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[RP] Le bal des Poutrés ...

--Olaf


Le vieux avait tempêté sur Olaf le Viking et hurlé des mots certainement peu aimables tout en crachouillant des postillons dégoûtants sur l'enfant. Olaf dégoûté, avait fermé les yeux sous l'invective et retenu sa respiration quelques secondes pour ne pas sentir l'haleine du vieux, car quand même, il sentait mauvais de la bouche ce vieux brailleur... Il les rouvrit avec méfiance et brandissait à nouveau son épée pour tuer le dragon quand la petite fille intervint pour gronder le dragon.

Olaf en resta médusé et oublia de tuer le dragon pour écouter l'enfant lui parler d'une barque et lui demander.. son aide ! à lui, Olaf le Viking !! qui opina immédiatement du bonnet, enfin du casque, prêt déjà à faire tout ce qu'elle voudrait... Il allait lui répondre quand le vieux se reprit à leur hurler dessus en brandissant un gourdin, terrifiant le gosse... bien soulagé de voir une très belle dame aux longs cheveux intervenir.

Pourtant en entendant le vieux grigou invectiver ses père et mère, Olaf le Viking blêmit de rage et sans crier gare, se fendit et frappa à l'aine l'épouvantable vieillard de la pointe de son épée en hurlant :


Ils sont morts mes parents ! T'as rien à dire sur eux !!

La fillette, bras écartés tournait sur elle-même, sous les yeux malheureux d'Olaf le Viking.
--Emma


Elle tournait, tournait, tournait, ses petits bras déployés dans le rayon de lune, les cheveux flottant dans l'air froid, les yeux fermés, chantant toujours... Ele tournait, tournait, la petite Emma, comme une toupie ivre de sa ronde... puis finit par s'étaler en éclatant de rire. Quand elle releva la tête, ses longs cheveux devant sa figure, elle aperçut au passage l'air triste du garçon. Alors elle cessa de rire pour lui parler gentiment.

Ooooooooooh ! Pourquoi tu fais ces yeux-là ? Tu as mal ? Quelqu'un te fait souffrir ? ou quelque chose ? Dis moi s'il te plait...
--Taliesin


Tal dansa assez maladroitement avec Etoile, mais réussi à suivre son rythme en y prenant plaisir...

Quelques semaines encore avant, il aurait écrasé ses pieds à chaque pas et se félicita

Ils tournèrent avec plaisir lui sembla t'il et une odeur familière lui piqua à plusieurs reprises les narines à son contact

Il pensai la connaitre

Il sursauta aux cris provenant d'autres convives et lui marcha une fois sur les pieds, tant et si bien que sa pensée fugace s'enfuit
_ermeline_
Pas vraiment la ... pas vraiment ici ... Elle prenait du temps pour connaitre les lieux .
De la musique, elle sourit . Pourquoi ne pas aller voir?
La jeune femme avança pour voir d'un peu plus pres , et tout d'abord eu du mal à savoir de quoi il s'agissait .
Les routes, elle n'avait vu que cela .. ou alors des musiciens sur ces mêmes routes .
Erma fut saisie tout d'abord puis se mit contre un arbre, observant afin de savoir de quoi il s'agissait . Attrapant par le bras, l'un de ceux qui portaient une drole de cagoule, elle lui demanda:


Hep ! c'est quoi ça ?


Elle montra la clairiere bruyante de musique, rires et paroles .


Ben c'est un bal costumé ! ça n'se voit pas ?

Elle regarda l'homme d'un regard interrogateur puis celui ci :

Oui on vient déguiser, on s'amuse, on boit, on danse, et on s'envoie la femme de son voisin !

Il se mit à rire grassement puis pénétra dans la foule . Elle regarda , comme cela si elle connaissait quelqu'un mais impossible de savoir .
Elle se dit pourquoi pas .... mais il lui fallait trouver de quoi se grimer..

_________________
--Etoile



Etoile danse avec le Sir, en se demandant bien qui il pouvait être.
Quelque chose en lui, sembler familier et cela la troublé...

Je me nomme Etoile. Hésitation puis raffermissement de la voix…
Puis je savoir le nom de mon cavalier, Sir ?

Des voix qui se font entendre…
Tourne légèrement la tête pour voir se qu’il se passe quand…

Aoutchhhhhhh…
Grimace et sourit pour dire à son cavalier que ce n’est point grave…
--Noellyne



Elle s'ennuyait, c'était rassise dans un coin, observant les autres allant venant, une étoile se faisant marcher sur les pieds, une enfant chantonant, une femme se demandant ce qu'elle allait mettre pour se deguiser.

