Dolonov
Le Commandeur se leva en même temps que le soleil (quoi c'est l"hiver et donc il fout rien de la matinée ?) pour faire son tour des environs.
La journée avait été calme, sans soucis, les habituelles querelles sur l'économie et les FSF en moins pour le coup. Dolonov avait même eu le temps d'entrée en taverne vite fait, pour de la tisane seulement, après tout un Commandeur bourré ça le fait pas. A partir d'un moment, il était temps d'aller rendre compte des mouvements de la journée et de se tenir au courant des avancées ou sur-place ou reculement (?) des discussions de l'EM. Arrivé au château, le Commandeur Dolonov, s'aperçut qu'il y avait quelque chose de louche. Il y avait des gardes, des inconnus de surcroit, avec des armes hors du fourreau, ils empêchaient la foule de badauds d'entrer. Se frayant un chemin Dolonov continua vers la porte, ignorant les gardes, pensant que l'interdiction n'était pas pour lui. Soudain on le rattrapa d'une main sur l'épaule, et la pointe d'une épée sous la gorge. L'air "menaçant" un des bleus l'apostropha.
On ne passe pas ! Reculez ou on use de la force.
Quoi ? Vous vous foutez de moi ? Vous savez à qui vous parlez ? Je suis le Commandeur Dolonov, Chef du Département pour la Durabilité des Organisations Juridiques, Sociales et des autres Institutions d'Ordres Comtal. Je fais parti de l'Etat Major, autrement dit, un type qui vous donne des ordres. Alors cassez vous de là et laissez moi passer.
Se radoucissant un peu, et baissant son épée le garde continua.
Heu... Désolé Mon Commandeur. Mais nous avons comme qui dirait eu des ordres. ET heu... Personne ne doit franchir le pont et les portes du Château.
Mouarf ! Ces ordres sont pour les marauds et les va nu pied surement. Pas pour les nobles, les soldats ou les fonctionnaires... Alors poussez vous et laissez les rentrer.
Le Commandeur voulut alors continuer son chemin en poussant le premier garde, et bientôt C'est toute une rangée de lances et d'épées qui se dressèrent devant lui.
Désolé Mon Commandeur mais pour la deuxième fois, vous allez devoir reculez, on l'on sera dans l'obligation de vous arrêter.
La journée avait été calme, sans soucis, les habituelles querelles sur l'économie et les FSF en moins pour le coup. Dolonov avait même eu le temps d'entrée en taverne vite fait, pour de la tisane seulement, après tout un Commandeur bourré ça le fait pas. A partir d'un moment, il était temps d'aller rendre compte des mouvements de la journée et de se tenir au courant des avancées ou sur-place ou reculement (?) des discussions de l'EM. Arrivé au château, le Commandeur Dolonov, s'aperçut qu'il y avait quelque chose de louche. Il y avait des gardes, des inconnus de surcroit, avec des armes hors du fourreau, ils empêchaient la foule de badauds d'entrer. Se frayant un chemin Dolonov continua vers la porte, ignorant les gardes, pensant que l'interdiction n'était pas pour lui. Soudain on le rattrapa d'une main sur l'épaule, et la pointe d'une épée sous la gorge. L'air "menaçant" un des bleus l'apostropha.
On ne passe pas ! Reculez ou on use de la force.
Quoi ? Vous vous foutez de moi ? Vous savez à qui vous parlez ? Je suis le Commandeur Dolonov, Chef du Département pour la Durabilité des Organisations Juridiques, Sociales et des autres Institutions d'Ordres Comtal. Je fais parti de l'Etat Major, autrement dit, un type qui vous donne des ordres. Alors cassez vous de là et laissez moi passer.
Se radoucissant un peu, et baissant son épée le garde continua.
Heu... Désolé Mon Commandeur. Mais nous avons comme qui dirait eu des ordres. ET heu... Personne ne doit franchir le pont et les portes du Château.
Mouarf ! Ces ordres sont pour les marauds et les va nu pied surement. Pas pour les nobles, les soldats ou les fonctionnaires... Alors poussez vous et laissez les rentrer.
Le Commandeur voulut alors continuer son chemin en poussant le premier garde, et bientôt C'est toute une rangée de lances et d'épées qui se dressèrent devant lui.
Désolé Mon Commandeur mais pour la deuxième fois, vous allez devoir reculez, on l'on sera dans l'obligation de vous arrêter.