Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4   >   >>

[RP] Mais vous avez tous une dent contre moi ou quoi !

Cathycat


[Tout ça ... Pour ça ...]

Encore stupéfaite de ce qu'elle avait découvert, elle hausse un fin sourcil et reste un court moment en observation.

Un homme ... Deux femmes ... Enfin maintenant trois femmes ... Cela en faisait des possibilités ... A cette pensée, elle esquisse un léger sourire qui étire ses lèvres. un clignement d'yeux et elle sort de ses pensées lubriques puis répond au signe de tête de la Dragonne par un signe de tête destiné par la même occasion à l'autre femme présente à ses côtés. Cette dernière prend alors la parole :

Il semblerait que... malgré sa santé de fer.. Nat fut contrarié par la qualité du pain..
et que la feuille de chou soit ..la solution.


Nouveau haussement de sourcil en regardant l'homme qui se tient la joue. C'est vrai qu'il avait l'air d'un rongeur avec sa joue enflée et rougie. Elle avait presque envie de lui dire qu'il y avait pas idée de manger du pain sec et rassis, mais à peine cette réflexion émise, qu'elle manque de se faire bousculer par un homme qui entre aussi sauvagement qu'elle l'a fait.

Je cherche le Vicomte de Rabat. Natale Adriano DARIO D’IBELIN. C'est bien ici?

A vrai dire, la brune elle en avait pas la moindre idée ... Elle avait débarqué là comme un cheveux sur la soupe ... Enfin faut dire que c'était un peu habituel chez elle, elle n'en fut donc pas plus dérangée que cela. Léger salut de la tête par courtoisie et se demandant surtout comment elle allait se sortir de là ...
Elle affiche un sourire figé de convenance, se demandant où elle avait-elle encore bien pu se fourrer, elle et ses idées chevaleresque de vouloir sauver la veuve et l'orphelin .. Tsss je vous jure !

Et voilà que ça défile et qu'elle se retrouve à faire la potière de la tente ... Ben voyons tant qu'à faire allons-y gaiement !
Un nouvel homme entre dans la tente, pas même un salut, un signe de tête ou un bonjour.
*Humpf en voilà encore un bien élevé tiens ... Ah si tiens, il cause ... Mais bon nous on est transparent hein ..*

On m'a dit que tu serais ici ... Je suis content de te revoir, Vero de Beausoleil.
Et la voilà comme une gourde à tenir la toile qui sert de porte alors que tout le monde commence à être un peu à l'étroit.

*Rhoooo lalala, mais qu'est ce que je fous là moi ... Et le v'là qui lui fait des rond de jambes ... Rhaaa les Nobles et leurs protocoles ... Non mais dans qu'elle galère, je me suis fourrée ...*

Et v'là que ça blablate sur l'état de santé du hurleur à la mort ... Ca parle remèdes et autres guérisseurs.

Mais faites quelque chose!

Un léger raclement de gorge histoire de dire qu'elle est encore là et pas uniquement transparente. Oui faut commencer discret, les signaux de fumée c'est en dernier recours ...

Ahem ... Dites ... Et si vous faisiez venir un médecin ? Oui un médecin, c'est pas mal non ?

Elle les regarde tour à tour attendant une réaction de l'un d'eux ...

_________________

La vie est l'expression d'un constant désir : personne n'est jamais satisfait. (Charlie Chaplin)
Ecustiod
Camp de paranoïaque. Ecu tique à la réaction d'une des femmes. Elle devrait se détendre, il n'y a que des amis dans le coin. Au besoin il peut l'y aider, c'est qu'elle n'est pas moche. Moins moche que certaines autres dans le camps en tout cas.

D'ailleurs en voila une autre; Ecu la salue d'un signe de tête et avec un petit sourire en coin. Elle semble aussi perplexe que lui. Ou déçu d'avoir juste trouver un noble en goguette qui découvre les rigueurs de la vie en campagne.


Qui le mande?Je ne suis pas sure que le moment soit idéal pour s'en enquérir sauf si vous avez des dons de guérisseur?

Ah les femmes, terrible femmes qui ne laissent même plus les gens fantasmer en paix sur les atouts naturels de l'ennemi. Qu'est ce qu'elle lui veut de toute façon, ce n'est pas a elle qu'il parle.