Et elle, là, seule, les idées ailleurs, pensant aux jours à venir, à une décision à prendre, à son devenir son existentiel. Elle qui se posait tellement de question, qui se demandait à présent pourquoi elle était là.

Les yeux rivés sur l'horizon, une larme glissant sur sa joue, elle se laissait envahir par l'emotion qui l'envahissait, plus que quelques jours et elle serait libre de partir, mais pour aller où ?

Elle se reprit un instant , essuya cette larme, respira à fond et se leva, avança et se mit à tournoyer sur une piste de danse improvisée.

L'émotion, la musique l'envahissait, jusqu'à l'étourdissement et là elle s'écroule...
--Etoile



Elle se remet de la douleur à son pied…remuant ses orteils…
Sourit en voyant la mère noël tournoyer…

Se retourne sur son cavalier pour le rassurer alors que son regard vit un mouvement…

Hoooo ! Etoile se précipite vers Noellyne…
S’agenouille à ses cotés en lui prenant la main…
Dame Noellyne…Dame…

Etoile à ce moment là, regrette de ne pas avoir sa besace qui aurait bien aidé vue tout ce qu’elle y mettait…
Pas de sels sur elle pour la réveiller…Que faire ?

Relève la tête regarde autour d’elle…
--_colombe


Encore en retard , comme toujours.
Juste eu le temps de farfouiller dans sa malle et d'en tirer quelques accessoires . Elle arrivait au bal bien décidée à s'amuser un peu .
Elle laissa l'arme d'hast dans un coin : pas l'moment d'embrocher quelqu'un puis s'avança .


Elle évita les danseurs, quelques coupls par ci par la et se faufila pour s'enfiler une chope .
La bière était bonne , la fête pouvait commencer pour elle .
--Lantoine


Hey toi, l'fripé d'la trogne !
Ca t'fais pas trop mal au gosier d'parler d'la sorte à ces deux gentils minois ?


L'Antoine n'en revenait pas.
L'autre sauvage qui buvait comme la pire des truies qu'il puisse connaître, tenait et retenait sa canne qu'il voulait laisser tomber sur le crâne de ces deux petits Vauriens en lui donnant du langage de truandaille.


Et si t'as besoin d'battre du flanc, ben j'vais t'en offrir moi mais saches vieux bouc que je saurai te rendre au centuple tous les coups que ta canne m'aura refilé ...
Et si y faut, j'suis même prête a t'porter comme un sac a patate sur mon épaule et t'coller ton corps pourrissant au premier tronc d'arbre et faire de toi, le nouveau jouet de ces deux p'tits lardons qui sont là !


Le vieil homme fixa les prunelles de cette sauvage qui ne lui faisait pas peur.
En voila une qui dans toute sa splendeur se prenait pour du jouvenceau des plus crétins, drôle de pouliche.
Cette imbécile mal vêtue, à la barbiche blanche car elle ne connaissait rien au rôle que devait tenir une femelle, ne faisait que lui démontrer comme cette jeunesse n'était que décadence et pleine de vice.


T'es prêt à m'offrir cette danse ?

L'Antoine était dans un état de colère incroyable. Il secouait sa canne en tout sens mais il ne put la récupérer afin que ce bec à foin lâche son bien. La péronnelle ne cédait rien.
Elle le narguait au contraire et ne faisait que cela.
L'Antoine se releva péniblement sur ses jambes. Et toisa du regard cette sauvage qui en plus l'invitait à lui donner de la correction.
L'infâme petite idiote, elle ne savait pas que le vieux grigou pouvait être de la pire espèce quand une jeune aussi sauvage qu'elle, osait se mettre en travers de son chemin.
Il ne se laissera pas dompter par une femme, ni ce jour, ni jamais.
Et ce ne sont pas ses vieux os qui vont l'empêcher de donner à celle-ci ce que les Dieux ou engeance auraient dû lui donner depuis longtemps, une sentence de son goût.
Ah, elle voulait une danse, ben il allait lui en donner une mais elle ne sera pas offerte à ses flancs mais à ce visage impoli.

La sauvage mesurait peut-être une tête de plus que lui mais ses doigts même souffrant d'arthrose, à la paume bien ouverte allèrent se figer sur sa joue.
Heureux de cette punitive correction cinglante, l'Antoine lui donna même l'aller et son retour.


