu'on m'a donné, et pas le temps d'en redemander v'là ti pas qu'il y en a une qui vient me voir. Quoi, non je suis pas impotent, spa vrai, j'peux encore marcher.. quoique non, en fait vu que j'arrive pas à me tenir droit. Enfin ça va, elle me gronde pas, j'ai même droit à quelque caresse. Je prends note. Quand on est blessé on a des caresses, c'est chouette. Mais ça implique d'être blessé, c'est quand même un inconvénient.. après un rapide calcul canin, le résultat est accablant: vaut mieux avoir des caresses dans être blessé, y'a pas.

Perdu dans mes pensées soudain je redécolle !


Aaaawww étranglé qui fini par un Wouu? des plus dubitatifs.

Du haut de la croupe du ch'val, je regardais le monde de haut, au moins. Enfin toujours moins à ras du sol que quand j étais sur mes pattes à moi et pas celles d'un autre.
N'empêche ça tangue un peu quand tout le monde se met en route, direction le campement parait, si j'ai pas traduit l'humain de travers.


Wouhou, vouf vou. oua ouah wouf... grrrr waf*
[*Attend, ça bouge. Là-bas, vers l'arbre à glands... grrr le sang]

Ça c'était moi qui faisais causette avec mon copain Cracotte. Il était d'accord avec moi.. y'avait du sang quelque part, pas celui de la bête, un autre. On avait le nez pour le repérer.
--Cracotte


Wouhou, vouf vou. oua ouah wouf... grrrr waf
Gribouille aussi a senti un truc. Je vais vers l'arbre à glands, le nez au ras du sol. J'y vois rien, mais les humains aiment ça, ça fait limier, pro, quoi.

OUAH !!! OUAH !!!
Ramenez vous, eh, oh, vite.


J'ai retrouvé un chasseur perdu. Il est couché, on dirait qu'il dort. Il devait être fatigué de courir derrière les chevaux. J'aurai surement une récompense ce soir pour ça. Un os à moelle de sanglier, rien que pour moi. Je suis pas chef de meute pour rien. J'ai les plus grandes dents, et j'aboie le plus fort.

Ahouuuuuu !!!!!
Mais il a du sang sur la tête, le chasseur perdu. Je dois le sauver. J'aurai peut être un saucisson en récompense.

Sluuurp. Slurp.
Je lui lèche le visage. ça va marcher, c'est sur. J'aurai ma récompense.
Russocarine
Gribouille royalement installé sur Mandoline, le cheval de Zak, le sanglier ligoté par les hommes et prêt pour être ramené au camp, Russo cherchait encore le Buteo albicaudatus.

Un Butéo quoi ? C'est comment ? ça se mange, on peut en faire un manteau ?
Et de regarder à droite, à gauche, en haut
Ahhhhhhhhh, c'est une buse. Pas de manteau donc.

Pendant ce temps, la rectrice lui avait déballé la main, grimacé, et remballé en faisant un joli noeud avec les oreilles du lapinou qui passe derrière l'arbre alors que la rivière fait dessus-dessous. Et sans lui couper le bras, ni lui faire de lavements, s'il vous plait.

Et de se remettre prestement en selle, de siffler Cracotte qui était en train de se gaver d'intestins de sanglier, et de faire demi-tour en direction du campement.

Oui, ne trainons pas en route, il faut encore mettre le sanglier à mariner et ensuite à rotir, et avant le coucher du soleil, en plus.
Le coucher du soleil, c'était à cause du garou...

Le ruisseau fut donc retraversé, et le groupe revint sur ses pas, traversant les bourbiers au bord de l'eau. Russo se demandait parfois où étaient Aymeric, et Cannelle, et Félian. Surement à musarder. Puis les chiens se mirent à aboyer, Cracotte se précipita vers un arbre, Gribouille jappant comme si il voulait retourner au sol. En tout cas, Cracotte faisait un sacré raffut, puis d'un coup poussa un cri déchirant, comme s'il hurlait à la mort.
Russo éperonna son cheval, et se dirigea vers le chêne, pour découvrir Félian assomé, léchouillé par un Cracotte aux pattes boueuses qui était tellement plein de sang de tripe de sanglier qu'il salissait Félian plus qu'autre chose.