Plutôt des dons de tueur ces derniers temps.

Regarde son bracelet de bois avec les dernières encoche encore fraiche, en repensant à chacune d'elle. Il touche du doigts l'une plus profonde, c'est quand il a dut s'acharner plus que de raison sur l'adversaire pour l'avoir. Regarde de nouveau la dame.

Alors c'est là ou pas? J'ai pas toute la journée moi, et certainement pas pour faire les présentations.

Sans pouvoir obtenir une réponse, voila que quelqu'un d'autre arrive. C'est la tente à la mode dans le coin, il faudra penser à embaucher un videur. Pas très à l'aise, commence à y avoir du monde, il se retrouve très proche de la femme qui semble attendre comme lui, qu'on daigne lui prêter attention.

En tout cas elle a toute son attention, à lui. Et même davantage.Mais ce n'est pas le meilleur moment peut être. Surement l'endroit, ou alors les gémissements continuelles de l'autre nouilles ennoblit qui a dus se mordre la joue où quelque chose de similaire. On est pas prêt de gagner avec des gens de cette envergure.

Et puis, c'est le drame. Tout s'accélère. La vilaine qui lui avait adressé la parole s'adresse au nouveau venu et surtout... se présente.


On m'a dit que tu serais ici ... Je suis content de te revoir, Vero de Beausoleil.

Son visage se décompose lentement. Pourquoi elle? Pourquoi lui? Pourquoi toujours lui, ce genre de chose ça n'arrive jamais aux autres. Le voila obligé de rattraper le coup parce que le départ est pas très bon et qu'il faut pas toucher à la dame de Beausoleil.

En même temps ces pas de sa faute si elle ne porte pas ses armes. C'est à ça qu'on reconnait les gens, déjà qu'elle ne devait pas être là.

_________________
--Amar_kemar


[Amar]


Cette mission n'était pas pour me déplaire. Cette inactivité commençait à me peser, parcourir les rues de cette ville inamicale en essayant de protéger cette impétueuse enfant gâtée aussi.

Mais pourquoi maintenant ? Que mijotait-elle ?


Tout va bien ?

Je tournais les yeux vers mon frère.

Je dois m'absenter, بارآدار *. Je n'en aurais pas pour longtemps. Veilles bien sur elle pendant mon absence et suis la comme ton ombre.

Je n'eus pas à lui en dire plus. La pression des doigts de Kemar sur mon avant bras me confirma qu'il avait compris.


بارك الله فيك** me souffla-t-il.

Je lui adressai en retour un de mes rares sourires. Il est toujours dans ma lame, بارآدا. Et je partis à la recherche de cette personne que me réclamait la Khânom.

Concentré dans mes investigation, je ne vis pas le temps passer. Mais cela en fallait la peine. La dernière personne m'indiqua que l'homme se trouvait dans une tente près du centre de commandement. Selon lui, c'était la tente où il y avait beaucoup de femmes. Cette dernière information me surprit. La Khânom était mariée, selon l'Oncle. Depuis que Kemar et moi, nous avons eu pour ordre de la protéger, nous ne l'avions jamais vu faire entrer d'homme dans sa couche. Pourquoi maintenant ? Qu'est-ce que tout ceci ? Peu importe, l'Oncle nous avait ordonné de la protéger contre n'importe quel péril, nous le ferions.

Fort de cette certitude, je m'approchai d'une tente où plusieurs voix s'élevaient. Une femme se tenait sous le dais, à l'entrée. Regardant sa simple mise, je déduisis qu'elle était une servante.


Femme, je te salue. Dis moi si le Vescom de Rabat est là,
lui demandais-je après m'être planté devant elle les bras croisés sur la poitrine.
Si oui, peux-tu m'amener par devant lui ?

