Tchantches
Tchantchès, vieux, laid et sans presque plus aucune dent dans la machoire débarquait enfin en provence.
Plus d'un an plus tôt déjà les armées freançais l'avait empêché de venir aider la provence en difficulté.
Cette fois il était là, mais le travail semblait déjà presque fini.
Lui le fier Helvète, Fribourgeois, capitaine à l'armée Fribourgeoise et surtout fondateur et Sénéchal de la Noblesse Noire, n'allait pas tirer son épée contre les arrogogants françoys ?
Fi de la diplomatie, il fallait permétrer les libertés des provinces contre un empire lointain et si loin des aspiration des braves gens.
L'helvétie et la provence étaient soeurs il est heureux que ces deux peuples s'entraident.
Tchantchès fatigué du voyage, il n'était plus si vaillant que par le passé, alla se reposer dans les tavernes de Draguignan.
Il n'y rencontra presque personne.
L'ambiance dans le village étaéit triste.
Quand pourrait-il se battre et enfin quitter ce monde injuste ?
Le très haut allait bien enfin lui accorder ses grandes vacances tant désirées ?
Tchantchès débarassait son paquetage et montait dans la chambre de l'auberge "L'auberge du cheval blanc".
Le général Zefamousmitch lui tapa sur l'épaule.
- Tchan ça va ? Tu as l'air fatigué.
- ça ira Zefa, mais tu sais, passé 40 ans c'est dur d'être chevalier.
- Hé Tchan tu es increvable, et puis que ferait ta Noblesse Noire sans toi ?
- Sans moi la Noblesse Noire suivra la voie tracée par Aristote, il est le guide, pas moi.
Tchantchès le regarda droit dans les yeux.
Tu sais Zefa, pour moi, rien n'a plus d'importance que de trouver la porte de sortie de manière digne. Périr les armes à la main pour une noble cause, vaut mieux que de continuer à ne manger que des légumes écrasés dans de l'eau chaude.
Zefa se mit à rire et laissa le vieux Tchan installer son humble logis.
Qui sait, dmeain peut-être ils chargeraient encorue ensemble comme tant de fois auparavant contre le lion de Juda.
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Plus d'un an plus tôt déjà les armées freançais l'avait empêché de venir aider la provence en difficulté.
Cette fois il était là, mais le travail semblait déjà presque fini.
Lui le fier Helvète, Fribourgeois, capitaine à l'armée Fribourgeoise et surtout fondateur et Sénéchal de la Noblesse Noire, n'allait pas tirer son épée contre les arrogogants françoys ?
Fi de la diplomatie, il fallait permétrer les libertés des provinces contre un empire lointain et si loin des aspiration des braves gens.
L'helvétie et la provence étaient soeurs il est heureux que ces deux peuples s'entraident.
Tchantchès fatigué du voyage, il n'était plus si vaillant que par le passé, alla se reposer dans les tavernes de Draguignan.
Il n'y rencontra presque personne.
L'ambiance dans le village étaéit triste.
Quand pourrait-il se battre et enfin quitter ce monde injuste ?
Le très haut allait bien enfin lui accorder ses grandes vacances tant désirées ?
Tchantchès débarassait son paquetage et montait dans la chambre de l'auberge "L'auberge du cheval blanc".
Le général Zefamousmitch lui tapa sur l'épaule.
- Tchan ça va ? Tu as l'air fatigué.
- ça ira Zefa, mais tu sais, passé 40 ans c'est dur d'être chevalier.
- Hé Tchan tu es increvable, et puis que ferait ta Noblesse Noire sans toi ?
- Sans moi la Noblesse Noire suivra la voie tracée par Aristote, il est le guide, pas moi.
Tchantchès le regarda droit dans les yeux.
Tu sais Zefa, pour moi, rien n'a plus d'importance que de trouver la porte de sortie de manière digne. Périr les armes à la main pour une noble cause, vaut mieux que de continuer à ne manger que des légumes écrasés dans de l'eau chaude.
Zefa se mit à rire et laissa le vieux Tchan installer son humble logis.
Qui sait, dmeain peut-être ils chargeraient encorue ensemble comme tant de fois auparavant contre le lion de Juda.
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