Duchesse Blackney !! Venez, je vous prie. Nous avons un homme à terre. Un héraut, de surcroit.
Et de gratter nerveusement sa main gauche.
Vu son état, je crois qu'il a plus besoin de vos soins que moi même. Je m'en voudrais tellement s'il trépassait ou perdait la mémoire, vous imaginez, un héraut généalogiste amnésique, hein, tout ça pendant que vous me recousez la main avec du fil de pêche trempé dans de la graisse d'oie.
Posant généreusement sa main sur le coeur
Ma main attendra.
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Nennya
Nennya avait envie de se pincer pour vérifier que ce n'était pas un rêve, alors le coup du garou pour eux c'était vrai, ils y croyaient dur comme fer. Quoique il y avait bien une pieuvre géante dans la baie du Mont Saint Michel. Aux propos de la dame pouet pouet, la Duchesse rajouta:

-Et aussi vous soignez Dame Russo, je suis plus mordante et tenace qu'un garou

Et le chemin inverse fut pris...avec ses ronces, ses orties, et autres choses désagréables. La Duchesse se demandait si elle allait pouvoir récupérer ses bottes dans un bon état, et enfin soigner la dame, comme promis, elle aurait la moutarde au nez si le contraire se produisait. Les chiens ne cessaient d'aboyer, bon sang, que le silence est bienfaiteur parfois se dit-elle, juste le bruissement des feuilles. Essouflée la Blackney, continuait à suivre le rythme de la troupe. Jusqu'à que des hurlements, en plus des chiens, viennent lui agresser un peu plus l'oreille. Un homme à terre disait Russo, un héraut...Pouahhhh, se dit Nennya, les hérauts fallaient les éviter. Mais elle avait prêté serment soigner tout le monde, sans distinction. Elle se demandait bien ce qu'il fichait là au milieu avec une plaie bien prononcée à la tête, un arbre l'avait-il attaqué?

Enfin, elle réfléchirait à cela à un autre moment, la rectrice se précipita vers l'homme inanimé. La plaie était vilaine, et le sang coulait, elle attrapa le plus de bandages possibles, le peu qu'il lui restait dans sa sacoche, et compressa au mieux la plaie. Il fallait recoudre, lui aussi...heureusement, elle avait prévu large. Elle positionna ses mains autour de son cou pour examiner la plaie, il y aurait certainement des échardes de bois, vu que l'arbre l'avait attaqué sauvagement.

Bien, elle était débordée par les événements, elle devait demander de l'aide, elle sortit le cor de sa sacoche, que Saint Michel soit remercié d'avoir pensé à l'emporter. Elle pris une grande respiration et souffla dedans, espérant que ses apprentis reconnaitraient ce son si caractéristique:


BrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR


En attendant que l'aide vienne, la rectrice, fit une compresse avec les bandages, et avec soins,elle entoura le tout d'une épaisse bande de lin, il n'avait pas l'air fin, mais le stratagème maintiendrait la plaie compressée.


-Il faut le ramener au camp, j'ai sonné le cor pour qu'on vienne nous aider

Elle espérait que Jake, ou d'autres viennent l'aider.
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Russocarine
La Rectrice de l'Hotel Dieu avait enfin trouvé une proie à sa mesure. Elle sautillait et gambadait partout autour de ce pauvre Félian, lui emballant la tête dans tellement de chiffons et bandages qu'on aurait dit un épouvantail, comme ceux qu'on met dans les champs pour faire peur aux corbeaux. En plus, Félian ne protestait pas, lui... Pour célébrer la fin de l'emballage, le cor sonna.

(Nennya) Il faut le ramener au camp, j'ai sonné le cor pour qu'on vienne nous aider

Ha. C'était donc sérieux quand même. Un conciliabule commença.
Psshhhhh... Pshhh.... attacher comme le sanglier à une perche.... pshhh.... pshhh... en tas sur un cheval... pshhh.. pshh.... couvert par la peau d'ours ....

Toutes les solutions étaient écartées, l'une après l'autre, mais ils n'avaient pas de quoi faire un brancard. Quoique.... au fil de la conversation, une idée germa

Et en mettant des branches d'arbres dans les manches de mon manteau, et en emballant Félian dans la peau d'ours ?