Traduction :
* frère
** que dieu te garde
Damekay
Wow … mais on est où là ?
La petite sorcière scrute les « appartements » de Natale … pour peu y aurait presque plus de monde dedans que dehors … elle se demande même à quoi sert encore le drap !
Ses prunelles vont de l’un à l’autre … s’attardant sur celui dont elle a entendu prononcer le nom par l’amie de Vicomte … Iskander … elle incline légèrement la tête, se levant alors lentement … Pas félins, nonchalant quand elle s’approche … elle le fixe l’espace d’une seconde avant de fermer les yeux et d’inspirer longuement …

Tressaillement de la Fleur Noire … elle rouvre les paupières … frisson qui lui remonte tout le long de l’échine alors qu’à nouveau elle le fixe … intensément cette fois … Ce qu’elle ressent en lui est plus que troublant …


Alors Succube, qu’est ce que cela te fait de savoir qu’avec lui aussi nous pouvons communiquer ?

La jeune femme recule d’un pas en entendant la voix des esprits dans sa tête … y porte la main, ainsi elle avait bien deviné … cet homme n’était pas comme les autres mais apparemment … il ne devait même pas le savoir … si seulement il savait où ce genre de choses pouvaient le mener, si seulement il savait comme les esprits savent manipuler les autres …

Mais comment savoir, être sûre qu’il n’est pas de leurs côtés en fin de compte ?
La voix en elle s’est tue … le regard de la belle n’a cependant pas quitter un seul instant l’inconnu …


Toi …

La main de Kay s’est tendue vers Iskander et son index pointe vers lui

Qui es-tu ?

La jeune femme ne porte plus la moindre attention aux personnes présentes …

_________________
Cathycat


[Brune en mode plante verte ...]

La brune belle, toujours dans son rôle de portière, femme invisible, intercepte le regard salace de son voisin. Elle le reluque de pied en cap avec son petit air grivois qui fait tout son charme. Petite oeillade puis léger sourire enjôleur avant qu'elle ne détourne son attention de lui.
Hey oh, elle aime les hommes la brunette, mais il faut la mériter pour l'avoir ... Pis en ce moment, elle a bien assez de son double Baron à satisfaire ... En même temps, ils étaient un peu inséparables tous les deux ces derniers temps ... Pas pour lui déplaire à la brune, elle profitait avec plaisir même.

Bon c'est pas tout ça mais on en est où de notre histoire ? Ah oui la brune, alias la plante verte, fait office de portière à l'entre de la tente.
Elle lâche un léger soupir, se disant qu'elle est pas sortie de ce guêpier.

Toute à sa rumination et à son rongement de frein, elle ne fit pas de suite attention au nouvel arrivant.
Haute stature, le teint basané, les yeux foncés et pénétrants. Il la regarde avec insistance, se sentant observée, elle relève les yeux vers lui. Et le voilà qui s'adresse à elle de sa voix forte et posée, les bras croisés sur la poitrine comme pour se donner une plus haute importance.

Femme, je te salue. Dis moi si le Vescom de Rabat est là.
Si oui, peux-tu m'amener par devant lui ?


Ben voyons ... De femme invisible, à portière la voilà devenue boniche ! Non mais pour qui ils se prennent tous !
La situation commençant à l'agacer sérieusement, elle prend une grande inspiration et durcit son regard avant de lui répondre d'une voix cinglante.

Alors pour commencer, JE ne suis pas la bonniche du demi homme qui couine pour une rage de dents.
D'ailleurs pour vous répondre tout de même, il semblerait que ce soit justement ce couineux que tout le monde recherche !


Puis s'adressant plus largement au reste de l'assemblée sur un ton tout aussi énervé, vu que la moutarde lui montait au nez.

Et si au lieu de bavasser, vous m'écoutiez ne serait-ce qu'une seconde ! Et si vous appeliez un MEDECIN !!!!!

Grumph ... C'est que là sa patience avait atteint ses limites ... Elle qui habituellement était du genre réservée, enfin par moment ça lui arrivait ... Là, son air révèche et son tempérament de feu prenaient le dessus. Fallait pas pousser mémé dans les orties non plus !

La plante verte,venait de muter en plante carnivore.

_________________

La vie est l'expression d'un constant désir : personne n'est jamais satisfait. (Charlie Chaplin)
Iskander
[Dans une tente, en Provence … je crois]

Un médecin … la Dame … avait tort … ou raison …

Pour une dent, y avait un bon chirurgien à Aix, qui avait soigné nos blessés, dont nombreux étaient encore en vie. C’était une véritable aubaine pour ce guerrier allié. Il suffirait de franchir les portes de la ville pour aller le quérir.

