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[RP]Cérémonie d'Adieu pour Chris_Squire rappelé par Aristote

Pegas


[La chambre de Lou]

Tout à fait. Je vais vous laisser et aller voir ce qui se passe à côté.

D'accord, moi je resterai auprès de lui, je passerai tout voir Nefi, mais sinon, si on a besoin de moi, je ne serai pas loin...

Sur ce, Ombeline quitta la pièce, Pegas s'assura que Lou est bien couvert, et alla ensuite vers la cheminée et s'assit sur un coussin observant la flamme qui dansait dans l'âtre se laissant bercer par une lointaine nostalgie, cet environnement lui rappela des personne qui lui sont chères, il vit leurs visages défiler devant ses yeux, chacun portant un souvenir particulier, lui rappelant l'ouverture de son petit coin du feu, ses deux sœurs de cœurs, Gweny ou la Bulette comme elle aime se faire appeler, Fey la silencieuse, où Michelnostredame paix à son âme, un pincement au cœur se fit ressentir quand Pegas vit son visage défiler, il soupira légèrement et se leva ne sachant combien de temps avaient duré ses rêvasseries, il prit un buche la jetant dans les flammes et se tourna vers son patient, il était encore dans les bras de Morphée ... Pegas quitta la pièce et descendît les escaliers se rendant dans la cuisine, il ressentit un petit creux il prit donc un morceau de pain et commença à grignoter quand tout à coup il entendit la voix de Lou provenant du haut des escaliers...

Ya quel'qu'un.

Pegas quitta la cuisine et monta les escaliers en courant, arrivant devant Lou il fit des yeux ronds...

Dis donc toi ^^ tu es bien en forme pour quelqu'un qui a passé énormément de temps chez Morphée... il le prit par le bras doucement pour le reconduire à sa chambre...

Mais il est encore interdit de te laisser secouer comme ça ^^... rentrons dans la chambre, tu as encore besoin de rester un peu au chaud ^^... Tu ressens quelque chose ? dis moi...

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Leportel62
Mais il est encore interdit de te laisser secouer comme ça ^^... rentrons dans la chambre, tu as encore besoin de rester un peu au chaud ^^... Tu ressens quelque chose ? dis moi...

Tiens, coucou, Pegas....Non, non, non, j'ai assez dormi, j'ai faim. Je suis trés bien, un petit étourdissement en me levant tout à l'heure mais maintenant ça va, j'ai faim.

Prend la direction de l'escalier......
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Laureline_squire


[[Les douleurs légères s'expriment ; les grandes douleurs sont muettes.]]


Laurie s'était redressée et avait cessée de câliner sa mère à l'arrivé d'Ombeline dans la chambre.

La fillette mira les deux adultes, mais quelques chose n'allait pas aucun son ne sortait de la bouche de Néfi.
La blondinette regarda tour à tour sa maman et sa tatie avec deux émeraude inquiète, puis elle prit le verre d'eau sur la table et tenta de faire boire sa Mère à coup de petite gorgé.
Peut être avait elle la gorge trop sèche. Pensa la môme.

Laureline était inquiète, angoissé à cette instant, la gamine fondit en larme, la fatigue et la nervosité la firent lâcher prise.
Il fallait que la petite craque un bon coup.
Cela faisait plusieurs jours qu'elle dormait peu voir pas du tout, l'angoisse de ne jamais retrouver sa maman l'avait quasi anéantie.

L'enfant aurait à cet instant précis voulut entre le son de la voix de sa mère, mais il en fut tout autres puisqu'au même moment une personne toqua à la porte d'entrée.

Laurie essuya son visage et quitta la pièce en essayant de refaire bonne figure, malgré ces yeux rougis et cernés de deux grosses poches prononcées par l'épuisement.
La blondinette descendit l'escalier et alla ouvrit la porte.

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--Poupouille


Le vieux moine avait traversé une partie de l'ouest du royaume il venait de Niort et avait du traverser la Touraine, l'Alençon et la Normandie pour parvenir jusqu'à l'Artois.
Bertincourt devait être son lieu de destination, c'est la que son abbaye l'avait envoyé pour remettre un courrier important.
De laisser passer en laisser passer le vieil homme avait enfin atteint son but.

Une fois sur place et après avoir questionner quelques badaud du coin Poupouille avait enfin trouvé la demeure familiale des Squires.

L'homme toqua à la porte et après plusieurs minutes se fut une fillette blonde qui lui ouvrit.


Bonjour jeune demoiselle

Je me présente Poupouille je suis moine dans le comté du Poitou.

Je suis ici car j'ai un courrier concernant votre père à remettre à votre mère. Est elle Là ???


