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[RP] Epidémie de l'hiver 1456

--Hectorleforgeron
la forge non loin de la marchande de fleur.

la fournaise de la forge ne parvenait pas à le réchauffer, le marteau retombant sur le faire rouge pesait un poids inhabituellement lourd pour cette montagne de muscle qui depuis vingt ans travaillait le faire sans souffler une violente crampe le pris soudain dans le bras laissant tomber le marteaux qui s'abattit violemment sur ses orteils, il étouffa un juron et s'écarta. la journée commençait fort mal depuis qu'il s'était levée il souffrait le martyre d'intense brûlure dans ses muscles puis des crampes l'empêcher de travailler correctement. il avait pourtant bien des commandes à traiter et il ne pouvait se permettre d'être malade. il fallait qu'il travail dure pour nourrir ses onze enfants et son épouse sans compter ses beaux parents grabataire qui vivaient à son croché depuis qu'ils avaient manqué périr par les flammes dans l'incendie de leur masure. belle maman ayant oublié de couvrir le feu de cendre avant de se coucher.

il sortit sur le pas de porte de son échoppe pour prendre l'air se disant que son malaise finirait bien par passer. parcourant des yeux la place devant lui il n'en crue pas ses yeux....
--La_marchande_de_fleurs
Voyant que la vieille ne bougeait toujours pas d'un pouce, la marchande vit rouge. Aussi elle décida de ne plus lui accorder son attention... En vain. La vieille était partout, elle épiait le moindre de ses gestes avec son petit air narquois, ironique, crapuleux!

Retournant à sa charette, elle s'empara alors d'une lourde masse d'arme dans son délire, qui n'était autre qu'un bouquet de houx piquant et fit les 100 pas en cercles concentriques, jetant des regards apeurés en tous sens. La vieille ne bougeait pas....

Retournant finalement au contact, elle avança rapidement vers la mémé, la maudissant, brandissant haut au-dessus de sa tête ses branchages.
Brylastar
Bry se réveilla après un temps qui lui parut très court; mais le soleil avait bien avancé dans sa course contre la lune. Il sentit une profonde migraine. Mais... il avait l'impression d'aller un peu mieux. Maintenant... où était-il? Il se souvenait... Cambrai, non? Hum... il n'aurait pu en jurer.

Il se leva après quelques minutes, mais la douleur aux abdomens et dans les tempes fut foudroyante. Il sentit son coeur s'accélérer d'un coup. Alors là, il ne comprenait rien, cela ne ressemblait en rien au type de maladies qu'il avait déjà vues.

Il persista, grommelant contre la douleur, et fit quelques pas pour sortir de la salle dans laquelle il était. Il ne vit personne dehors, mais sentit le froid. Il regarda sur lui, et ne vit plus sa cape. Tiens? Il avait dû la laisser tomber. Bon, tant pis, il verrait plus tard. D'abord, avancer. Droit devant, on verrait ensuite.

Il prit la première rue à droite, puis, entendant quelque chose à gauche, il s'y dirigea. Il arriva dans une sorte de petite place. Il vit une Dame, assez vieille, vociférer, et tenir un bouquet de... de quelque chose dans ses mains.

Il se dirigea vers elle en titubant légèrement, se plaça devant elle, et dit:


Gente Dame... bonjour... hum... quel jour est-on aujourd'hui s'il-vous-plaît? Et... vous savez où on peut trouver des trucs... des trucs pour avoir moins mal à la tête...?!

Chaque mot lui coûtait, à la fin de ses questions, il prit appui sur l'épaule de la Dame, la déstabilisant...
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--La_marchande_de_fleurs
La marchande de fleurs continuait à bretter contre la vieille lorsqu'une personne lui adressa la parole. Elle resta plantée en fente, son bouquet de houx en avant, et alors qu'elle écoutait ce qu'il lui baragouinait elle se remis d'aplomb sur ses deux jambes.

Citation:
Gente Dame... bonjour... hum... quel jour est-on aujourd'hui s'il-vous-plaît? Et... vous savez où on peut trouver des trucs... des trucs pour avoir moins mal à la tête...?!


