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[RP]Portes Closes au Château

Blanche30
Blanche soupira et répondit :

- Bon tant pis. Par contre Dolonov et Skal sont avec Icar entourés par les rebelles, donc je ne vous conseille pas de vous en approcher. En revanche, peut être devrions-nous envoyer un pigeon à Ascalon. Qu'en pensez-vous, toutes ?

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Thealie
Mélusine s'approche et lui donne conseil. Elle sait pertinemment qu'elle peut avoir confiance en son avis.
Elle acquiesce à sa première remarque. Non elle n'a ni envie d'avoir des regards emplis de désirs à son encontre ni être transpercée, ça ferait tache sur sa houppelande blanche.

Elle écoute calmement les explications posées de Mélusine. Un bain de sang, manquerait plus que ça tien. Elle ne voulait pas que le peuple flamand subisse la vendetta d'une personne ayant perdu la raison. Bien que selon elle, si son idée était bonne, la raison était partie ya un bon moment déjà, si jamais il y avait déjà eu raison...


Je vous suis Mélusine ! Au pire si jamais cela devait mal se passer, sachez que vous pouvez compter sur moi. Je ne suis pas experte mais mon courage est grand quand il s'agit de protéger les Flandres.

Elle avait le regard déterminé avec une légère pointe de férocité. Elle se redressa pour montrer que, non, les grosses brutes ne lui faisaient pas peur.

Elle se tourna vers le vieil homme et lui lança :


Si vous n'êtes pas armé vous ferez mieux de déguerpir, on ne sait jamais !
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--Kyriellus
Kyriellus, sous ses apparats de grosse brute, est dans la garde depuis des années. Suffisamment pour être aux affaires des trahisons diverses, des affaires communes et des intrigues de châteaux.

Avant cet emploi que l'on qualifierait de tranquille dans ce genre de branches, il a fait partie de diverses armées, selon les villes qu'il habitait. Le mercenariat aussi a sa place dans son cursus. En un mot comme en cent, pour ce qui est de combattre, il est rôdé. Pas un vétéran, mais un bon soldat. Foutrement bon.

Forcément depuis ce rôle de garde, ses talents de combattants sont un peu rouillés, mais à côté de ça il a gagné un peu de jugeotte, à tenter de comprendre les situations et leurs renversements. D'aucuns diraient qu'on peut apprendre à jouer aux échecs en observant d'autres y jouer.

Mais ce matin, un peu d'action vient agiter sa garnison:

- Debout les gars! Mission pour vous, ça va vous bouger un peu!

Ca crie, ça rigole, ça raille, des types qui s'ennuient en d'autres termes, et qui sont bien contents de trouver un peu d'action pour une fois.

- Quelle mission ? Faut faire quoi ?
- Y'a la bourgeoise de Kyriel' qui a besoin de compagnie ?
- Encore un mot là dessus et je t'écrase la tête, bleusaille!

On se calme les filles, vous allez au château, en interdire l'entrée à quiconque se présentera. C'est tout. Et évitez le grabuge, il y aura sûrement du mécontentement, mais tant que c'est possible, restez calme et tout ira bien. Vous êtes nombreux, ça devrait suffire à décourager les éventuels héros.

En attendant personne n'entre, et vous attendez les ordres pour la suite.


Et toute la troupe de se mettre en route pour le castel, d'y prendre position, comme un exercice de routine. Ca se relaie, ça plaisante un peu au début, puis les gens commencent à réagir. Là ça discute plus, ça observe.

Et Kyriellus observe aussi. Il observe dans la masse, les subtils changements d'humeur, l'intensité de la tension ou pas, histoire de prévoir un éventuel mouvement de masse. Les foules, ça le connait, et il sait que tout geste est prévisible à l'avance, rien qu'en étant attentif à l'atmosphère générale.

Des femmes qui tiennent conseil, des militaires qui s'insurgent...

Oui, à son oeil, rien d'extraordinaire ou d'inattendu. La situation est sous contrôle.


[edit mise en page]
Les méchants gardes, incarné par Dolonov
Bon allez, faut faire avancer le schmilblick un peu)

Les esprits s'échauffaient, parmi les badauds. Certains voulaient déjà porter secours aux trois hommes encerclés par les gardes. Tout cela ne pouvait que finir dans un bain de sang. Jean, un des gardes avait déjà été violemment pris à parti par la foule, de justesse il avait été récupéré par ses coéquipiers.

Lâchant un peu de leste, les gardes s'étaient retirés vers les grilles, libérant les quelques enclaves formées.