La demoiselle lui fit non de la tête, son visage montrait de la fatigue, et une pâleur ainsi que des joues humides surement de larmes.
L'enfant ne voulait surement pas être embêté et ce n'était nullement son intention.
Dans l'entrebâillement il aperçu des ombres, mais ne voulant pas insister vue l'air grave de sa petite interlocutrice.

Il confia la lettre à la petite fille et s'en retourna vers le centre du village pour trouver une auberge pour la nuit.
Le voyage ayant était long un peu de repos avant de reprendre la route ne lui ferait pas de mal.
Avant de la quitter il lui signifia tout de même qu'il rester un peu dans le coin si sa mère désirait le rencontrer.
Ombeline
[Dans la chambre de Nefi]


Nefi ne semblait pas trop l'entendre ou la comprendre ... Soupirs d'Ombeline, il y avait certes du mieux mais ce n'était pas encore cela. Un mauvais pas ferait qu'elle risquait de rester en cet état ... Laureline prit le verre d'eau sur la table de chevet afin de faire boire sa mère. Ombeline se retrouva rapidement à ses cotés une main sur ses épaules, tentant de la rassurer comme elle le pouvait, lui chuchotant quelques mots.

Allez, ma puce, courage. Elle nous a entendu, c'était toujours cela.

Elle la sentit prête à fondre sur place ... Des coups à la porte d'entrée leur parvinrent. La petite disparut aussitôt de la pièce. Ombeline soupira tristement. Cela lui faisait vraiment mal au cœur de les voir dans cet état... Elle se tourna vers Nefi qui avait déjà rejoint dans les bras de Morphée.

Elle se dirigea vers la fenêtre, l'entrouvrit afin de laisser passer de l'air frais. Prenant les draps propres apportés, elle changea la literie, ainsi que la chemise de son amie, faisant de son mieux pour ne point trop la secouer son amie.

La jeune femme tamponna le front de Nefi avec l'eau de fleur d'oranger, elle arrêta soudain son geste, étonnée de ne pas revoir apparaître Laureline. Était-elle retardé par la visite ? Elle se leva, referma la fenêtre puis après un dernier regard vers son amie, sortit de la chambre, bras chargé des draps changés, et autres bricoles.

La jeune femme déposa le tour dans la petite pièce faisant office de lingerie, puis se mit en quête de Laureline.


[Salle à vivre]

Elle fut surprise de trouver Lou debout avec Pegas dans la salle à vivre.

Déjà levé ??? Est-ce raisonnable Lou ??? Pegas, t'as autorisé ???
Avez-vous vu Laureline ?

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Leportel62
Déjà levé ??? Est-ce raisonnable Lou ??? Pegas, t'as autorisé ???
Avez-vous vu Laureline


Oui, oui Comtesse , trés raisonnable. J'ai une faim de loup. Savez-vous où nous pouvons trouver de quoi manger ici?

Si j'ai faim Comtesse, c'est que tout va bien. Bien entendu, Pegas est d'accord avec moi, sinon je ne serai pas là.

Laureline est partie à la porte d'entrée. Elle ne devrait pas tarder.

Euh Comtesse, sauriez vous où se trouvent mes affaires?

J'ai dû rater quelques épisodes depuis que Nefi soit tombée à l'eau. Comment va-t'elle?

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Ombeline
[Salle à vivre]


La jeune femme tenta de tout emmagasiner les informations données ... tout en acquiesçant de la tête et l'observant. Ce dernier était descendu emmitouflé dans un drap.

Bien, pour la faim de loup, je peux cuisiner une bricole. Ne vous attendez pas à du haut de gamme, hein, je ferai simple avec les moyens du bord.
Pour la tenue, vous ne pouvez pas décemment rester ainsi surtout avec la puce, pas loin. Vos affaires ont été lessivé l'autre jour, elles doivent être sèche et plié dans la lingerie.

Hum ... Bon, Pegas, je te le kidnappe. Lou, hop, on me suit.


Elle lui indiqua d'un geste la direction à prendre, tout en réfléchissant à ce qu'il venait de lui dire sur Laureline, et ses questions sur Nefi et reprit du coup la conversation, quand ils furent dans le couloir.

[Cuisine - Lingerie]

A la porte d'entrée. J'avais bien entendu quelqu'un toquer alors. Je la trouve bien longuette tout de même, la petite. J'irai voir ensuite, car il faut qu'elle se repose un peu. Elle a veillé sa mère bien plus que de raison.

Elle se tourna vers Lou, gardant une main sur la poignée de la porte des cuisines.

Nefi est toujours entre deux mondes. La fièvre a enfin baissé mais elle est loin d'être sur pied comme toi. Elle a quand même ouvert les yeux et tenter de nous parler.

La jeune femme soupire puis ouvrit la porte. Elle lui indiqua la pièce attenante servant de lingerie.

C'est là. Je vais te donner de quoi te vêtir et ensuite tu viendras à table.

