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[RP]Portes Closes au Château

Skal
Paysans, Artisans, érudits, Soldats, tous les flamands avaient pris les armes que ça soit un simple manche de balai cassé, jusqu'à la lance meurtrie en forme de triton. On pouvait croire à un grand champ de bataille, une guerre civil, une émeute....

Skal qui était toujours devant les portes du château aux cotés du commandeur Dolonov, entendit une voix qui faisait rage derrière lui


Citation:
Skal !! Vous êtes là !! Aristote soit loué ! Hors de question de songer a ce que je retourne a l'arrière, dîtes moi plutôt qui est le plus haut gradé ici que je me place sous ses ordres. Vous allez avoir besoin de bras -et montrant son épée a sa ceinture et son bouclier planté de flèches a son bras- et j'ai justement ce qu'il vous faut....


Mélusine.... il se répétait dans sa tête... non c'est trop dangereux....
est ce cet effet la de voir une amie en danger? Pas le temps pour les sentiments sans la regarder pour pouvoir repousser les gardes en face de lui, il lui dit en parlant fort.


Mettez vous aux cotés du Commandeur Dol, on va bloquer toute issu pour que les gardes ne puissent approcher les citoyens....espérons que nous allons tenir jusqu'à l'arrivé des renforts.

Une lignée de Soldats de l'ost étaient autour du château bloquant toutes accès à la foule pour leur protection...
Après plusieurs minutes d'acharnement pour défaire les traitres de gardes, il aperçu une silhouette au loin.... le baron? Slam..... Le Général était accompagné du colonel Duncan ainsi qu'une bande de guerrier FSF.
Il cria:


LES RENFORTS!!!!

un sourire aux lèvres il pensa: "tiens dans les dents Capitaine, on va assister à la première collaboration OST/FSF" .
Ce qui lui donna de la force pour maintenir le blocage...
Il se tourna en direction de Dol, lui faisant bien comprendre par son regard que la victoire ne serait tarder...si on pouvait appeler sa une victoire.

_________________
Dolonov
Avec tout un groupe de Soldats, le Commandeur ne savait où donner de sa tête chauve. Skal lui présentait Melusine, une Dame Blanche de ce qu'il avait compris. Des Soldats attirés par la fumée et les cris venaient au compte goutte. Les fonctionnaires venaient mettre leur grain de sel, comme toujours, et pour ne rien dire, comme toujours. Des civils voulaient foncer dans le tas.

Pour sa première grande mission de commandement, Dolonov était donc plus que perdu. Lui qui n'avait eu en général que des petits détachements à commander, ou alors avait toujours eu le temps de réfléchir, au chaud à l'intérieur de l'EM. Il fallait donc penser logiquement au point par point.

Au final, le danger le plus imminent restait les civils à protéger. Surtout d'eux même... Nan mais franchement, aller à l'assaut avec des fourches !

C'est alors qu'il fut tiré de ses pensées par l'arrivée de FSF. Voila une chouette première pour la coopération. Resté à savoir si un supérieur allait arriver... Mentorant Van Artevelde, ou le Capitaine... N'importe qui mais de l'aide...

Ho et puis c'était peut-être son jour de gloire. Peut-être tout un comté en remerciement à la clef ! Donc d'abord, réunir, protéger, et aviser à ce moment là !
Achilee
L’herboriste n’allait pas souvent au château mais elle avait besoin de quelques informations quant aux fêtes qui allaient se dérouler. Mel faisait partie du comité d’organisation …elle n’avait qu’à passer la voir.
Dans les rues, un bruit, un grondement, l’étonna. Mais c’est en arrivant sur la place que la vision d’un combat de rue la laissa figée sur place.

Le château brulait.
Des corps…partout des corps allongés, inertes… Une vision cauchemardesque.

Il lui fallut un instant pour reprendre ses esprits, un instant pendant lequel mille questions l’assaillirent: Mel ? Skal Van ? Jo ? Les autres ?étaient ils là ou pas ? Et s’ils étaient là étaient-ils sains et saufs, blessés ou…ou pire.

En attendant il fallait faire quelque chose. Elle n’était pas et ne serait probablement jamais une guerrière. Mais elle savait soigner et là ce qu’elle avait appris à l’Hôtel Dieu sous l’égide de Dame Nennya allait s’avérer primordial.
Elle s’avança essayant de se cacher derrière tout ce qui pouvait la protéger des flèches, un tonneau, des ballots de laine.