Mais son mal ne venait pas seulement de là … cet homme avait le … mauvais œil ? J’ignorais ce que c’était exactement. Sans doute avait-il offensé gravement des gens récemment ...

Alors, comment lui dire ?


La Dame de la Nuit bougea ... en son âme et en son être.

Damekay a écrit:
Toi …



La main de la Dame de la Nuit s’est tendue vers moi, me pointant de l’index

Damekay a écrit:
Qui es-tu ?


Je déglutis.

Je suis Iskander, fifre de …

Un regard … la perception d’un regard de la Renarde, clair comme le ciel … une mise en garde … mais de quoi ?

N'étions-nous pas au sein du camp des armées de Provence ? Je n'avais rien à ...


Autre regard … celui de la Dame de la Nuit …

Des paroles me revinrent … celles que ma mère répétait à l’envi, qu’elle me disait de me rappeler, toujours.


*אני בא בשלום

**הלוואי שום נזק

Je secouai la tête … empli du voile de la Nuit.

La Dame de la Nuit tentait de savoir qui j’étais … pas elle seulement … quelqu’un d’autre, près d’elle, curieux, avide … mon Nom … elles voulaient mon Nom … toutes les deux …

Un toucher de flamme d’âme … c’était dangereux … pas maintenant … pas ici avec l’Autre là, ce "mauvais oeil" ou je ne sais, juste à côté dans le guerrier … à mille lieues mais juste à côté …

Je devais revenir à la lisière de la Nuit … sentir le monde …

Je serrai les mains, aussi fort que possible, pour sentir … sentir une pulsation … la chair … un cri …

Le regard bleu de la Renarde …


*Je viens en paix
**Je ne veux aucun mal
Natale
[ Mais Jean-Pierre tu deviens parano ! Personne regarde !]

… Le vicomte rouge de douleur et de honte suivait les événements, sans dire mot, mais comme on dit : il n’en pensait pas moins.
En moins de temps qu’il n’avait fallu pour le dire, une foule de badauds avaient fait irruption.


D’un côté on propose une feuille de choux… une feuille de choux ! Alors qu’il recrachait sa dent en mille morceaux !
Le vicomte était furax.
Furieux contre les événements et contre lui-même.
L’autre braillait qu’elle voulait son médecin et Véro en appelait à un inconnu sorti d’on ne sais où.
Il toisa l’homme d’un regard froid, retenant sa respiration et s’empêchant de ne pas tous les envoyer paitre.
*Mais c’est quoi ce bordel !*
Il fulminait.


De l’autre côté on tape la causette tranquille pendant que lui souffre le martyr.
*Ça se paiera tout ça, ça se paiera*


Vla qu’on le demande en plus !
*Hé fada ! Si c’est pour un entretien repasse plus tard ! Y’a pas écris Relais Postal ici.*
Ouais ! il lui aurait bien rétorqué ça à l’autre – petit temps, un millième de réflexion, ça arrive pas souvent – il lui sembla l’avoir déjà croisé quelque part en plus.
Même pas le temps de répondre, et vla que ça rentre encore, quand on en veut plus y’en a encore. Un Infidèle en plus !
Là le vicomte n’en pouvait plus. Il se redressât et pointa du doigt le Maure nouvellement arrivé. Rouge de colère, pétri de honte, il rabroua donc ce dernier mettant dans sa voix toute la force qui lui restait, l’abcès le laissant encore articuler quelques mots :


Vas voir ailleurs si j’y suis !
Et regardant les autres :
C’est un relais-étape ou quoi !? Si ça continu je vais faire payer la visite !
Grrrrmblmbmbmb
Il les aurait bien dézingué tous avec son épée ou peut-être même avec sa ration de pain sec.
Ouais Véro avait raison ça pourrait faire une très bonne arme !
Quoique… à bien y réfléchir celle avec qui il avait combattu et qui tenait l’entrée semblait pas si gueuse finalement.
Qu’importe que ce soit elle qui l’a dit avant, il venait d’avoir un éclair de génie, mais c’était sans compter sur le Maure…

_________________
Ecustiod
Un cirque. Ou un sanatorium. Choix difficile, ca devenait n'importe quoi et il était difficile de déterminer qui était le plus fou de tous. Dans tout sa il cherchait toujours Rabat, ou le vicomte plutôt quand arriva, encore, quelqu'un... de différent, mais qui voulais lui aussi voir le Vicomte. Quel homme, quel succès, auprès des femmes, des hommes, des maures, peut être même des animaux?

