Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 5, 6, 7, ..., 9, 10, 11   >   >>

[RP]Portes Closes au Château

Moonflowerdemosel
Moonflower, horrifiée, erre parmi les corps, vivants, blessés... morts. Elle le cherche toujours, hagarde. Autour d'elle, c'est le chaos. Les soldats arrivent en masse. Comment trouver quelqu'un dans cette foule désordonnée et vagissante.

Elle aperçoit soudain des cheveux blonds, ... un visage ami.

Sly ! Elle court vers lui, s'accroche à sa chemise, le regard suppliant, elle hurle.


Où est-il ? Où est Ica ?

C'est à cet instant précis, juste avant que Sly réponde, qu'elle voit son promis au loin. Il semble égaré lui-aussi dans ce qui ressemble maintenant à un champ de bataille. Elle sait qu'il exècre la guerre, les armes, la violence.

Il se baisse. Que fait-il ? Délaissant Sly d'un seul coup, le poussant même un peu, elle se dirige prestement vers son seul point de mire.

Il se relève, une épée dans la main. Elle réalise soudain qu'il veut se battre lui-aussi. Devant ces hommes armés et entraînés, il n'a aucune chance. C'est du suicide ! Elle pense soudain à l'enfant qui prend racine en elle. "Il ne peut pas grandir sans père !... Je ne peux pas vivre sans lui".
Elle court à en perdre haleine, sa vie en dépend.


Non !!! Ica ! Non !!!
_________________
Sernays
[Cambrai, dans les ruelles.]

Fallait que ça arrive à ce moment. Le Légionnaire se pavanait sur les pavés, flânant les échoppes, cherchant des adversaires, voir si il pouvait voler un truck. Il était en perm', en attente de mission.
Seulement voilà, que ce ne fut par hasard qu'il entendit une conversation de quelques bougres, négociant le prix d'une épée médiocre pour apprenti maître d'arme.


J'reviens des Flandres, et t'sais quoi? Le château est mis à sac. Sa se bastonne à tout va, ça crache leur molaire et sa flambe de partout.

Son sang ne fit qu'un tour, demi tour vers le nord-est. Parce que c'est vrai quoi à la fin, c'est toujours quand il était pas là que son loisir favori perdurait.

[Tournai, extérieur de la ville.]

Il n'avait pas osé s'aventurait dans les dédales du bourg. Il longeait les rempart et en même temps tomba sur des paysans un peu fou et vociférant, tout deux séparait par 50 mètres, ce qu'ils savaient.

Y'a des brigands! Disait l'un
C'est bien beau, dl'a mobilisation partout. Si on perd nos sous, j'vais plus payer mes impôts!
Y'a l'feu! Et gent n'a plus bourgmestre! Défense maximum!

Décidément, il n'y avait pas que le château qui avait des problèmes. Il aurait tellement pu être partout à la fois. Valait mieux voir d'que donner la situation dans la forteresse. Heureusement ce n'était pas trop loin.
Surpris, il vit les différents rescapé envahir son refuge militaire. Décidément, la panique régnait. Il s'y engouffra sans trop se faire remarquer, et attendit les ordres pour savoir où il pouvait être le plus utile en Flandres. La bête était là, ça allait chier.

_________________
Audelia
Achilée se retourne enfin, prend en main "le thorax" et avec une agilité parfaitement incroyable au vu de la situation se met à opérer en plein champ.....
Elle la fixe quelques secondes, ses doigts ne tremblent pas, son esprit est concentré....
Décidement les Flamandes n'ont rien à envier à leurs hommes, elles en ont....


Bref sourire, elle se retourne à nouveau, voit Icar prendre une épée au sol,
s'approche de lui et lui glisse....

tu sais? on a besoin d'hommes pour commencer à porter des seaux d'eau..
Elle sait ce que doit ressentir le brun avec cette lame dans ses mains, elle a vécu ça elle aussi, il y a des années....

Sans entrainement...peu de chance d'en réchapper.....

Elle sourit à peine...voudrait juste qu'il lache ça....qu'il recule....
Voilà que sa blonde arrive en courant, elle saura mieux le convaincre elle....

Elle pose une main sur la garde de son épée....

donne moi ça....
certaines pertes comptent moins que d'autres....
le fixe.
donne moi ça, sale brun!