Toucher la carotide du premier corps…premier mort
Mais pourquoi bon Dieu !
La colère. Un peu plus loin un homme se mit à gémir, une flèche dans la cuisse. Elle s’approcha prudemment, très prudemment. Bon sang ! Ce qu’elle avait la trouille d’y passer elle aussi ! Il allait tenter d’arracher la flèche

NON !! surtout pas ! bougez pas j’arrive


Elle passa ses mains sous les aisselles et le tira en arrière. Morbleu! Il était lourd le bestiau !

Il ne faut pas tirer la flèche en arrière. La pointe est généralement prévue pour se détacher et rester dans les chairs.


Elle aurait eu besoin d’un impulsoir qui servait dans ces cas là à pousser la pointe, cet objet rare dont elle avait appris le maniement à l’Hôtel Dieu mais elle n’en avait pas et en aurait elle eu un qu’elle ne se serait certainement pas baladée avec…à tort : c’était un objet petit mais précieux.

Je vais faire ressortir la pointe en poussant sur la hampe…ensuite on fera un pansement bien serré


Pas de pansement suffisamment long pour faire le tour de la cuisse dans sa besace.
Bon aux grands maux…Et elle déchira le bas de son bliaud, non sans difficulté
Pas d’os sur la trajectoire de sortie. Attention….
Elle poussa sur la hampe. Le cri de l’homme l’enveloppa au point qu’elle n’entendit plus ce qui se passait. Elle avait peur que la flèche ne casse mais son geste avait été suffisamment sec et précis. Elle fit un pansement…il faudrait désinfecter rapidement.

C'est fini...vous devriez retrouver un bon usage de votre jambe si vous faites attention

Elle se retourna regarda la scène. Étrangement, elle avait réfléchit en soignant cet homme.
Il fallait évacuer les blessés, commencer par ceux qui étaient le plus gravement touchés mais comment faire ?
Il fallait trouver tous ceux qui savaient soigner. Rosa devait être fort occupée, Mel devait se battre. Mariotte?. Possible qu'elle se batte...après tout elle faisait partie de l'Ost
Il fallait trouver de la charpie en grande quantité, des bandes.
Et puis du plantain de l'achillée millefeuille, de la prêle, du souci, de millepertuis , du saule, beaucoup de saule bref une bonne partie de ce qu'elle avait dans le dispensaire tournaisien.
Comment faire?
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Rosa
C'était le foutoir, il n'y avait pas d'autre mots pour le décrire, le château qui brûle avec des gardes inconnus qui l'encerclent, des gens qui tâchent de donner l'assaut, la maire de Gent partie.
Un conciliabule se fit entre officiers de l'Etat-Major.
Le Lieutenant Rosa fit envoyer une section pour la protection de la ville de Gent, d'autres seraient chargés de la protection des citoyens brugeois. L'heure était grave, plus que grave, elle voyait brûler ce qui avait mis tant d'années à se construire, elle avait fait tellement d'aménagement, redécoré entièrement le château, la Blonde dut faire un effort violent sur elle-même pour se contenir et ne pas exploser.


Hardi! Tâchons de prendre le Château avant qu'il soit entièrement détruit!
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Slystaline
Sly vit sa Marraine en action. Protéger et servir. Onguents et soins. Elle se démenait comme une belle diablesse. Mais elle était seule, bien seule à soigner les victimes.

- Achilée, mes connaissances en médecine et en plantes sont plus que rudimentaires. Après je sais quand même faire des pansements et déplacer des blessés. Si vous le souhaitez je suis à vos ordres. Je serai votre aide soignant.

Il lui monte son petit couteau, acheté à Melusine il y a plusieurs mois de ça.

- Je me sentirai plus utile comme ça qu'en essayant de prendre une forteresse avec un canif.
--Atlantide.
Gros Jean, qui fort heureusement au moment du drame, était allé se ravitailler en saucissons sur le marché depuis que la cuisine du château lui avait été interdite, n’en croyait pas ses yeux.
Le pauvre bougre sur ses jambes grassouillettes d’adolescent, en était resté la bouche grande ouverte, une tranche de saucisson mollement mâchée, devant la cohue qui régnait devant les portes du castel quand il avait voulu réintégrer son poste aux prisons, ni vu, ni connu.

Alors Gros jean avait couru (épique pour qui le connait).

