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[RP]Cérémonie d'Adieu pour Chris_Squire rappelé par Aristote

Laureline_squire


[[L'espoir est comme un phare il n'arrête pas la tourmente, mais il guide toujours dans la bonne direction.]]

Laurie s'écarta un peu de la table ou elle venait de poser l'énorme livre à feuilleter, pour laisser de la place à Ombeline.

C'est le grimoire de recette médicinale de maman, c'est mère grand qui le lui à donné avant de mourir, il se transmet de génération en génération, de mère en fille...

Mais il est un peu compliqué encore pour moi je comprend pas tout de dans.

Faut y faire très attention.


Après un instant de réflexion à la recherche d'une recette, la blondinette regarda à nouveau vers sa tatie.

Surement dans l'armoire médicinale, elle est bas tu veux que j'aille voir ???

Une question taraudé quand même la petite, alors qu'elle s'était déjà dirigée vers la porte sans attendre de réponse à sa première question et après plusieurs hésitation elle se risqua à la poser.
Virevoltant d'un demi tour et faisant face aux adultes de la pièce, mais plus précisément face à Ombeline, la gamine ouvrit la bouche.


Dit tati tu crois qu'on va y arriver à réveiller maman ???

_________________
--Bilbokine


Alors que les deux femmes était en grande conversation, Bilbokine s'apprêtait à répondre aux différentes questions de son amie quand une voix bien connue la devança, Roxy les avait rejointes.
Elles entamèrent une danse au tour de Néfi, avant de filer à grande vitesse dans une course effrénée.
Bilbo avait aperçu dans son dos une sphère lumineuse Orange et cela l’avait fait fuir, bien que Néfi était déjà loin devant fuyant elle aussi quelques chose.
Néfie s’arrêta, mais Bilbo l’entraina de nouveau.

Ne t’arrête pas continue.

Je te rappelle que nous sommes poursuivit et je ne tiens pas au gage.

Et toi il faut que trouve la sortie et retrouve ta fi...


A peine la phrase finit que la voilà de nouveau étalé de tout son long sur le sol du long couloir lumineux.
Un poids énorme sur le dos.
Se débâtant pour essayer d’ôter ce qui lui peser, elle finit par voir orange suivit d’une pluie de Maroilles fondu lui tomber dessus.


Grrrr gné pa potib…

Elle venait de se faire avoir encore une fois le gage était encore plus terrible que les fois précédente, du fromage fondu tout collant …
Elle en eut la nausée…
Ombeline
C'est le grimoire de recette médicinale de maman, c'est mère grand qui le lui à donné avant de mourir, il se transmet de génération en génération, de mère en fille...

Mais il est un peu compliqué encore pour moi je comprend pas tout de dans.

Faut y faire très attention.


Bien, bien. Je vais prendre des précautions, promis. Et ...

Point de le temps de terminer sa phrase que le petiote enchaîna.

Surement dans l'armoire médicinale, elle est en bas tu veux que j'aille voir ???

Et ben, une vraie boule de nez sur patte, songea-t-elle. Sa mère en plus jeune, en fait ... Telle mère, telle fille. En un rien de temps, cette dernière partait déjà vers la porte puis elle fit volte face vers elle, avec un de ces regards ... Arfffff .... guère le regard insouciant et plein de vie d'une enfant de cet âge ... Son fils avait-il eu le même regard des mois auparavant ... Par Aristote, que cela la rendait mal à l'aise ... Que lui dire pour atténuer la souffrance que l'on pouvait y lire ...

Dit tati tu crois qu'on va y arriver à réveiller maman ???

Ma puce, on fera tout notre possible, je te le promets.

Elle alla prestement vers elle, et la serra dans ses bras, déposa un baiser sur sa joue puis la reposa doucement. Glissant ses doigts sur son visage, elle la regarda droit dans les yeux à nouveaux.

Tout notre possible, promis.
Elle est forte ta maman, tu sais. Elle a de la ressource et puis nous sommes tous là pour elle.


La Comtesse tourna la tête en direction des deux autres présents.

N'est-ce pas Pegas ? Lou ?
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Leportel62
Lou attendait ne sachant plus trop quoi faire. Il écoutait 'la tatie' tentant de réconforter et de rassurer la petite Laurie.

N'est-ce pas Pegas ? Lou ?

