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[RP]Cérémonie d'Adieu pour Chris_Squire rappelé par Aristote

Nanuccio

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Curé de Bertincourt
Ombeline
Ils avaient donc pris place sur le banc silencieusement et attendirent le début de la cérémonie. Elle garda les yeux rivés sur l'autel, parsemé de bouquets de fleurs blanches, puis un mouvement à leurs côté lui fit tourner la tête. Elle salua Lndil qui venait d'arriver. Lui, aussi était venu. La cérémonie commença quelques minutes après.

La tête baissée en signe de recueillement, Ombeline murmura le credo pendant que le Père Nanuccio le récitait.


Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN


Puis le prêtre invita les gens à évoquer le défunt. Elle écouta avec beaucoup de respect et d'émotions les divers témoignages. Elle ne connaissait guère le défunt mais n'en avait eu que des bons échos de par les confidences de son amie mais aussi par ce que lui contait le père de son fils, aujourd'hui rejoint par Chris Squire. Elle l'avait peu croisé du temps où il servait les chopinettes dans leur taverne aux yeux verts, mais sa relation avec Nefi était tout autre à l'époque. Dans chaque témoignage, l'émotion était plus que palpable. Parbleu, qu'elle avait en horreur ce genre de cérémonie. M'enfin, qui aimait ça ? Pffff, personne à moindre d'être dérangé du ciboulot ... Elle ergotait encore n'importe quoi.
Lou venait de reprendre place auprès d'elle après son témoignage. Il l'avait surpris une fois de plus. D'une pour avoir pris la parole alors qu'il ne connaissait point le défunt. De deux par ses mots prononcés, de révéler en publique l'être sensible qu'il pouvait être, et de trois, d'avoir pris sa main avec un tel naturel. Finalement, chaque coup dur de la vie les rapprochait un peu plus. Main dans la sienne, tête posée contre son épaule, la jeune femme pria pour le défunt et sa famille. Nathy, tout aussi triste, se colla contre sa mère.

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Orick95
Orick vit Chany entré dans la cathédrale et s'assoir à ses côtés et la salua discretement

bonjour Chany je suis content de te voir même si les circonstances ne si prête pas

Orick écouta les paroles de Laurie et Néfi, puis lou s'avanca a son tour, il n'avait jamais été très fort pour les discours mais pour son ami chris il dirait quelques mots

s'avancant vers l'autel il fit un léger sourire à Néfi pour lui témoigner toute son amitié, elle était bien entouré aussi continua t'il sa route vers l'autel


Voila Chris aujourd'hui tu nous joue ta plus mauvaise blague mon ami,

je me souvient de ses soirées passé aux yeux vert en votre compagnie, de ses moments rare d'amitié que l'on y a vécu, des conseils que tu n'hésité pas à donner à toutes personnes se présentant et qui en avait bessoin.
mais ce que je me souvient le plus c'est de l'amour que tu porté à Néfi, puis à tes enfants.

quels ne fut pas ma surprise quand au retour d'une longue mission avec l'ost j'ai appris votre départ de Cambrai pour Bertin, nous avons perdu une famille importante de Cambrai mais Bertin a eu le bonheur de vous connaitre.

jamais je ne t'oublierai mon ami repose en paix et si un paradis existe, alors je sait que tu veillera de la haut sur Néfi et tes enfants


puis Orick retourna a sa place au fond de la cathédrale
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Odas


Odas toujours dans le recueillement, récita le Crédo et écouta avec déchirement la petite Laureline et son amie Nefi aux paroles vibrantes et touchantes. Un bel hommage était rendu à ce cher Chris qui allait vraiment manquer à tout le monde. L'émotion se trouvait à son comble, le Cambrésien tremblotait, se retenant à sa louve le regard perdu et bien triste.

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Chany




Chany mis sa main sur le bras d Orick , elle était contente de le retrouver aussi malgré les circonstances .