- « Le château ! » avait-il crié, essoufflé, poussant violemment les portes de la grange
- « Quoi, le château ? » avait repris Atlantide, un sourcil froncé, en relevant le nez d’une nouvelle marionnette qu’elle confectionnait, aidée par la petite Ophélie.
- « Y a le feu, c’est la guerre ! » fit Gros jean qui avait le sens du résumé de celui qu’a pas suivi grand-chose mais juste l’essentiel.
- « Jamais sans moi », annonça la môme, furieuse, en se levant, jetant la marionnette au sol et sortant.

Ce fut la course effrénée dans les ruelles de Bruges d’une bande de gamins qui avait plus l’habitude de sévir la nuit qu’en pleine journée. Il fallait louvoyer entre les amas d’adultes, les badauds, et l’affolement perceptible plus on approchait du but.
Le château, enfin, dressa sa silhouette abimé devant eux.
Les enfants de Bruges restèrent un moment silencieux, immobiles, regardant devant eux se dérouler une lutte à bras le corps.

- « Putain », conclut Atlantide, en laissant ses prunelles charbonneuses et furieuses errer d’un groupe à l’autre. « Mais qui a foutu le feu ? »

Il était impossible de savoir si Atlantide en avait gros sur le cœur parce que le château brulait, ou parce qu’elle n’avait pas pu y mettre elle-même le feu.

- « Qu’est ce qu’on fait ? », demanda Estienne.
- « Bordel Estienne, comment veux tu que je le sache », demanda la gamine en essayant de trouver une explication logique à tout ça. « Ils vont nous refouler si on approche », marmonna-t-elle en désignant du doigt les soldats flamands.

Elle se tourna vers les autres et les jaugea d’un bref coup d’œil.
Brave petite troupe qui n’avait jamais eu la frousse des flammes, qui avait le théâtre et les effets spéciaux dans le sang, mais pas la guerre…

Le bruit des flèches dans l’air, celui des épées qui s’entrechoquent, l’odeur de la fumée et les gémissements des blessés. Que pouvait-on demander à des mômes entre six et douze ans au beau milieu d’un merdier pareil ?

- « Et si on aidait les blessés ? », demanda Gros Jean dans ce presque silence.

Regards perplexes.


- « Ah… oui… c’est vrai que si on fout pas l’feu, on peut peut-être aider », admit la môme d’un air revêche, presque déçue qu’on ne lui colle pas un casque et une épée dans les bras.

« Apres tout, les plaies, ça se cautérisent par le feu », pensa-t-elle en se dirigeant vers l’Herboriste qui semblait incertaine au milieu de ce fatras de corps.

- « On peut se rendre utile ? », demanda la môme à Achilee, non sans lorgner sur la bataille.

Derrière elle, une douzaine de petites mains décidées, sauf celle de Gros jean, toujours occupées à serrer son sac de charcuterie.
--Snake.plisken


La bannière des Forces Spéciales Flamandes flottait fièrement à côté du drapeau de l'Ost comtal. Le Château de Bruges continuait à se consumer sans que personne n'y puisse quoi que se soit. C'était clairement peine perdue. Mais il fallait se battre, y mettre un peu de conviction, pour prouver qu'on ne baissait pas les bras si facilement en Flandres. Et puis, il y avait peut-être quelque chose à sauver...

Le guerrier Plisken avait répondu à l'appel lancé au sein de la Forteresse FSF. Dans la nuit, sous les ordres du Colonel Duncan, la troupe s'était mobilisée. Au petit matin, ils étaient sur les routes, au petit trot. Le Clan de Bruges était déjà à l'oeuvre dans l'enceinte de la ville. L'édifice comtal ne serait pas sauvé, c'était désormais un fait, mais les symboles du pouvoir comtal devaient subsister, pour ne pas faire naître dans quelques esprits torturés la mauvaise idée de profiter, à mauvais escient, de ce chaos. Une forte présence militaire devait les dissuader de s'en prendre aux institutions officielles.

Snake - c'était son nom de guerre - observa ce qui ressemblait à un déluge. Une catastrophe. Ce n'était pas l'heure pour s'apitoyer, et ce n'était pas vraiment le genre des FSF, c'était surtout le moment de faire bloc, avec l'Ost, pour maintenir la stabilité et la sûreté du Comté de Flandres.

C'est alors que les Seigneurs de Guerre des Forces Spéciales - les chefs du Haut Commandement - crièrent leurs ordres, sortant Plisken de ses rêveries. Agir, il fallait agir. Sous bannière flamande, qu'elle soit des forces spéciales ou de l'ost.


