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[RP]Cérémonie d'Adieu pour Chris_Squire rappelé par Aristote

Pegas


Pegas posant toujours son regard vers Nefi inconsciente et le teint de son visage étrange, n'écoutait pas vraiment Loulou quand celui-ci lui expliquait ce qu'il s'était passé, même l'explication, ne paraissait pas vraiment claire, le sénéchal restait un moment figé, perturbé ne sachant pas quoi faire, puis il se tourna vers son voisin qui reprit...

Nefi, alors qu'elle se trouvait sur le ponton, a glissé et est tombée à l'eau. J'ai plongé et l'ai remontée. Elle ne respirait plus et par je ne sais qu'elle miracle, elle a vomi plein d'eau. Je l'ai ramenée ici, l'ai déshabillée et mis prés de la cheminée pour qu'elle se réchauffe. Maintenant, il semble qu'elle ait une forte fiévre.


Oh !! oui elle est fiévreuse, trop même, j'espère qu'elle n'était pas restée longtemps dans l'eau...


Que fait-on? On l'a conduit à l'infirmerie ou quoi?......

La meilleure chose à faire c'est de la ramener chez elle, la connaissant, je pense qu'elle a tout ce qu'il faut chez elle, tu vas m'aider à la porter, et on doit faire vite pour commencer les soins ...

Avant de la porter Pegas posa sa main de nouveau sur le front de Nefi et chuchota...
Tiens bon Nefi... Nous allons te sortir de là...

Puis il leva son regard de nouveau vers Loulou...


On y va Loulou...

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Ombeline
[Course folle sur les quais.]


C'est l'esprit embrumé des paroles de la vielle femme, la Comtesse avançait sans regarder au devant d’elle. Tout à coup, elle fut percutée de plein fouet et valdingua au sol, les quatre fers en l’air.


… Splach …Crashhhhh … giclées … déchirement d’étoffes …

Toute estourbie, elle se releva les jambes flageolantes, robe et jupons quelque peu entachés des immondices jonchant le sol, lui soutirant une grimace en découvrant cela. Berkkkkkk. Cela compliquerait les choses pour la suite… Comment ruser pour rentrer avec cette tenue. Bon, pas grave, elle trouverait bien quelque chose… Oh pis flûte, tant pi, ils n’avaient pas intérêt à lui prendre la tête pour ça. Marmonnements d’Ombeline. Voilà, c’était tout bon, elle était en rogne. Tout en cherchant le fameux paquet au sol, raison de sa présence au port, elle fustigea le maraud qui venait de la bousculer de cette manière.


Crénom de nom, la ruelle n’est pas à vous, vous ne pouvez pas regarder ou vous mettez les pieds, bon sang de bonsoir. Un monde de voir ça … ça se croit tout permis …

Groumph...

S'cusez moi...


Elle réalisa qu’on lui parlait, ben oui, elle venait d’être percuté donc y ‘avait bien une autre personne… qui plus qui se confondait en excuse tout de même. Marmonnements de la jeune femme qui fit volte face, et se retrouve nez à nez avec l’escogriffe.
O crénom d’une bobine, Laureline … Parbleu … Ah ben voilà, pour la sortie incognito, elle pouvait revoir sa copie. Mais que faisait la môme en cette partie reculée de la bourgade ??? Elle l’aurait suivie ??? Bigre, elle n’avait pas assez de Rufus ???

Perplexe, elle la regarda mais cela ne durant guère que quelques secondes, la gamine l’embarqua quasi de force avec elle… quelle poigne pour une gamine de cet âge … Ombeline eut tout juste le temps, d’attraper son paquet de sa main libre … pour un peu, elle serait revenu bredouille. Son courroux s’était transformé en inquiétude au vu de la frimousse paniquée de la gamine …

