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IV - Les facéties de la Vilaine en Poitou

Quelques instants de vie de la gueuse impétueuse en Poitou, cette terre où elle résida longtemps au point de s'y attacher même si elle n'en était pas native.



Table of contents


Invasion dans le bureau du prévôt Chuichian. La gueuse à peine sortie de la prison dans laquelle elle avait purgé sa peine suite à son inéligibilité en Périgord  voulut remercier celui pour lequel elle avait un faible en lui offrant un rat. Celui ci refusa mais ne resta pas insensible à sa façon de jouer avec le lacet de son corsage. Le but de la manoeuvre étant de lui faire passer une étrange plainte. Le bureau du prévôt fut rapidement investit par une foule de curieux, obligeant la gueuse a demander une audience fort particulière au thouarsais.

(dernières pages)

Une parodie de l'image donnée par certains conseillers comtaux dans laquelle on voit apparaitre une gueuse aguicheuse pour tente de corrompre un prévot adorant les jupons.

De sa campagne de recrutement pour les Vilains à son épanchement amoureux avec un blondinet breton, en passant par diverses rencontres. La Gueuse Impétueuse est peut être une Vilaine pleine de haine mais elle a également un coeur de guimauve pour Ryo ou une pointe de réglisse pour son vieil ami Mac_Hyavel.

Les retrouvailles entre Nessty et son parrain Grandstef. Une rétrospective sur la vie de celle qui avait décidé de quitter ce Poitou qui l'avait que trop déçue.

Traçant vers l'est, Nessty croise ce qu'il reste du Cartel.

Ou comment les traques poitevines ont été truquées afin de mettre à tout prix derrière les barreaux un accusé sans avoir à le juger équitablement. Etait ce parce qu'il s'agissait d'un ami de Nessty ? 

La famille Patate assiste à la mascarade qui traina en longueur et y vit un procureur fabuler au point de se tromper d'accusé tout comme un coordinateur de traque se présenter à la barre sans y être invité.

Lors du verdict, aucun élément de la défense ne fut pris en compte et l'accusé faut condamné au mépris des règles de la traque en vigueur.

Ou comment le comte Chuichian use de sorcellerie pour mettre en procès un suspect le jour même de son arrivée en sol poitevin et surtout avant même qu'il ne procède à un seul méfait. Ce procès n'eut jamais de fin, en dehors de celle de voir un procureur et un juge se projeter dans un avenir alors encore inconnu de tous.

Le sieur Caca Veritas agrémente cette sordide mascarade de ses remarques pendant que quelques saltimbanques fort burlesques s'adonnent à de belles satires. (danger : fous rires !)

Cet évènement fit bien rire l'escroc angevin déjà fort connu en Poitou en temps de guerre fraticide Poitou/Anjou au point qu'il eut avec Nessty l'idée de concrétiser l'accusation quelques semaines plus tard. La Noisette Sarcastique lui vendit le château poitevin pour 150 écus mais, trop imbibés de bières ce soir là, tous finirent par s'emparer de la mairie de Poitier.

Le juge Elra, peu soucieux de la CdJ, dit ceci  le 14 octobre 1457 lorsqu'il rendit le verdict sur la culpabilité du Roux : "La condamnation est interjeté au second procès du fait que les deux événements soient à mon avis intimement lié."

Protozoaire eut en effet droit à un second procès sans fin avec une accusation similaire. La seule preuve incriminant le Roux au bonnet à pompons est une annonce faite par la Vilaine au peuple poitevin.

L'enchignonnée rêvant se faire chignonner par un chinonais au point de fuire le Poitou pour le rejoindre. Malgré les coups de poignard reçus dans le dos, elle prit la route pour se faire soigner par le seul en qui elle avait encore confiance.

Etranges liens entre la Vilaine et un Vénérable Vieux Con.

La vente du château poitevin à un escroc angevin, la prise de la mairie de Poitier et le sauvetage de la fille du comte.

Procès suite aux révoltes orchestrées par la Vilaine.

A l'issue de sa balade nocturne au château du Poitou qui a finalement aboutie à la mairie de Poitiers fin septembre 1457, Nessty s'est retrouvée avec un drôle de procès sur le dos, tout à la sauce poitevine pour ne pas changer :
- irrespect de la Coutume du Poitou
- procès d'intentions plus qu'autre chose
- aucune preuve en dehors d'une affiche de la gueuse n'est fournie
Malheureusement, peu après l'ouverture de ce procès devant le tribunal poitevin, elle fut poignardée dans le dos puis poutrée hors des frontières du Poitou et ne put assurer sa défense. Le verdict tomba très précisément et fort étrangement le jour où la gueuse put à nouveau voyager, fin novembre 1457. L'enchignonnée décida donc de porter l'affaire devant la Cour d'Appel pour divers vices de forme et de procédure.

Le 31 janvier 1458 débuta le procès en Cour d'Appel de la Vilaine farceuse contre ses adorables Baudets du Poitou.



Footnote


Archivist: Nessty
Add: 19/11/2009 - 03:59
Change: 01/02/2010 - 14:14

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