Et puis finalement la réponse, le maure avait plus de chance. Premier espoir de la journée, ou d'une journée qui ne sera pas raté en tout cas.


- D'ailleurs pour vous répondre tout de même, il semblerait que ce soit justement ce couineux que tout le monde recherche !

Se rapproche de l'intéressé et ne peut que se retourner vers la femme avec scepticisme.

Vous êtes sur? Je l'ai vu une fois à Rennes, j'en avais un souvenir moins... joufflue.

Mais elle ne l'écoute déjà plus.

- Et si au lieu de bavasser, vous m'écoutiez ne serait-ce qu'une seconde ! Et si vous appeliez un MEDECIN !!!!!

Il commençait à adorer cette femme, si elle cachait un couteau ou deux au niveau de ses cuisses, ce serait même la femme parfaite peut être? Enfin il n'était pas là pour sa, du moins au départ, il se retourna vers Rabat, du moins le présumé Rabat.

Vicomte, on m'a fait dire que je dois vous chercher pour vous dire que je dois être à vote disponibilité. Mais si vous avez pas besoin de moi, je veux pas imposer ma présance.
_________________
Damekay
Iskander … ainsi voici donc le nom de cette homme …
Bien sur il n’en dirait pas plus, elle le sait, elle le sent … trop de monde, trop de …

Le regard de la belle quitte subitement celui de cette homme pour se reporter assez vivement sur Natale … les pensées de celui-ci sont tellement fortes que la petite sorcière n’a aucun mal à en saisir le sens … ses prunelles se font noires, ses yeux se rétrécissent … bein voilà ! On offre son aide et maintenant on gène ! … elle n’aurait jamais imaginé que le Vicomte rougissant qu’elle avait rencontré à plusieurs reprises puissent penser ce genre de chose !

Ca ne lui plaît aucunement … et comme à chaque fois que cela est le cas, c’est un petit grognement sourd qui s’échappe de ses lèvres entrouvertes … s’approchant alors de lui, elle incline légèrement la tête sur le côté, comme un chasseur le ferait avant de se jeter sur sa proie … mais elle n’a aucune intention de se jeter sur lui, elle se contente de venir lui murmurer à l’oreille …


La prochaine fois … dites le franchement …

Alors elle se détourne … ne lui accordant plus la moindre attention … ni aux autres d’ailleurs, et puis il a au moins raison sur une chose, c’est vraiment le bordel ici !
Quelques pas jusqu’au drap tendu … une esquisse de sourire qu’elle adresse à Cathy qui semble quelques peu irritée … jolie d’ailleurs quand elle est dans cet état … elle s’arrête et tourne encore une fois la tête vers Iskander … lui adressant un regard qui aurait pu dire … « si tu veux en savoir plus … je serais dehors … » … cette fois, elle se détourne pour de bon avant de quitter les « appartements » du Vicomte … l’air frais lui fera sans aucun doute le plus grand bien !

_________________
--Amar_kemar


[Amar]


Par la barbe de Zarathoustra, encore une de ces femmes qui osent répondre de cette manière aux hommes, leur seigneur et maître. Ce pays n'était qu'un pays de barbare. Ne pas répondre, se taire, ne rien laisser transparaître car la femme venait de me confirmer la présence de ce Rabat icelieu. Jamais se laisser distraire, toujours garder en tête l'objectif principal.

Tiens, la femme vient de me rendre un service. Pendant qu'elle faisait entendre à plein poumon son mécontentement à je ne sais qui, je me faufilais derrière elle pour pénétrer à mon tour dans cette tente.

Par le Grand Sage ! Où suis-je tombé ? Tant de monde ! Suis-je tombé dans un traquenard ? Vigilant, j'observais autour de moi pour évaluer la situation. Pas de danger, pour l'immédiat.
Lequel est Rabat ?


Vas voir ailleurs si j’y suis !