Duncan.
C'est en temps de crise que les nouvelles couraient le plus vite et il ne fallu pas longtemps pour qu'elles atteignent la forteresse FSF.
Rapidité et organisation était le mot d'ordre. Deux groupes, un qui partirait en direction de gent, l'autre de Bruges, il fallait faire vite et efficace.

Duncan dirigeait le premier groupe, Toffie ouvrait la marche, en éclaireur, ils ne savaient pas à quoi s'attendre et il fallait tout prévoir.
Le Château en vue, un attroupement devant, des cris, des armes hautes, il fallait se dépêcher.
D'un mouvement de bras, le Colonel des FSF mandat à ses hommes d'accélérer. Une fois la foule rejoint, le Colonel stoppa son cheval et parla d'une voix forte et claire afin d'être sûr de se faire entendre.


Qui est celui qui coordonne les actions ?
Qu'on nous donne les directives principales que l'on puisse se mettre en action.


Puis, se retournant vers ses soldats.

FSF ! Préparez vous !
Armes au poings, boucliers en avant, s'il faut rentrer de force alors la force triomphera !


Il attendit qu'on vienne lui dire où la situation en était, prêt à donner les ordres.
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Audelia
Derrière son colonel, la brune contemplait le désastre.
Les traits de son visage , restaient impassibles malgré la rage qui montait en elle.
Des corps, des blessés, mais cette fois c'était des flamands...des civils, des paysans qui essayaient de protéger leurs terres!
Leurs chevaux au galop ne tardèrent pas à les mener jusqu'aux portes du château.
Elle tira sur les brides violemment lorsque Duncan s'arreta .
Plisken était là aussi...

Citation:
FSF ! Préparez vous !
Armes au poings, boucliers en avant, s'il faut rentrer de force alors la force triomphera !


Elle sortit l'épée de son fourreau, la lame siffla dans l'air .
Dans son dos , le carquois et l'arc ficelés ne bougèrent pas d'un pouce.

Croise brièvement le regard de son chef:
prête mon colonel!
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Krystel_martin
C'était carrément, mais carrément la chienlit. Sur le coup, Krystel n'avait pas tout vu. En vérité, ce fut l'odeur qui lui fit prendre conscience de la gravité de la situation... Odeur de parchemin brûlé... Fumée noirâtre provenant du Château. Hypnotisée malgré elle par le spectacle terrifiant de la forteresse en flammes, Krystel resta un instant les bras ballants, sans savoir que faire.

Doux Christos, mais que diable....

Soudain, les renforts FSF arrivèrent. Les professionnels allaient enfin mettre un peu d'ordre. Elle admira malgré elle la mise en place de la colonne, bref, les manoeuvres militaires. La gamine approcha de ses supérieurs, et dit :

Peut-être serait-il ingénieux de dégager les civils et les blessés qui gênent. On risque de les tuer par accident...
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Fred65140
Le bataillon bryggia forçait le pas ,de retour de cambrai ,ils avaient entendu de bien vilain bruis concernant le chateau de la capitale Flamande .
Arrivés a dix lieus de la capitale ,ils pouvaient apercevoir une épaisse fumée se dégager du chateau et ainsi concretiser leur crainte .
"instant de soulagement"


Je crois apercevoir le drapeau flotter !
tout espoir ne dois pas etre perdu .
Accélerons le pas ....dépéchons ..dépechons !

le sergent était plus qu'inquiet et ses pensées était pour les Flamands habitant a bruges qui risquaient certainemant leur vie alors que son bataillon prenait du bon temps a Cambrai
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--Kyriellus
Bon là ça commence à faire beaucoup, le chaos a régné quelques temps après leur repli, les civils tentent de gérer leurs blessés, mais plus inquiétant, les soldats sont là. Affronter une foule hostile armée de fourche, ça se gère, quelques lances pour maintenir la distance et des flèches pour arroser la mêlée. Des soldats, c'est organisé, ça sait se battre, et ça a des notions de stratégie. Ca c'est mauvais.

Pour l'heure, les positions sont prises du côté des assiégés. La stratégie est clairement définie, les forces et l'expérience correctement réparties dans les rangs, ils devraient pouvoir faire face. La grande question reste : combien de temps ?

Heureusement, le château recèle d'armes et de victuailles. Malheureusement ce qui risque de leur faire défaut, c'est le nombre d'hommes. Pourtant, ils ne peuvent pas commencer par créer les goulots d'étranglement, car un seul débordement adverse suffirait à perdre le périmètre. Autant dire à tous mourir.