Autour, tout se fait petit à petit....
Tant de têtes connues....
Tant d'ardeur
Tant d'énergie pour la cause commune.
Aujourd'hui, ils sont tous Flamands, juste Flamands....enfin unis....
Les femmes éloignent et soignent les blessés, les enfants vont chercher du matériel.
certains éloignent les badaus.
les soldats , ost et fsf vont pouvoir rentrer en action....

Fixe toujours le regard cyan....resserre la pression sur la garde de l'arme
Donne moi ça, gère le ravitaillement en eau, s'il te plait....
_________________
Melusine34
Des renforts commençaient a arriver : les FsF en bon ordre et des rumeurs parlaient de l’avance imminente de l’Ost… repoussant les gardes la Blanche entendit la voix du commandeur a son côté :

Dame Blanche ? Excusez moi, pourriez vous prendre le Soldat Krystel et quelques autres hommes afin de contenir la foule de badauds. Il ne faut surtout pas qu'ils approchent de trop prêt des remparts et d'être à portée de tir. Merci.

Bien j’y…

Pas vraiment le temps d’en dire plus qu’une voix fluette à proximité prit l’ordre pour elle-même :

- Bien sûr Capitaine.

- Vous là-bas, venez nous aider dame Krystel et moi, nous devons contenir la foule des civils, qu'ils ne s'approchent pas trop.


La brune se retourna le temps de voir une petite blonde fort décidée partir a la recherche de la Dame de Paradis… soupir contrarié mais il n’était ni le lieu ni encore moins le moment d’avoir des mouvements d’

La brune se retourna le temps de voir une petite blonde fort décidée partir a la recherche de la Dame de Paradis… soupir contrarié mais il n’était ni le lieu ni encore moins le moment d’avoir des mouvements d’humeur, elle la rejoignit donc en quelques enjambées et une fois rattrapée et retrouvé Kristel essaya de reprendre les choses en main :


Dame….Blanche c’est ça, bien …donc renvoyez les ménagères chez elles, sans discussion possible et sans ménagement s’il le faut, usez de tous les moyens mais faites attention ! Pas de cohue !! le plus de calme et de rigueur possible en de pareilles circonstances ! et Surtout veillez a ce qu’aucun enfant ou jeune ne reste dans les parages !

Kristel nous allons avoir besoin d’organiser aussi l’évacuation des blessés quand c’est possible et des morts qui vont entraver la retraite de nos soldats si retraite il doit y a voir et qui vont de toute manière attirer les charognards de tout acabit. Pouvez vous m’aider à refluer les hommes trop jeunes ou trop vieux pour se battre ? Je vais tâcher de trouver quelques hommes honnêtes et dans la fleur de l’âge pour organiser le rapatriement des blessés hors de la zone de combat. Je ne sais si les infirmières de l’Ost ou des médicastres ont monté un hospital de campagne mais si non il va nous falloir y songer aussi.

Le temps presse en route !

Le visage fermé et volontaire la brunette connue pour son caractère affirmé et pas toujours aimable mis ses paroles en action et sans ménagement entrepris de renvoyer tous les civils chez eux, au besoin parfois en usant de mensonges pieux :

L’armée est là maintenant merci de votre aide mais il vous faut reculer a présent ! Rentrez chez vous ! Laissez les hommes d’armes faire ce pour quoi ils sont faits ! Reculez Reculez que diable !! Sans Couuuuurir !!! ATTENTION ! Attention voyons vous ne voyez pas qu’il y a un homme qui souffre là ?!! Non mais j’vous jure. Allez allez…

Petit chef ? Oui sans doute… Mais habituée qu’elle est a suivre des ordres précis et une discipline toute militaire ce désordre bien compréhensible lui mettait les nerfs a vif et si elle luttait pour ne pas céder a la colère, l’agacement commençait à poindre. Il fut a son comble quand elle tombât par hasard sur une futur mère et un flam’occitan perdus dans la cohue.