C'est ainsi que dans le Corps de garde, le Sergent des mercenaires n'arrivait plus à s'en sortir. Il y a de ça quelques jours il avait été contacté par une gonzesse pour que lui et ses mercenaires prennent discrètement le château en se faisant passer pour des gardes. Tout s'était déroulé sans accrocs, en se faisant passer pour la relève, il avait pris possession du corps d'arme et du pont levis, et avait pu verrouiller les entrées.

La gonzesse, il avait vu une mèche rousse dépasser de la capuche à un moment, avait pénétré dans le Château un peu avant l'aube pour y faire il ne savait quoi. Les mercenaires devaient juste contenir la foule... Simple sur le papier... difficile en réalité avec des flamands, surtout le grand chauve baraqué comme pas possible et commandeur d'un département à la mord moi le nœud, lui il faisait peur. Le Chef des mercenaires n'avait tout simplement pas assez d'hommes et ça allait dégénérer, c'était obligé si l'autre rouquine ne se dépêchait pas.

Regardant par une meurtrière, il vit des pierres être jetées par la foule sur ses hommes. Le feu avait été mis à la poudre. Une salve de flèches fut tirée contre la foule et les cris retentirent. Ses hommes avaient ensuite formé une ligne compacte et avançaient en faisant des moulinets de leurs épées ou de leurs hallebardes et lances. Les moins rapides à se retirer allaient bientôt passer à la moulinette.
Dolonov
Ha bah défection, posté en même temps. Désolé LJD Kyriellus. Les autres joueurs vous pouvez faire un mixte des deux si vous voulez, ou tenir compte que d'un des deux messages. malheureusement je ne peux pas supprimer mon post.
--Kyriellus
Citation:
Pas de souci, prenez en compte le post de LJD Dolonov, je bidouillerai
Blanche30
Blanche décida qu'il fallait décidément faire quelque chose. Elle n'avait pas grande qualification, mais ce n'était pas grave. Il fallait faire quelque chose, au moins pour que les 3 hommes puissent partir.
Elle interpella les soldats ennemis d'un air hautain (elle n'allait pas se laisser impressionner quand même !) :


- Hé vous, avez-vous un ... "chef" avec qui nous puissions parler ? Et vite, nous commençons à nous impatienter !

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--Le_mendiant_


Les esprits s'échauffaient. Et plus ils s'échauffaient, plus cela réchauffait le coeur du vieux. Il ne lui fallait pas grand-chose, au pépé : une bagarre, un peu de sang, quelques épées prêtes à tailler dans le lard...

Le vagabond laissa vagabonder son esprit et ses mains cagneuses près, trop près de la donzelle qui était près de lui. Il la touchait presque... Il allait lui prendre son aumônière, quand il se rendit compte qu'elle était armée. En zieutant autour de lui, il vit une troupe de femmes, toutes en train de deviser. Elles tenaient conseil, car visiblement, elles s'étaient décidées à rentrer au château, par la force si nécessaire. Par la force ? Oui, mais comment ? Le vieux s'écarta d'elles en marmonnant :


Je serai d'elles je prendrai le passage secret...

Y avait-il réellement un passage secret ? Le vieux l'ignorait. Mais l'idée n'était-elle pas de semer un peu plus la confusion ? Bref, de créer un peu plus de chienlit ? Une idée récréative, en quelque sorte...

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Toujours Mendiant.
Toujours PNJ à LJD Tetel.
Icarionnoste
alle opvangtehuizen*

Hurlement Flamand du Flamoc’, la première partie de son sobriquet prend le pouvoir. Le message était clair. Baisse la tête comme un réflexe quand une giclée de flèche passe au dessus de sa tête.

Chlaf …
Chlaf …
Chlaf …


Noonnn !!!!


Les flèches viennent se planter dans la foule fuyante. Des corps tombent et hurlent. Il ne pensait pas revivre ça. Il ne pensait pas. Il ne pensait plus. Il a vu Blanche, il a vu Joie, il a vu Mélusine, il a vu Théalie, il espère et craint, ne les voit plus, et si ?
Et si l’une d’entre elle était l’un de ces corps tombant et hurlant. Secoue la tête, les cherche du regard. Ramener à la réalité par les bruits d’armure lourde.

Il se retourne brusquement, il voit fondre sur lui une ligne compacte d’homme en armure, jouant de leurs armes pour faire reculer les badauds, et ceux qui ne reculaient pas se feraient sans doute pourfendre.
Que faire alors ?
Rester et mourir ?
Il n’avait même pas d’arme, rien. Aucun renfort.
Recule d’un pas, puis de deux, il n’a jamais combattu, mais après tout … il fallait bien un début à tout. Il comprenait d’avantage son aversion pour les armes, en voyant ces corps de flamands innocents tombés sous leur coup, mais l’aversion ne supplantera jamais la raison et s’il doit empoigner une arme pour se battre, alors il le fera.
Cependant, il n’a pas l’expérience d’un chef de guerre, ne sait donc que faire pour bien faire. Jette un œil lent mais appuyé sur le commandeur Dolonov et Skal, eux, des hommes d’armes, ils sauraient que faire.