Puis tout le long du chemin, la môme lui débinait des paroles bien alambiquées, sans queue ni tête, du moins point claire pour elle …. Toutefois, quelques unes se percutèrent dans son esprit … « Néfi bouge plus, Lou des bêtises avec», … Son esprit fut soudain submergé de divers sentiments … Elle en ralentit même leurs foulées sur le quai. … Besoin de bien intégrer les informations données, de tâcher de les décortiquer, de les comprendre même … La petiote aurait assisté à la fin d’un eu ébat entre les deux … dans une taverne …. Ici …. Ils se cacheraient pour et la petiote … Nan nan …. Impossible ….Nan, elle ne pouvait croire cela … Crénom de nom … Elle se ficha une gifle imaginaire de penser pareille chose mais tout de même, la gamine avait l’air toute retournée …. Et pis elle les savait proche aussi et pis ….des brides de confidences avec son amie lui revinrent …. Et pis …. Roooo …. Nan … Tout bonnement impossible, se répétait-elle … Elle suivit la cadence de la petiote, accélérant même l’allure …. Elle devait en avoir le cœur net de toute cette histoire…. Il devait y avoir une explication bien plus … bien plus plausible … Elle les connaissait fort bien tous deux … Nan, quelque chose de grave avait du se passer… La petiote avait dit morte aussi. Par Aristote, pourvu qu’elles arrivent à temps.

La gamine lui indiqua la taverne, enfin d’extérieur taverne, taverne … bouge plutôt ….elle poussa la porte avec fracas, les cheveux entremêlés, le souffle saccadé et les joues rosies de cette folle course. Balayant la salle d’un regard inquiet ... minutieusement elle récolta le plus de détails … Son regard tomba sur Néfi, à moitié ….. à moitié …. dénudée, dans les bras de …. de …. Lou … Pegas était là aussi … Plissement de nez … Rides d’inquiétude mêlés à un courroux qui allait poindre sous peu … Muette quelques longues secondes, elle s’exprima tout d’un trac …


Que se passe-t-il ici ? !!!
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Leportel62


Aprés avoir constaté son état fiévreux et espérant qu'elle n'ait pas séjourné trop longtemps dans l'eau, Pegas décida qu'il valait mieux la conduire chez elle où l'on trouverait certainement tout le nécessaire pour la soigner.

Le sénéchal l'a prit dans ses bras. Lou en profita pour ramasser vite fait les affaires de Nefi et il remit sa chemise encore moite. Arf...quelle sensation désagréable.

On y va Loulou...

Durant ce laps de temps, la porte de la taverne grinça de nouveau pour voir apparaître Laurie et Ombeline. Sur le visage de cette dernière, on pouvait lire la colére et l'inquiétude.

Que se passe-t-il ici ? !!!

Pegas et Lou se dirigérent vers la sortie.

Lou allait se lancer de nouveau dans de grandes explications mais vu l'urgence, il dit simplement :

Elle s'est noyée......

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Pegas


Pendant qu'il se dirigèrent vers la porte, celle-ci s'ouvrit faisant apparaitre la baronne d'Ytres accompagnée de laurie...

Que se passe-t-il ici ? !!!

Lou lui répondit sans donner trop de détails, il était tout comme le sénéchal préssés pour la ramener d'abord chez elle, Pegas enchaina après Lou tout en continuant son chemin vers la sortie...

Oui Omby, elle s'est noyé et nous allons la conduire chez elle pour voir ce qu'il faut faire, accompagne nous, nous t'expliquerons en chemin...


Pegas en passant devant Laurie, il lui adressa un sourire espérant la rassurer avec...

T'inquiète pas Laurie, maman va s'en sortir tu vas voir, elle est plus solide que tu ne le pense...

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Laureline_squire


[[Dans toutes les larmes s'attarde un espoir. Celui de voir une mère revenir à elle...]]

Laurie avait conduit Ombeline jusqu'à la taverne, le plus rapidement possible , enfin aussi vite que ses petites jambes Laurelinesque le lui permettaient.
Une fois sur place, le souffle coupé et la respiration haletante, la fillette balaya la salle du regard pour s'apercevoir que le corps de sa mère n'était plus au sol devant l'âtre mais dans les bras des garçons, puis celle-ci reposa ses deux yeux vert émeraude sur sa tati qui sous les mirettes de la blondinette venait de passer du rouge course folle, au blanc inquiétude pour revenir à un rouge colère vive.

Laureline ne dit mot, la gamine s'apprêtait à suivre les hommes, quand les paroles réconfortantes de Pégas eurent pour effet de lui brouiller la vue en lui faisant couler de nouvelles larmes sur ses joues pourpres.

La môme glissa sa main dans celle de sa mère un instant et dans un murmure prononça quelques mots pour celle-ci.