Elle fronça les sourcils et tandis qu'il prenait appuis sur elle, la grogne la prit à nouveau.

Ce que j'ai fais de vos canetons? Je n'en sais rien moi! J'y ai pas touché... pas plus qu'aux poules de la vieille bique! Ah ça non!! Et je ne vois pas pourquoi je leur aurais fais mal moi, à vos sales bêtes!

Alors qu'elle voulait lui assener un coup de son bouquet pour qu'il la laissa tranquille, elle aperçut une chose curieuse au bout de ses doigts. Lâchant le houx avec affolement, elle approcha ses ongles de ses yeux et ce qu'elle vit lui glaça les sangs. Ils étaient noircis, crachant aussitôt dessus, elle constata avec effrois qu'il ne s'agissait pas de charbon.

Cette vision eu pour effet de lui faire reprendre ses esprits, aussi, elle s'empara du sieur et l'entraîna d'un pas rapide vers l'hospital de l'armée. Elle lui répondit simplement :


Vite suis-moi! Allons à l'hospital au plus vite!
Brylastar
Bry l'entendit répondre parler de quelque chose de bizarre. Il ne comprenait que la moitié des mots, les autres, prononcés trop forts, lui donnaient mal à la tête. Il ferma les yeux en l'écoutant, dodelinant de la tête, comme quelqu'un qui veut fuir la situation.

Un moment il se rendit compte qu'il bougeait, et il entendit qu'on lui parlait de l'Hospital.

Il dit d'une petite voix, entre-coupée d'une toux rauque et de petits soupirs de douleur:


Bin... je ne suis pas... malade... juste fatigué, et je ne sais... plus quand on est... et... oh, vous avez laissé votre... euh ce que vous aviez dans vos mains... c'est par terre...

Sans aucune volonté, il suivit la femme. Il avait une main dans la sienne, et de l'autre il se massait la tête, espérant faire partir la douleur.
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--Hermance
[une pauvre masure à la lisière du bois, près d'Arras]

Depuis quelques jours, le malheur s'était abattu sur la maison du brave bucheron Hermance. Déjà, deux de ses fils étaient mort dans de terribles douleurs. Sa bonne Louison gardait elle aussi le lit. La pauvre femme était atteinte de cauchemar et d'énormes et horribles vésicules poussaient sur son corps.

La mort allait s'abattre sur cette famille. Hermance ne pouvait plus aller travailler. Des spasmes de plus en plus violents et fréquents l'immobilisaient à demeure. Il avait beau prier, rien n'y faisait. Mais il savait pourquoi sa famille étaient ainsi meurtrie.

Deux femmes, en la forêt d'Arras, avaient voulu l'empêcher d'abattre un arbre et ces créatures du diable avaient jeté un sort sur lui et sa nombreuse famille. Oui ! Elles seules pouvaient être responsable de cet état de fait.

Soudain, son aîné fut prit de tremblements si terribles qu'une de ses articulations noircit par le mal cassa. Le bruit sinistre le fit pleurer. Rien ne résisterait à ce fléau. Rien ni personne !

Regardant son pied gauche, il le vit noir comme la nuit. Oui, son heure allait venir et il n'y pouvait rien.
--La_marchande_de_fleurs
La marchande avait la main du sieur entre la sienne, elle la serrait doucement, dans l'espoir de le rassurer... Elle sentait son estomac la brûler affreusement, et était envahie d'une peur sans nom. Jamais jusque là elle n'avait eu autant la frousse, c'en était maladif, et en bonne superstitieuse qu'elle était, elle sentait que quelque chose de plus grand qu'eux était en ville depuis peu... Quelque chose de redoutable, d'atroce...

Elle se tourna et regarda le sieur qui n'avait pas l'air bien du tout. Elle était étonnée de voir avec quel naturel elle l'avait pris sous son aile, alors qu'ils ne se connaissaient pas le moins du monde. Encore un caprice du destin sans doute... Elle pensa à la famille qu'il pouvait avoir et cela lui donna l'idée d'entretenir la conversation, tandis qu'elle forçait le pas pour qu'ils rejoignent l'hospital au plus vite.