Oui, oui bien sûr Omby qu'elle va se réveiller. Rien que pour le plaisir de venir nous crier dessus, elle va revenir nous voir. Elle ne pourrait pas s'en passer.

Je vais aller prendre un peu l'air car par moment j'ai froid et là j'ai chaud; ça te laissera un peu de temps pour lui prodiguer quelques soins Omby, si tu veux......
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Ombeline
La jeune femme croisa le regard de Lou.

Ouchh, j'espère que tu ne nous couves pas quelque chose.
Termine de boire la tisane que t'as apporté Laureline, tout de même.
Je profiterai de ta sortie avec Pegas, n'est-ce pas Pegas, tu vas l'accompagner ? L'air frais, vous fera du bien à tous deux. Je vais me charger des frictions de Nefi pendant que vous ne serez pas dans la chambre.

Ma puce, veux-tu bien aller me chercher ce dont j'ai besoin dans l'armoire médicinale.


Elle la regarda partir puis reporta son attention sur Lou soucieuse. Il n'était pas du genre à se plaindre d'habitude. Humm.
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Laureline_squire


[[On ne soigne pas tous les malades avec les mêmes remèdes.]]

Laurie écouta les grands tenter de la rassurer, puis Lou ne se sentant pas bien proposa de sortir dehors pour laisser Ombeline agir.
Entre temps la petite avait filée pour accomplir une nouvelle mission trouver de la graisse pour faire la friction.

La blondinette les poussa dehors et fila jusqu'à l'armoire médicinale pour trouver ce dont sa tati avait besoin.
De la graisse, de la graisse...
Elle regarda plusieurs pots et autre fioles avant de trouver son bonheur.

Une fois la graisse en main Laureline remonta les marches quatre à quatre.

Une fois entrée dans la chambre elle poussa les deux garçons dehors...


Allez zou les garçons dehors la c'est po pour vous.

Et pis Lou va voir dans l'armoire à maman si il y a encore de la plante pour la fièvre parce que quand ont à chaud, froid, chaud, froid c'est qu'on couve de la température, groumph.

Gné pa potib il a pas le droit de tomber malade ou quand maman sera réveillé seulement.


La fillette était agité, énervé, colérique, triste, Laurie était entrains de passer par toute les émotions tellement l'état de sa mère l'inquiété.

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Nefi
[méandre d'une mémoire torturé suite...]

Ne t’arrête pas continue.

Je te rappelle que nous sommes poursuivit et je ne tiens pas au gage.

Et toi il faut que trouve la sortie et retrouve ta fi...


alors que sous ses yeux disparaissaientt lapinettes, clé, dors et champi, elle se sentit tirer par le bras par bilbokine qui avait fini sa folle farandole avec rox et semblait paniquer. elles se mirent alors a courir, fuir, fuir encore et toujours ce spectre orange et grotesque qui un jour de st valentin avait enlevé son amie...

un groumph se fit entendre derrière elle, se retournant elle vit bilbo couverte de fromage fondant voulant lui venir en aide elle tâtonna là ou d'ordinaire birgit était accrochée mais n'y trouva rien, même la dague qu'elle portait normalement à la cuisse sous ses vêtements avait disparut tout comme ses vêtements d ailleurs. impuissante elle vit le gros truc orange de moue lui tomber dessus la couvrant à son tour de fromage. elle s'agita dans tout les sens pour se libérer mais elle suffoquait, cherchant l'air qui ne passait que bien difficilement...

....

bien réel est pourtant le monde de notre enveloppe charnelle...
elle s'agita soudain, tournant la tête en tout sens et cherchant l'air en haletant de plus belle, elle suffoquait, essayant tant bien que mal d'aspirer un peu de l'air vitale...
la fièvre inondait son visage maintenant virant au rouge...
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Ombeline
Allez zou les garçons dehors la c'est po pour vous.

Et pis Lou va voir dans l'armoire à maman si il y a encore de la plante pour la fièvre parce que quand ont à chaud, froid, chaud, froid c'est qu'on couve de la température, groumph.

Gné pa potib il a pas le droit de tomber malade ou quand maman sera réveillé seulement.


Ombeline ne put s'empêcher de sourire face à l'autorité de la fillette. Les hommes étaient sortis sans rechigner un poil.

Meric jeune fille.
Je vais m'y atteler de suite.