Les témoignages étaient poignants , la douleur et la peine se lisaient sur les visages , elle se leva à son tour

Nefi, Laurie.... je n ai que trop peu connu Chris mais les rares moments où je l ai rencontré me laisse le souvenir d'un époux aimant , d'un père tendresse et d un ami fidèle. Il restera à jamais dans la mémoire des personnes qui ont eu la chance de le connaitre

Elle regagna sa place , suivant tristement cette cérémonie d adieu

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Fidos
fidos était resté au lieux de recueillement de cambrai jusqu'a un des ses amis venu lui dire que toute la famille et les amis sont réunis à Arras ... il a pris son cheval et se dirigea vers arras

des souvenirs défilaient dans sa tète , chris et lui étaient beaucoup plus que des amis ,ils étaient inséparables toute la journée ( et meme une partie de la nuit ^^)

il entra dans la salle avec une mine triste il se joint a nefi ,et lauri les embrassa et les sert fort contre lui ...


il nous manquera tous ...
Nanuccio



Après tous ces témoignages poignant, le curé enchaina la cérémonie. Il était quelques peu emu et avait du mal à cacher sa tristesse. Il est vrai qu'il n'avait pas beaucoup connu Chris mais il connaissait beaucoup sa femme Nefi et sa fille Laureline et il était profondément peiné de leur souffrance et celle ci le prenait de plein fouet.
Pour détendre un peu cette peine qui était entrain d'envahir la piece,
le père Nanuccio envoya un de ses servants de messe chercher Le Livre des Vertus.






Citation:
Chapitre quatrième: dialogue sur l'âme. Deuxième partie.
Le soir tombait sur le ville de Pélas. On entendait que les murmures des femmes qui, près des temples paiens, invoquaient les faux dieux pour la santé du roi. Ce dernier en effet, était mourant. Nicomaque, le père d'Aristote, était à son chevet pour tenter de retarder, et d'alléger le poid de l'échéance fatale.
Aristote, agé maintenant de 14 ans, marchait au hasard dans les rues de la ville, sans voir ni entendre ce qui se passait autour de lui. Qu'adviendrait il de son père si le roi venait à mourir? Bien sur, il ne saurait être tenu pour responsable, mais qui sait ce que des courtisans mal intentionnés pouvaient imaginer, et quelles vengeances pouvaient s'exercer dans ces moments d'interrêgne?
Il s'arrêtta près du temple de Proserpine. Il ne croyait certes pas à la puissance de ces dieux, qui ne lui semblait que des pantins morts, mais il y avait comme une majesté secrête dans cette évocation de la déesse des morts en un instant pareil.
Il sentit une main se poser sur son épaule. C'était Epimanos.

Epimanos: Tu prie pour le Roi Aristote?

Aristote: Prier? Qui devrais-je prier? Et que dois-je demander?

Epimanos: Que veut tu demander? Qu'il vive bien sur! Et si tu ne crois pas en cette déesse tu crois bien en une force supérieure qui régie notre vie?

Aristote: Qu'il vive? Il va mourrir, tu le sais aussi bien que moi. Nos prières ne peuvent pas lui rendre la jeunesse ni la santé. Il a vécu longtemps, et il est temps pour lui de partir. Non, si je prierai, ce n'est pas pour qu'il vive.

Epimanos: Pour quoi donc alors?

Aristote: Qu'y a t'il après la vie Epimanos? Cette âme unique que l'homme possède et qui nous différencie des animaux, survie t'elle à cette vie?

Epimanos: Je ne sais Aristote. Ma science porte sur la vie et non sur la mort. Je peux te dire comment bien vivre, comment être heureux et connaitre les êtres au quotidien, mais pas ce qu'il y a après la mort.

Aristote: Tu peux me dire comment bien vivre? Voyons cela. N'est tu pas d'accord que pour faire un acte intelligent il faut en prévoir les conséquences?

