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[RP] La salle du Chêne ducal: vos questions aux conseillers

Mister_j
Citation:
Allons, on ne parle décemment pas comme ça d'une Vicomtesse, passée maitre dans l'art de la rhétorique et de la politique, et Présidente du ban, soit dit en passant nommée par ses pairs comme leur figure de proue...


Alors comment aborder le fait qu'une Vicomtesse, figure de proue, se leste de ragots calomnieux devant tout l'équipage d'un navire champenois?

Excusez-moi encore pour l'image...
Ricw
On peut toujours lui rappeller le codex, les articles sur la diffamation et la trahison, par exemple

Ce genre de piqure de rappel ne fait pas de mal
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Ysa
Ysa avait entendu des rumeurs qui ne lui plaisaient guère, et qui d'ailleurs ravivèrent en elle de très mauvais souvenirs. Souhaitant en savoir davantage et vu que le conseil ne daignait pas informer les maires de la situation alors qu'ils étaient pourtant en première ligne, elle était venue écouter les propos qui s'échangeaient sous le chêne. Peut être y obtiendrait-elle plus de renseignements lui permettant de gérer au mieux Compiègne, les compiégnois et leurs voisins.

Elle aperçut d'ailleurs deux de ses confrères qu'elle salua d'un petit signe de tête.

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Ylalang
Citation:
Allons, on ne parle décemment pas comme ça d'une Vicomtesse, passée maitre dans l'art de la rhétorique et de la politique, et Présidente du ban, soit dit en passant nommée par ses pairs comme leur figure de proue...


Franchement Brienne, c'est gentil de me flatter, mais ne vous donnez pas cette peine, je sais déjà très bien ce que je vaux.

Puis se tournant vers MisterJ.

A propos de lecture de Codex, je vous invite à relire les définitions de trahison et de diffamation, je ne me rappelle pas en avoir fait récemment, remémorez-vous mes propos. Il vous sera donc difficile de me mener en procès, surtout si le chambellan artésien et la Comtesse d'Artois Gnia se mèlent de cette affaire.

Puis à la cantonade.

Et quant à vous plaindre de désinformation, encore faudrait-il que le conseil se donne la peine de donner des informations basiques sur ce qui se passe actuellement en Champagne.

Quant à me justifier de mes actions, je dirais : "lesquelles ?". Je n'ai fait que poser une question.

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Mister_j
Citation:
Puis se tournant vers MisterJ.

A propos de lecture de Codex, je vous invite à relire les définitions de trahison et de diffamation, je ne me rappelle pas en avoir fait récemment, remémorez-vous mes propos


S'il vous plait, ne me prennez pas comme une personne inculte... Vos propos n'ont pour l'instant aucun fondements, et atteignent l'integrité d'une personne... Melez les autres parties, montrez les preuves, et la je ne ferai que vous appuyer dans votre demarche, si cela pourrait de plus rester plus discret que cela...
La "Rumeur" detruit la crédibilité, l'honneur.

Puis si je lis bien le codex puisque vous y faites penser, n'existe--t-il pas un article sur le respect du conseil ducal? Soit je serai comme vous sur l'application de cet article, moi même je pense n'applique pas celui-ci mais il y a des limites...

On se connait que peu, alors je ne vous juge pas pour votre passé, mais pour votre acte d'aujourd'hui... Qui n'est en aucun cas réfléchit, c'est bien domage.
Rajavidia
Le Sergent Maréchal qui avait accompagné la Maire, Ysa d'Airain, de la bonne ville de Compiègne, écouta les propos de chacun. Impressionné par les Grands présents en ce lieu, il n'osa prendre la parole.

Modeste forgeron, il servait ssa ville avec passion et dévouement, et c'est pour cette raison qu'il avait voulu accompagner Ysa d'Airain dans ce lieu.

Une guerre, et pire encore, une rumeur de guerre, pouvait affoler la population, faire flamber les prix aux marchés, faire fuire les nouveaux arrivants, mettre en route des marchés noire ou des armes seraient vendu malgrés les Lois en vigeur en Champagne.

Puisse Christos apporter le calme dans les esprits. Il ne faudrait pas qu'une rumeur soit un Casus Belli entre les deux Duchés.

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Shauwdi
Shauwdi était de la légèreté dont certains faisaient preuve en tenant des propos pourtant bien lourds.

Il me semble nécessaire que tout le monde se calme et revienne à la raison. Il n'y a à l'heure actuelle aucun souci réel avec l'Artois. Je crois qu'il est dans l'intérêt des champenois comme des artésiens de poursuivre le dialogue, certes fragile, mais dialogue quand même, en cours ces derniers temps.
Coyuna
Citation:
Ici, je suis au regret de devoir défendre mon honneur et celui de ma famille contre des allégations fallacieuses. Une personne affirme haut et fort que je suis à l'origine d'une rumeur selon laquelle, et je cite, la Champagne s'apprête à attaquer l'Artois.


