Chlodwig_von_frayner
Les ecclésiastiques ne mourraient pas réellement disaient on parmi les gens crédules de ses terres, ils accédaient directement au paradis. Peut être aurait il du alors se faire curé
ou plus
plutôt que de chercher désespérément des ersatz de salut dans les confessions quil multipliait pour tenter de se faire pardonner ses innombrables péchés
toujours plus nombreux. Au moins, si il pensait égoïstement, il avait été absout, cette fois ci. Lévêque navait pas fuis en lentendant, ne lavait pas promis à la damnation éternelle comme le précédent. Pas un mal dailleurs. Il se sentait mieux
moins
tourmenté
Une étrange sensation, mélange de félicité, de doute et de soulagement lavait envahit lorsquelle avait prononcé les mots magiques qui lavaient libéré du poids de ses fautes. Il avait peur dans le fond de cet au-delà, dont il ignorait tout
il avait peur de se retrouver sur la lune en compagnie des princes démons. Que naurait il donné si il avait pu sacheter de suite sa place au paradis solaire ! Non
il devait se coltiner le poids des craintes
Voilà quel était son but caché, secret
jusquau dernier instant, réussir à se faire pardonner ses péchés.
Et aujourdhui la seule personne qui avait accepté de lentendre était morte. Que ressentait il dans le fond pour cette vieille femme encore bien conservée, usée prématurément par la Lorraine, comme tout à chacun létait après y avoir trop résidé ? De la gratitude certes et puis autre chose peut être ? Il avait accompagné partie de ses dernières semaines sans savoir à quel point sa fin était proche. Il avait enchaîné les épreuves, les brimades et les humiliations qui navaient dautres but que daccompagner sa rédemption et abaisser sa fierté mal placée. Et lui qui nacceptait de ployer le genou que devant les princes avait du mettre son arrogance dans un coin de sa tête, de ly oublier pendant la durée du séjour et de se plier aux exigences de la femme. Cétait dire à quel point il tenait à être pardonné. Cétait dire à quel point il avait peur de lenfer lunaire
Malgré les ordres et les remontrances, un certain respect, à défaut damitié sétait développé entre eux, lévêque prenant un plaisir particulièrement sadique à le provoquer Le plaisir de la chair étant son principal, mais non son pire, péché, elle sétait mis en devoir de le provoquer pour quil paye sans jamais pouvoir satisfaire ses pulsions. Dieu quil lavait maudite, insultée mentalement, grincé des dents, et tout un tas dautres choses plus ou moins avouables. Mais quand toutes les nuits votre esprit tourmenté vous envoie des images si tentantes, sans jamais pouvoir les atteindre, les nerfs finissent irrémédiablement par lâcher à un moment ou à un autre. Surtout quand des servantes lubriques hantent les couloirs de Coussey. Bref il avait finit par lâcher fort heureusement après labsolution. Ce quil fit après ne mérite pas dêtre raconté afin déviter que vous ayez une trop mauvaise image de lui (pensez donc, il sétait rendu dans une église et avait prié Aristote pour le remercier, et promis quil essaierais de se tenir bon pour la dernière partie il avait essayé, mais en vain).
Oui, il fut bien absout chose à souligner car peu de personnes voulurent bien faire ainsi avec lui (juste may en fait). Le pourquoi de cette acceptation lavait souvent interrogé Quavait il de spécial à ses yeux pour quelle accepte ? Quavait il bien pu dire ou faire pour lamener à de telles dispositions ? Quel étrange défis sétait elle lancé lorsquelle lavait vu pour la première fois ? Tant de questions qui resteraient désormais sans réponses, enfouies 10 pieds sous terre, et pas loin dêtre réduites en poussières. Il ne saurait jamais il lui resterait juste des souvenirs et peut être, lespoir de changer un peu espoirs vite déçus. Morte.. Oui elle létait et avec elle disparaissaient des choses importantes à ses yeux partie de lespérance darriver un jour au soleil partie de la possibilité de trouver un jour quelquun dautre qui le soutiendrait dans cette voie là.