Maman revient t'as pas le droit...

La fillette prit ensuite la sortie et erra sans mot dire jusqu'à la demeure familiale.
Malgré sa vue brouillée par ses sanglots, elle connaissait le chemin par cœur et n'eut pas de mal à conduire tout son petit monde jusqu'à la maison.
Laurie avait lâché la main de sa mère pour facilité la marche, mais la bambinette n'avait cesser de penser à sa maman lui parlant dans sa tête.

La demoiselle était peinée, cela commencée à faire beaucoup de chagrin, de mal et de déception en une matinée pour elle, ne manquait plus qu'on lui annonce la disparition définitive de son père.
Son frère avait prit le large, sa mère était inconsciente, que de sombre pensée pour une petite fille de son age...

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Leportel62


[Chez les Squire]


Arrivés à la demeure familiale des Squire, Lou interrogea du regard Laurie afin de savoir où l'on pouvait coucher sa maman.

Elle désigna sa chambre. Pegas la déposa sur le lit aprés que Lou ait tiré les couvertures. Pour ne pas de nouveau choquer la petite, il les remonta jusqu'à son menton et lui enleva celles qui avaient servis pour venir jusqu'ici.

Remarquant quelques bûches à proximité de la cheminée, il en mit dans l'âtre et attisa les braises.

Il demanda à Laurie où trouver de l'eau. Il en remonta et en mit un peu à chauffer. Ne sachant que trop faire, il y aurait au moins de l'eau chaude et froide.

En attendant que Pegas décide quoique ce soit, lou se permit de prendre un linge, le trempa dans l'eau froide et essuya le visage de nefi.

Il interrogea Laurie sur la présence éventuelle de remédes. Celle-ci le conduisit vers une armoire où se trouvaient de nombreux pots. Tout était bien rangé et chaque pot était étiquetté. Lou finit par en trouver un avec le mot fièvre. Plusieurs feuilles séchées se trouvaient à l'intérieur et dégageaient une odeur nauséabonde.

Pas de soucis, ça pue tellement que ça ne peut-être que les remédes à Nefi pensa-t'il.

Il fit part de sa découverte à Pegas et aprés instructions s'empressa de faire infuser ce qu'il y avait dans le pot dans un peu d'eau. Une fois chaud, il tendit le breuvage à Pegas lequel essaya de faire boire Nefi......

Ne sachant plus quoi faire, il alla se poster prés de Laurie et tenta de la réconforter.

Ne t'en fais pas Laurie, ta maman est forte, elle va se remettre.

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Pegas
[Chez les Squire]



Pendant que pegas remontait vers la chambre de Nefi, Loulou s'empressa d'apporter des draps et couverture afin de préparer le lit, le sénéchal installa Nefi dans on Lit, en même temps son assistant alluma un feu dans la cheminée apporta de l'eau et du linge qu'il commença à tremper dans l'eau et essuyer le visage pale de la souffrante, quelques instants après; Loulou suivit Laurie pour apporter de quoi ils auront besoin pour les soins...
Pendant ce temps, le soigneur se pencha vers Nefi toujours inconsciente, posant sa main sur son front brulant de fièvre et lui chuchota espérant qu'elle l'entendra...

Courage Nefi, tien le coup, tu as toujours été là, sachant quoi faire avec les malades, et j'ai toujours eu besoin de tes connaissances ainsi que ton aide pour apporter les meilleurs soins aux patients, et maintenant aussi, j'ai besoin de toi pour arriver à te sortir de là, ne nous lâches pas, tu dois rester avec nous, et je sais que t'en es capable...

Pegas se redressa et se tourna vers Loulou qui revins avec un pot à la main et le tendit à Pegas, en l'ouvrant; le soigneur reconnu l'odeur des feuilles de mélisse, il le rendit à loulou lui demandant de lui en faire une infusion.... quelques minutes après, avec la boissons chaude à la main, Pégas la prit après avoir redressé délicatement la tête de Nefi essayant de lui faire boire doucement...

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Laureline_squire


[[Les explications relèvent toujours d'une mauvaise conscience.]]

Laurie submergé par son chagrin, et sa mauvaise conscience, avait agit comme un automate une fois dans la demeure familiale.
La blondinette avait désigné l'étage de son petit doigt pour l'endroit ou déposer sa maman, puis la cuisine pour l'eau et l'armoire du salon pour les plantes.