Epimanos: Si bien sur, cela évite de faire des erreurs, de mal agir ou de mal juger des situations. C'est important de prévoir.

Aristote: Oui, c'est ce que tu m'as appris depuis mon plus jeune âge. Mais si tu le veux bien prenons un exemple: imaginons que tu veuilles te marier. Tu es d'accord que c'est un engagement définitif, et qu'il te faudra choisir avec soin?

Epimanos: Certes! Nos lois ne prévoient pas le divorce, et je crois bien que celui qui veut se marier règlera tout ses actes pour que ce mariage soit heureux, sinon ce serai une véritable folie!

Aristote: Tu penses tout comme moi que ce mariage se prépare avant même que l'on prenne l'engagement solennel: on cherche à corriger ses défauts, a se rendre aimable et bon, afin qu'au jour du mariage tout ce passe pour le mieux.

Epimanos: Si tous suivaient ces conseils il y aurait plus de mariages heureux, mais je pense en tout cas que c'est ce qu'il faudrait faire.

Aristote: Je suis content que nous soyons d'accord. Donc pour bien vivre il faut savoir ce qu'il y a après la mort.

Epimanos: Ah!? Là je ne te suis plus. Que veux tu dire?

Aristote: C'est bien simple: tout comme le mariage la mort est un évènement définitif. Il faut s'y préparer donc soigneusement. Si il y a une vie après la mort, alors la vie que nous menons avant la mort doit être consacré à préparer cette vie après la mort. Tout comme notre vie avant le mariage doit être consacrée à préparer notre vie après le mariage.

Epimanos: Je vois où tu veux en venir. Pour toi la mort n'est qu'un passage qui mène à une autre vie?

Aristote: Oui, et notre vie présente doit se consacrer à préparer cette ve future.

Epimanos: Mais pourquoi cette vie future serait elle plus importante que la présente? Et comment peut-tu être sur de son existence?

Aristote: Tu te souviens de notre discussion sur la différence entre les animaux et les hommes?

Epimanos: Oui, je m'en souviens très bien. Tu disais qu'il y avait une différence entre les deux, que l'homme était intelligent quand la bête ne cherchait rien de nouveau.

Aristote: Oui. Mais comment l'homme fait il pour chercher du nouveau, pour creer même en lui et autour de lui ce nouveau?

Epimanos: Et bien si je pars de ma propre expérience, je dirais que j'ai des idées qui me viennent, et qui ne semblent venir de personne d'autre que de moi même, et que je réflechie sur ces idées.

Aristote: J'en suis arrivé à la même conclusion. Ce qui m'a frappé c'est que cela ne venait pas de ce qui m'entoure, mais de moi même, de mon intérieur. Cela semblait...

Epimanos: Immatériel non?

Aristote: Oui, immatériel. Ce n'était pas la conséquence d'une impression sensible mais d'une impression immatérielle, spirituelle.

Epimanos: Je comprend. Mais quelles conclusions en tirer? Il est évident que ces impressions viennent de notre âme.

Aristote: Oui, mais cela veut dire que notre âme est immatérielle, car l'immatériel ne peux pas venir du matériel. Personne ne peut donner ce qu'il n'a pas. N'est tu pas d'accord?

Epimanos: Oui, dit comme cela c'est compréhensible. Mais où veux tu en venir?

Aristote: Mon père est médecin Epimanos, et il m'a souvent décrit la mort: la matière se putréfie, se désintègre sous l'effet du temps. Et regarde autour de toi: la mort est toujours marquée par la destruction de la matière.

Epimanos: Oui, tout passe en ce monde, et ce que les anciens on construit est déja presque disparu.

Aristote: Mais si tu prends quelque chose qui n'est pas composé de matière, cela disparaitra t'il?