Qui ? Un homme. Allongé. De mauvais humeur à voir sa face congestionnée. Cependant, malgré la teinte rouge dû à son humeur sanguin, je distinguais un renflement sur une des joues. Je comprenais mieux la remarque de la femme à propos du médecin.
Quand au fait de lui obéir et de partir d'ici? Pas avant d'avoir trouvé Rabat pour le ramener à la Khanôm. Lequel est-ce ?


Vicomte, on m'a fait dire que je dois vous chercher pour vous dire que je dois être à vote disponibilité. Mais si vous avez pas besoin de moi, je veux pas imposer ma présance.

L'autre homme. Debout. J'en déduisis rapidement que l'homme couché et vociférant était l'objectif, le Rabat. Parfait ! Ignorant les autres personnes, je me dirigeais vers lui et planta mes yeux directement dans les siens.

Vescoms de Rabat, je présume ?
Je viens de la part de donà Saradhinatra Dict du Mas Blanc de Palafrugell, héraut de Toulouse. Elle m'a demandé de vous amener à elle toute affaire cessante.
Voulez vous bien vous donner la peine de me suivre ?


La Khanôm avait dit en un seul morceau et vivant. Je me devais donc d'y mettre les formes.

Quoique subir diatribes et jérémiades de la-dite personne ne m'enchantait pas. Vivant. En un seul morceau. Mais conscient ou pas ? Pas eu de consignes la-dessus. Alternatif satisfaisant pour mes oreilles et logique pour accomplir le plus rapidement ma mission. A garder à l'esprit.
Natale
le mal de tronche qui revient et cette douleur dans la bouche. Le vicomte perdait esprit et patience.
La dragonne le surpris de son regard pénétrant. Quelques mots réussirent à le remettre à sa place un bref instant.
Un tout petit instant, en fait ces douces paroles le piquèrent au vif.
Il allait congédier l’homme en arme quand l’Infidèle s’imposa et vint lui parler de la blonde pesteuse de Toulouse… Voyons la dernière fois qu’il l’avait croisé il y avait encore eu des éclats de voix, donc là il n’était mais alors pas du tout disposé à la revoir si vite. Ses domaines attendront !
« Voulez-vous bien vos donner le peine de me suivre ».
Non mais il se prenait pour qui le gars ! Il venait de lui demander de partir en plus.
Ni une ni deux le vicomte rétorqua à l’attention de la bleusaille :
Tu weux we rendr dichponib alow gommence paw me wirer l’aut’… l’abcès lui commençait à faire son effet et on aurait dit que le vicomte s’époumonait.
_________________
Vero5
Vero regarde navrée le monde se disputer la primeur, ressent les vibrations de rancœur et de déceptions..

Un médecin elle n'en connais que deux et loin d'ici...
S'interroge si ici ...surement....du moins elle espère!

Pose sa main sur celle serrée qui plaque son ami contre la table. Relève un regard de reconnaissance.
Soupire et se repose sur la banquette à l'avancée de celui qui ne voit pas et qui va droit au but.
Un chuchotement....l'air passe, s'éloigne sans un regard.

Envie de fermer les yeux et d'oublier le moment.
N'en fait rien et reste paisible.
Pourquoi le mot dommage résonne encore, pourquoi il semble t'il qu'il faille toujours et encore conquérir.
L'espace minuscule ou le royaume...toujours et encore combattre. Rien est simple

Usure, fêlure...tristesse...
le regard les parcours encore.

Un éclat de lumière, renouveau... la tanière.. si proche, refuge...si invraisemblable mais terriblement la.
Battement de tambours...sons du fifre.

Laisse passer le temps et reprends son gobelet, farfouille pour sa survie dans sa besace et sort ses fusains et se mets a gribouiller furieusement.

_________________
Iskander
[La Provence, sans doute ... un moment]

Battements de coeur ...

Visions étranges ... l'impression de revenir à soi ... à ailleurs ... ici.

Je secoue la tête.

Vision de la Renarde qui regarde le monde par son fusain ...

Regard de la Dame de la Nuit qui s'éclipse en m'invitant ...

Tous ces gens ici ... j'ai du manquer quelque chose...

Je reviens à moi.

De nobles gens ...

