Lothem
[Aix 22 février 1458]
(Partie 1)
Cela faisait une dizaine de jour que Lothem était arrivé à Aix. Il était sur les remparts à contempler les plaines où bientôt aurait lieu des combats sanglants.
Bientôt ? Quest ce que signifiait bientôt ? Il ne savait trop tant lattente de combattre les armées françaises sallongeait. Bientôt pouvait autant être demain que dans cinq jours. Et on ne les informait guère sur le déroulement des opérations.
Tout comme il navait toujours pas compris le but de la manuvre de ses derniers jours en compagne provençale.
Enfin soit, avec cette petite promenade il avait eu loccasion de voir Marseille, Toulon et, Brignole.
Il avait appris que Zefa avait été mortellement blessé dans une petite escarmouche avec de simples voyageurs qui ne demandaient quà franchir les lignes. Chose qui semblait impossible pour la générale de larmée de Zefamousmitche. Heureusement pour lancien LG, il avait eu affaire à de très bon médicastres qui avaient empêché que le fribourgeois ne trépasse. Lothem irait voir son ami et compatriote là ou il reposait maintenant quil était rentré à Aix.
Il était encore tôt et le soleil commençait à peine à éclairer de ses rayons les murs de la capitale. Lothem tenait en main une lettre. Une lettre qui lavait perturbé, une lettre qui lavait fait passer de la peine à la joie, de la tristesse au réconfort. Il ne savait trop quoi penser de ces quelques mots écrits sur un parchemin. Et ce nest pas les nombreuses relectures qui lavaient aidé.
Encore une fois il déplia le papier chiffonné à force dusage.
Un sourire, puis une larme, puis un sourire, ca y est, ca le reprenait. Elle le pardonnait, mais il lavait abandonné aux lions, à ceux quil avait toujours combattus. Bien quil avait dit dans une lettre précédent que cela ne lempêcherait pas de la revoir, il nen était plus très sur maintenant que par sa main elle lui avait signifié clairement son appartenance aux intégristes réformés. Mais il laimait encore...Oh ca oui. Sinon il ne pouvait expliquer cette peine, cette douleur dans son cur, ce sentiment de solitude depuis quil ne lavait plus à ses cotés.
Il priait depuis quil avait reçu ce bout de papier, il priait pour sa rédemption, pour comprendre, pour recevoir un signe, un encouragement du Très Haut.
Et il était la, sur les remparts dAix, à attendre ce qui ne venait pas.
Une solution, il lui fallait une solution à ses problèmes.
(Partie 1)
Cela faisait une dizaine de jour que Lothem était arrivé à Aix. Il était sur les remparts à contempler les plaines où bientôt aurait lieu des combats sanglants.
Bientôt ? Quest ce que signifiait bientôt ? Il ne savait trop tant lattente de combattre les armées françaises sallongeait. Bientôt pouvait autant être demain que dans cinq jours. Et on ne les informait guère sur le déroulement des opérations.
Tout comme il navait toujours pas compris le but de la manuvre de ses derniers jours en compagne provençale.
Enfin soit, avec cette petite promenade il avait eu loccasion de voir Marseille, Toulon et, Brignole.
Il avait appris que Zefa avait été mortellement blessé dans une petite escarmouche avec de simples voyageurs qui ne demandaient quà franchir les lignes. Chose qui semblait impossible pour la générale de larmée de Zefamousmitche. Heureusement pour lancien LG, il avait eu affaire à de très bon médicastres qui avaient empêché que le fribourgeois ne trépasse. Lothem irait voir son ami et compatriote là ou il reposait maintenant quil était rentré à Aix.
Il était encore tôt et le soleil commençait à peine à éclairer de ses rayons les murs de la capitale. Lothem tenait en main une lettre. Une lettre qui lavait perturbé, une lettre qui lavait fait passer de la peine à la joie, de la tristesse au réconfort. Il ne savait trop quoi penser de ces quelques mots écrits sur un parchemin. Et ce nest pas les nombreuses relectures qui lavaient aidé.
Encore une fois il déplia le papier chiffonné à force dusage.
Un sourire, puis une larme, puis un sourire, ca y est, ca le reprenait. Elle le pardonnait, mais il lavait abandonné aux lions, à ceux quil avait toujours combattus. Bien quil avait dit dans une lettre précédent que cela ne lempêcherait pas de la revoir, il nen était plus très sur maintenant que par sa main elle lui avait signifié clairement son appartenance aux intégristes réformés. Mais il laimait encore...Oh ca oui. Sinon il ne pouvait expliquer cette peine, cette douleur dans son cur, ce sentiment de solitude depuis quil ne lavait plus à ses cotés.
Il priait depuis quil avait reçu ce bout de papier, il priait pour sa rédemption, pour comprendre, pour recevoir un signe, un encouragement du Très Haut.
Et il était la, sur les remparts dAix, à attendre ce qui ne venait pas.
Une solution, il lui fallait une solution à ses problèmes.