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[RP]Portes Closes au Château

--Hubert_le_garde
Quel idiot. Les trois costauds sous les ordres d’Hubert le tout puissant chef des remparts (oé bon il en rajoute un peu …) se moque pas mal du grand, épais comme une sardine et qui a l’air de savoir aussi bien maniée une épée qu’une tanche.
La brune avait l’air un peu plus habile, elle en avait déjà mit un sur le carreau.
Ils se marrent, se bidonnent, un grand pas doué et une donzelle … c’était ça l’armée Flamande ?
Et voilà que l’autre fait une crise de nerf. Le laisse venir gentillement. Va bien s’arrêter en les voyant en armes de haut en bas. Va s’arrêter ?

Ah bah non, le con !

Et shlack il met un gros coup dans le bouclier de Gus, le plus idiot des trois gardes (en sachant que les trois sont débiles). Se fait pas prier le Gus, pare le coup et réplique en lui envoyant un coup d’épée en direction de la hanche, histoire de le couper en deux, pas bien épais t’ façon …
Dolonov
Avec quelques hommes Dolonov avait pris un couloir au pif. Espérant les mener vers des rebelles. Au détour d'un tournant ils virent leurs cibles.

On se regroupe les gars.

Rapidement, comme s'ils avaient fait ça toute leur vie, les soldats abandonnèrent leur masse compacte, sans discipline pour former une ligne, disciplinée, permettant aux premiers de manier librement leurs armes, et aux suivant de les remplacer ou d'apporter un soutient au cas où.

On avance ! Tous ensemble, n'abandonnez pas les autres ! Chargez !

Arrivant au contact, Dolonov vit l'ennemi en face de lui armer un coup puissant il se ratatina derrière son écu afin d'amortir le choc. Bloquant ainsi dans un premier temps le coup, Dolonov mit ensuite son élan pour repousser l'épée ennemie grâce à un mouvement tournant. Et dans ce même mouvement, il décocha un coup de poing de sa main droite, tenant toujours fermemant son épée, dans le nez ennemi. Un beau crac accompagna l'écrasement de l'arrête nasale, et vacillant, étourdi par le choc, le mercenaire essaya de se rattraper au mur. Le Commandeur laissa l'homme pour le suivant, le jugeant peu dangereux dans l'immédiat.

Son second ennemi avait l'air un peu plus malin, et un échange rapide d'attaques et de parades s'en suivi. Parant de l'épée, Dolonov poussa son ennemi du bouclier pour essayer de le déstabiliser. Celui ci, étant plus expérimenté, arriva tout de même à se reprendre, tout en décochant une attaque de taille, un peu mollassonne. Esquivant Dolonov fit un grand pas de côté, donna un coup sec et puissant sur l'épée ennemie pour la faire tomber. Ayant mal visé, le Commandeur trancha la main par la même occasion. Une gerbe de sang rouge foncé éclaboussa le poitrail du Commandeur, et marqua le mur, trace d'un combat acharné. Mais qu'importe, le résultat était le même. L'arme était à terre, laissant libre place à un planté de lame dans le torse. Propre. Nette. Sans fioriture. Dans un dernier baragouinage, plein de bulles de sang, le garde voulu dire quelque chose. Mais ses forces l'abandonnaient vite et il fut réduit à un vulgaire morceau de chaire, vide de toute vie.

Essayant de reprendre haleine et se retournant, Dolonov tomba sur... sur une chose. Un immense machin. Pourquoi devait-il toujours y avoir des ennemis, tels des armoires à glace, faisant au moins 5 mètres de haut, et tout en muscles ? Le chauve se remis en garde, souple sur ses genoux, tassé derrière son bouclier, l'épée tendue, dépassant vers l'avant. Si le précédent combat avait été tendu, celui là serait d'une toute autre catégorie.

Le monstre, armé d'une immense masse d'arme à la main et d'une épée à deux mains, accrrochée dans le dos, décocha un coup pouvant faire trembler la terre. Il fut paré par le bouclier du Commandeur. Un peu groggy ce dernier secoua la tête pour se reprendre. Le colosse s'empara alors de l'écu et le fit valser avec son propriétaire. Se laissant lâcher prise sur la lanière, pour conserver un semblant d'équilibre, Dolonov se réceptionna. Un bruit sourd et métallique marqua la collision entre le sol et le bouclier. Il tira sa dague et attendit la prochaine attaque. Il fallait être agile et rapide, afin d'éviter les attaques, et non les parer, et ainsi peut-être épuiser l'ennemi.

Le mastodonte fendit l'air de sa masse, le Commandeur se baissa et d'un coup de dague, il la planta profondément dans l'énorme biceps. Ce qui eu pour résultat de faire grogner la chose, mais de tout de même lui faire lâcher sa masse d'arme, sous la surprise. Un petit sourire se dessina sur les lèvres de Dolonov, qui se dissipa bien vite quand il vit la gigantesque épée, auparavant dans le dos du géant, se dresser devant lui. Il tenta néanmoins de conserver son léger avantage en attaquant tout de suite avec son épée, si petite... Attaque facilement parée par le gaillard. Subissant à chaque fois les chocs des coups ennemis, Dolonov ne faisait que céder du terrain. Reculant pas par pas pour essayer de conserver son équilibre. Tentant de temps en temps de maigres contre-attaques, entaillant tout de même une fois le torse ennemi, une autre fois sa cuisse. Mais rien de bien folichon. Une nouvelles puissante estocades, parée à deux mains avait finit par glissé le long de la lame et réussi à pénétrer la cotte de maille et déchirer profondément la chair sur tout l'avant bras gauche. Puis d'un brusque coup d'épaule du géant, le chauve perdit complétement son équilibre, baissant ainsi dangereusement sa garde. Ce coup le projeta contre un mur, un son métallique raisonnant suite au heurt entre le mur et le plastron. Ce heurt coupa le souffle du commandeur, il s'affaissa, et lâcha son épée, étant à bout de force. Ca sonnait bien comme le gong de la fin...


Ho putain de bordel de sa mère... Tant pis pour l'anoblissement.


Si on pouvait sauver mon petit chauve s'il vous plaît ?^^
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