Accompagné d'Ombeline, la fillette entra dans la chambre de sa mère à la suite de Pegas qui prodigua en fonction de ce qu'on lui apporté les premiers soins, Loulou quand à lui s'agita dans tout les sens pour aider le chevalier prince.

Laureline toujours dans son chagrin ne prêtait pas vraiment attention à ce qui se passé au tour d'elle n'y même au paroles que l'on pouvait lui dire.

Seul le calme de sa tati, la fit réagir quand elle vint à relever son petit nez squirien pour jeter un œil à sa mère.
Les garçons était tellement stressé par l'état de Néfi qu'ils en avaient oubliés leur promesse faite à Ombeline.
Puis Laurie quand elle était triste et s'en voulait de voir sa mère ainsi, elle était persuadé que c'était de sa faute et que si elle n'avait rien dit sa mère ne serait pas dans cet état.
La gamine se glissa au côté d'Omby et commença à lui conté la matinée.


Tu sais tati Cathal il est parti, il a prit le bateau tôt ce matin au port.
J'ai trouvé un mot de lui, je l'ai cherché partout, mais jamais je l'ai trouvé.

Alors j'ai lu le message, il disait qu'il partait, alors j'ai courut le dire à maman, puis maman et moi ont a courut au port.
Et la maman en posant des questions aux différents marins, elle a finit par glisser parce que les réponses des monsieur lui faisait beaucoup de chagrin, alors elle voyait plus rien.

Puis en glissant ben elle est tombé à l'eau.

Lou était pas loin il a tout vu et il est venu m'aider puis il à emmener maman à la taverne ou il l'a mise toute nue et puis il m'a envoyé chercher de l'aide et je t'ai trouvé.

C'est tout de ma faute si j'avais rien dit ça serait pas arrivé.

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Nefi
[Méandre obscure d'une mémoire torturée.]

Il faisait si froid, si noir, elle percevait des sons... loin, si loin...
sa respiration était si pénible, qu'elle haletait, peinant à trouver de l'air, et le peu la brûlait. Elle percevait parfois des sensations comme des mains la touchant, une présence rassurante dans cette obscurité. Une sensations de flottement. Mais toujours se froids mordant qui l'envahissait. Une impression angoissante régnait maintenant autour d'elle. Tout ce bousculant, les contactes sur son corps changeait sans cesse. Mais elle ne pouvait se réveiller. Puis se dessina soudain devant elle.

un le long couloir illuminé d’un blanc limpide une femme dans une course folle pour fuir une énorme peluche orange, son fils dans les bras. Courrait vers elle. Et c'est avec surprise qu'elle reconnue Une tête, un corps, une femme, bien connu de Nefi qui trébucha et s'étaler de tout son long sur sur elle.

Grrrr !!! Qui qui met des obstacles je vais encore perdre moi grrrr et avoir un gage...


En se relevant bilbokine cru avoir une hallucination comme elle en avait souvent…


Oh mais, mais, Néfi mais… que… que… fait tu là…
Tu nous à rejoins, et tu essaie de me faire perdre pour que j’ai un gage c’est ça, t’es de mèche avec le monstre de la saint Valentin.
Aller avoue…
Et pourquoi t’es nue ???
Je sais qu’ont est au paradis mais quand même, ont est pas mercredi en plus…


elle n'en revenait pas bilbo, sa joyeuse bilbo la devant elle.... elle se frotta les yeux puis les rouvrit mais c'était bien elle ne lui laissant pas en placer une...

Son fils lui tira sur le bras, pour l’interroger.


Maman c’est qui ???
Euh… Oui c’est Néfi l’amoureuse de tonton Chris…
Néfi voici ange…
Nous étions entrain de fuir le monstre de la saint Valentin te souvient tu de lui, tu sais mon hallucination le jour de la fête des amoureux et bien lui aussi est là et régulièrement il m'embête et si il m'attrape je subit ces gages, bain au maroilles, corvée nue et autres gage du genre bien épicé, mais bon je soupçonne une certaine inspecteur d'être aussi de mèche avec le gros ours…


Bilbo le regard doux et interrogateur posé sur une Néfi interloquée par les propos peu cohérent de la brunette, se tue un instant et s’interrogea sur la présence de celle-ci en ces lieux, il n’était pas prévue qu’elle arrive maintenant.


sans voie Nefi regarda tour à tour bilbo et ange, mais ou était elle ? Depuis si longtemps ils l'avaient quitté tout deux....ange son tout petit fillot avait grandit, bilbo rayonnante d'une aura luminescente.