Qu’est ce que vous faites là vous deux ?!!! MOOOOON ! Mais vous n’y songez pas ? Dans votre état c’est plus de l’inconscience là c’est de la folie !! A l’arrière et vite !! Ce n’est pas négociable !! Et heu si vous trouvez Achilée pourriez vous lui dire qu’on va faire transporter les blessés vers une zone plus calme, nous allons avoir grandement besoin de ses services. Dites lui bien de prendre sa trousse, de la charpie et son repoussoir…

Icare vous tombez bien. Lâchez cette épée c’est de vos bras dont j’ai besoin. Savez-vous reconnaître un mort d’un vivant ? Si oui suivez moi chaque minute compte et les blessés qui peuvent encore l’être se doivent d’être soignés. Toute seule je pourrai pas les sortir de cette chienlit…


Puis se tournant vers Audelia elle ajouta sur un ton un poil plus calme

Si du moins vous n'y voyez pas d'inconvénients... remarquez si vous voulez aider vous ne serez pas de trop...
_________________


Le terrier: Atelier de bannières
Blanche30
Blanche venait de comprendre la méprise sur les noms. Elle écouta dame Mélusine, puis partit faire ce qu'elle lui avait demandé sans attendre. Il n'était pas temps de discuter, et la jeune femme était sans aucun doute beaucoup plus expérimentée. Puis tout d'un coup, elle aperçut une jeune fille courant vers le champ le bataille en hurlant le nom d'Ica. Comprenant de qui il s'agissait, la blondinette se précipita et attrapa l'autre jeune fille par le bras en criant :

- Arrêtez, ça ne servira à rien ! Vous ne réussirez qu'à être blessée ! Retournez tout de suite avec les autres, Icarionnoste s'en sortira, mais ne vous approchez pas davantage ! Vous feriez mieux d'aller avec les autres femmes, et de vous calmer mutuellement les unes les autres. Ce que vous alliez faire est pure folie !

Blanche tira la jeune fille par le bras pour l'inciter à retourner rapidement avec le reste de la foule, en sécurité.

_________________

Fred65140
l' arrivée du Bryggia dans la capitale ne fut pas sent douleur ,des combats avaient deja eu lieu ,les habitants courraient dans tout les sens ,les blessés etaient pris en main par des visages connus a qui le sergent adressé un sourire en passant devant eux .
Une fois les ordres pris auprés de ses superieurs le bataillon se sindat en deux ,une partie pour préter main forte a la lance d'audelia et l'autre a celle de guichard .
Le chateau ,tout ses soldats reunis au pied des remparts ,ils en connaissaient les failles et étaient prés a lui donner l'assault si l'ordre leur était donné

_________________
Icarionnoste
Sa main glisse lentement sur la garde. Il sourit de toutes ses dents, comme un enfant qui découvre un jouet, il pense alors à la petite Camille de Tournai, il repense à son épée de bois, peut-être que maintenant il comprenait un peu ce que ça pouvait représenter pour elle …
Elle brille, entre les tâches de sang opaque de son ancien propriétaire, cette lame brille sans aucune gêne. Il est assez abstrait, perdu dans des pensées nouvelles, on l’arrache …

Un souffle …

Il le reconnaît, se retourne, Aud’ à peine le temps de la discerner qu’il entend les cris de Moon’ quelques pas plus loin, elle se fait arrêter par Blanche qui semble lui dire d’aller se mettre à l’abris, c’est mal connaître la ptite fleur de lune …
Repose ses yeux cyans vers Audelia.

-« Merci Aud’ …

Comme un objet de tentation insoumissible, le Flamoc’ repose ses yeux sur la lame.
Il sait qu’elle veut le protéger. Des deux, le plus fort, ça a toujours été elle.
Mais il était l’heure. L’heure d’un changement impromptu.


Merci pour tout. Mais j’ai quelque chose à faire. Avec elle. »

Montre du nez le fer forgé dans sa main ….
Se retourne vers Moon’ …

Champs de bataille sentimental, la brune, la blonde, le passé, le présent, la force, la douceur, … Pose sa main gauche sur l’épaule gauche de la Brune, lui sourit calmement, comme pour lui dire adieu, dégage avec volupté la main de la FSF de son épée.
Dépose un baiser sur son front histoire de bien parapher le « merci pour tout » et se dirige vers Moon’ et Blanche, lame en main.
Histoire de l’emmener ailleurs, la mettre à l’abris aussi … il sait que la brune n’en a pas besoin …
Un regard vers Mélusine, vague mais droit. Entourée de cadavres et de blessés, de morts et d’innocents, de vie et de trépas … Secoue la tête négativement.


