Lothem
Lothem se baladait entre les tentes des soldats, demandant à gauche à droite après les fribourgeois.
Dites, vous savez ou je peux trouver un grand chevalier qui sent mauvais et un vieux général un peu enveloppé ? Possible qu'ils soient un peu souls quand vous les avez rencontré.
Mais personne ne savait le renseigner jusqu'au moment ou : allez voir vers la bas, dit un vieux provençal avec une armure toute rouillée en indiquant vaguement une direction.
Ah ! par la ! Ça c'est de l'indication à 1 écu.
Lothem continua donc sa recherche vers "la-bas".
Lothem!!! Ha ben te voilà finalement!!! Il t'en a fallu du temps pour te remettre de ton rhume!!! Les infirmières milanaises t'ont-elles rendu hypocondriaque?
Lothem se retourna et se retrouva dans un étau. C'était son ancien Lieutenant-Général de l'ACF qui le secouait comme un prunier.
Alors que lui des fruits, il en avait vu toute la journée d'hier à travailler dans les vergers d'Aix, il essaya de se dégager, mais en vain. C'est qu'il était fort le Zefa. Et il semblait que voir Lothem lui faisait vraiment plaisir car il continuait à le secouer tout en poursuivant la discussion.
Lothem tentait de lâcher quelques mots
Ou...ou...ouuiii j'va va vais bien...
Mais il n'était pas facile de parler dans une situation pareil.
Aaaah Lothem, quel bonheur de te voir. Tu m'as fait peur.
Au fait j'ai appris que le long voyage et les nuits d'hotel ont sérieusement entamés ta bourse. Si je peux t'aider n'hésites pas.
Il te suffit de vendre un pain au prix maximum, fais moi un message, et je te le prendrai.
Et puis Lothem, il faut que je te parle de Sigrid, ma fille adoptive.
Si je meurs au combat, il te faudra la rassurer et lui transmettre mes effets.
Cette fois, il reconnut le vieux chevalier et profita de la distraction de l'ancien LG pour s'échapper de sa prise.
Tchan, ca me fait plaisir de te voir. K'mint va-t-i ? Qué novèles ? t'aurais nin un peu d'peket ? c'est qu'je suis en manque.
T'en fait pas pour le moment pour ma bourse, je connais ton sens du partage aristotélicien, mais j'essayerais de m'en sortir. D'autres sont bien plus dans le besoin que moi. Quant à Sigrid, figure toi que j'ai eu de ses nouvelles en chemin. Elle m'a demandé de veiller sur toi. Je lui ai promis que si il le fallait, je serais près à sacrifier ma vie pour préserver la tienne. Elle m'a demandé d'être son parrain de baptême également, mais comme tu le sais, j'ai connu quelques soucis de prêtre fribourgeois qui ne m'a pas permis de rejoindre la grande famille aristotélicienne.
Pfui, ca en faisait des paroles, et il n'avait même plus une goutte de peket sur lui. Lothem jeta donc un regard suppliant vers son compatriote fribourgeois...et liégeois, tout comme lui.
Dites, vous savez ou je peux trouver un grand chevalier qui sent mauvais et un vieux général un peu enveloppé ? Possible qu'ils soient un peu souls quand vous les avez rencontré.
Mais personne ne savait le renseigner jusqu'au moment ou : allez voir vers la bas, dit un vieux provençal avec une armure toute rouillée en indiquant vaguement une direction.
Ah ! par la ! Ça c'est de l'indication à 1 écu.
Lothem continua donc sa recherche vers "la-bas".
Lothem!!! Ha ben te voilà finalement!!! Il t'en a fallu du temps pour te remettre de ton rhume!!! Les infirmières milanaises t'ont-elles rendu hypocondriaque?
Lothem se retourna et se retrouva dans un étau. C'était son ancien Lieutenant-Général de l'ACF qui le secouait comme un prunier.
Alors que lui des fruits, il en avait vu toute la journée d'hier à travailler dans les vergers d'Aix, il essaya de se dégager, mais en vain. C'est qu'il était fort le Zefa. Et il semblait que voir Lothem lui faisait vraiment plaisir car il continuait à le secouer tout en poursuivant la discussion.
Lothem tentait de lâcher quelques mots
Ou...ou...ouuiii j'va va vais bien...
Mais il n'était pas facile de parler dans une situation pareil.
Aaaah Lothem, quel bonheur de te voir. Tu m'as fait peur.
Au fait j'ai appris que le long voyage et les nuits d'hotel ont sérieusement entamés ta bourse. Si je peux t'aider n'hésites pas.
Il te suffit de vendre un pain au prix maximum, fais moi un message, et je te le prendrai.
Et puis Lothem, il faut que je te parle de Sigrid, ma fille adoptive.
Si je meurs au combat, il te faudra la rassurer et lui transmettre mes effets.
Cette fois, il reconnut le vieux chevalier et profita de la distraction de l'ancien LG pour s'échapper de sa prise.
Tchan, ca me fait plaisir de te voir. K'mint va-t-i ? Qué novèles ? t'aurais nin un peu d'peket ? c'est qu'je suis en manque.
T'en fait pas pour le moment pour ma bourse, je connais ton sens du partage aristotélicien, mais j'essayerais de m'en sortir. D'autres sont bien plus dans le besoin que moi. Quant à Sigrid, figure toi que j'ai eu de ses nouvelles en chemin. Elle m'a demandé de veiller sur toi. Je lui ai promis que si il le fallait, je serais près à sacrifier ma vie pour préserver la tienne. Elle m'a demandé d'être son parrain de baptême également, mais comme tu le sais, j'ai connu quelques soucis de prêtre fribourgeois qui ne m'a pas permis de rejoindre la grande famille aristotélicienne.
Pfui, ca en faisait des paroles, et il n'avait même plus une goutte de peket sur lui. Lothem jeta donc un regard suppliant vers son compatriote fribourgeois...et liégeois, tout comme lui.