Oui sommes nous ?
C'est bien toi ma bilbo ?
Le st valentin.... oui je me souvient mais …. mais …..

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Ombeline
[Course effrénée]


Ombeline ne comprit pas tout mais une chose était sur, l'heure n'était point au badinage. La jeune femme suivit le groupe transportant Nefi. Elle eut bien du mal à le suivre et dut à un moment donné s'arrêter et les laisser partir devant.

Elle avait besoin de reprendre son souffle et surtout de fermer un court instant les yeux. Ses tempes de nouveau la tiraillaient, sa vision devenait flou. Elle se remémora les conseils de son amie tâchant de les appliquer au mieux ... Une fois qu'elle se sentit à même de repartir, elle hâta le pas. Quand elle arriva, elle croisa la petiote qui retournait dans la chambre de sa mère. Les hommes étaient déjà affairés auprès de leur amie commun. Muette, elle les regarda faire, ne voulant pas être un poids à gérer, ils allaient l'air de savoir ce qu'ils faisaient. Elle se demanda bien ce qui avait pu se passer ... Qu'était-il arrivé à Nefi, pourquoi une noyade ? ... Elle ne comprenait pas ... volontaire, involontaire ...

Un bruissement d'étoffe sur le côté lui fit détourner la tête. Laureline venait de se glisser à ses côtés et se mit à lui narrer toute l'histoire. Elle ressenti tout le petit chamboulement qui se passait dans la tête de l'enfant. Elle posa son sachet à terre, s'assit sur le vieux fauteuil derrière eux et la prit doucement sur ses genoux. Caressant sa chevelure, elle lui murmura d'une voix douce ...


Chutchhutchut, ma puce, ne dis pas de bêtises ma puce.

C'est bien loin d'être ta faute tout ça ... taratatata ....
ne dis pas ça ... c'est un concours de circonstance ma puce ...
rien d'autres, allez allez .... ne te met pas martel en tête ..... chutchutchut ... calme toi ... allez allez ....
les hommes s'occupent de ta maman, ça va aller ...


Elle tapota doucement son dos, puis lui chantonna une petite berceuse dans le creux de l'oreille espérant la calmer.
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--Rox57





Ou sommes nous?

Mais nous ne sommes plus Néfi!

Ectoplasmes diront certains....fantôôômmmes diront d'autres ouhhhh ouhhh...nymphes des songes, ombres des nuits, nous veillons sur les mortels pour un jour les accompagner de la lumière à la nuit!

Point de douleur, de la douceur, le calme, la plénitude, un monde meilleur, plus de peine, plus de sang, quiétude et joie auprès des anges...

***Roxy prenait les mains de Bilbo, virevoltant au gré d'un vent doux et chaud...légère, fluide, transparente comme l'eau vive...***

Chasse l'obscurité Néfi, suis la lumière jusqu'à nous lorsque sonnera ton heure, mais point ce jour, douce amie, ta vie n'est pas finie, écoute ce cœur qui bat encore en toi, écoute les pleurs de ton enfant...

Aux côtés de Luzifer, de Bilbo, de Chiquette, plus douce est la vie, mais ta tâche pas encore accomplie!

Respire Néfi, emplie tes poumons de vie, retourne auprès de ceux qui te réclament et qui t'aiment, ta place n'est pas ici...Nous t'attendrons, mais pas aujourd'hui...

***La voix douce et musicale, Rox lui chantait à l'oreille une petite paillarde qu'elle fredonnait le jour de ses noces pour se donner du courage...***

Retourne toi douce amie, surmonte tes peurs, laisse ton cœur pleurer mais n'abandonne pas encore, rejoins les Néfi, ton heure n'a pas encore sonné...

