Afficher le menu
Information and comments (5)
<<   <   1, 2, 3   >>

[RP] Musique et enlèvement : Etape imprévue

Gourry
La foule était en délire,les gens criaient les noms de leurs idoles.

Les poneys!!!les poneys!!!

Cette fois,c´était au tour de Gourry.Quoi chanter?Un duo avait été préssenti,mais il n´avait aucune mémoire et devait de résoudre a demander a Aimbaut...Mais la,une idée lui vint!
Et ca,c´était vraiment pas courant,pourquoi ne pas y avoir penser plus tôt???
En fait,ca n´était pas du tout son idée,mais celle d´Aimbaut,il le lui avait souffler un peu plus tôt en taverne.
Le public était chaud chaud chaud!!

Il fallait y aller,Gourry s´avanca,commenca a fredonner tout en s´avancant sur la scène et s´approchant d´Aimbaut.
Il chantonna:


-O vas-tu l'ami de ce pas ?
Aimbaud
Les ménestrels se mirent à jouer sur un ton beaucoup plus dramatique. Après la paillarde de Spartan, il fallait en revenir aux choses sérieuses...

Les choristes féminines se mirent de côté, soufflèrent les tambours et frapèrent dans les trompes. L'heure était venue de chanter : la guerre, vile et destructrice.

Aimbaud coiffa son casque costumé de milicien angevin, cabossé par les combats, avec de la bouillie de tomate anachronique pour faire du faux sang. Il donna la réplique à Gourry, pour leur duo d'exception. Dramatique.


Je m'en vais à la gueeerre.
_________________
Gourry
De quelle guerre parles-tu mon gars ?
Aimbaud
Je ne saaais pas.
Je n'en ai que faaaire !


Emporté par ses trémolos, Aimbaud suivit la musique qui s'emplifiait :

Car on se bat toujours quelque paaart
La guerre commence me hanter !
Dans les chansons même on s'égare
C'est si facile de la chanter..


La chanson continua. Les deux protagonistes se répondirent, le visage baigné de larmes et de postillons, ponctuant la mélopée de gestes malheureux envers la foule.

Si les angevins n'en venaient pas à être émus, Aimbaud voulait bien quitter le monde du spectacle.

Le rideau tomba sur la fin.

_________________
Letiti
Le chapeau vissé sur la tête, le diable était enfin arrivé au concert. C'est qu'ils n'avait guère l'habitude d'avancer sur trois pattes. On pourrait aisément croire que ce serait plus facile. Erreur! Grossière erreur. Il réfléchissait d'ailleurs à s'en couper une. Si a trois pattes il avancait moins vite qu'à deux, logiquement à une il irait encore plus vite et a fortiori à zéro. Il nota mentalement de rédiger un nouveau théorème. Voila qui allait révolutionner la locomotion.

Il se fraya donc un chemin à grand coups de cannes. Pas besoin de payer les droits d'entrée, l'émacié chiffré l'avait payé. c'est du moins ce qu'il avait dit à la meilleure amie de celui-ci et présumé trésorière Mahaut.

Une saucisse achetée au passage - hors de prix! il avait bien fait de venir, le concert devait vraiment être excellent - il mastique à coté d'un inconnu qui remuait bizarrement et braillait.


Scrounch
Chez donc cha un conchert
Scrounch
Chi a cheaucoup d'bruit
Scrounch
Les costumes chont pas mal, un peu mal aux yeux quand même
Scrounch
p'tet en mettant un bandeau d'ssus ca éviterai d'avoir mal
Scrounch
Cha pourrait marcher pour l'soleil auchi
Scrounch


Le scien-titi-fique était ravi de l'évènement. Il avait trouvé un voisin fort agréable qui na ralait pas quand il causait (qui a dit qu'il ne l'entendait pas dans tout ce vacarme?). De temps en temps il lui faisait même un sourire niais et hochait la tête. Dommage qu'il doivent remuer sans arrêt. En plus il avait trouvé une nouvelle invention pour se protéger des rayons agressifs du soleil.
Fallait trouver de quoi se rincer le gosier après l'horrible saucisse graisseuse.

_________________
Lluwella
Lulu n’aimait pas, mais alors pas du tout les foules et les foules braillardes encore moins. C’était son côté ermite sans doute.

