Breiz24
M'enfin mais non Monty, Milo est même pas là!
La rouquine serre plus fort l'unique main du désormais savoyard, espérant que les gens se décident enfin à entrer, quand Milo arrive enfin.
Elle sourit. Le géant s'est penché sur le drôle de petit bonhomme et l'aide gentiment à se relever. Il est toujours si prévenant... avec les gens qu'il connait...
Elle hausse les épaules, après tout elle l'a fait clamer dans un paquet d'endroits, qu'elle se mariait, pour rassembler les Rusés du royaume, ou tout du moins les prévenir. Alors les connaissances du blond avaient du se pointer, normal. Heureusement, même. Elle est contente de ne pas être la seule personne qu'il connait.
Elle le dévore des yeux alors qu'il s'approche. Muette. La gorge nouée d'émotions. Alors elle serre à nouveau la main du vieux renard dans la sienne.
Le lutin rouge est déposé - avec douceur? - et le blond se penche vers l'évêque, avant de proposer de commencer la cérémonie.
Du regard, du sourire, elle acquiesce. Oui, finissons-en, et que la fête commence. Avec un peu de vin au fond de l'estomac, les papillons qui y virevoltaient depuis une bonne semaine s'effaceraient enfin.
Elle se tait donc, attendant que tout ce petit monde veuille bien se donner la peine d'entrer.
Elle goute la douceur du soleil d'hiver sur son visage, avant d'aller jurer devant tout le monde qu'elle veut le blond pour époux. fait un moment qu'il parle d'elle comme étant sa femme, mais Aristote a inventé la paperasserie.
Lentement, les gens finissent par comprendre que oui, il serait bon d'entrer, avant que la future ne les y pousse de la pointe de la dague.
Patiente, elle attend, la main de Montmeyeur broyée dans la sienne.
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La rouquine serre plus fort l'unique main du désormais savoyard, espérant que les gens se décident enfin à entrer, quand Milo arrive enfin.
Elle sourit. Le géant s'est penché sur le drôle de petit bonhomme et l'aide gentiment à se relever. Il est toujours si prévenant... avec les gens qu'il connait...
Elle hausse les épaules, après tout elle l'a fait clamer dans un paquet d'endroits, qu'elle se mariait, pour rassembler les Rusés du royaume, ou tout du moins les prévenir. Alors les connaissances du blond avaient du se pointer, normal. Heureusement, même. Elle est contente de ne pas être la seule personne qu'il connait.
Elle le dévore des yeux alors qu'il s'approche. Muette. La gorge nouée d'émotions. Alors elle serre à nouveau la main du vieux renard dans la sienne.
Le lutin rouge est déposé - avec douceur? - et le blond se penche vers l'évêque, avant de proposer de commencer la cérémonie.
Du regard, du sourire, elle acquiesce. Oui, finissons-en, et que la fête commence. Avec un peu de vin au fond de l'estomac, les papillons qui y virevoltaient depuis une bonne semaine s'effaceraient enfin.
Elle se tait donc, attendant que tout ce petit monde veuille bien se donner la peine d'entrer.
Elle goute la douceur du soleil d'hiver sur son visage, avant d'aller jurer devant tout le monde qu'elle veut le blond pour époux. fait un moment qu'il parle d'elle comme étant sa femme, mais Aristote a inventé la paperasserie.
Lentement, les gens finissent par comprendre que oui, il serait bon d'entrer, avant que la future ne les y pousse de la pointe de la dague.
Patiente, elle attend, la main de Montmeyeur broyée dans la sienne.
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