Nefi


[entre deux mondes …]

étendu sur les draps blanc, la vision de ce visage au teint était saisissante. Elle respirait cependant, ou plutôt elle râlait, chaque souffles, chaque inspirations, émettaient un son effroyable à mesure que le temps passait. Comme un sifflement roque et pénible. Elle cherchait l'air, mais celui ci peinait à venir. La fièvre était installé, faisant luire sa peau moite. Elle pourtant d'ordinaire si rayonnante de vie n'affichait plus qu'une face aussi blême qu'un gisant d'une autre époque.

Alors que les deux hommes s'occupaient d'elle, l'esprit de Nefi poursuivait son voyage dans les méandres d'un monde bien étrange pour elle...

alors qu'elle questionnait bildo, qu'elle restait la le regard posé sur son petit fillot se remémorant sa naissance chaotique au milieu du camp de repli face au rempart de Compiègne une autre voie l'interpella, cette voie qui bien que disparue l'avait parfois hanté, celle de sa douce rox, sa grande sœurde cœur avec son grain de folie habituel elle lui tournait autour tel une vapeur bienveillante lui demandant de repartir, de rejoindre sa fille, au loin elle entendait bien des sanglots... sa fille ? …

elle n'eut pas plus le temps de réfléchir ni de parler qu'une horde de lapinettes armées de piques à brochette et de besaces pleines de maroilles fumants chargées dans leur direction en criant comme des damnées des choses qu'elle ne comprenait pas, elle était suivit par des œufs de pâque volant, et une armée de clés d'or envoyant des carnets de notes à la catapulte.

Surprise elle regarda derrière elle et aperçut la cible de cette étrange équipée. Face à eux des champignons vénéneux semblait il au vu des point blanc sur leur chapeau rouge, se faisaient embrochés par les premières lignes laissant échapper une étrange poussière hallucinogène.

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Laureline_squire


[[Amour, tendresse, douceurs, tels sont les dons principaux d'une femme ; aimer, guérir, consoler, telles sont ses fonctions sur terre.]]

Laurie avait finit son histoire en sanglotant, Ombeline tenta de la rassurer en la cajolant et en la berçant d'une chanson douce.
Alors que la fillette s'apaisait dans les bras de sa tati, la nouvelle respiration, plus rauque et râlante qu'à l'habitude de sa mère firent réagir l'enfant, qui jeta un regard inquiet à celle-ci.

La blondinette sauta des genoux de Ombeline pour s'approcher du lit.
Après un regard inquiet aux adultes présent dans la pièce et de nouveau sur sa mère, elle se souvint des soins que Néfi avait prodigué à son frère lors de l'accident.
Mais pour commencer elle fila dans l'armoire vestimentaire de ses parents la tenue dégoulinant d'eau de Lou après l'avoir regardé inquiète l'avait fait réagir et ne lui avait pas échappée, il y avait déjà assez de sa mère pour ne pas avoir un second malade sur les bras s'en était trop pour elle aujourd'hui.
Laureline vint à trouver une vieille paire de braie et une chemise appartenant à son père.


Tiens Lou met ça, tu sera plus au chaud.

On a pas besoin de toi au lit, tu sera plus utile debout.

Je suis sure que maman me pardonnera.

C'est les vêtements de papa.


Une fois la tenue donné à Lou, la fillette sortie de la chambre et revint après plusieurs minute écoulé avec un plateau rempli de fiole et un énorme livre enveloppé dans du tissu, puis elle ressortie de la chambre pour en revenir encore après plusieurs minutes avec ce coup -ci un plateau rempli de plusieurs tasse rempli d'infusion.

Sous le regard des grands cherchant des explications Laurie finit par ouvrir de nouveau la bouche.


Je vous ai apporter de quoi vous réchauffer surtout toi lou t'as sauter dans l'eau pour sauver maman.

Et aussi de quoi soigner maman.


Elle tendit une infusion nouvelle à pegas pour sa mère.


C'est une infusion de saule blanc pour si elle a mal à sa tête.


Elle tendit ensuite trois fioles, une de menthe, une de romarin et une de pin sylvestre, qu'elle finit par poser sur la petite table à coté de Pegas.

C'est pour faire une friction avec de la menthe du romarin et du pin sylvestre.

Tu sais faire Pegas, ou l'un d'entre vous ???

Maman elle fait ça quand on a attrapé froid, mais je sais pas trop comment elle fait.