L'idée n'était pas géniale, mais il fallait rentrer au camp avant la nuit. La nuit, la pleine lune, les garous..... oui, il fallait rentrer.
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jake
Il venait de soigner la Dame Atalante et déjà qu’il devait repartir vers d’autres horizons forestières. Il marchait entre les broussailles et les arbres. Ses pas remuèrent à chaque fois les tas de feuilles qui formait un tapis orangé sur le sol.

Il se fia aux appels du cor et plus il s’approcha, plus il entendait les chiens aboyer. Il tenta de vaincre cette peur qui le reprenait à nouveau. Il se conditionnait disant qu’il n’avait pas du tout la tête d’un sanglier. Il esquissa un sourire à cette pensée.

Un quart d’heure plus tard, il arriva
sur les lieux où la Rectrice, et le groupe de chasse l’attendaient avec impatience.

« Bonjour Nennya, bonjour Achillée, bonjour Mesdames et Messieurs. Vous m’avez appelé ? »

Il avait le visage le teint livide et la peur au ventre à cause de la présence des chiens.
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--Cracotte


Wouf !!! Wouf !! Sluuuurp !!
Finalement les deux-pattes viennent m'aider. La dame qui a emballé la patte de de ce niaiseux de Gribouille vient emballer la tête du chasseur avec des chiffons blancs. Je voudrais bien rester sur son ventre à le surveiller, mais elle a sonné un grand coup de pouet-pouet, et j'ai du fuir pour protéger mes oreilles. Ces humains, qu'ils sont bruyants....

Wouf !!! Wouf !!!
Regardez-moi, je suis là! Hep ! J'veux mon saucisson, mon os à moelle !!
Sont trop occupés à faire un machin pour transporter leur blessé, on croirait qu'ils m'ont oublié. Pourtant, je n'arrête pas de leur tourner autour des jambes en jappant pour leur rappeler que je suis là, moi Cracotte, le sauveur de chasseurs blessés. Des ingrats... Si ce soir j'ai pas mon os à moelle, j'irai leur chiper du cuissot de sanglier.


Wouf !! Wouf !! Grrrrrrrr...
Tiens ya un nouveau. Je dois le saluer. C'est surement le livreur de saucissons. Je renifle. Je renifle encore. Il ne sent pas le saucisson. Tant pis. Hi hi, il se tient tout raide, je crois que je lui fais peur. Je grogne en montrant les dents, hi hi. Il a peur.

Cracotte, au pied, on rentre. Cherche le campement, cherche !
Fini de s'amuser. Faut que je ramène les chasseurs au campement, il parait. Je vous le dis, sans moi, ils seraient incapables de faire quoi que ce soit.
Russocarine
Faire le brancard ne fut pas une chose facile, avec Cracotte qui n'arrêtait pas de leur passer entre les jambes, alors que Gribouille faisait la sieste sur la croupe du cheval Mandoline. Heureusement, l'arrivée d'un nouveau médicastre les débarrassa momentanément du chien, dont les grognements semblaient inquiéter leur hôte. Et inquiéter un médicastre, ce n'est jamais bon, surtout quand ils doivent vous recoudre la main. Ils peuvent décider de faire tout ça au point de croix, et vous finissez avec une cicatrice digne des pires bas-fonds.

(le 3eme médicatre) « Bonjour Nennya, bonjour Achillée, bonjour Mesdames et Messieurs. Vous m’avez appelé ? »

Et de saluer le 3ème médicastre, en se disant qu'ils commencent à être nombreux dans le coin, et que la rectrice l'a surement appelé en renfort pour la ligoter, elle, pendant qu'elle lui coupe le bras pour pouvoir lui recoudre la main plus tranquillement. Le plus sage est de rentrer darre-darre au campement, avant qu'il ne soit trop tard.

Le Bon soir, Sire. Vous ne vous offenserez pas si nous regagnons le camp dès maintenant ? Je dois inspecter les trophées de chasse. Et maintenant que ma peau d'ours sert de brancard, je suis glacifiée, et je ne voudrais pas attraper un de ces maux hivernaux qui vous brûlent la poitrine et vous font tousser nuit et jour.

