Galovert
Vanitas... Après avoir produit des écrits se basant sur des articles de Lois qu'il invente au grès de ses tristes visées.
Après avoir pris consciemment le risque de déshonorer l'avoyer à qui il a prêté serment...
Voilà que maintenant cet activiste persiste dans ses actions de déstabilisations de Genève en tentant provocations sur provocations envers l'Hydre, en tentant encore une fois de faire juger certains de ses membres et supposés membres.
Messire Vanitas.
Vos menées arrivistes ont monté de toute pièce une situation d'urgence en regard de notre présence à Genève.
l'Hydre possède la preuve que vous êtes le rédacteur infâme qui a abusé de la confiance de notre Avoyer en lui soumettant pour l'abuser dans la précipitation que vous avez généré, une grossière falsification des Lois Cantonales.
Ce qui pourrait bien vous valoir le sort réservé à ceux qui sont coupables de Haute Trahison.
En tant que citoyen de Genève, je me réserve le droit de déposer bonne et due plainte en ces motifs.
Votre persistance à poursuivre l'Hydre de vos invectives et maintenant de continuer à provoquer celle-ci en inculpant certains de ses membres, me laisse bien songeur quant à votre rôle exact dans les malheurs de la Citée.
Ces parasites, comme vous vous plaisez à les nommer, sont pour la plupart des héros qui ont donné l'assaut au castel de Pau pour l'honneur passé de Genève.
Certains dont je suis, ont versé leur sang pour la Citée.
Les autres pour un idéal déçu de justice.
Mais tous, toujours en la croyance qu'il existait quelque part en Helvétie, une Citée où ils auraient pu trouver repos mérité.
(Rarement pour Déos, Aristote ou la Grande Brosse des vespasiennes publiques.)
Seule la salive fielleuse qui aura coulée de votre menton au terme de vos diatribes pourrait remplir autant de jarres que nous autres de vaillance et d'honneur.
Ces parasites organisés en francs tireurs ont désenclavé les armées genevoises embourbées en Béarn en faisant sauter le verrou gascon.
Durant ce temps il est fort à parier que vous usiez les coussins de votre siège de conseiller et que vous embaumiez ceux-ci de vos humeurs.
Ces parasites ont prouvés leurs compétences dans les domaines militaires et aussi juridiques en ridiculisant les armées et la justice des Français.
Mais l'hydre dépasse de loin toutes ces qualités uniquement énoncées pour combler votre niveau de préoccupations.
Votre compréhension aussi limitée que celle d'un insecte mangeur d'excrément ne saurait en appréhender son incommensurable compassion pour l'humanité.
Contentez-vous donc d'en recueillir quelques miettes.
Cessez donc là vos ridicules agitations.
Et réservez votre maigre intelligence et vos forces poussives à la reconstruction du Phare du Monde Libre.
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Après avoir pris consciemment le risque de déshonorer l'avoyer à qui il a prêté serment...
Voilà que maintenant cet activiste persiste dans ses actions de déstabilisations de Genève en tentant provocations sur provocations envers l'Hydre, en tentant encore une fois de faire juger certains de ses membres et supposés membres.
Messire Vanitas.
Vos menées arrivistes ont monté de toute pièce une situation d'urgence en regard de notre présence à Genève.
l'Hydre possède la preuve que vous êtes le rédacteur infâme qui a abusé de la confiance de notre Avoyer en lui soumettant pour l'abuser dans la précipitation que vous avez généré, une grossière falsification des Lois Cantonales.
Ce qui pourrait bien vous valoir le sort réservé à ceux qui sont coupables de Haute Trahison.
En tant que citoyen de Genève, je me réserve le droit de déposer bonne et due plainte en ces motifs.
Votre persistance à poursuivre l'Hydre de vos invectives et maintenant de continuer à provoquer celle-ci en inculpant certains de ses membres, me laisse bien songeur quant à votre rôle exact dans les malheurs de la Citée.
Ces parasites, comme vous vous plaisez à les nommer, sont pour la plupart des héros qui ont donné l'assaut au castel de Pau pour l'honneur passé de Genève.
Certains dont je suis, ont versé leur sang pour la Citée.
Les autres pour un idéal déçu de justice.
Mais tous, toujours en la croyance qu'il existait quelque part en Helvétie, une Citée où ils auraient pu trouver repos mérité.
(Rarement pour Déos, Aristote ou la Grande Brosse des vespasiennes publiques.)
Seule la salive fielleuse qui aura coulée de votre menton au terme de vos diatribes pourrait remplir autant de jarres que nous autres de vaillance et d'honneur.
Ces parasites organisés en francs tireurs ont désenclavé les armées genevoises embourbées en Béarn en faisant sauter le verrou gascon.
Durant ce temps il est fort à parier que vous usiez les coussins de votre siège de conseiller et que vous embaumiez ceux-ci de vos humeurs.
Ces parasites ont prouvés leurs compétences dans les domaines militaires et aussi juridiques en ridiculisant les armées et la justice des Français.
Mais l'hydre dépasse de loin toutes ces qualités uniquement énoncées pour combler votre niveau de préoccupations.
Votre compréhension aussi limitée que celle d'un insecte mangeur d'excrément ne saurait en appréhender son incommensurable compassion pour l'humanité.
Contentez-vous donc d'en recueillir quelques miettes.
Cessez donc là vos ridicules agitations.
Et réservez votre maigre intelligence et vos forces poussives à la reconstruction du Phare du Monde Libre.
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