Parlez-moi un peu de vous... Quel est votre nom?
Brylastar
La_marchande_de_fleurs a écrit:
Parlez-moi un peu de vous... Quel est votre nom?


Bry entendit vaguement cette phrase résonner dans sa tête; il rouvrit les yeux, et remarqua qu'ils n'étaient plus au même endroit que tout à l'heure. Bon, si cela était, cela devait être ainsi sans doute.

Il tenta un petit sourire, et répondit le plus simplement du monde:


Et bien... brylastar, pour vous servir... vous et ceux que vous aimez... car vous aimez des gens sans doute, non? ... c'est comme moi... j'aimais Nati, puis je ne l'ai plus aimée... puis j'ai cru que j'aimais Ruby, et je me mentais... et maintenant j'aime... ah oui... j'aime, je l'aime elle... je pourrais mourir pour elle... elle... mourir... mourir... tiens, une maison?

ILs dépassèrent une maison, encore une autre, qui l'intrigua; mais en fait, Bry se perdit un peu plus dans ses pensées. Le froid l'empêcha de sombrer cependant dans le sommeil. Sa cape était entrouverte à cause de leur marche, et Bry, d'une main molle essaya de la refermer, sans succès. Un peu énervé par le vêtement rebelle, il tiqua, puis abandonna l'idée qui quitta son esprit en une seconde. Il n'y pensait plus, ne pensait à plus grand chose d'ailleurs... juste mettre un pas devant l'autre, avancer, malgré tout, contre tout.
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--Hectorleforgeron
sur la place

la sous ses yeux un ours, un énorme ours, s'approchait au ralenti d'une belette debout sur ses patte arrière qui agité en tout sens une épée....
se passant la main sur le visage ruisselant malgré les frissons qui le parcourait. ouvrant de nouveau les yeux la visions avait disparue seul un couple partait mains dans la main.

ben m'in pôv vieux v'là tu délire...

sa main toujours sur sa joue sentit une chose flasque sur sa joue mais qui faisait une cloque.

ben ké'cé cha 'core.

l'approchant d'une pièce de cuivre poli qui reflétait son reflet, commande d'une bourgeoise voulant mirer ses charmes. il poussa un hurlement de terreur voyant devant lui la visions déformé par le reflet cuivré d'un monstre tout droit sortit des enfers, ...
dans sa panique reculant sans pouvoir détacher son regard de se disque habité par le malin il trébucha sur la huche à bois prés de l'âtre et se retrouva sur le dos. reculant comme il put aider de ses bras et de ses jambes il se dirigea vers la sorti et surtout hors de porté de cette vision d'horreur. se redressant enfin sur ses jambes flageolantes il se précipita sur la place en hurlant comme un damnée.

le malin.... sorcellerie .... je suis maudit... le malin est dans ma forges...


les gens présents le regardèrent éberlué certain partir en courant et hurlant de terreur face à se colosse dément et portant la traces du diable sur son visage en décomposition...
--La_marchande_de_fleurs
Citation:
Et bien... brylastar, pour vous servir... vous et ceux que vous aimez... car vous aimez des gens sans doute, non? ... c'est comme moi... j'aimais Nati, puis je ne l'ai plus aimée... puis j'ai cru que j'aimais Ruby, et je me mentais... et maintenant j'aime... ah oui... j'aime, je l'aime elle... je pourrais mourir pour elle... elle... mourir... mourir... tiens, une maison?


La vendeuse était contente de constater que le sieur Brylastar, puisqu'ainsi était son nom, était en mesure d'ordonner sa conversation. Les délires ne l'atteignaient pas encore et elle redoutait le moment où elle-même y sombrerait à nouveau.

Aussi répondit-elle vaguement aux quelques questions qu'il lui avait posé à son tour.


