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[RP]Portes Closes au Château

Thealie
Elle se prépare mentalement, revoyant dans sa tête les différentes parades et attaques qu'elle avait pu apprendre.
Elle s'imagine déjà dans la tête le futur combat qui approche. Elle n'était pas une fanatique de la violence, mais quand faut y aller, ben faut y aller.

Elle repose son bras droit un moment, elle sait qu'elle risque peut être une blessure mais pour rien au monde elle ne laisserait le château bruler sans qu'elle ne fasse quelque chose. Et puis surtout, elle voulait sa vengeance personnelle. Pensées très peu aristotéliciennes, elle avait pardonné, elle avait tourné la page mais tout était ravivé.

Une personne l'appelle, elle tourne lentement la tête et voit Icarionnoste, petit sourire à son air incrédule.


Je suppose que vous avez mis Moon en sécurité.

Le connaissant c'était une affirmation et non une question. Si jamais il lui répondait non, c'était sur lui qu'elle taperait en premier.
Elle le savait non violent, savait-il seulement y faire avec les armes ? Elle regarde son épée et lui demande :


Vous savez vous en servir ?

Elle ne lui donnerait pas un cours la tout de suite, il n'y avait pas le temps mais tout du moins pourrait-elle garder un oeil sur lui. Elle le regarda fixement et lui dit :

Vous devriez prendre le bouclier qui traîne à droite, au cas ou des salves de flèches reviendraient. Et vous avez intérêt à rester en vie ! j'ai pas envie d'informer Moon que vous avez péri ! Sinon je viendrais vous botter les fesses même si pour cela je dois venir vous chercher dans votre tombe !

Les gardes n'ont qu'a bien se tenir, Théalie est dans la place !
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Sernays
Ah bah ça, pour un bordel... c'était du gros.
Le légionnaire ne tenait plus sur place, et attendit patiemment que le bélier de fortune arrivait avec des bras fort pour faire exploser la porte. Des soldats commençaient à armé arc et flèche, arbalète et carreaux, épée courte ou hache de bataille à deux mains.

Pour ce qui était de notre brute, il avait dégainé son espadon et l'avait posé sur l'herbe, à ses pieds, et armée son arbalète en faisant tourner la manivelle pour tendre la solide corde. Prenez un carreaux sans bouclier ni armure de plate assurait des blessures profonde, voir la mort. Le problème, c'était que c'était très long à recharger.

Enfin, les 6 bucherons mandatés pour le bélier faisait place. Enfin, on allait pouvoir commencer l'assaut. Sur son propre château, y'avait quand même de quoi avoir un sentiment étrange de ce paradoxe. En tout cas, ça cramait, et fallait faire vite.


Le bélier est arrivé mon colonel! En attente des ordres!
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Maryse
Maryse qui ne peut être présente pour aider les flamands , envoie un de ses brugeois déposer les plantes nécessaires pour soigner les blessés , ayant rencontré Achilée un court moment qui lui fit par de son souci d'être à coure de plantes .

La jeune Kikounette ce présent devant la dame et timidement lui tend , thyms , saule , romarin et coquelicot.


-Dame.. le maire de Bruges vous fait parvenir cela !!

Après une révérence timide la petite brugeoise s'en retourne , la capital a besoin de bras.

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--Kyriellus
A ce stade, les soldats qui tiennent le château en sont réduit à observer en attendant que les adversaires approchent. Bon point : ils sont à l'intérieur et ne manquent de rien. Mauvais point : ils sont enfermés et encerclés. L'issue ne laisse aucun doute.

Tout à coup un cri fend le silence qui règne chez les assiégés :


Y RAMENENT UN BELIER!

Un blanc monumental s'ensuit. La perspective de soutenir un siège avait déjà considérablement réduit le moral des troupes, si ce n'est anéanti, mais ils espéraient au moins n'avoir pas affaire à des béliers, trébuchets, onagres et autres joyeusetés de ce genre de situations. Théoriquement, tout cela devait être sous leur contrôle à eux justement.