Tout à coup, je me sens terriblement déplacé ici. Place incongrue ...

Je rougis, prenant au visage cette couleur carmine que je décèle par une brûlure de joue.

Je salue, maladroitement.


Pardonnez mon intrusion, Monseigneur. Je ... je suis désolé.

Tant de monde ... encore ce relent de la Nuit ... cette impression de voir flou, des âmes diffuses ... un être loyal prêt à tuer ... une âme noble ... une ... cela s'estompe.

Je ne sais plus où me mettre. Cette tente est vraiment exigüe.


Je ... je vais sortir ... mon cheval est dehors.

C'est cela, imbécile ... on voit bien qu'il n'est pas rentré ... enfin, la Dame qui tient le rabat ne l'a point laisser entrer ...

Je rougis de plus belle, si cela est possible.

Dire quelque chose, n'importe quoi ...


... enfin, si vous avez besoin d'un bon médecin, il y en a un excellent à Aix ... pas loin, juste au delà du rempart ... le meilleur qui soit ... dit-on, un homme de grand savoir et de grande pratique ... enfin ... la plupart de ses patients encore en vie peuvent l'attester ... ce qu'on ne peut pas dire de tous ...

Vraiment n'importe quoi.

Et qu'ajouter ? Que la Dame de la Nuit saura que faire pour le mauvais oeil.


Il s'appelle Bucéphale ... mon cheval ... pas le médecin.

Moment subtil où les humeurs se distillent ... l'oeuvre au noir du ridicule ...

Le médecin s'appelle ...

Toubib ?

Diantre ... je ne sais plus...
--Amar_kemar


[Amar]


L'assommer, ou ne pas l'assommer, tel est ma question.

Hypothèse n°1, l'assommer. Oui, choix judicieux, seul inconvénient : comment sortir d'ici ? Les force en présence : brune étrange partie à l'extérieur, la furie, pas dangereuse, à part sa langue, la femme rêveuse, à côté de Rabat, dessinait. Les hommes : l'homme étrange venait de partir, ne restait plus que le jeune à l'allure militaire. Force présentant un risque négligeable.

Hypothèse n°2, ne pas l'assommer. Grmmmph. moins séduisant mais répondrait aux désirs de Khanôm, je pense. D'ailleurs, le poids doublé de ...


Tu weux we rendr dichponib alow gommence paw me wirer l’aut

Que le Sage soit sanctifié !

Réaction immédiate de ma part, quand je saisis enfin ce que le Rabat avait marmonné : mon poing jaillit, tel un bélier à la charge contre une porte, pour venir à la rencontre de l'appendice nasale du Rabat. Je ne m'attardais pas à savoir si le Rabat choie, j'étais concentré sur les réactions que mon geste allait susciter. Je me penchais vers lui pour le prendre tel un vulgaire sac de pommes de terre pour le hisser sur mes épaules.
Cathycat


[Maure, brute épaisse versus Brune en mode pittbull]

Ca va saigner ... ou pas.

Déjà elle entrevoit une légère lueur d'agacement dans le regard du Maure quand elle lui répond de façon cinglante. Envie de rajouter, qu'ici les femmes ont le droit à autre chose que celui de faire la popote et le ménage ... Nanméoh !

Et alors qu'elle invectivait les autres pour leur passivité digne d'une vache regardant un carrosse passer ... Et oui tout le monde sait que quand le chien aboie, la caravane passe.
(Z'avez rien compris ? Pas grave, y a rien à comprendre non plus, c'était juste pour se donner du style.)

Bref tout ça pour dire que la marmule au teint halé profite de l'instant pour se faufiler et prendre place dans la tente. Comme si z'étaient pas d'jà assez, serrés comme des sardines dans une boîte. (oui vous allez dire : " Ils connaissent pas les sardines, ni les boites .. Mais ça va venir, quelques siècle plus tard et même que le poisson c'est bon ! ).

Petit aparté schizophrénique ...


Psssst
Quoi ?
Tu t'égares.
Comment ça je m'égare ?
Ouep tu t'éloignes du sujet.
Meuh non.
Si.
Meuh non, je commente, j'enjolive.
Tu t'égares ...
J'te dis que non.
J'te dis que si.
Rhaaa mais non ! Pis la ferme tu me déconcentres.
Pff t'es de mauvaise foi ...
J'ai dit CHUTTTTTT !!!
Bon d'accord ...