Mais bon elle lui avait promis de passer, au gamin sérieux qui lui avait donné une invitation l’autre jour à la taverne, (Aimbaud il s’appelait si elle se souvenait bien).
Et Lulu tenait toujours ses promesses quoi qu’il en coûte. Et là vu le monde ça lui en coûtait beaucoup.

Mais au moins il devait être content du succès de son concert le petit.

Quand elle arriva sur la place, il y avait une jeune fille qui chantait accompagnée par les meuglements pitoyables d’une vache. Allez savoir ce que l’animal faisait sur la scène, mais elle avait pas trop l’air d’aimer les hurlements de la foule en délire. D’ici qu’elle saute de l’estrade.
Mais non. La chanson s’acheva sous les applaudissements mais sans dégats bovins à part peut être un peu de lait caillé.

Elle vit ensuite Aimbaud arrivé sur l’estrade avec un autre chanteur avec qui il entama un duo. Ils avaient de jolies voix tous les deux.

Finalement Lulu avait bien fait de venir. C’était un beau spectacle.
Quand le rideau tomba, elle applaudit à tout rompre avec les autres spectateurs.
Erwelyn
Bouche bée.
Elle en était bouche bée.
Une telle maestria de la part de toute l’équipe ne pouvait rester cachée et inconnue. Elle imaginait déjà les tournées à travers tout le royaume, les acclamations… euh… acclamationnantes, les fans en transe devant tant de brio, les lettres qui arriveraient de toute part pour demander la présence de la troupe. Un futur succès, que dis-je, un triomphe !
D’ailleurs, tout ceci lui donnait des idées. Pourquoi ne pas devenir leur mane à geureuh, celle qui les bouquerait partout dans les provinces, du nord au sud, avec un petit pourcentage sur les recettes, cela va sans dire. Le début de la fortune en somme !
Oui, ça c’était de l’idée.

Dès le rideau baissé, Lynette redescendit du tonneau sur lequel elle était grimpé pour voir le pestacle, applaudissant à tout rompre. Mais une fois la troupe disparue de la scène, elle se rappela que dès ce soir, leurs chemins allaient se séparer durant plusieurs mois. Les ponettes rentrant en Périgord, et Lynette retournant en Maine pour préparer ses bagages en direction de l’est, en compagnie de Rheanne, sa nouvelle apprentie.
Non, pas une apprentie ponette, être ponette, ça ne s’apprend pas, ça se vit, ça se ressent, c’est en soi.

Encore une fois, elle se glissa derrière la scène, écrasant des pieds au passage, et retomba dans les bras des poneys plein de sueur d’un travail fort bien accompli.


Vous avez été merveilleux !! Ouanderfoul ! Souperbe ! Fantasmagorique ! Mirobolantissime ! Eblouissants ! Paradisiaques ! So charmaing !
Vous êtes des staaaaaaaaaar nées !
Il faut ab-so-lu-ment remettre ça, ab-so-lu-ment !


Avant de tomber en sanglot, version poneys roses.

Mais je dois partiiiiiir
CAAAAAAAALIIIIIIIIIIIIIIN

_________________
.mahaut.
Elle n'en pouvait plus. Elle crevait de chaud, son talon pété lui avait tordu la cheville environ 15 fois dans la soirée, son maquillage commençait à vaciller, elle avait mal aux fesses à force de taper dessus en rythme, bref ! Elle n'en pouvait plus. Quand le rideau retomba, elle se précipita vers les coulisses. Dieu merci, elle n'avait plus toutes ses couches de vêtements et pouvait bouger plus facilement.

- Vous avez été merveilleux !! Ouanderfoul ! Souperbe ! Fantasmagorique ! Mirobolantissime ! Eblouissants ! Paradisiaques ! So charmaing !
Vous êtes des staaaaaaaaaar nées !
Il faut ab-so-lu-ment remettre ça, ab-so-lu-ment !

- Oh Lyneeeeette, ma chériiiiie ! Tu as aimé ? Comment était le public ? J'ai senti un souffle d'énergie transcendant ce soir. C'était mirifique !
- Mais je dois partiiiiiir
CAAAAAAAALIIIIIIIIIIIIIIN !


Les yeux de la brune se remplirent de larmes. Mais elle ne devait pas pleurer ou alors son mascara deviendrait un naufrage. Aussi décida-t'elle d'agiter ses mains près de ses yeux très vite, en regardant vers le plafond.