Vous savez monsieur, j'aime les fleurs... la nature, je fais juste mon métier pour gagner ma croûte, mais je n'ai jamais trop apprécier le contact d'autres personnes...

Elle avait dit cela en lui lançant de brefs regards, tandis qu'il n'arrivait pas à faire entendre raison à sa cape. Elle regarda la maison qu'il mentionna alors qu'ils continuaient leur chemin, se demandant pourquoi il semblait si intrigué par celle-ci... Osant à peine élever la voix, elle s'y força pour faire taire la douleur lancinante qui lui parcourait les jambes.

Vous connaissez cette habitation? Comment vous sentez-vous? Je suis désolée, la route est un peu longue et pourtant c'est le plus court chemin... Bientôt vous irez mieux, vous verrez! Vous pourrez retrouver votre aimée.

Prise d'un vertige soudain, le sol se déroba sous ses pieds et elle se retrouva par terre de tout son long. Poussant un hurlement terrible quand elle sentit dans son poignet le bruit sec de la cassure, la douleur eut pour effet de lui tirer quelques larmes, mais aussi une volonté renouvelée.
S'appuyant sur l'aide de son compagnon de route, elle se remis d'aplomb et fouilla douloureusement dans ses jupes pour en extirper un tissus qui ferait office d'écharpe pour son bras bléssé.

Quand elle remonta la manche de son vêtement, elle sentit son coeur geler dans sa poitrine; en effet, le tour de son poignet avait une étrange couleur violacée, foncée. De petite plaques rougeâtres, commençaient à boursouffler sous sa peau. Se demandant ce que cela pouvait bien être, elle tata d'un doigt la sorte de cloque, sans réponses. Priant pour que seul son bras fusse touché, elle rangea soigneusement le tout à la vue du sieur et banda son bras comme elle put.
Darkdragonlord
Le curé se promenait dans les rues désertes d'Arras ou la maladie sévissait déjà. Lui-même malade il y a plusieurs jours, la mort l'avait presque emporté.

Maintenant rétabli, il essayait de réconforter ses paroissiens à surmonter cette épreuve.

Suite à l'épidémie, les cérémonies religieuses étaient annulées, mais le prêtre se rendait souvent à l'Église St Vaast au cas où ses fidèles auraient besoin de lui.

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Curé d'Arras
--Cathal_squire
[[Cambrai, chez les Squires...]]

Cathal revint de l'auberge en tirant la Marie par la main celle-ci ne comprit pas grand chose à la panique du petit et l'avait donc de ce fait suivit en espérant trouver plus d'explication... Arriver devant la porte de la maison Cathal se stoppa net, quand à elle la Marie compris en voyant la dame sur le sol qu'il y avait effectivement un problème...

Maman !!! Maman !!!

Nous sommes la...

Comment va Lauri ???

Et qu'est ce qu'elle à la dame...

Cathal regarda tour à tour la dame et sa mère avec un regard inquiet et interrogateur essayant de comprendre pourquoi la dame et Lauri était dans cette état pourquoi elles déliraient complètement, oubliant la présence de la Marie qu'il avait ramené à la demande de sa mère...
--Hermance
Dans la petite cabane d'Hermance, près d'Arras

La nuit dans la pauvre cabane d'Hermance le bucheron avait été bien mouvementé. Il avait perdue, en cette nuit glaciale, sa fille préférée. Elle avait souffert le martyre, la gangrène l'ayant littéralement dévorée.

Sa femme, la bonne Louison était victime de délires effroyables ; elle voyait, tout autour d'elle, des formes chimériques venant la dévorer. Le reste de sa famille n'était guère mieux. Il fallait qu'il aille chercher du secours à Arras mais depuis sa rencontre avec ces deux habitantes de la ville, sa présence n'y était guère appréciée.

Hermance essaya toutefois de se lever. Il fallait qu'il rejoigne la ville et qu'il sauve sa famille. Mais de terribles douleurs à la tête et aux reins le clouèrent sur sa paillasse. C'est alors qu'il les entendit.