Elle farfouilla dans la pièce, en sortit, lui tendit les vêtements puis le laissa se changer pendant qu'elle ouvrit deux, trois placards afin de lui cocoter quelque chose à manger. Œufs et herbes, lard, impeccable de quoi faire un festin ... Poêle main, spatule en bois de l'autre, elle se mit au travail.
Nefi
[la faiblesse est un fardeau ]

elle s'était sentit revenir à la réalité alors que les petits bras de sa fille l'entouraient de tendresse. elle la sentait si inquiète sa petite princesse.
elle vit son petit visage changer laissant venir les larmes alors qu'elle même ne pouvait parler, elle but un peu d'eau que lauri tentait de lui faire boire ce qui lui fit beaucoup de bien mais sa gorges était si serré la respiration encore bien difficile lui brûlé les poumons. et c'est désolé qu'elle vit sa fille fondre en larme et partir en courant. alors qu'elle n'avait la force de la retenir, de la rassurer... elle avait tellement mal partout la pression dans son crâne devenait vraiment trop forte et elle ferma les yeux pour la soulager alors que déjà ombeline s'affairait autour d'elle, puis la laissa seul elle entendit une voix d'homme crier en bas, dans un dernier éclair de lucidité elle se demanda de qui il s'agissait avec de retomber dans le sommeil.
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Laureline_squire


[[Où donc un enfant dormirait-il avec plus de sécurité et sereinement que dans le lit de ses parents ?]]

Laurie avait accueillit le vieil homme sans mot dire, les trait du visage tirés, des poches cernant ses deux émeraudes vertes montrées à quel point l'enfant était épuisé ainsi que triste, car ses pommettes était rosie par les larmes.
Tel un automate la fillette avait prit la lettre hochant de la tête, de ci de là.

Le moine reparti, la porte refermée, la blondinette s'effondra sur ses genoux, la phrase," j'ai un courrier concernant votre père à remettre à votre mère" retentissait encore dans la tête de Laurie.

La gamine fondit de nouveau en larme car un mauvais pressentiment la tirailla par le ventre et le cœur.
Laureline se laissa aller durant plusieurs minutes il fallait qu'elle laisse évacuer son mal être, sa douleur, sa peine, sa tristesse, son inquiétude quant à la santé de sa mère et à l'absence des deux hommes de sa vie, son père, son frère.

Une fois que l'enfant fut vidé de ses larmes et que la nervosité qui lui serrait le ventre fut un peu retombée.
La môme repartie comme un automate vers la chambre de sa mère, oubliant presque le reste du monde présent dans la demeure.

Entrant dans la chambre sans bruit la petite vit que sa maman s'était rendormir.
Laureline se glissa à ses côtés sous les draps, le regard posé sur celle qui lui avait donnée vie, le courrier dans une main elle glissa l'autre dans celle de Néfi.
Puis il ne fallut pas longtemps à la petite blondinette pour lâcher prise et s'endormir.

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Nefi
[l'amour maternelle est toujours le plus fort...]

combien de temps avait passait elle ne le savait pas, la lumière dans la chambre était moins diffuse, les braises dans l'âtre faisait des ombres dansante sur le plafond, et contre elle la chaleur d'un petit corps.
elle tourna la tête péniblement tant ses articulations étaient raides et engourdis, une masse de cheveux blond tout ébouriffé reposait contre son bras, une mains dans la sienne cherchait le réconfort maternelle. elle l'étreignit avec douceur glissant sa main libre dans les cheveux soyeux de sa fille.
elle avait toujours un mal fou à respirer et la gorge enflé mais elle se sentait légèrement mieux. elle resta la sans bouger pour ne pas la réveiller oscillant entre somnolence et réveil.
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Laureline_squire


[[ Les jours passent mais ne se ressemblent pas, Rien ne s'arrête tout continu...]]

Laureline s'était endormi dans les bras de sa mère, il y a de cela plusieurs jours.
La fillette avait un retard de sommeil fou à rattraper, et visiblement rien ne s'était arrêté autour d'elle malgré son manque de vivacité.
Le monde avait continué de tourner, les grands avait continué de prendre soin de sa maman et personne n'avait osé la réveiller.

Deux nuits et une journée c'était écoulées depuis le réveil partiel de Néfi et son endormissement de petite princesse.

Laurie avait toujours la lettre en main, personne n'avait visiblement osé là le lui retirer, et c'est en la voyant que la blondinette se souvint du moine et de son message.
La gamine était quand même bien curieuse de savoir ce que se courrier contenait.
Surtout si il parlait de son père.

Ou peut être même que c'était une lettre de lui. Vint elle a penser.

Après avoir hésité un instant, tourné la lettre dans tout les sens, essayé même de regarder au travers grâce à la lumière du jour, et après avoir prit un verre d'eau, Laureline vint à la décacheter.
Mais les mouvement de sa mère à ses côté l'arrêtèrent bien vite.