Epimanos: Il ne me semble pas: si ce n'est pas composé de matière alors cela ne peut pas se désintégrer. Cela ne mourra pas. Ainsi la pensée d'un homme comme Pythagore sera éternelle et vivra encore dans plus de mille ans.

Aristote: Donc tu penses que ce qui est immatériel ne meurt pas?

Epimanos: Avec tout ce que nous avons dit jusqu'ici, je crois que c'est une chose établie.

Aristote: Alors notre âme, qui est immatérielle, doit elle aussi, ne pas mourir. Quand nous mourons notre corps disparait, mais notre âme, elle demeure. Et c'est cette vie de l'âme qui est la vie future. C'est cette vie que notre vie présente, dans notre corps, doit préparer.

Epimanos: Le roi qui meurt va donc vivre encore?

Aristote: Oui, et c'est pour que cette vie de son âme soit heureuse que je vais prier ce soir.

Epimanos: Nous prierons ensemble alors.

Et sur ces mots les deux amis se séparèrent, Epimanos rentra dans le temple de Proserpine, pendant qu'Aristote se dirigea vers la sortie de la ville pour marcher dans la campagne..

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Curé de Bertincourt
Nefi
revenu à sa place, les larmes marbrant ses joues pâles, sa fille blotti contre elle, elle écouta les témoignages des quelques amis présent. touché de leur paroles. lou qui pourtant ne l'avait pas connue arriva à lui arracher un pauvre sourire. peut de gens au final étaient présent. comme quoi on oubliez bien vite les gens sur cette terre. mais les personnes présentes étaient pour chacune rattaché à de merveilleux souvenir. ce qui lui réchauffa un peu le coeur.
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--Rufus
Les messes et tout le pataquès encensoir, et chandelier, c'était pas trop sa tasse de thé, toutefois, il était resté à cette cérémonie d'hommage. Après avoir parqué la carriole, il avait pris le chemin de la cathédrale et était resté au fond de la bâtisse. Il écouta le cureton officier.


Sylvine
Sylvine s’était habillée de sombre couvrant ses longs cheveux d’une étole de même couleur.
Elle était restée sur le parvis accolée à la porte cochère. D’où elle était, elle pouvait entendre tout ce qui se passait à l’intérieur de l'édifice religieux.
Elle ne connaissait point le défunt et préférait laisser la place aux proches et amis.
Elle était là juste pour la famille qu’il laissait derrière lui.
Elle attendit que Néfi et Laurie fussent à proximité d’elle pour leur murmurer ses sincères condoléances.
Laureline_squire


[[Que la messe soit dit, qu'ainsi vaille mon père à moi vers notre père à tous...]]

Laurie avait fondu en larme durant son témoignage pour son père, Killian l'avait rejoint et tel un ami il l'avait réconforté du mieux qu'il pu.
Lui savait ce qu'elle vivait à cet instant et la petite le savait si son papa à lui était encore présent, sa mère l'avait quitté.
Nathy le savait aussi, il avait quant à lui jamais vraiment connu son papa.
La fillette était devenue orpheline d'un parent tout comme ses deux meilleurs amis.

Les témoignage pour son papa c'était succédé, peu de gens était présent, beaucoup avait tiré un trait sur le passé, sur les squires il fallait croire.
Mais le peu qui fussent là n'avait pas hésiter à prendre la paroles même sans connaitre ou que très peu Chris.

La blondinette raccompagna sa mère à leur place pour laisser place au père nanuccio afin qu'il continue la messe pour que son père puisse à tout jamais reposer en paix.

Laureline était absorbé par ses pensés, elle écouta distraitement la lecture du livre des vertus.
Étrange ce qu'est la vie, ce qu'elle nous fait. Pensa t'elle.
La gamine eut une nouvelle pensé pour ses deux acolytes Killian et Nathy l'un sans sa mère et l'autre sans son père comme elle.
Elle comprenait maintenant leur chagrin régulier.

Dans un souffle discret vers le ciel elle murmura une phrase.