Au loin, dans la forêt, les loups se manifestaient. Ils hurlaient comme pour rappeler aux hommes qu'eux sauraient bien survivre à ce mal qui terrassait les hommes.
Hermance était terrifié. Si les loups venaient à approcher de sa masure, il ne pourraient même pas se défendre.


Ah malédiction ! Qu'ai je donc fait pour mériter un tel châtiment ! Les paroles adressées au Tout Puissant avaient bien du mal à franchir le barrage de ses lèvres tuméfiées. Il n'avait plus guère de force...
Florence.la.douce
Une missive étrange était arrivée à Péronne pendant la nuit. La jeune femme l'avait trouvée à son réveil sur son bureau à la mairie. De drôles de choses se passaient au village et dans les villages avoisinants depuis quelques jours. Les gens posaient des questions et se comportaient de manière inhabituelle. Les tavernes et les offices étaient désertés. Le Curé était inquiet, les marchands ambulants répandaient une étrange rumeur sur un mal venu de nul part envoyé par les ennemis pour punir l'Artois...Les éleveurs faisaient bénir leur bétail, les maraichers et les agriculteurs leurs champs, les forgerons demandaient aide et protection à Aristote...Les boulangers et les tisserands regardaient d'un air suspect tout étranger ou villageois qui se présentaient à leur échoppe....Tout le monde semblaient vivre dans la peur. Péronne était devenue presque déserte à la tombée du jour. Et c'était sans compter sur les délires de quelques individus qu'on s'empressait de garder chez soi à l'abris des regards indiscrets. Ce matin là, la jeune femme prit connaissance des quelques mots gribouillés avec peine. Son sang ne fit qu'un tour. Son coeur se mit à battre très fort. Certe cette absence quelque inhabituelle l'avait intriguée mais elle était à mille lieux d'en imaginer la raison. Elle donna quelques instructions et quitta la mairie précipitament.
Dans sa course, elle ne vit pas les quelques regards matinaux étonnés de voir la Maire dans cet état. La jeune femme arriva chez elle et sella son canasson, tout aussi étonné de la promptitude de sa maîtresse. Elle si douce, n'avait pas l'habitude de le presser de cette manière. La brave bête comprit que cette fois, il n'y avait pas place pour le jeu. Il la mena à la maisonnée des Squires d'un galop soutenu. Florence descendit de cheval et couru jusqu'à la porte où elle voulu tambouriner violament. Mais la jeune femme s'immobilisa. Devant la maisonnée il y avait Chani et d'autres personnes que Florence ne connaissaient pas. Elle couru vers la jeune femme et mit genoux en terre pour la ramasser. Doucement elle souleva le corps de son amie et la teint serrée contre elle.


NEFI! NEFI
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Brylastar
Bry avait à nouveau fermé les yeux; il comprenait de moins en moins. Il regardait tantôt la marchande, tantôt ses pieds, tantôt le vide. Il avançait simplement, s'efforçant de se concentrer sur autre chose que la douleur à la tête et dans les poumons.

Mais soudain, tout changea; il fut entraîné vers le sol, celui-ci avait dû se dérober sous ses pieds, il avait sûrement atteint l'enfer là... mais non, il ouvrit les yeux, et vit après quelques secondes de concentration intense la dame se bander le bras. Il aperçut des choses... étranges sur son corps, mais ne fit pas le lien. Si cela était, c'est que cela devait être.

Un instant plus tard, ils reprenaient leur marche; il parlai à mi-voix, sans s'en rendre compte:


Attendez... attendez... vous ne voulez pas faire une pause...? parce que là... on va trop vite... et ça ne va pas... quelque chose ne va pas... regardez autour de nous... ça bouge, puis ça ne bouge plus... et enfin, ça rebouge... mais c'est pas correct...

Malgré son envie de s'asseoir sur le sol, il la suivait docilement, la portant parfois, se faisant porter d'autres fois.

Dîtes... c'est bientôt la fin ou pas? ... parce que là... franchement... humpffff c'est... lassant... et puis, les maisons... là, puis les fourmis... enfin...
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