Je vous comprend fort bien Matabei j'en aurai fait tout autant, mais comprenez aussi que nous sommes tous inquiets de la securite de nos villes, nous sommes en paix avec nos voisins et nous souhaitons voir nos duché s'entendre pour le bien de nos deux provinces, je suis sur que nous pouvons nous aider les uns les autres.

Je n'ai jamais dit que c'etait vous qui avez affirmé ces dires enfin ses ouï dire plutot...



Se tournant vers Shauwdi.

Il me semble que personne ne s'enervent Shauwdi nous discutons et essayons d'avoir des informations comme je le dit plus haut pour la securite de nos villages.

S'incline
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Maltea
si vous n'avez pas été averti c'est qu'il y a une bonne raison à ça! A quoi bon crier aux loups si rien ne se passe.

Un peu de patience et vous aurez une réponse plus explicite à vos questions. Un communiqué sera rendu public d'ici peu.

on vous a dit qu'il n'y avait rien mis à part une escalade des rumeurs de part et d'autre entre la champagne et l'Artois, et des personnes se pensant au dessus des lois, faites nous confiance.


Il n'y aura pas une troisieme guerre Artois/Champagne, la comtesse Gnia et moi même y veillons. Cela vous convient-il comme réponse?
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Coyuna
Maintenant oui merci Duchesse d'avoir repondu a mes interrogation, je suis rassurée que nos deux duchés ne sont pas en froid il sera dommage que cela arrive...

Je vous fait confiance pour faire regner la paix entre nous.

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Maltea
merci dame Coyuna.
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Shauwdi
Shauwdi se tournant vers Coyuna.

Il ne me semble pas avoir dit que vous vous étiez énervés, j'ai juste appelé à débattre plus calmement. Je crois que sa grâce Maltea vient de nous apporter les réponses qui amèneront à un apaisement de la situation.
Royalkonee
Royalkonee avait tout écouté et bien regretté que la Duchesse dût se déculotter devant les Artésiens pour une sombre histoire d'où sortait encore le nom de Matabéi......... comme par hasard! Elle pensa au pauvre Ricoh qui devait se retourner dans sa tombe et sourit..........

Elle ne pût s'empêcher non plus, de penser au vieil adage qui dit qu'il n'y a jamais de fumée sans feu........

Le sage aurait il encore fait une de ses fameuses boulettes orientales dont lui seul avait le secret?

Pensant qu'elle devait partir au couvent, elle se demandait si elle pourrait savoir le fin mot de l'histoire et dû se mordre les lèvres pour ne pas ouvrir la bouche. Elle décidât donc d'en rire en pensant à ce que pouvait être les discussions du conseil ducal!
Mister_j
MJ vit une Dame passer devant lui en marquant un temps d'arrêt.
A son regard, cette Dame paraissait se faire sa propre opinion, mais quelle jugement pouvait elle se faire sur de simples rumeurs? Que pouvait elle penser, de toute cette histoire?
Le peuple se déplaçait en ses lieux avec pour seul but, se faire une idée qui malheureusement, se basait sur aucun fondement. Devrons nous voir demain un peuple se déchirer sur des querelles émanant d’un simple ragot, ou juste d’une incompréhension ?

Mais MJ pensait que la nature de l’Homme est ainsi faite, et que le jugement hâtif prenait une part bien importante dans la vie en société.

Il eut une sueur froide quant à penser à l’avenir d’une communauté qui par cette occasion devait atteindre le summum de la bêtise humaine . La réflexion fait de l’Homme se qu’il est.
Il préféra se retirer, car au vue de l’importance donnée à cette affaire, il ne parut qu’une sanction unilatérale, celle du Messire Matabei se faisant souiller son honneur.
Onagre
S'avançant majestueusement, Onagre fit son apparition sous le chêne. Il va sans dire que l'éclat de ses cheveux grisonnant allait de paire avec la beauté de sa peau. Onagre ce beau pur-sang ne lésinait pas sur les bienfaits médicinaux. Tout les matins à l'aube, le beau Sire s'en allait quérir un gueux pour lui apporter une bassine d'eau bouillante. Le visage humidifié, le médicastre se massait alors délicatement à l'aide d'un onguent hydratant. Ceci fait, le bel homme se laissait alors laver le reste du corps par deux servantes vêtues du plus simple habit. Cela était dit-on, un bon stimulant matinal. Aussi, soucieux de suivre ces préceptes orientaux à la lettre, telle le grand médicastre Avicennes, Onagre ne manquait jamais cet instant pour lequel il y mettait tout son zèle.