Le bruit explose, chacun y va de sa plainte, puis finalement, un conciliabule finit par se tenir. L'idée qui ressort est qu'il est temps de tirer parti des ressources du château. Quelques hommes s'en partent à la recherche des armes de siège qui doivent y être : un onagre contre une foule d'assaillants devrait causer de lourdes pertes parmi leurs adversaires.

Pendant ce temps, les autres analysent un peu la situation. Visiblement, les soldats comptent enfoncer la porte avec un tronc d'arbre. Ils en arrivent vite à la conclusion que les porteurs ne seront probablement pas protégés de leurs carreaux. Cette conclusion a tôt fait de redonner un moral d'acier aux assiégés et c'est - presque, n'exagérons rien - avec enthousiasme qu'ils s'apprêtent à subir l'assaut.

Dans l'esprit de Kyriellus, une idée prend forme. Lorsque la troupe a pris le contrôle du château, aux premières lueurs de l'aube et profitant d'une heure de faible affluence, tous ses occupants ont été mis aux cachots sans autre forme de procès. Il caresse du doigt le projet de les rejoindre et se faire passer pour une des victimes.
Melusine34
Moon et son entêtement…Icare une épée a la main… des infirmières plus promptes à prendre l’épée que le cautère… et cette foule qui ne voulait reculer pour laisser les militaires faire leur travail et limiter les pertes civiles au maximum…

Alors qu’elle perdait patience et espoir d’arriver à un quelconque résultat la foule commença à obtempérer et à refluer en un semblant d’ordre. Bien sûr tout ne se fit pas tout seul et la brune dut séparer les fiancées ou maîtresses des hommes qui montaient au front mais bon an mal an on commençait à y voir plus clair…

Mais lorsque la foule laissa place nette l’ampleur des dégâts lui sauta aux yeux… des hommes, des femmes… allongés là ou se trainant hagards un flèche dans l’corps. Vision de dégout et d’horreur comme toujours sur un champ de bataille quand les troupes avancent et que les moins valides font ce qu’ils peuvent pour se tirer d’là.

Plus un son ne sortit des lèvres livides de la Blanche… elle vit alors enfin au loin sa sœur courant d’un corps a un autre, et là Thibaud souillant sa soutane dans la fange mêlée de sang. Elle pouvait pas rester les bras ballants son épée a la main. Certes repousser les civils avait été important mais à présent que le plus gros était fait elle savait pouvoir compter sur Kristel pour poursuivre sans elle. Son sacerdoce d’herboriste exigeait d’elle qu’elle retrousse ses manches et aide à sauver ceux qui pouvaient encore l’être.

Elle laissa là la femme qu’elle tentait vainement de repousser pour rejoindre aussi vite que les circonstances le lui permettaient sa sœur et arrivée près d’elle rangea soin épée et retroussa les manches de sa chemise.


Achilée je suis là ; tu n’as rien au moins ? Dis-moi comment ça se présente: as-tu ce qu’il te faut ? Charpie ? Bandes ? Ta trousse et tes outils ? Comment puis-je t’aider ?

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Le terrier: Atelier de bannières
Icarionnoste
Par la forme des lames.
Lève le nez et sourit à Théalie heureux de trouver un visage familier et doux dans ce marasme soldatesco-sanglant. Ses yeux de cyans vêtu, parcours le sol comme en recherche d’un point de chute, puis se calmant, les pose lentement sur la Tournaisienne, des pieds jusqu’à la tête, l’écoute, plutôt attentivement. Ses doigts se balade sur la garde, il apprend à la dompter comme le corps d’une femme … il avait beaucoup moins d’expérience au corps à corps guerrier qu’au corps à corps charnelle. Mais c’était là aussi une simple question de pratique. Soulève son épée, en écoutant Théalie, la prend des deux mains et la brandit au dessus de sa tête, comme pour donner un coup violent sur le sol, s’arrête en cours de mouvement se replace,


-« A l’abris oui …

Se penche vers Théalie à sa question, en souriant, l’air rassurant sans trop savoir pourquoi … l’air d’être sûr de son fait sans l’être, l’air de …

J’apprendrai à vos côtés.»