Messieurs, agissons, combattons ou fuyons, mais choisissons vite. »

Le ton était clair, emprunté d’amertume pour les âmes envolées. Se retourne la foule s’éclaircit peu à peu, laissant apparaître encore plus clairement les victime de la déraison.
Il pense à sa Lorraine, il y pense sacrément même ... Espère la revoir. Bientôt. Vite. A peur en fait ...


* tous aux abris

J'ai calqué sur le post du PNJ de LJD Dolonov

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"On s'attire la haine en faisant le bien comme en faisant le mal." - Machiavel
Blanche30
Blanche entendit le cri d'Icar et eut juste le temps de se baisser pour éviter la volée de flèches. Elle se releva et lui hurla avec colère :

- Arrête ça tout de suite Icar ! Te faire tuer ne servira à rien ! On n'est pas dix contre eux ! Tu n'as pas d'expérience militaire alors reste calme !

Elle interpella à nouveau les soldats rebelles :

- Alors, y a-t-il un homme parmi vous qui pourrait venir parler avec nous ? Avez vous tous perdu votre langue ?

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Skal
Cette fois c'était vraiment pas une blague, les traitres agissaient, ils avaient pris les armes et attaquer les pauvres Flamands innocents de la foule.
Il leva son bouclier pour se protéger des flèches qui fuser sur la foule.
Il regarda en retrait ne trouvant aucune solution pour protéger les pauvres Flamands mais que faisaient les renforts.
Il se releva après l'attaque incessante des flèches meurtries, de la fumer en direction du château.....
Il aperçu Melusine accompagnée de plusieurs Flamandes, il ne fallait pas qu'elle prenne le risque de s'approcher.


Icar..... Il faut que tu ailles retenir Melusine et les autres, tu n'es pas armé tu risquerais de te faire blesser....va... met les à l'abri.....

Plus aucune rancoeur dans cette situation, il regarda Dolonov puis contra les attaques des gardes qui faisaient tournoyer leurs épées pour les faire reculer.

Dol, il faut vérifier qu'il n'y est pas de Flamands au sein du château qui brûle!!!
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--Kyriellus
Dans un premier temps, tout se passait bien, le ton montait un peu mais en habitué de ce genre de situations, Kyriellus n'avait rien vu d'inquiétant. D'ailleurs le schéma suivait les motifs classiques : l'incompréhension, la révolte primaire, puis la gronde et, selon la gestion du risque, le bain de sang ou la résignation.

Evidemment son rôle à lui, c'est de bien gérer la gronde. En fait il y a deux étapes principales : la révolte primaire, à ne pas laisser monter sous peine de subir l'élan des foules, et la gronde. Cette dernière est beaucoup difficile à modérer parce qu'à ce moment, intervenir ne fait qu'empirer la situation, ne rien faire conduit au mouvement de foule. Qui mène à la répression, forcément.

Quoi qu'il en soit, la révolte primaire est passée sans problème mais, étrangement, la gronde n'a pas grandi à petit feu comme d'habitude, elle a éclaté d'un coup, comme une révolte secondaire de fait. Ca, c'est plutôt inattendu. Ajoutons qu'il n'a aucune idée de pourquoi. Si on l'avait mis au courant des tenants et des aboutissants, il n'aurait pas imaginé ça comme ça.

Toujours est-il que l'étape cruciale a dérapé sans trop de raison, d'abord doucement puis, devant le recul des soldats, de plus en plus fort. Au point que les cailloux avaient volés, la foule avancé... Et qu'à présent c'est un champ de bataille sur lequel il se trouve. D'un côté ça le rassure, jouer les soldats est plus simple que tenter de saisir une atmosphère.

Et c'est dans une idée de bataille rangée qu'avec ses compagnons, ils se mettent à avancer sur la foule, lance tendue et armure luisante. Ca fonctionne dans un premier temps mais bien vite les flamands se ressaisissent, les forçant à trouver refuge derrière les grilles. Dès lors ils ne font plus que reculer, jusqu'à ce qu'ils en soient réduits à cribler leurs opposants de flèches.

Ca ne fera qu'augmenter leur haine mais à présent, c'est tuer ou être tué. Puis il se réserve une sortie de secours, au cas où tout cela dégénèrerait vraiment trop.


Citation:
Alors, y a-t-il un homme parmi vous qui pourrait venir parler avec nous ? Avez vous tous perdu votre langue ?