Mais aujourd'hui le médicastre n'était pas là pour parler médecine. Non, pas en cet instant si grave où l'âme de la Champagne était en jeu. Il était de son devoir d'intervenir... Son coeur ne pouvait plus porter ce fardeau... Il lui fallait parler pour soulager sa conscience ! Pourtant Dieu lui-même aurait pu assurer de la noirceur de celle-ci. Combien de choses affreuses avait-il jusqu'alors caché ? Ces cadavres déterrés pour la Science... Ces prisonniers mutilés et disséqués pour cette même Mère. Et tout ceci en l'échange de quoi ?... De quelques bons procédés avec la noblesse Champenoise... Un poison par-ci, un remède par là... Mais toujours... Oui toujours... 200 pièces d'or à la clé ! C'est ce qui le faisait tenir. Ce but inchangé qui jamais ne faisait défaut... Ces 200 pièces d'or...

Aussi, s'avançant toujours avec majesté, le médicastre hurla sa détresse :


- Ylalang je vous aime !! Je vous ai toujours aimé ! Depuis ce jour où je vous ai vu la toute première fois et où votre regard hautain et dédaigneux s'est posé sur ma personne. Ce jour là vous m'avez envoûté ! Votre goût pour le vice, goût que j'ai au premier instant su déceler chez vous, ce goût si pur qui m'a fait entrevoir tant d'instants futurs où vous et moi, une combinaison de cuir et une cravache... Nous nous aimions tendrement... Ce goût dis-je ! M'a ensorcelé ! Vicomtesse d'Avize ! Je vous en conjure ! Ne me rejetez pas ! Au contraire laissez-moi être votre fidèle chevalier, votre défenseur ! Regardez belle Dame ! Je vais ici vous montrez ma loyauté et faire mordre la poussière à ces goujats qui vous insulte !

Se tournant vers Matabei :

- Messire ! Laissez moi reprendre vos propos ! Je cite :

Citation:
Le simple fait d'accoler le mot Kakita avec celui "d'attaque" ou "d'agression" montre bien à quel point il ne s'agit là que d'une machination.


Citation:
il est complètement antinomique d'affirmer qu'un Kakita puisse être à l'origine d'une "action d'agression"


- Messire ! Sachez que l'argument est bien faible ! Ou alors vous réclamez vous de l'école Stoïcienne tel Zénon de Citium pour qui l'évidence est la base de la connaissance et la représentation compréhensive le critère de la vérité ? Mais est-il ici évident à tous que "Kakita" et "agression" sont antinomiques ? Ne vous êtes vous jamais emporté de colère ? Ne vous êtes vous jamais pris à qui que ce soit par excès de passion ? Cette passion qu'est précisement la colère et qui parfois nous mène à nous en prendre à ceux qui ne l'ont pas mérité ? Pouvez vous nous l'assurez ? Ceci ne vous est jamais arrivé et ne vous arrivera jamais ? Je me souviens pourtant bien de certains débats où votre langue habile s'amusant des mots se complaisait à discréditer certaines personnes. N'est-ce pas là une agression ? Certes celle-ci vous était peut-être plaisante et perçu comme bon enfant ! Mais êtes vous certains que la personne en face l'ai pris de la sorte ? Car oui ! Je vous le dis haut et fort ! Vous m'avez fait pleurer ! Oui Messire ! Vous m'avez fait pleurer ! Vous avez blessé mon coeur ! Et que n'aurais-je fait si l'épaule de ce bon Richard Wagner n'avait été là pour épancher mes pleurs ? Je ne préfère pas l'imaginer !

Aussi Messire ! Il vous faudra être plus persuasif que cela ! Car jamais nous ne nous laisserons berner par pareille manoeuvre !


Se tournant vers Messire Koroseth :

- Mais qu'ouï-je ? N'ai-je pas fini avec un qu'un nouveau se montre insolant avec l'élue de mon coeur ? Messire ! N'avez vous donc pas honte de heurter ainsi la vertu d'une si belle Dame ? Regardez donc ce que votre bouche fait endurer à nos oreilles fragiles :

Citation:
Vous allez peut-être trouver ma demande un peu déplacée et loin de moi l'idée de vous forcer à quoi que ce soit, mais serait-il possible que...


- Et bien non Messire ! Ce n'est pas possible ! Jamais je ne vous laisserai insulter et encore moins souiller la Vicomtesse d'Avize ! Si seulement je n'avais peur d'abîmer mon gant je vous soumettrai un soufflet !

Est-ce de la sorte que l'on parle à une Dame ? Vous tous ici vous m'indignez ! Tous autant que vous êtes...Sauf Richard et Maltea pour qui j'ai beaucoup d'affection...


- Sur ce ! Je me retire ! Je ne puis supportez de voir ainsi ma tendre et chère être insultée de la sorte ! Ma Dame ! Je vous invite à me rejoindre ! Laissons ici ces fripons !

Et comme il était venu, Onagre se retira avec majesté...

NB : cette intervention est humoristique. Toute tentative de procès est par conséquent impossible ! Et c'est pas moi qui le dit, mais le Très-Haut. (oui il me parle ! Régulièrement d'ailleurs ! Comment ça je suis fou ? Mais non ! Mais... Messires ! Veuillez me lâchez ! Non ! je ne retournerais pas chez les moines !! NONN !!!
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