Tourne la tête, elle parle de bouclier, le ramasse, de bois lourd et épais, sourit à nouveau en l’écoutant la Théalie menacer gentillement son postérieur de Flamoccitan. Opine du chef pour lui dire qu’il a bien saisi le message, jette un œil vers le Castel.
Bientôt ça serait l’heure … l’heure des morts et des souffrances. Il est pourtant serein. Le courage, l’a-t-il seulement ?

« Le courage, c'est de comprendre sa propre vie... Le courage, c'est d'aimer la vie et de regarder la mort d'un regard tranquille... Le courage, c'est d'aller à l'idéal et de comprendre le réel. »*

Oui. Il l’a.


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*J.Jaurès
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"On s'attire la haine en faisant le bien comme en faisant le mal." - Machiavel
--Denzel
Denzel, douze ans, un corps d'enfant et déjà une âme noble. Il est avec les femmes et les enfants. On les pousse loin du lieu sanglant. Il est avec sa mère, ses deux frères et sa soeur, plus jeunes. Il suit le mouvement sans vraiment broncher mais sa tête est ailleurs. Ils ont laissé le père sur le champ de bataille et bientôt, les hommes donneront l'assaut. Lui, il se voit à leur côté, chargeant les ennemis avec son épée levée. Il se voit criant "à l'assaut" près de son père, fier de lui.
Pourquoi l'a t'on cantonné avec les faibles ? Il est assez vigoureux pourtant. Il en aurait bien décousu lui aussi. Il observe discrètement les gardiens du troupeau. Pourrait bien leur filer entre les pattes... Sans épée ? Il y en a quelques-unes qui jonchent le sol.
Denzel regarde encore une fois sa famille. Ils se tiennent tous la main. Sauf lui. Parce que lui... c'est un homme bientôt.

Furtivement, il s'éloigne de sa mère. Reste à passer la barrière. Il est rapide le bougre ! Se met à courir comme un dératé. Personne n'a le temps de réagir. Il va se battre comme l'homme qu'il croit être.
Les enfants, c'est malin, mais çà n'évalue pas vraiment le danger. Lui, il est téméraire. A son âge, quoi de plus normal ? Il n'imagine pas un instant qu'en face de lui se trouvent des hommes et des femmes sans scrupules, prêts à tuer, même des innocents. Il n'imagine pas le chagrin de ses parents s'il y reste. D'ailleurs, il n'imagine pas y rester non plus. Tout ce qu'il sait, c'est qu'il veut se battre au côté de son père, au côté des hommes flamands pour la Flandre.
Moonflowerdemosel
Elle s'avance prestement vers Blanche et les autres déterminée à assumer la tâche qu'on lui a confiée. Il ne faut plus qu'elle pense à ce qui se passe plus loin. C'est trop difficile.
Elle a vu Théalie y aller aussi. Théalie... Ica... Les deux êtres qu'elle chérit le plus au monde et qui vont maintenant risquer leur vies. Ils sont si courageux. Elle doit se montrer digne d'eux et faire taire ce hurlement en elle.

Soudain, un gamin. Cheveux roux au vent, il semble s'être échappé du groupe des femmes et court vers le lieu du drame. Personne ne le poursuit. Tout le monde est bien trop affairé.
Elle se place sur son chemin prête à arrêter sa course. Tête baissée, il ne l'a même pas vue.
Elle manque presque de tomber lorsqu'elle le réceptionne.


Hé toi ! Où tu vas comme çà ?

L'enfant la regarde avec de grands yeux écarquillés, son visage innocent est parsemé de tâches de rousseur. Il reste bouche bée, surpris d'être ainsi stoppé dans son élan. Puis il se débat vigoureusement.

Moonflower le tient fermement. Elle a bien du mal à le calmer.