- Lynette nooooon ! tu ne peux pas dire ça ! pas "mais je dois partir" ! Je ne sais pas, dis "mais je dois m'en alleeeeer" ! Mais non, c'est trop affreux !

Elle serra la ponette dans ses bras.


- Bon, tu feras attention à toi hein ? Attention aux hommes ! Et ramène nous un noble, hein ! Mon dieu, je suis limite nervous breque dane. Han pis j'ai pas salué !

Elle courut en se vautrant vers la scène, serra Aimbaud dans ses bras au passage et souleva le rideau et salua en jetant sa chemise dans la foule en délire. Oui enfin dans le vide, quoi.

- Adieu, public chériiiiii ! Vous serez pour toujours dans mon foie !
_________________
Orkaange7876
Des champignons.. Des montagnes de champignons.; Des beuglements.; HAN MARGUERITEEEUH... Nan..pas elle.. ben pourquoi elle vole Marguerite?? Pis pourquoi le public se retrouve affublé de droles de chapeaux, pis qu'ils ont la tête toute bleue?? Vite.. Encore une poignée de champignons.. Pour mieux attraper les vaches qui volent.; La blonde s'élance, sautillant sur la scène, tandisque Arthur Nain Beau et crâne d'oeuf d'égosillent... Ell essaye d'attraper Marguerite, bonnets D volant au vent.; Et là c'est le drame.. Un coup de seins mal placé.. Et Arthur vole hors de la scène happé par le public en délire.; Il semble à la Baleine qu'un homme à tête d'oiseau fond sur le petit.. Mais elle est trop occupée à poursuivre la vache volante.; Quand tout à coup, une voix familière vient la tirer de sa transe


- Vous avez été merveilleux !! Ouanderfoul ! Souperbe ! Fantasmagorique ! Mirobolantissime ! Eblouissants ! Paradisiaques ! So charmaing !
Vous êtes des staaaaaaaaaar nées !
Il faut ab-so-lu-ment remettre ça, ab-so-lu-ment !

- Oh Lyneeeeette, ma chériiiiie ! Tu as aimé ? Comment était le public ? J'ai senti un souffle d'énergie transcendant ce soir. C'était mirifique !
- Mais je dois partiiiiiir
CAAAAAAAALIIIIIIIIIIIIIIN !

- Lynette nooooon ! tu ne peux pas dire ça ! pas "mais je dois partir" ! Je ne sais pas, dis "mais je dois m'en alleeeeer" ! Mais non, c'est trop affreux !
- Bon, tu feras attention à toi hein ? Attention aux hommes ! Et ramène nous un noble, hein ! Mon dieu, je suis limite nervous breque dane. Han pis j'ai pas salué !

CAAALIIINNNNNN.. Lynette.. tu nous quitte?? Va je ne te hais point.; Tu nous oublieras je suis sure..
*éclate en sanglots et s'accroche à la botte de la mainoise, qui lui reste dans la main* Voilà.; Comme ça si on te ramène à nous je saurais que c'est toi.. Passque dans dix ans, tu seras vieille hein?? Et peut être que je te reconnaitrai pas.. Alors je te chausserai ta botte, pis on sera heureuses toutes ensemble, à tresser des poneys.. NE NOUS QUITTEEEUH PAAAAAS...; LYNETTEEEEUH

Et la blonde, emportée par ses torrents de larmes, et par un Anatole faisant une moue dégoutée, fut emportée loin de la scène, serrant contre elle son nouveau doudou botte.
_________________
Edwald
Une troupe de fous, de folles, et un tas de spectateurs. Ed venait de trouver son musée des horreurs, il était là sous ses yeux et il en oublia presque d'avaler sa salive tellement supporter pareil bruit et pareille foule l'indisposait.

Le rideau tombe, et telle la team rocket, il était temps de capturer le pikachu des poneys rose. L'homme déguisé en femme s'avança dans la foule, ignora quelques mains au cul, poussant ici et là ceux qui bloquaient son passage, et essaya de ne pas perdre son faux sein en cours de route lequel avait tendance à descendre et gigoter dans tous les sens.

Aimbaud, il était là, entouré par une marmaille de fans en tous genre.