Retour sur la brune.


La moutarde forte lui piquant au nez et la mayonnaise commençant à monter, la brune se mit à grogner intérieurement. Tournant légèrement la tête, elle entre-aperçu le regard lubrique de son ex-voisin de tente, avant que la marmule ne s'intercale.
Elle n'avait pas encore mangé et il faut dire qu'elle ne serait pas contre un petite casse croûte d'agrément. Mais son humeur de chien était telle, que finalement l'appétit ne lui venait pas.
Le grognement se fait maintenant entendre, les crocs se découvrent et les azurs s'assombrissent de colère.
Son regard croise au même moment celui de la petite sorcière brune qui emmène à sa suite l'avant-dernier entrant, ses azurs s'apaisent un peu. Mais alors qu'ils disparaissent tous deux, la tension remonte d'un cran dans la tente.
Jour d'orage sans doute ... L'air est électrique.

Chacun des deux hommes se présente au couineux qui semblerait donc êtes un grand auréolé (entendez par là un Noble d'assez haut rang). Et celui-ci de baragouiner quelque chose, après un petit temps de latence.


Tu weux we rendr dichponib alow gommence paw me wirer l’aut’…

Et là, la brune passe en mode blonde. Elle tente de déchiffrer ce que veut dire cette enchevêtrement de syllabes qu'elle se répète intérieurement pour en saisir le sens. Toute à sa réflexion ô combien philosophico-réflexionnatoire (oui je sais j'invente des mots ^^). Elle perd donc un court instant le fil de l'action et ne ressort de ses songes qu'au bruit du choc que fait le poing du Maure sur le visage de l'auréolée couineux.

Action/réaction ! Cette dernière ne se fait pas attendre, tellement vive même que la p'tite brune va damer le pion du pseudo homme de main qui venait de proposer ses service.
Plus souple et plus rapide de mouvement, elle se jette en direction de la marmule qui, malheur pour lui, se penche en avant.

Ralenti de la scène.


Alors en plein élan, elle plante sa botte droite dans le sol tandis que sa jambe gauche se lève vers l'arrière et s'arme, prête à décocher le coup qu'elle veut net précis et sans bavure.
La jambe se lève haut vers l'arrière, l'angle est grand et le geste promet d'être ample et virulent.
Doucement la jambe décrit la courbe parabolique. Pas même un cillement ou une hésitation, la jambe reste bien raide et tendu, les muscle bandés et dur comme un roc. Le pied positionné en pointe, près à frapper.

(Petit aparté destiné aux âmes les plus sensibles. "Nous tenons à vous informer que la scène qui va suivre, va être d'une extrême violence et pourrait heurter la sensibilité de nos plus jeunes lecteurs." Fin du petit aparté.)

C'est alors avec une force décuplée par l'arc de cercle décrit, que le pied de la brune vient frapper la tendreté (oui je sais j'invente encore ^^) offerte des bijoux de famille du Maure.
A défaut de faire le poids face à un adversaire de taille colossale, il faut adopter la stratégie de "frapper là où ça fait mal."

Une fois le molosse à terre, elle dégaine sa dague de sa ceinture et la plaque contre sa carotide.


Alors maintenant le grand baraqué à la peau foncé, il va bien gentiment écouter la p'tite dame qui lui cause ...
D'une, c'est pas des manières de traiter un auréolé souffrant.
Et de deux, tu vas aller chercher ce foutu médecin d'Aix, celui dont l'autre à parler avant de se faire la belle avec la sorcière.

Tu te démerdes, tu fais comme tu veux, mais je veux voir ses fesses ici avant le coucher du soleil. Suis-je bien claire ?


Sans relâcher son étreinte, elle attendait la réponse du Maure. Le calme était revenu dans la tente, le couineux assommé et les autres sans doute béats de stupeur devant la férocité de la jeune femme.

Moralité de ce passage.

On a toujours besoin d'un plus petit que soi.

_________________

La vie est l'expression d'un constant désir : personne n'est jamais satisfait. (Charlie Chaplin)
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)