Il sourit en repensant à son visage, à son ombre, à sa stature qui ne se laissaient jamais déstabiliser par lui, ses actions, ou que savait on encore Adieu peut être à bientôt Bon voyage Il ne viendrait pas à lenterrement non pas lenvie Quavait il à y faire ? Il navait été dans le fond quun souvenir furtif pour elle, dans les derniers instants de sa vie, il ne la connaissait pas plus que cela. Adieu, oui
Maintenant il était temps pour lui de régler définitivement les problèmes. Quitte à aller sur la lune autant que se soit pour quelque chose.
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Et aujourdhui la seule personne qui avait accepté de lentendre était morte. Que ressentait il dans le fond pour cette vieille femme encore bien conservée, usée prématurément par la Lorraine, comme tout à chacun létait après y avoir trop résidé ? De la gratitude certes et puis autre chose peut être ? Il avait accompagné partie de ses dernières semaines sans savoir à quel point sa fin était proche. Il avait enchaîné les épreuves, les brimades et les humiliations qui navaient dautres but que daccompagner sa rédemption et abaisser sa fierté mal placée. Et lui qui nacceptait de ployer le genou que devant les princes avait du mettre son arrogance dans un coin de sa tête, de ly oublier pendant la durée du séjour et de se plier aux exigences de la femme. Cétait dire à quel point il tenait à être pardonné. Cétait dire à quel point il avait peur de lenfer lunaire
Malgré les ordres et les remontrances, un certain respect, à défaut damitié sétait développé entre eux, lévêque prenant un plaisir particulièrement sadique à le provoquer Le plaisir de la chair étant son principal, mais non son pire, péché, elle sétait mis en devoir de le provoquer pour quil paye sans jamais pouvoir satisfaire ses pulsions. Dieu quil lavait maudite, insultée mentalement, grincé des dents, et tout un tas dautres choses plus ou moins avouables. Mais quand toutes les nuits votre esprit tourmenté vous envoie des images si tentantes, sans jamais pouvoir les atteindre, les nerfs finissent irrémédiablement par lâcher à un moment ou à un autre. Surtout quand des servantes lubriques hantent les couloirs de Coussey. Bref il avait finit par lâcher fort heureusement après labsolution. Ce quil fit après ne mérite pas dêtre raconté afin déviter que vous ayez une trop mauvaise image de lui (pensez donc, il sétait rendu dans une église et avait prié Aristote pour le remercier, et promis quil essaierais de se tenir bon pour la dernière partie il avait essayé, mais en vain).
Oui, il fut bien absout chose à souligner car peu de personnes voulurent bien faire ainsi avec lui (juste may en fait). Le pourquoi de cette acceptation lavait souvent interrogé Quavait il de spécial à ses yeux pour quelle accepte ? Quavait il bien pu dire ou faire pour lamener à de telles dispositions ? Quel étrange défis sétait elle lancé lorsquelle lavait vu pour la première fois ? Tant de questions qui resteraient désormais sans réponses, enfouies 10 pieds sous terre, et pas loin dêtre réduites en poussières. Il ne saurait jamais il lui resterait juste des souvenirs et peut être, lespoir de changer un peu espoirs vite déçus. Morte.. Oui elle létait et avec elle disparaissaient des choses importantes à ses yeux partie de lespérance darriver un jour au soleil partie de la possibilité de trouver un jour quelquun dautre qui le soutiendrait dans cette voie là.
Il sourit en repensant à son visage, à son ombre, à sa stature qui ne se laissaient jamais déstabiliser par lui, ses actions, ou que savait on encore Adieu peut être à bientôt Bon voyage Il ne viendrait pas à lenterrement non pas lenvie Quavait il à y faire ? Il navait été dans le fond quun souvenir furtif pour elle, dans les derniers instants de sa vie, il ne la connaissait pas plus que cela. Adieu, oui
Maintenant il était temps pour lui de régler définitivement les problèmes. Quitte à aller sur la lune autant que se soit pour quelque chose.
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