Mertin
Qui y-a-t-il de meilleurs que les plaisirs simple de la vie? Tiens, comme ce bain que prenait Mertin alors que l'aube commençait tout juste à pointer son nez. Nu dans l'eau fraiche de la Rhône, il se débarrassait des sueurs de la nuit. Seul le chant des oiseaux accompagnait son rituel matinal.
Vous connaissez Mertin au moins? Non? Je ne peux pas vous en vouloir. A vrai dire ce n'est qu'un gueux parmi les gueux... quoique le terme de gueux pour lui, c'est un peu une promotion. Il était plus proche de l'esclave affranchi que du paysan accompli. D'ailleurs sa marque à la joue gauche était preuve d'un passé quelque peu humiliant et encore bien trop présent dans son esprit. Au moins profitait il un peu de ce moment intime. Enfin, pas trop longtemps non plus. La période hivernal n'est guère propice aux baignades prolongés. Il sorti donc de l'eau, le corps tremblant sous l'effet du vent et se dirigea vers son campement improvisé. Nul pudeur dans ses gestes mais il faut dire qu'il n'avait point un corps capable d'affoler l'imagination de ces dames. Il n'avait que la peau sur les os, le pauvre. Et les marques de flagellations sur son dos étaient encore bien visible.
Il avait l'esprit tourmenter par ses problèmes. Lui qui connaissait si peu de la vie, se retrouvait totalement perdu. Il avait bien essayer de chercher les compagnons avec qui il avait entamé se voyage, mais nul trace d'eux. Le coup de grâce avait été porté quand on lui avait annoncé en taverne, qu'ils avaient été mangé. Oui mangé, rien de moins. Certes peu aurait crus à cela, mais, Mertin était ce qu'il était et il y avait cru. Que faire alors? Ou pouvait il se rendre. Rentrer chez lui? Il ne savait pas ou était ce chez lui. Alors il était resté sur place. Incapable de décider ce qu'il devait faire. Il avait passé sa vie a faire ce qu'on lui ordonnait. Maintenant qu'il ne recevait plus d'ordre, il était incapable de ce décider.
Ce fut de manière mécanique qu'il se mit à se sécher.
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Description RP
Vous connaissez Mertin au moins? Non? Je ne peux pas vous en vouloir. A vrai dire ce n'est qu'un gueux parmi les gueux... quoique le terme de gueux pour lui, c'est un peu une promotion. Il était plus proche de l'esclave affranchi que du paysan accompli. D'ailleurs sa marque à la joue gauche était preuve d'un passé quelque peu humiliant et encore bien trop présent dans son esprit. Au moins profitait il un peu de ce moment intime. Enfin, pas trop longtemps non plus. La période hivernal n'est guère propice aux baignades prolongés. Il sorti donc de l'eau, le corps tremblant sous l'effet du vent et se dirigea vers son campement improvisé. Nul pudeur dans ses gestes mais il faut dire qu'il n'avait point un corps capable d'affoler l'imagination de ces dames. Il n'avait que la peau sur les os, le pauvre. Et les marques de flagellations sur son dos étaient encore bien visible.
Il avait l'esprit tourmenter par ses problèmes. Lui qui connaissait si peu de la vie, se retrouvait totalement perdu. Il avait bien essayer de chercher les compagnons avec qui il avait entamé se voyage, mais nul trace d'eux. Le coup de grâce avait été porté quand on lui avait annoncé en taverne, qu'ils avaient été mangé. Oui mangé, rien de moins. Certes peu aurait crus à cela, mais, Mertin était ce qu'il était et il y avait cru. Que faire alors? Ou pouvait il se rendre. Rentrer chez lui? Il ne savait pas ou était ce chez lui. Alors il était resté sur place. Incapable de décider ce qu'il devait faire. Il avait passé sa vie a faire ce qu'on lui ordonnait. Maintenant qu'il ne recevait plus d'ordre, il était incapable de ce décider.
Ce fut de manière mécanique qu'il se mit à se sécher.
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