Excusez moi dòna, mais j’ai à faire. »
_________________

"On s'attire la haine en faisant le bien comme en faisant le mal." - Machiavel
--Atlantide.
- Tu ne peux pas faire un peu attention espèce de garnement !

Gros Jean, bien malgré lui, avait trouvé un curé, ce qui ne fut pas sans grandement rassurer Ophélie, désormais certaine de conserver toutes ses bouclettes sur la tête.
Certes, le curé avait été mis à terre et Gros Jean était à deux doigts de mourir de honte. Mais la fille du fromager avait une mission…


- « On vous demande, curé, » lui dit la petite en lui tendant la main. « Sur le champs de bataille… »

Thibaud aurait pu être Cardinal ou Pape qu’il se serait quand même fait appeler Curé, car si Ophélie savait de tête le prix de tous les fromages à la coupe de la boutique familiale, elle n’était jamais allée à l’Eglise et n’aurait même pas su différencier une bigoudène, d’une nonne.

Atlantide les repéra facilement.
La silhouette menue des six ans d’Ophélie, la longiligne du Vicaire et la potelée de Gros Jean, un mètre derrière, serrant toujours son saucisson, comme égaré dans cette foule bruyante, inutile, mais fidèle au poste.

Le quart d’heure était écoulé, et les Enfants de Bruges, haletants, revenaient les bras chargés d’un incroyable fatras. Estienne et Germain avaient vidé sans regarder toutes les étagères de Miss Blanche dans de gros paniers et s’activaient déjà autour d’un baquet d’eau à faire chauffer.
Foucault et Octave avaient frappé à tant de porte qu’ils en avaient mal aux mains et apportaient leur butin auprès d’Achilee, les yeux arrondis par le nombre de corps qui réclamaient assistance, les râles et les bulles de sang éclatant aux commissures des lèvres.

La môme se dirigea droit vers le Vicaire et se planta devant lui, revêche jusqu’au bout des ongles.


- « Atlantide », se présenta-t-elle dans un effort étonnant et suspect de politesse. « C’est Achilee qui vous demande », fit elle en l’enjoignant à le suivre d’un coup de menton autoritaire.

Un regard sur Ophélie qui avait maladroitement marché sur la main d’un soldat mort et qui retenait vaillamment de grosses larmes.


- « Ophélie, déchire moi tout ça. De la charpie qu’elle a dit, l’Herboriste », fit elle en lui donnant les luxueuses étoffes volées dans l’entrepôt Clairambault, désormais destinées à éloigner la cadette de la troupe un bref instant des corps mutilés et blessés autant qu’à les soigner.

La môme marcha jusqu’à l’herboriste qui s’acharnait à entailler pour retirer, une odeur de fer masquant celle du feu dans ses narines, avant de se retourner vers le Vicaire et de lui jeter un coup d’œil


- « Vous avez du boulot en perspective, curé », fit elle en lui désignant le carnage. « Un sacré boulot… ou un boulot sacré », conclut elle, morveuse.

Puis posant une main sur l’épaule d’Achilee pour attirer son attention
.

- « J’vous ai trouvé une soutane, Miss. Et ce que vous aviez demandé est prêt. » rajouta-t-elle dans un sourire qui, pour qui la connaissait, n’augurait pas vraiment du bon. « On peut vous aider à autre chose ? Cautériser les plaies par exemple ? » proposa-t-elle de l’air le plus dégagé possible.
Guichard
Du haut de la Tour Sainte Catherine, Guichard regardait pensivement brûler le Château de Bruges.
Partant en myriades de flammèches vers les étoiles, quatre années de mémoire et d'archives se désintégraient dans la fournaise. ...Ecoeurant... Comment la folie des hommes - ou même d'une femme, pouvait-elle en arriver là?

Bien que peu éloignée, la Chancellerie avait été totalement épargnée par le sinistre. Il faut dire qu'assez vite, la Vice-Chancelière Piscalie avait eu des soupçons dès que l'on avait constaté la disparition suspecte d'élément à charges dans le procès pour Haute Trahison de Sheilla. Elle avait immédiatement donné l'ordre aux gardes de ne plus laisser entrer la mairesse de Gent. L'Histoire prouvait qu'elle avait bien été inspirée...