Elle reposa sa tasse vide et alla près de la commode afin de réaliser la préparation. Elle retroussa ses manches et attacha rapidement ses cheveux. Grande jatte, graisse, herbe, fiole ... Hum, tout y était, il ne restait plus qu'à suivre pas à pas les indications qu'elle avait lu dans le grimoire rapporté par Laureline. Cela faisait bien longtemps qu'elle n'avait faire ce genre d'activité. Piouffff, cela la menait bien loin dans le passé, tout cela ... le temps d'Aristochate, de Rasta, de Tene et d'Alba ... Arff Alba ... Parbleu, que le temps défile, songea-t-elle tout en relevant une mèche qui avait glissée sur son front.

Au bout de plusieurs longues minutes, la préparation fut prête. Il n'y avait plus qu'à. Elle se tourna vers Nefi dont le sommeil s'agitait de nouveau. A quoi pouvait-elle donc rêver ? Enfin rêver ... façon bien entendu de parler... cauchemar peut-être ? Tout dépend sans doute des gens et de leur vécu ... Crénom de nom, Ombeline, cesse de cogiter, officie bondious, persifla-t-elle envers elle-même.

La jeune femme souleva les draps qu'elle plia avec soin. Nefi apparue dans le plus simple apparait. Étrange sensation que de la voir ainsi, mais vite dissipé par l'importance de ce qu'elle devait faire pour aider au mieux son amie.

Avec le bout des doigts en mobilisant les tissus superficiels sur les parties profondes de la peau, elle appliqua avec soin la préparation et entama une série de frictions sur le buste puis tout le reste du haut du corps. Tout en massant, elle murmura quelques paroles réconfortantes à son amie, espérant la ramener vers elle, vers eux.

La chambre embaumait au fur et à mesure de soins prodigués la menthe du romarin et du pin sylvestre. Une fois les frictions terminées, elle la recouvrit, puis attrapa le pot d'eau et se rinça les mains au dessus de la jatte. Ombeline releva la tête en direction de la petite.


Bien.
Hum, crois-tu que ta mère aurait un flacon d'eau de fleur d'oranger ?
C'est recommandé pour faire baisser la fièvre.
Hum, si tu m'indiques précisément où se trouve l'armoire, j'irai, si tu préfères rester auprès du chevet de ta mère le temps de ....
Il me faudrait un tissu propre aussi.
Une fois ce dernier, imbibé d'eau de fleur d'oranger, tu pourras tamponner le front de ta mère avec.

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Leportel62
Ayant été mis dehors gentillement par la jeune demoiselle afin qu'Omby prodigue des soins à sa maman, Lou partit à la recherche d'un reméde contre la fiévre qu'il ne trouva pas.

Par moment, il claquait des dents. Il s'empressa de remettre quelques bûches dans la cheminée.

Son regard se porta sur une bouteille posée sur un meuble. Il l'ouvrit et renifla. Bah voilà un bon reméde, un bon calva. Il la prit avec lui et alla s'installer dans le canapé face à l'âtre. Une bonne lampée, suivie d'une autre et un peu de chaleur voilà qui était parfait. Il se recroquevilla sur lui même regardant les flammes dansaient; parfois une tête de monstre apparaîssait et repartait aussi vite à la faveur de la hauteurs des flammes.

A force de les regarder, Lou finit par s'assoupir.
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Laureline_squire


[[Il n'y a qu'un remède au désespoir : c'est la prière, la prière qui peut tout...]]

La fillette venait de mettre les deux hommes dehors, puis la gamine s'approcha de sa mère et glissa sa petite menotte dans la sienne.
Laurie songeait à une seule chose voir sa maman revenir à elle, malgré cela la petite jetait de temps à autres des coups d'œil dans la direction d'Ombeline qui s'affairait à la préparation qui contribuerai à soigner Néfi.

Le soin prêt la tatie de l'enfant se rapprocha de la mère et la fille et après avoir ôté les draps qui recouvrés le corps de la maman de la blondinette, Ombeline commença la friction sous les yeux attentif de Laureline.

Une fois les soins fait La baronne s'adressa à la môme et la fit sortir de ses songes.


Hein... Euh... Oui

Elle est en bas dans la pièce à vivre à droite de l'escalier, parce que à gauche c'est la cuisine.