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Nefi
[la vie reprends ses droits, Aristote aussi... ]

oscillant entre réveil et sommeil, elle était resté quelques temps dans un état plus ou moins léthargique recevant les soins nécessaire à sa guérison, sa fille tout prés d'elle dormait à point fermé depuis un long moment aussi et le temps filait sans qu'elles en eurent vraiment conscience. la fièvre partait petit à petit, la respiration était moins pénible et même sa voix bien que encore voilé et presque inaudible était revenue.
sentant lauri s'agiter prés d'elle, elle ouvrit les yeux, ce devait être le matin vu la lueur encore timide et rosée du ciel.
la voyant tourner en tout sens une lettre cacheté elle la regarda surprise

qu'es donc ?

voyant sont nom écrit dessus et le volume de l'enveloppe.

elle m'est adressé ?
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Laureline_squire


[[Qui rougit est déjà coupable, la vraie innocence n'a honte de rien.]]

Laurie venait d'être prise sur le vif. La honte de la bétise vint à s'installer en elle, ses deux pommettes squiriennes ne tardèrent pas à prendre un rose presque rouge.
La fillette hésita un instant à répondre à sa mère.


Beuh...

C'est une lettre.


Après avoir laissé échapper une première réponse Laurie fut dans l'obligation de continuer, sauf que là ben la gamine ne s'arrêta plus de parler.
Surement le bonheur d'entendre sa maman avoir retrouvé un peu la parole.

Elle concerne papa, c'est un moine de je sais plus où, j'ai pas retenu parce que toi t'était malade et que j'étais inquiète, mais de loin c'est sure, qui l'a apporté, il y a quelques jours, il même dit qu'il restait au village si tu voulait le voir.

Laurie finit par tendre la lettre à Néfi, la petite l'avait presque oublié à raconter l'histoire du moine.

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Ombeline
[Qq jours plus tard]


Lou semblait bien se remettre, sans séquelle apparente. Il avait retrouvé l'appétit, même un peu trop, elle devait parfois le restreindre sinon le garde manger s'envolait que trop vite. Il se promenait à ses aises dans la maisonnée et suivait les conseils pour reprendre du poil de la bête. Ainsi, il allait de temps en temps prendre l'air et faisait quelques exercices.

Laureline avait dormi auprès de sa mère plusieurs journées d'affilée. Ombeline était passée plusieurs fois dans la chambrée afin de s'occuper de la mère et de la fille. Elle avait découvert une lettre dans la main de la petite mais si serrée entre ses doigts, qu'elle lui avait laissé.


Elle venait de préparait un nouvel encas pour Lou en cuisine et deux tisanes mariant cannelle, bourrache, réglisse, sureau, souci, romarin, et mélisse pour les deux "malades". Elle poussa la porte et entra dans la chambrée après avoir toquer trois petits coups.


Bonjour, bonjour.
Humm, pas encore bonne mine, mais au moins vous avez une tête qui fait bien moins peur.^^
Je vous ai apporté une tisane.
Nefi
Elle concerne papa, c'est un moine de je sais plus où, j'ai pas retenu parce que toi t'était malade et que j'étais inquiète, mais de loin c'est sure, qui l'a apporté, il y a quelques jours, il même dit qu'il restait au village si tu voulait le voir.

c'est quelques paroles la crispèrent soudain alors que de vague souvenir de ses rêves lui revenait comme des flash, son tendre époux lui disant au revoir, s'éloignant d'elle, lui disant de rejoindre leur fille,...
elle regardait la lettre encore plus pâle qu'elle ne l'était déjà, la fixant, et n'osant la prendre entre ses mains comme si c'était une invitation du sans nom. une bouffé d angoisse la submergea lui coupant le peu d'air qu'elle parvenait encore à inspirer, tant la peur d'avoir confirmation de ses rêves était forte.
ombeline arriva dans la chambre à ce moment, rompant un peu l'atmosphère d'inquiétude qui les entourait. elle parvient à articuler péniblement un bonjour, puis tendit la main vers la lettre l'effleurant du bout des doigts comme si elle allait se brûler.
il y avait quelque choses, un objet semblait il dans le vélin cacheté de cire.
elle hésitait encore à l'ouvrir et pourtant il le faudrait bien. ses doigts tremblaient tellement qu'elle ne parvient qu'avec bien du mal a décacheter le plie. elle y parvient cependant, et en fit glisser l'objet qui roula sur les draps blanc avant de stopper sur sa poitrine. son regard se posa dessus incrédule, elle avait là devant elle l'anneau de mariage de son époux, cette alliance symbole de leur amour, elle n'osait plus bouger, pétrifié par cette vision, cette anneau qui jamais n'aurais du quitter son mari, les larmes envahir ses yeux sans quelle puisse les retenir ...
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