Se penchant pour observer l'agitation dans les rues, Guichard constata avec soulagement que l'ordre semblait revenir peu à peu. Il avait dans un premier temps pris la tête d'une lance pour aider à maintenir l'état de droit. Puis, les forces de l'ordre devenant plus nombreuses que les émeutiers, il était retourné aider sa femme à la mairie de Bruges avant de revenir s'occuper la Chancellerie.

Un haut-le-cœur submergea le Chancelier. Détournant le regard du triste spectacle de destruction, Guichard referma la fenêtre et chercha le moyen d'oublier ses sombres pensées.
Moonflowerdemosel
Une dame blonde l'attrape pas le bras, arrêtant subitement sa course effrénée jusqu'alors.
Elle croit la reconnaître... Une membre du comité des fêtes. Elle ne cherche pas à se rappeler de son nom. Pas le temps.

La femme lui parle d'un ton autoritaire sans la lâcher. Elle n'entend rien, elle ne veut pas savoir. Moonflower est comme folle.

De quelques mouvements violents, elle tente de se débattre, défiant Blanche de ses yeux déments.


Mel arrive aussi.

Citation:
MOOOOON ! Mais vous n’y songez pas ? Dans votre état c’est plus de l’inconscience là c’est de la folie !! A l’arrière et vite !! Ce n’est pas négociable !!


Dans son état... Qu'importe qu'elle et le bébé vivent si c'est pour rester sans lui. Quelqu'un peut-il seulement le comprendre ?

Lui... Elle le fixe à nouveau. Il a embrassé une jeune fille brune qu'elle ne connait pas sur le front. Une femme des FSF apparemment vu son uniforme et sa fière allure. Il l'a vue, il arrive épée à la main...
Elle se dégage brusquement et franchit la barrière que les deux femmes ont montée entre elle et lui.

Puis, reprenant sa course, se jette dans ses bras en tremblant.

_________________
Audelia
comme tu voudras....

elle recule , surprise par sa marque d'affection....

croise le regard de la dame Blanche et s'excuse presque

il court rejoindre sa blonde...
elle saute sur son canasson.

d'un regard elle jauge la lance qui vient de se former derrière elle.
Sort son épée du foureau et crie!


C'est parti!!!!
Le premier qui sort de ce batiment en flammes est un homme mort!
Elle lance son cheval entre les corps et s'approche du château, elle en ferait le tour toute la nuit, si il le fallait, mais personne n'en sortirait!
Elle entend le galop des chevaux derrière elle, Fred, Chicca, Brez, et les autres la suivent.

_________________
Linquis
Linquis entend Audelia donner la charge ,il attendait cet instant avec impatiente ayant parcouru depuis deux jour aussi vite que possibles les routes du comte avec le Bryggia pour rallier Bruges .

Il regarde Audelia dans les yeux au moment ou elle jette un regard sur ses hommes pour jauger de leur engagement et lui affirme pars le siens que sera jusqu'au bout s'il le faut .

Cette nuit sera longue est l'engagement entier , les combats sont sanglant et la pitié n'est pas de mise devant une telle débâcle .

C'EST PARTI !!! lance Audelia

L'adrénaline monte est nous voilà partis.
_________________
Blanche30
Blanche devint folle de rage quand Moonflower s'échappa pour se jeter dans les bras d'Icar.

- Ecoutez nous n'avons pas que ça à faire ! Vous nous mettez tous en danger en m'obligeant à vous courir après ! Les autres femmes vont suivre votre exemple et nous ne pourrons plus rien faire. Elles se feront tuer ou blesser et leur compagnon aussi en voulant les protéger. Votre comportement est égoïste ! Alors, ou vous vous séparez d'Icar pour me suivre et vous mettre à l'abri, ou il part avec vous et passera pour un lâche qui fuit le combat. C'est cela que vous voulez ?

_________________

Margaux.
Les mauvaises nouvelles se propagent plus vite que les bonnes c'est un fait avéré et qui se vérifia le jour de la prise du Château de Bruges.
Juste de le temps de se saisir de son arc et de son épée, Margaux galopa à travers la campagne flamande avec pour destination Bruges.