En attendant une réponse des adultes, la blondinette déballa le gros livre de recette, c'était le grimoire ancestral de la famille, peut être y trouverait elle des choses.

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Leportel62
Alors qu'Omby chantait une chanson douce à Laurie, Nefi semblait avoir le sommeil agité.

La petite princesse s'approcha inquiéte puis quitta la pièce pour en revenir quelques instants aprés avec des vêtements chauds appartenant à son papa.

Il l'écouta, lui sourit et lui dit : non, t'inquiétes pas, ta maman ne dira rien, je pense.

Lou profita q'une nouvelle absence de la petite, pour se mettre vite fait dans un coin et se déshabiller. Il est vrai qu'il était frigorifié et il passait du chaud au froid sans arrêt.

Au moment de se rhabiller, il se souvint que la comtesse était présente. Bon, Pegas, cela n'était point trop grave mais la comtesse, oups.....

Il s'empressa de se rhabiller et risqua un oeil vers elle.

Euh......désolé Comtesse, dans la précipitation, je vous avais totalement oubliée. J'ai voulu faire vite pour la petite. Euh...vous comprennez.
Enfin, c'est pas la première fois que vous voyez un homme nu, je pense. Bien que vous, ça fait peut-être longtemps. Oups, pardon....ce n'est pas ce que je voulais dire; mais, bon, vous avez un garçon alors vous connaissez au moins le mode d'emploi.


Laurie revint avec un plateau et des infusions. Lou apprécia le liquide chaud coulant dans sa gorge.

Elle quitta de nouveau la chambre pour revenir avec un gros livre.

Elle demanda si quelqu'un savait effectuer une préparation. Lou regarda Pegas en l'interrogeant du regard......
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Ombeline
La jeune femme fut quelque décontenancée de voir la petite aussi vive d'esprit et prendre finalement les choses si vite en main... digne fille de sa mère... et s'occuper devait certainement la calmer. Elle la vit ramener une infusion et une tenue pour Lou. Ombeline observa ce dernier. Il est vrai qu'elle n'avait fait guère attention que ce dernier était trempé de la tête au pied. Elle le vit se mettre rapidement dans un coin de la pièce et commencer à se changer quand la petite quitta les lieux. Ses joues se colorèrent quelque peu, mazette il l'avait oublié ou quoi pour faire cela ici. ... Hum ... Enfin, après tout, les mirettes étaient faites pour admirer les jolies choses peu importe,hein... Elle n'allait pas se sauver. Quand il la surprit en train de le zieuter en biais, le rouge devint plus présent sur sa frimousse et pire quand il osa la taquiner.

Hum hum, oui oui, n'ayez crainte, je n'ai pas risqué l'évanouissement. Mon p'tit cœur est bien solide et quand au reste, tout se passe à merveille aussi. Toujours se méfier de l'eau qui dort comme on dit.
Hum Hum, cette tenue vraiment ça change de l'uniforme.


Elle lui rendit un sourire amusé et allait répliquer autre chose quand Laureline revint avec un plateau rempli de fioles et un énorme livre enveloppé dans du tissu. Et aussitôt, elle ressortit.

Arfff, elle ne tient pas en place. Elle a besoin de s'occuper.

Ombeline avança au chevet de Nefi et lui prit délicatement la main tout en interrogeant du regard Pegas qui l'auscultait. Laureline revint dans la pièce. Cette fois-ci, elle avait un plateau rempli de plusieurs tasse rempli d'infusion.

Oh tu es une perle, ma puce. Ta mère peut-être fière de toi.

Lou, prends une, elle a raison, t'es palichonne en plus.


La jeune femme prit l'une des tasses du plateau et la lui tendit, puis en prit une pour elle. Elle en but une gorgée tout en observant ce qu'avait apporté la petite.

Ah oui, des frictions, je sais faire et d'ailleurs, c'est sans doute mieux que cela soit moi que ... enfin ...je pense qu'une femme se serait mieux pour cela, si ... enfin sans vouloir vous vexer.

Hum, montre moi ce livre.


Reposant sa tasse sur la table de chevet, elle feuilleta avec la petite le gros livre.

Il me semble que pour bien préparer cela, il faut mélanger les huiles à de la graisse. Sais-tu où ta mère range cela ?

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