Natale
[Arles : BAAAAAAaaaaastonNNNNNN ! ]
Ils étaient venus, ils avaient vu et ils avaient vaincu !
LArlésienne était tombée au chant des combattants venus notamment doutre-Rhône.
Arles était libérée, enfin !
Le 12 ils avaient battus les portes de la cité sous une pluie de flèche. Ils étaient passés.
Le 13 la mairie prise, la ville ne tarderai point à être franchisée. La Bonne Ville est sous couvre feu il faut assurer sa bonne garde désormais.
Dans la mêlée il frappe, lépée du Comte de Toulouse sabat et tranche, porte lestocade et virevolte. Laissant ici un « compatriote » qui sen va den un râle insupportable finir sa course sur une compagnonne darme.[ /i]
[i]Il fulmine alors contre les vendeurs de chaire humaine, ces gens qui se disent « Provençaux » et qui nont aucun respect pour la vie. Et aucun respect également pour la liberté quils préfèrent enfermer dans une coquille vide.
Mais il ne faut point trop penser car dès lors on abaisse sa garde, un adversaire en vient simplement, armé dun bâton et lui assène un coup sur la mâchoire bien fait !
TCHAC !
De son bouclier provençal il se protège à nouveau, puis pare et porte le coup fatal.
Du sang à coulé aujourdhui. Il nen est pas fier.
Un genou à terre sur le lieu de lescarmouche, une courte prière et une promesse de venger ses âmes que leurs soi-disant gouvernants envoient à la bataille et à la mort.
Retour au camp.
Un peu de repos ? Nenni ! Déjà on lappel à la tente de la Dame de Mercurol, il a encore mal à la mâchoire et commence à se sentir fiévreux le petit Natalus.
Déjà il gamberge, il naime pas les surprises.
*Groupir cest groupir. Grmmmf*
On ma fait demandé ?
Il y a un gars quil na encore jamais vu, ou alors très rarement et à côté : un rayon de soleil, son rayon de soleil.
Ça pour une surprise ! Il reste même interdit un petit temps.
Sourire, sourire, purée ce que ça fait mal, fichue dentition. Pour linstant il simule tant bien que mal. Une grimace. Allons, allons charmant vicomte ! Oui ! Comme ça cest mieux et maintenant tu articules :
Alors ça ! Toi ! Ici ! Enfin !
_________________
13-02-2010 04:07 : Vous avez frappé Hoeneim. Ce coup l'a probablement tué.
13-02-2010 04:07 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Arles.
12-02-2010 04:07 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Arles.
Idem que ljd Cathycat
13-02-2010 04:07 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Arles.
12-02-2010 04:07 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Arles.
Idem que ljd Cathycat
Ils étaient venus, ils avaient vu et ils avaient vaincu !
LArlésienne était tombée au chant des combattants venus notamment doutre-Rhône.
Arles était libérée, enfin !
Le 12 ils avaient battus les portes de la cité sous une pluie de flèche. Ils étaient passés.
Le 13 la mairie prise, la ville ne tarderai point à être franchisée. La Bonne Ville est sous couvre feu il faut assurer sa bonne garde désormais.
Dans la mêlée il frappe, lépée du Comte de Toulouse sabat et tranche, porte lestocade et virevolte. Laissant ici un « compatriote » qui sen va den un râle insupportable finir sa course sur une compagnonne darme.[ /i]
[i]Il fulmine alors contre les vendeurs de chaire humaine, ces gens qui se disent « Provençaux » et qui nont aucun respect pour la vie. Et aucun respect également pour la liberté quils préfèrent enfermer dans une coquille vide.
Mais il ne faut point trop penser car dès lors on abaisse sa garde, un adversaire en vient simplement, armé dun bâton et lui assène un coup sur la mâchoire bien fait !
TCHAC !
De son bouclier provençal il se protège à nouveau, puis pare et porte le coup fatal.
Du sang à coulé aujourdhui. Il nen est pas fier.
Un genou à terre sur le lieu de lescarmouche, une courte prière et une promesse de venger ses âmes que leurs soi-disant gouvernants envoient à la bataille et à la mort.
Retour au camp.
Un peu de repos ? Nenni ! Déjà on lappel à la tente de la Dame de Mercurol, il a encore mal à la mâchoire et commence à se sentir fiévreux le petit Natalus.
Déjà il gamberge, il naime pas les surprises.
*Groupir cest groupir. Grmmmf*
On ma fait demandé ?
Il y a un gars quil na encore jamais vu, ou alors très rarement et à côté : un rayon de soleil, son rayon de soleil.
Ça pour une surprise ! Il reste même interdit un petit temps.
Sourire, sourire, purée ce que ça fait mal, fichue dentition. Pour linstant il simule tant bien que mal. Une grimace. Allons, allons charmant vicomte ! Oui ! Comme ça cest mieux et maintenant tu articules :
Alors ça ! Toi ! Ici ! Enfin !
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