Aristote prend soin de papa, de caluna et du papa de Nathy pour vaincre notre tristesse.

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Nanuccio


Laissant à ses paroissiens le temps de méditer sur la lecture du livre d’Aristote, le Père Nanuccio reprit quelques minutes après, le cours de l'office:

Levez-vous mes enfants et venez à moi partager le pain de la vie, symbolisant l'amitié aristotélicienne transmise par Christos et Aristote.







Une fois que le dernier fidèle aut communié, le Père Nanuccio demanda à l'un de ses servants de messe d'aller ranger le reste de pain et le calice contenant le vin.

Il reprit une dernière fois:


Mes enfants,

Merci à tous d'être venu nombreux rendre hommage à Chris, que le Très-Haut le garde à ses cotés


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Curé de Bertincourt
Nefi
c'est dans un état plus ou moins second que nefi avait suivit le reste de la cérémonie. ne pouvant retenir ses larmes qui coulait en sur son visage laissant des marbrure humide sur sa peau.
elle percevait à peine ce qui l'entourait, sentant juste la présence de sa fille prés d'elle.
la cérémonie achevé, elle se leva comme un automate et s'approcha du père nanuccio.

merci mon père, pour cette cérémonie. même si je puis me résoudre à lui dire à dieu, nous lui avons ainsi rendu un bel hommage.

ses quelques paroles lui coûtèrent énormément. le visage ravagé par le chagrin, guidé plus par la connaissance des lieux que par sa vue brouillé, elle se souvient en prenant le chemin de la sorti des autres fois ou au bras de son aimé elle avait parcourut le chemin, d'abord le jour de ses noces, puis le baptême de chiquette, celui des jumeaux, et tout ces autre moment heureux qu'ils avaient partagé en ces lieux...
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Laureline_squire


La messe fut dites et c'était la fin laurie perdue dans ses pensées faisait machinalement la même chose que ceux et celles qui l'entouraient pour l'heure.
Elle se leva tout d'abord puis elle suivit sa mère jusqu'au près du père Nannucio pour le remercier.

C'est dans un silence pesant que la blondinette sortie de ce maudit lieu le peu de fois ou elle y était entrée n'était que malheur.
La cathédrale de Cambrai était loin de rimer avec bonheur pour la fillette.
Elle maudissait ce lieu.

Tout d'abord pour son baptême ou son papipépére avait tenter de la noyer quand celui-ci était encore curé et ami de ses parents le jours de son baptême.
Lieu ou Aristote a emporté sa marraine et la femme de son parrain et la marraine de son frère, les meilleures amies de sa maman.
Que de mauvais souvenir en somme.

Laureline sortie de la rapidement elle avait hâte de rentrer sur bertincourt, il y a bien longtemps qu'elle n'avait pas remis les pieds sur cambrai, mais le peu de personnes présentent pour son papa, ne lui donna pas envie plus que ça de rester plus longtemps.

De plus il y avait tout Mercatel à aménager, sa nouvelle maison, domaine octroyé par la comtesse pour sa maman pour son travail.

Maman on rentre, on va aménager ton château.

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Orick95
orick toujour a côté de Chany vit néfi se levé et aller voir le prête qui officiait.

au bout de quelque instant Néfi passa à sa hauteur avec sa fille Laurie, se levant il s'approcha d'elle sans un mot il enserra Néfi afectueusseument dans ses bras, elle était sa soeur d'arme depuis si longtemps mais elle était avant toute chose son amie.

puis se penchant vers Laurrie il lui murmura:


n'oublie jamais que ton papa était un homme bien, il était présent pour ses amis. sa fidélité et son courage ainsi que ses bons mots nous manquerons. mais d'ou qu'il se trouve il te surveillera et le plus important c'est qu'il vivre toujour ici

lui dit il en pointant délicatement son coeur avec l'un de ses doigts, puis il l'étreignit a son tour
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