Ce qu'elle y trouva ? Une foule dense massée devant les portes. La Muse, la Blanche (et oui une de plus !) la guerrière se hissa sur ses étriers afin de trouver un point d'ancrage, une personne d'où émanerait une certaine coordination... rien.

Un sourire ironique apparaît sur le visage de la blonde. Elle qui avait défendu des Comtes et Comtés étrangers à maintes reprises avait toujours été surprise de voir les habitants rester à les regarder se charger de leur défense. Elle avait toujours soutenu que les flamands, eux, ne se feraient pas prier pour défendre leurs récoltes, leurs terres et leur Comté. Elle avait vu juste la flamande ! Ils étaient tous là ou presque. Ce à quoi elle ne s’attendait pas en revanche, c’était à un tel désordre. Tous courraient dans tous les sens pour échapper à la salve de flèches qui venait de jaillir.

Perdue la Blanche ? Un peu, elle devait bien l’avouer, elle qui était si habituée à la rigueur militaire ! Cela la changeait mais elle s’y ferait, le Château dépendait d’eux.

Elle sauta à bas de son cheval et confia les rênes ainsi qu’une pièce à un jeune garçon qui à première vue semblait débrouillard.


Je t’en promets encore plus si tu files te mettre à l’abri au village avec lui !

Alors qu’elle se retournait l’épée hors du fourreau, elle stoppa net et précisa : Reste hors de portée de ces dents !

Sur ces mots, elle partit en courant à la recherche d’une âme connue…
_________________
Achilee
Les mômes sont revenus…
Et ils ont tout trouvé !!…Elle songe qu’il lui faudra les récompenser mais cette pensée est fugitive.

L’herboriste fait ce qu’elle peut, se démène, pare au plus pressé et les échecs la meurtrissent plus qu’elle ne veut bien l’admettre. Elle a remonté quelques mèches mais ses mains souillées du sang des blessés ont laissé des traces sur son visage. Échevelée, le visage et les mains maculés de sang, le bliaud déchiré, elle fait peur à voir. Elle est toujours seule ou presque et le nombre des blessés augmente toujours.

Atlantide l'apostrophe

J’vous ai trouvé une soutane, Miss.....

Un prêtre ? Non le vicaire ! Carrément! Y a pas...ils sont doués ces mômes.
Elle l’a croisé à Dunkerque il y a peu le Vicaire.

Mon père je sais que vous allez me dire qu’on ne peut pas aller contre la volonté du très haut…mais l’amitié aristotélicienne et la charte que j’ai acceptée m’enjoignent de faire mon possible pour les arracher à leur sort…aussi…pouvez vous assister les mourants ? Faire les choses dans les règles de l’art ça… aide à passer en douceur

Elle ne lui dira rien de plus, qu’il fasse son travail comme elle fait le sien.

Et comme Atlantide continue

On peut vous aider à autre chose ? Cautériser les plaies par exemple ?

Cautériser…bien sur ! Elle perd pas le nord la p’tite brugeoise!

Bien qu’elle n’ait pas les instruments pour mais un fer de lance devrait faire l’affaire et un fer justement elle en a ôté un de la jambe d’un paysan.

Atlantide je vais encore avoir besoin de la débrouillardise des enfants de Bruges…J’aurais besoin de …euh… une bonne dizaine de pinte d’alcool fort… débrouillez vous… et si les gens râlent fais dire que je règlerai après

Il fait pas chaud elle a besoin de faire bouillir de l’eau, de flamber son couteau, et de cautériser en effet.

Atlantide !

Elle retient la gamine par la main mais la lâche dès que cette dernière se retourne vivement

Reste là toi…je vais avoir besoin de toi

Elle sait la tournaisienne qu’elle va jouer avec le feu -c’est le cas de le dire- mais elle ne voit pas d’autre solution. Elle plante ses yeux dans ceux de la môme et lentement elle demande, d'une voix un peu plus forte que ce qu'elle aurait voulu

Atlantide est ce que tu pourrais m’allumer un grand feu ?

C'est pas un bucher...mais bon...
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 5, 6, 7, ..., 9, 10, 11   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)