Grâce à son déguisement de groupie digne des plus grands épisodes de fantomas, il parvient à s'approcher suffisamment du Nainbeau pour passer à l'action. Et quelle action ! Cagoule enfilée à la va vite, il s'exclama :


AAAAAAAAAH ! je suis de retour pour vous jouer un mauvais tour !

Cri dévastateur qui ne servait pas à grand chose hors mis surprendre, et là bah justement il fallait surprendre..

Il jeta son déguisement de folle frivole fanatique des 2 BE 3 et se jeta sur Aimbaud. Ed était porteur d'un unique slip en peau de léopard et d'une cagoule assortie, histoire de pas être reconnu. Fallait bien récupérer un peu de sa virilité après ce terrible déguisement, mais le choix de la tunique léopard, ahum, il commençait à douter du coté viril de la chose.

Bref la foule n'y comprend rien, le Aimbaud non plus, et ni une ni deux, il se retrouve porté sur le dos d'un Edwald qui sort de son slip léopard une dague éfilée pour faire reculer la foule...


Reculez reculez ! ou je l'égorge !

Reculez reculez hop hop hop

Ca c'était pas trop prévu au programme mais l'ancien, la légende ambulante, l'homme qui créa dieu, bref le commanditaire n'avait pas précisé que le concert allait amené un tel engouement dans la population, laquelle ralliait fait et cause pour ce petit chanteur à la croix de bois.

Reculez !!

Dague menaçante sur le cou du Aimbaud, Ed, toujours cammouflé sous sa cagoule et son slip léopard parvint à s'extirper de la foule compacte, et file tel l'éclair en direction d'une charrue qui l'attendait, prête à foutre le camp. Le Aimbaud est chargé tant bien que mal, Ed grimpe derrière, et fait signe à son complice de mettre les voiles voyant une nuée arriver derrière lui.

Le hippie du concerto venait d'être enlevé, et était transporté vers celui qui avait commandité ce doux et mélodieux évènement..

_________________
Edwald,
Père d'Elowan.
Frère de Feue Rixende
Aimbaud
[Dans les loges. Eloges.]

Aimbaud se trouvait là entouré par une troupe de groupies, qui criaient en lui écrasant les poulaines. Il distribuait des autographes à la pelle ; à savoir des coeurs dessinés à la craie grasse, sur les mains qu'on lui tendait. Epuisé par la tâche, il allait demander grâce et se faufiler vers la sortie des artistes (où s'engouffraient déjà les Poneys-Roses, tout aussi surmenés que lui), quand un immense travestit - probablement un comédien italien, dont la troupe avait été décimée, et qui venait chercher du travail - le couvrit de son ombre menaçante.

Un cri de guerre éclata.

Et puis la vedette décolla du sol.




[Dans le grand chariot (de bois et de toile).]


Aimbaud fulminait de... Mécontentement. Oui, il aurait bien fulminé de rage, mais c'était contraire à tous ses principes, lui qui méprisait la colère, qui mène à la violence, qui mène à des choses tristes, et au côté obscur de la force. Bref, il était très... Nous dirons : ennuyé.
Ligoté comme une rosette aux noix et aux fruits confits, il fixait l'homme aux minies-braies jaunes, tachetées de noir ; tout en ayant mentalement enregistré cet accoutrement pour : 1) lancer une nouvelle collection printemps-été. 2) dessiner le portrait robot de l'infâme, et le remettre à la maréchaussée.

Il se mit à questionner.


Qui êtes-vous ? Que me voulez-vous ? Où m'emmenez-vous ? Puis-je faire pipi ?

Aucune réponse.

Si vous espérez une rançon, vous espérerez longtemps. Dans le milieu, nous sommes tous intermittents du spectacle. Et gagner de l'argent va à l'encontre de nos convictions, car nous n'engraisserons pas la société de consommation.

Pas de tonalité.

Vous souhaitez connaître ma recette de champignons séchés, et vous allez me torturer pour l'obtenir ? Je veux bien vous la donner, moi. J'ai pas déposé de brevet...

Gros silence.

Ah je vois, j'ai à faire à des activistes bellicistes. Vous allez me tuer pour l'exemple et forcer des gens biens à manger ma dépouille.

Un vent.

Ou alors vous êtes sourd. Et frustrés par ce handicap, vous êtes tueur de musiciens en série.

...

Quoi qu'il en soit, vous avez intérêt à me libérer ou... Ca sera pas très sympa !




_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)