Si ton père ne revient pas. Qui donc s'occupera de ta famille si ce n'est toi ?

Elle a fait mouche. Il reste tranquille. D'une voix ferme, elle lui dit :

Retourne près de ta mère. Elle a besoin de toi. C'est aussi çà le courage.

Oui... C'est aussi çà le courage... Laisser ceux qu'on aime faire leur devoir et faire le sien par ailleurs. Si elle a pu sauver la vie de ce gosse aujourd'hui, elle aura fait le sien.

Denzel ne répond pas. Il se résigne, comme elle s'est résignée tout à l'heure. C'est moche la guerre, c'est difficile... pour les combattants et pour ceux qui les attendent en priant. Elle serre le gamin contre elle pour le rassurer, pour se rassurer aussi. Une larme coule. Elle l'essuie bien vite et lui sourit.


Allez viens.

Puis, le prenant par l'épaule, le ramène près des siens.
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--Atlantide.
Les mômes bossent dur. Ils dépiautent la soie et le lin de qualité volé plus tôt, ils entassent les herbes à portée de l’Herboriste, ils écoutent le vacarme, et attendent eux aussi le bélier que tout le monde annonce, sauf Ophélie, qui a une peur bleu des ovidés.

Tu es prête ?


Un peu qu’elle était prête la môme.
Elle était même super prête, elle attendait que ça. L’épreuve du feu.


Achilée je suis là ; tu n’as rien au moins ? Dis-moi comment ça se présente: as-tu ce qu’il te faut ? Charpie ? Bandes ? Ta trousse et tes outils ? Comment puis-je t’aider ?

Elle releva le nez.
Putain, hors de question qu’on lui vole son éclopé !
Ni une ni deux, la gamine applique la lance rougeoyante sur la plaie
.

Tsshhhhhhhhhhhhhhhhhhh.

C’est vrai qu’ça pue.
Le nez de la gamine se plissa, tandis que son minois se tordait en une grimace étrange, mi degouttée, mi fascinée.
Ca boursoufle, ça cloque un peu, ça cautérise pas tout.
Aucun problème, elle est plus à ça prés.
Le bonhomme se débat malgré la pression de l’Herboriste. Ben vi, le fer rouge, ça chatouille.


- « C’est bon pour c’que t’as », se contenta de lui dire la gamine en appuyant encore une fois la lame sur le reste de la plaie.

Soubresaut violent. Secousse, gigote.
Implacable la gamine. Elle maintient la lance jusqu’à que le grésillement s’estompe.

Une lueur de victoire dans la prunelle. Le menton haut et fier. Ca ne saigne plus. Cherche l’approbation dans le regard d’Achilee avant de se tourner vers Mélusine, rogue à souhait


- « Et si vous m’en mettiez une autre à chauffer ? » lui demanda-t-elle en faisant pivoter son fer rouge au bout de sa main. Next !, annonça-t-elle, très professionnellement dans un vieux relan de son voyage incognito dans les cales du Flanders.
Slystaline
Livide, honteux mais plus léger qu'avant, Sly s'essuie la bouche.
A ce moment il croise le regard d'Achilée. Celle ci le toise avec une intensité rare. Un mélange de peur, de lassitude, de dégout mais surtout de détermination se lit dans la prunelle de ses yeux.
Le blond l'écoute. Sans la couper. Elle joue carte sur table. Il apprécie la franchise.

Citation:

Jo je dis des bêtises… vous êtes épuisé …allez vous mettre à l’abri et reposez vous… revenez seulement si vous vous en sentez le courage.


Marraine, on va être clair. Je vous lâcherai pas. Oui j'en ai marre, oui je suis éreinté, mais nous en sommes tous là. Je reste. Bien évidement que je reste.
Désolé pour le spectacle que je vous ait infligé, vous aviez pas besoin de ça. Surtout pas ici et pas maintenant.


Sans la laisser répondre, il court sur le champ de bataille et prend dans ses bras un blessé. Un cul de jatte en puissance.