Les soldats attendent donc, imperturbables, que des troupes s'avancent jusqu'à leur portée. Pendant ce temps, Kyriellus, lui, réfléchit sérieusement à une issue. Quelques idées lui traversent l'esprit et il en note certaines.
Catouline

En balade sur Cambrai avec son fillot et son ami ... elle se rappelait les mots de celui ci avant de partir "C'est calme pour le moment on n'aura pas besoin de nous ici !!"

Que de changement en si peu de temps au loin ils voyaient la fumée du château, Fred, en bon sergent leur pressait le pas
"Accélerons le pas ....dépéchons ..dépechons !" ... les deux soldats presque au pas de course ... heureusement ses longues heures de marche lui avait donner l'endurance suffisante pour les suivre ...

Elle lisait l'inquiétude sur le visage de Fred, elle même pensait aux Brugeois à son amie Maryse et toutes les personnes présentent généralement au château ... tous ses amis certain même très chère et courrait avec eux ... même si elle ne faisait pas ou plus partie depuis bien longtemps de leur régiment ... ici ... dans cet douleur qui frappe leur capital ... ils ne peuvent qu'être uni ... dans un même combat ... sauvez ce qui peut l'être ...

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Catouline

Achilee
Stalyne ! Les mômes de Bruges !
Au moment où elle allait perdre pied devant l’ampleur de la tâche, les renforts arrivaient
S’organiser vite ! Faire ce pour quoi elle se préparait, même si sa formation n’était pas achevée. Même si, pour un galop d’essai c’était ...beaucoup.

Jo ! Ramenez les tous les blessés que vous pouvez trouver…
D’abord ceux qui sont touchés au thorax !
Faites passer le message de ne pas tirer pour sortir les flèches !
Ah et protégez vous je vous en prie !! J’ai pas besoin d’un blessé de plus


Puis se tournant vers les mômes de Bruges, elle les détailla déterminés et intéressés les mômes. Elle avait besoin d’eux, de leur connaissance de la ville, besoin aussi de savoir qu’ils n’iraient pas se fourrer dans cette bataille. Mais comment détourner ces boules de curiosités d’un tel évènement

Vous, vous m’avez l’air sacrément débrouillard !!
Trouvez-moi l’herboriste de la ville s’il y en a un et puis un chaudron et de l’eau !
Frappez à toutes les portes et demandez du tissu…faut faire de la charpie.


Et parce que la situation l’exigeait elle prononça des mots qu’elle n’aurait jamais dits en d’autres temps

Volez le ce linge si c’est nécessaire!!!

Comme les gamins s’égaillaient comme une volée de moineaux, dissuadés elle l’espérait, d’aller au château elle cria

Et le curé !!Ramenez le curé au triple galop

Pour elle-même

Il va avoir pas mal de travail malheureusement…
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Icarionnoste
Du bruit et des fracas, quelques FSF, quelques soldats de l’Ost, le tout commençait à s’assembler devant le peuple Flamand armé comme il le pouvait. Le tout commençait à prendre forme.
Une sorte de calme avant la tempête, perçant de silence et assourdissant de mouvements divergent. Don des soins aux blessés par Achilée et Sly. Lui, le flamoc’ en était encore à insulter gentillement ces *ù^$ù* de gardes …
Sur sa monture et suivit d’autres FSF, arriva son confrère Conseiller, mais de fait surtout homme d’arme, le colonel Duncan.
S’approche du canasson pose une main sur son encolure, tente d’orienter l’homme.

-« Le commandeur Dolonov est prêt de la herse avec le Conseiller Skal, si vous cherchez un commandement vous devriez aller les rejoindre.
Les gardes ont d’abord tiré une salve de flèche qui a donné …


Se tourne vers les cadavres et blessés, percé de toute part …

Ça ….

Ils se sont maintenant repliés dans le Castel. Ils sont fait comme des rats. Tuez les colonel. »


La demande était somme toute assez original et ne relevez nullement de l’ordre mais plutôt du service … Les rats meurent et ne vivent pas.
Une FSF pas vraiment inconnue du Flamoc’ fend la rangée, léger salut de la tête ne sait pas vraiment comment la saluer, ne sait pas trop quoi lui dire, plutôt gêné. Et … le temps n’est de toute manière pas aux divagations.

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"On s'attire la haine en faisant le bien comme en faisant le mal." - Machiavel
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