Et du tissu soit dans la commode là, soit dans la cuisine, ou peut être que maman en range aussi dans l'armoire à pharmacie.


La blondinette reposa son regard sur sa mère, tout en récitant des prières silencieuses pour l'aider à revenir vers elle.

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Ombeline
Hein... Euh... Oui

Elle est en bas dans la pièce à vivre à droite de l'escalier, parce que à gauche c'est la cuisine.

Et du tissu soit dans la commode là, soit dans la cuisine, ou peut être que maman en range aussi dans l'armoire à pharmacie.


Bien, alors je vais m'en occuper. Reste auprès de ta mère. Je reviens d'ici quelques minutes.

La jeune femme sortit de la chambre et suivit les indications de la petite. L'esprit préoccupé, elle descendit à la vavite les escaliers. A la dernière marche, elle dérapa légèrement mais se rattrapa de justesse à la rambarde.

Crénom de nom, pas la peine d'avoir une seconde mal en point... grgrgr...

Marmonnements de la jeune femme pendant qu'elle se redressait et observait les portes lui faisant face. Hum... une était déjà entre ouverte. droite, gauche déjà ? Hum... allez zoup, elle ouvrit la gauche ... Arff, loupé ... Son erreur lui tira un sourire aux lèvres. Elle balaya d'un regard la cuisine bien ordonnée de Néfi. Rien ne traînait. Elle se rappela que la petite lui avait dit pouvoir trouver des linges propres aussi ici. Ouvrant quelques placards, elle se servit.

Parée donc des étoffes, elle sortit de la cuisine et se glissa par la porte entrouverte de la pièce à vivre. L'armoire médicinale était facilement repérable. Concentrée, elle farfouilla dedans, lisant les étiquettes avec minutie des diverses fioles et pots. Eau de fleur d'oranger trouvé, elle referma l'armoire et s'apprêta à quitter les lieux. Une sorte de claquement de dent entrecoupés de ronflements rauques la fit sursauter sur place.

Tendant l'oreille, elle fit demi tour et s'avança un peu plus étonnée. Il ne pouvait y avoir que les hommes au rez de chaussé et pis, étrange qu'ils ne s'étaient pas manifester en la voyant farfouiller dans la pièce.

Méfiante tout de même, elle posa linge et eau de fleur d'oranger l'un des meubles et les remplaça par le premier objet trouvé sur son chemin, en l'occurrence un vase. Elle marcha à pas de loup vers le bruit provenant du canapé face à l'âtre. A cette distance, elle ne voyait qu'une touffe de cheveux dépassant du dossier. Accélérant l'allure, elle contourna le canapé et découvrit Lou, endormi, et plutôt pâle. Plissement de nez... Froncement de sourcils de la comtesse. Elle se délesta du vase et posa une main sur son front. Ciel.. Brûlant ... Nom de nom, bien besoin de cela en plus... Elle le secoua un peu. Pas question, qu'il reste là.


Lou ... Lou ???

Le secouant de nouveau légèrement.

Lou ??? Tu m'entends ???
Lève toi ... Tu ne peux pas rester là ... T'es brûlant ... J'vais t'aider à te rendre à l'étage, il doit bien y avoir une chambre, tu y seras mieux qu'ici.
Allez, lève toi ... Où est Pegas ?

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Pegas


Pegas et Lou sortirent tous les deux de la chambre sous les ordres de Laurie afin de permettre à Ombeline de continuer les soins à Nefi, Pendant que loulou partit à la recherche d'un remède contre la fièvre, Pegas sorti de la maison, *Nefi avait besoin de reprendre des forces quand elle se réveillera* pensa t-il *tout le monde d'ailleurs*, il prit donc la direction marché ...
Après avoir trouvé ce qu'il cherchait, il retourna à la maison, ayant les bras chargé, il poussa la porte de son pied et s'adressa à Loulou ...

Je suis de retour, tu viens m'aider dans la cuisine Loulou? demanda Pegas en fermant la porte derrière lui... je ne suis pas trop doué en... Il s'arrêta sec lorsqu'il aperçu Ombeline dans la pièce ou il avait laissé Lou; elle était entrain de le secouer légèrement, des traits d'inquiétude marquaient son visage ...

Pegas déposa les sacs qu'il avait et se précipita vers eux, il posa sa main sur son front brulant et interrogea Ombeline...