En le déposant devant les équipes médicales, il sent comme une odeur de viande grillée. De quoi devenir végétarien cette bataille.
Thealie
Il a l'air déterminé. C'est déjà un bon point, ne jamais hésiter, tuer ou être tué, blesser ou être blessé, voila comment il faut fonctionner.
Elle garderait quand même un œil sur lui au cas ou.

Bien sur elle pouvait parler alors qu'elle même n'était pas des mieux préparée. A la base c'était une infirmière, bien qu'elle passait plus de temps sur le terrain d'entrainement au tir à l'arc et à l'épée qu'à l'infirmerie.

Oui mais voila des récents évènements l'ont fait se sentir faible et elle n'aime pas ça. Son agression lui a donné un déclic, elle n'est pas sans défense, elle sait qu'elle peut faire quelque chose et elle va le faire.
Elle regarde autour, dans le coin il n'y a plus de civils ou presque, encore un petit groupe la bas, elle leur crie de partir, ils hésitent puis se sauvent en courant. La peur de mourir fait toujours des miracles...

Elle voit le bélier qui arrive, la bataille est imminente.
Elle est dans un groupe formé d'hommes qu'elle ne connait pas pour la plupart, se demandant qui peut bien être le chef dans le coin. Faut un chef sinon ça va être la débandade et le n'importe quoi...


C'est qui le chef ? Rassurez moi... ya bien un chef ?


La belle de Tournai n'est pas des plus rassurée au fond d'elle même. Mélange d'excitation et de peur, mélange de patriotisme et d'horreur à venir, mélange de devoir et de vengeance.
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Slamjack


Il fallait entrer, coûte que coûte, pour sauver ce qui pouvait encore l’être. Des années d’archives étaient menacées. C’était l’Histoire des Flandres qui risquait de partir en fumée et, avec elle, une partie de l’âme du Comté.

Les troupes de l’Ost comtal et des Forces spéciales réunies sous la même bannière, épaulées par les maréchaux et des civils, tentaient d’assaillir le Château en flammes. Le Colonel coordonnait les opérations face à la lourde porte, après avoir commandé qu’on leur amène un bélier. Mais nul ne savait ce qui les attendait dans le château : à quoi devaient se préparer les assaillants? A un mur de flammes infranchissable ? A des décombres insurmontables ? Pour le Général, attendre de voir n’avait aucun sens en pareille circonstance. Il fallait prévoir, anticiper. Son expérience l’aida à déterminer rapidement une stratégie bis. Il cria à l’attention des troupes :


Que les plus costauds suivent les ordres du Colonel : enfoncez la porte au bélier !

Le Baron Noir illustrait ses propos par de grands gestes. Pour que chacun assimile bien les instructions. Il continua :

Les femmes et les plus légers viennent avec moi ! On va assembler des échelles et monter sur les remparts !

Les murs d’enceinte semblaient encore suffisamment en bon état et cela offrait divers avantages : d’abord, l’ouverture d’un second front, ensuite, l’effet de surprise ; attirés par le boucan du bélier dans la lourde porte, les défenseurs ne verront pas venir les assaillants par le dessus. Ceci rendrait particulièrement ardue la tâche des défenseurs qui n’allaient pas tarder à être dépassés et à, probablement, choisir la fuite.

Le Général exacerba les troupes :


Que les archers se préparent aux tirs de couverture !

Les boucliers et les lanciers en rang derrière le bélier!

Les femmes sur les échelles!

EEEEEN AAAAAAAVAAAAAAAANT !

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Moonflowerdemosel
Citation:
EEEEEN AAAAAAAVAAAAAAAANT !


"Mon Dieu... Ils y vont..."
Elle tressaille, tenant toujours Denzel par les épaules, se dirigeant dans l'exacte direction opposée. Elle se fige un instant et ferme les yeux. "Aristote, Christos... Protégez-les... Leur cause est noble. Leur famille ont besoin d'eux. Je vous en supplie, protégez-les."