Hop, une excuse de servie, une. Quoi que, à la vérité, il ne faisait pas chaud. Et de siffler un Cracotte encombrant

Cracotte, au pied, on rentre. Cherche le campement, cherche !

Regard rapide, tout le monde est là, oui, presque. Manque Aymeric, qu'on aperçoit tapi dans les buissons avec un baton à la main.
Cracotte !!! Va Chercher Aymeric !!

Et de se remettre en selle, et de prendre la direction du campement.
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Nennya
Les solutions étaient minces, et Nennya espérait que son assistant arrive rapidement sur les lieux, en attendant Russo commençait à penser à un brancard, si la rectrice avait su, elle aurait prévu plus large encore. Elle dit à pouet pouet girl :

-C’est une bonne idée, nous allons essayer

Jake était arrivé, saluant l’assemblée, Nennya vit qu’il était bien blanc, ah un médecin qui avait peur du sang ?Pourtant, il n’avait pas montré faiblardise lors de l’amputation de ce malade qu’il avait eu à l’Ostel Dieu. Elle fit avec soins un brancard des plus simples, et Nennya s’adressant à Jake et Achilée, elle demanda :

-Portez le avec moi Jake, Achilée

L’homme allait être lourd à prendre, et en plus il était inconscient, le chemin et la rudesse de celui-ci serait dur pour les trois médecins, elle ordonna :

-Levons le à trois, un, deux, trois


Elle hissa le brancard, l’homme gisant inerte dessus en compagnie de ses collègues. Dieu qu’elle se souviendrait de cette journée, et en plus, Russo croyait certainement qu’elle l’oublierait, or Nennya, avait une mémoire terrifiante pour ce type de choses.
La Duchesse était prête à déployer toutes ses forces, avec l’aide de Saint Michel.

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Aymeric_de_saunhac
Aymeric grignotait toujours son bout de bois en espérant faire sortir le castor. Visiblement, l’animal n’avait aucunement l’intention de pointer son museau au dehors. Aymeric se grattait la tête en cherchant la raison de son échec. Ce castor n’aimait peut être pas tant que cela le bois? Ou alors juste un certain type de bois, un peu comme certaines personnes qui raffolaient de la bière mais ne s’aventureraient jamais à boire une gorgée d’eau. En somme, le castor ressemblait probablement au Senher Zak.

Résigné, Aymeric s’apprêtait à se relever lorsqu’il se retrouva projeté en arrière par une grosse boule de poils qui lui écrasait le torse. Un ourson ? Non… juste cracotte qui bavait un peu partout sur son pourpoint et laissait ses empruntes maculées de boue un peu partout sur Aymeric. Voila, il était cuit, le bain serait pour lui à coup sûr. Roupillant l’animal il se relevait tant bien que mal. Des injures, Cracotte en avait cure, il était déjà reparti en courant en direction du groupe qu’Aymeric devinait au loin.

En scelle, Aymeric talonnait son poney afin de rattraper sa tante et ses maistres. Il voulait être là lorsque le changlier serait préparé pour le festin. Après tout il devait encore récupérer son dû, les oreilles.

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jake
A peine arrivé sur le lieu du groupe qu’un chien vient renifler ses pieds et ses braies. Le cabot aboie et puis grogne. Jake reste figé sur place le teint blême. Heureusement, une dame l’appela et celui-ci obéit à sa maîtresse. Jake poussa un soupire de soulagement.

Il avait salué le groupe, oubliant de se présenter. Ce n'était plus vraiment le moment. La dame proposa de retourner au camp avec le blessé inconscient et de le porter sur un brancard. Ce n’était pas une mauvaise idée. La rectrice donna directement les indications à ses apprentis.


« Oui Nennya, A la une, à la deux, à la trois ! »

Ils déposèrent le corps sur la civière et le portèrent prêt à suivre toute la troupe au campement. Cette journée était bien éprouvante pour Jake, il était temps qu’elle se finisse. Ce n’était pas la fatigue que le gênait mais la vue et les aboiements intempestifs des chiens qui le rendait pale comme l’un des patients de l’Hôtel-Dieu.
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