Que s'est il passé ?

il était réveillé quand je l'ai laissé...

Il est Brulant... Je pense que c'est à cause de son plongeon dans l'eau froide pour sauver Nefi...


Je vais me charger de lui ne t'inquiète pas
, dit il essayant de la rassurer posant une main sur son épaule... Il va s'en sortir, tu peux retourner auprès de Nefi elle a besoin de toi...

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Leportel62
Le mélange calva-fièvre le faisait planer. Il était là entrain de nager au milieu d'un ban de poissons lorsqu'il se fit secouer par un prédateur.

Il lui sembla qu'un autre prédateur parlait également.

Il rala quelque peu et retourna se cacher dans le ban.

Voilà, il pouvait de nouveau nager dans les profondeurs de l'océan......
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Ombeline
Je vais me charger de lui ne t'inquiète pas, dit il essayant de la rassurer posant une main sur son épaule... Il va s'en sortir, tu peux retourner auprès de Nefi elle a besoin de toi...

Hum, va s'en sortir ??? Ben, rooo oui tout de même ... Il n'est pas en porcelaine non plus, quoique ... regard vers Lou ... Plissement de nez .... Bien pâlichon quand même ... nouveau regard vers Pegas ... Il faisait parti de l'équipe médicale de l'Ost donc forcément entre de bonnes mains ... Bon zoup, Omby allez file donner ça à Laureline et arrête de te parler à toi même, bon sang de bois, tu vieillis ma belle, tu radotes en plus ... tssss ... ça va mal, ça va mal ... Esquisse d'un sourire vers Pegas.

Bon, je te le laisse, je vais porter cela à Laureline pour faire descendre la fièvre. Il doit y avoir une autre chambre de libre à l'étage, installe le là. Je viendrai vous rejoindre et verrai pour préparez quelque chose de chaud car tout à l'heure, il n'a rien pris et pas bon de rester non plus l'estomac vide quand on est patraque.

Elle reprit la fiole d'eau de fleur d'oranger, les linges propres, jeta un regard vers Lou, puis quitta la pièce afin de rejoindre Nefi et Laureline à l'étage.

Ma puce, me revoila.
Tiens voilà un linge propre. Tu y verses un peu d'eau de fleur d'oranger et tu tamponnes le front de ta mère. Cela ne peut lui faire que du bien.
Elle risque d'être encore groguie quelques jours.
Lou n'est pas bien non plus. Il doit avoir de la fièvre. Pegas va l'installer dans une des chambres à l'étage...enfin si pas d'inconvénient, cela sera plus simple de veiller nos malades sous le même toit.
Je ne sais quelle chambre, il peut prendre.


Regard vers Nefi.

Dis moi, son sommeil est-il moins agité ou toujours pareil ?
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Pegas


Bon, je te le laisse, je vais porter cela à Laureline pour faire descendre la fièvre. Il doit y avoir une autre chambre de libre à l'étage, installe le là. Je viendrai vous rejoindre et verrai pour préparez quelque chose de chaud car tout à l'heure, il n'a rien pris et pas bon de rester non plus l'estomac vide quand on est patraque.

Un sourire rassurant s'afficha sur les lèvres de Pegas adressé à la baronne d'Ytres ...

D'accord , j y est pensé aussi, je vais le porter tout de suite...

La baronne quitta la pièce pour aller rejoindre Laureline et Nefi à l'étage; Pegas à son sortit de la pièce soulevant Lou dans ses bras et monta l'escalier prudemment sans trop secouer son nouveau patient et l'installa dans une autre chambre sur un lit, il le couvrit et alluma ensuite un feu dans la cheminée et ressorti de nouveau de la pièce pour chercher de l'eau, du linge propre et lui préparer quelque chose contre la fièvre...

Quelques instants après, Pegas entra dans la chambre ses mains chargés , il s'approcha du lit de Lou déposa déposa ce qu'il avait en main à coté et s'assit sur un tabouret... Il trempa un linge dans l'eau et le mit sur le front brulant de son patient qui marmonnait des mots incompréhensible...

Loulou, tu m'entends? Accroche toi vieille carcasse, c'est pas une fièvre qui va t'avoir, tu vas t'en sortir...
lui murmura Pegas en continuant à éponger son front... Il faut te réveiller et m'avaler cette boisson que je t'ai préparé avant qu'elle ne refroidisse...

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