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Thealie
Le baron surgit hors de la nuit, court vers l'aventure au galop !
Ne nous égarons pas ce n'est ni le thème ni le soir... Fin bref, le baron arrive et donne des ordres. Enfin elle sait quoi faire et ne glandouille plus.

Un regard vers Icarionnoste, pour préserver sa filleule elle aimerait pouvoir le surveiller.


Les femmes et les plus légers ! C'est pour nous ça ! A la grande échelle !

Elle se dit que bon ya des femmes qui peuvent être plus lourdes que les hommes mais dans son cas on peut pas dire qu'elle pèse plus lourd qu'une carcasse de vache, alors bon...
Elle espère en passant ne pas avoir vexé Icarionnoste en disant qu'il est léger, mais bon...

Alors elle s'approche se couvrant de son bouclier au cas ou. Ben oui pas envie de se faire assommer non plus !
Des hommes tiennent l'échelle et elle commence à grimper, un barreau, deux barreaux, trois barreaux... Vais tous vous les faire non plus mais vient le moment où son vertige la rattrape. Tudieu elle avait oublié se petit problème de vision du sol à haute altitude...

Mais l'adrénaline est monté d'un cran, aussi souffle-t-elle un bon coup et continue son escalade.

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Eutharic
SlamJack a écrit:
Que les plus costauds suivent les ordres du Colonel : enfoncez la porte au bélier !


Nul doute, Eutharic s'était senti concerné par ces ordres. Non pas qu'il se trouvait excessivement costaud, quoique, juste qu'il était tout de même plus large-et plus haut-que la majorité du peuple flamand. Ses racines du Nord, sans doute.

Quelques heures plus tôt, on lui avait demandé de bouger ses miches. Le commendataire ? Sernays qui avait flairé une occasion de donner des coups dans l'tas. Les deux bonshommes s'étaient un peu éloignés, depuis peu, mais apparemment, l'envie de bastonner côte à côte avait laissé ce différend de côté.

Ni une, ni deux, l'blondinet avait enfilé son mantel, accroché sa lame à sa taille, glissé son bouclier dans son dos et avait filé comme le vent. L'idée du sang lui donnait des ailes. Arrivé aux alentours du château, il avait pris bonne note des instructions et des renseignements. Une troupe de malfrats avait pris le contrôle du château et ne semblaient pas vouloir partir avant de l'avoir réduit en cendres.

C'était ainsi que, entouré de plusieurs autres soldats, OST comme FSF, ils avaient entamé l'approche du château. Approche qu'ils durent vite remettre en cause, les flèches arrivant aléatoirement dans leur direction. Plusieurs hommes furent blessés, tombant au sol que des mouches par un été trop fort. Bouclier au bras, les soldats tâchèrent de ramener les blessés à couvert. Il avait croisé Audélia et, ensemble, avait traîné un blessé. Sourire discret. Il était content de la voir. Les deux amis ne se voyaient pas si souvent et même s'il avait préféré que ça se fasse dans un cadre un peu plus jovial, il appréciait.

Ceci fait et à force de persévérance, les mécréants furent acculés dans le château, permettant aux soldats de se rapprocher. Prise des nouvelles informations tandis qu'on ramenait les derniers blessés chez les chirurgiens-charcuteurs.

Les "plus costauds" se rapprochèrent du bélier et s'en saisirent. Dernières instructions.


SlamJack a écrit:
EEEEEN AAAAAAAVAAAAAAAANT !


Un regard vers ceux qui l'accompagnaient. Un coup de bras vers l'arrière, entraînant la lourde pièce de bois. Un coup de bras en avant, accélérant la folle course du bélier.


*BAM*

En rythme, le bélier se mit à frapper avec violence la lourde porte du château. A l'intérieur, l'agitation semblait grimper, tout comme le Baron et les soldats qui le suivaient.

Bientôt, la porte cèderait. Bientôt, ils allaient pouvoir s'en donner à cœur joie.
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