Un moment hors du temps, cette apostrophe fend l'air. Il hésite. Pourtant expert en climats sociaux, la situation lui a totalement échappé, et de son oeil, elle ne semble pas rattrapable. On en est déjà aux cailloux contre les flèches. La demoiselle pense-t-elle vraiment que des négociations soient possibles ?

Kyriellus jette un regard à ses compagnons d'armes. Eux aussi ont entendu. Un moment de flottement. Ca leur ferait gagner du temps. Vu leurs regards, il va devoir s'y coller. Et si c'était là sa porte de sortie ?



Mais oui... imagine... la situation est branlante, ils vont reprendre le château ça se voit d'ici... on va tous y passer. Joue le dialogue, ça te laisse une chance de t'en tirer.

Un sourire rassurant à l'adresse de ses amis, conscient que c'est le dernier que certains d'entre eux verront, et d'une voix tonitruante il s'adresse à la donzelle.


RECULEZ. ENVOYEZ DES GENS POUR PARLER. ON EN ENVERRA AUSSI.

Suite à quoi il demande à quelques personne de l'accompagner.
Joie
Joie était resté bouche bée en regardant tout ce qui se passait devant le château, elle ne savait plus quoi répondre à Blanche... Figé, Joie était figé, elle regardait les hommes qui bloquaient le passage quand une flèche passe très très près de son visage...

Ni une ni deux, elle se baisse et se met au milieu de la foule en essayant de se protéger tout en reculant avec tout le monde... ça hurle, ça crie des corps tombent, un homme gras comme un porc la pousse et la voilà le cul parterre.
Elle essaye de se protéger avec son bouclier, mais les gens sont devenus fous, ils ne l'ont même pas vu... Pourtant elle hurle de toute ses force...
Aidez-moi !... Mais personne ne l'entend dans cette cohue...
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Blanche30
Blanche entendit la réponse d'un soldat ennemi. Elle allait s'avancer vers lui quand, tournant machinalement la tête pour voir où étaient ses compagnons, elle aperçut Joie . La jeune fille devint aussi pâle que son prénom le laissait supposer, elle se précipita vers son ami en hurlant au reste des flamands fidèles :

- Joie est à terre, il faut l'aider !

La blonde d'Anvers se réjouit amèrement d'avoir pris son épée et son bouclier, dans le but de s'entraîner, ce qu'elle n'avait pas fait depuis des jours. Elle court vers Joie, espérant arriver à temps, mais la foule des soldats est dense.

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Icarionnoste
Souffle qui s’accélère, le pouls s’emballe, la vision devient floue, les souvenirs ressurgissent et frappent à la porte du présent avec puissance et insistance, les bons moments, les mauvais, la vie défile devant ses yeux.
Secoué par Skal. Il lui demande d’aller retenir mesdames, que le bain de sang ne tourne pas à la boucherie totale. Un cri. Joie au sol. Suivant les conseils avisés du Vicomte accourt vers son amie Brugeoise, à la rencontre d’elle et de Blanche qui accourt aussi vers elle.
Il ne sait pas vraiment si elle est blessée, ou juste secoué, à vrai dire, c’est pas vraiment le moment de jouer au docteur, plutôt celui d’aller se planquer avant de se prendre une flèche dans le derche.

Un coup d’œil en arrière. Un contingent de garde fend la rangée serrée et s’avance. Les flèches cessent de tomber. Ils veulent parlementer dirait-on. Un peu tard.
Derrière la foule se relève et s’éveille … Les flamands s’organisent, les paysans avec leurs outils des champs s’approchent, l’air mauvais, un nombre impressionnant. Le peuple.
Quelques seigneurs rappliqués aussi, blason en avant et armes au poing.
Le sol flamand n’était et ne serait jamais soumis à une bande de gardes en jupette tout juste bon à tirer sur des innocents sans armes.
Ils veulent parlementer après avoir tué sans raison ? Tué des flamands qui venaient simplement travailler ?

Il relève son amie Joie, le calme relatif semble être revenu, on voit encore de ci de là quelques badauds qui courent et qui hurlent, mais l’on peut lever le nez et voir le soleil sans le voir embrumé par une nuée de flèches traversant l’horizon.
Le Flamoc’ lève gentillement le nez vers les gardes. Pas d’expression particulière. Cri assez fort pour se faire entendre de la Garde intérimaire.


-« Parler après avoir tué ? Vous pouvez vous les carrer au fion vos parlementations !
Rendez-vous, maintenant. Ou crevez comme des chiens devant cette herse. »


Bon … au moins le message était clair.
Il ne les craint plus. Personne ne les craint plus. Le peuple est armé. Le peuple les tuera s’ils bougent un orteil.

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"On s'attire la haine en faisant le bien comme en faisant le mal." - Machiavel
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