Ah on ne rit plus jeune coquebert !
Alors arrière-faix de truie ladre!
Et va donc jouer à ce que les garces de ton espèce font le mieux, se faire détrousser par du plus Chiabrena que toi.
Cours donc soulever tes jupons et offrir ta chair à ceux qui te méritent, chapon maubec, car voila tout ce que tu es une Coureuse de remparts.

L'Antoine crachait ses jurons appuyant bien sur chacun d'eux afin que cette sauvage en comprenne tout le sens.
Il aurait même été tenté de redonner de la couleur à ces joues de misérables infantiles afin que ce regard cesse de lui tenir tête.


Et maintenant lâches donc ma canne, et fiches le camp !
Tannhauser
La fête bâtait son plein les uns dansaient en s’écrasant les arpions, une vielle peaux se prenant pour un seigneur défiait un marmot, une jolie fille pleuré pendant que des garçons se saoulaient

… c’est donc ça une fête ? Bah j’ai rien perdu jusque là ….

Tann continuais à bâfrer copieusement tapant dans toutes les écuelles laissaient orpheline sur la table, buvant ici, et là ….

-Dansez brave gents, dansez ,dit il en levant les bras ,
- je finirais vos gamelles, marmonnât il dans ses dents

Une jeune fille s’écrasa comme … comme … s’écrasa au milieu de la clairière sous un belle lune dans une belle foret … Et personne pour la ramasser

- décidemment les fêtes c’est pas mon choual… Bon j’va y allé la ramasser, défois qu’elle ais fait tombée quelques piécettes dans sa chute…
Tann se rendit proche de la jeune femme grimé gisant dans la clairière
Ba ma grande t’as des vapeurs ? Permettez que je vous aidasse à vous relever

Tannhäuser tendis le bras en regardant discrètement autour de la belle
--Noellyne



Au pays des songes, où tot recommence encore et encore, l'enfant qui danse devant ses yeux, et qui s'éloigne peu à peu, une femme blessée dont elle ne vois plus le visage, et cet homme élégant et droit qu'elle essaye de rejoindre mais qui ne l'attend pas. Un résumé d'évenement vécu où à vivre, comment le saura t'elle?

Puis une main qui se tend, ses paupières s'ouvrent lentement, une voix qu'elle distingue à peine

Ba ma grande t’as des vapeurs ? Permettez que je vous aidasse à vous relever

Puis les bruits allentours bourdonnent dans ses oreilles, des rires, des cris d'enfant et cette musique incessante.

Sa vue s'éclaircie, elle distingue le visage d'un homme qu'elle ne connais pas, elle lui tend la main, et de celle ci s'aide à se relever.

Excusez moi je ne c'est pas ce qu'il c'est passé, j'ai du encore oublié de manger aujourd'hui. Elle le remercie de son aide, et s'assied sur un rocher non loin de là.

Pourriez vous m'apporter quelque chose à boire? s'il vous plait !
--Viviane
imagik.fr

Viviane inquiete de la chute de la jeune femme, se precipita pour apporter un verre a la jeune femme, puis souriant doucement a travers son masque se penche a sa hauteur, sa main se posant sur la sienne et lui dit d'une voix douce:

"tenez, buvez ca vous fera du bien"

Elle porta le verre a la bouche de la dame, l'aidant a boire le breuvage
Tannhauser
Tann sortit une chose informe de sa poche qui était le résultat agglutiné de petits four et d’une tranche de viande marinée, dégoulinant de miel aux herbes.

-Voulez vous une collation, un encas, un casse dalle …
Ne sachant pas à quelle personne il avait à faire, il parlait en plusieurs langues…

-C’est pas bien appétissant mais c’est très roboratif, t’inquiète fillotte, c’est moche dingue mais gouleyant.

Le regard insistant, il commençait à se demander ce qu’il faisait là lui le clodo égoïste et solitaire

-mange et tait toi, t’en as besoin t’est pas bien il te faut d’la boustifaille

De son autre poche il sortit une fiole,

-Ça c’est pour faire couler … je le tiens d’une gargote dans la campagne du rhum de première …
-Ça vous arrive souvent ? zetes pas enceinte au moins ?
--Noellyne



Elle s'abreuvait lentement du verre porté a ses lèvre par la femme pstée devant elle, soudan l'homme sortit une chose infamme de sa poche, et mal odorante, voilà qu'il voulait la forcer à manger, les yeux suppliant la femme devant elle, lui demandait de l'aide.

Elle refusa à plusieurs reprises de manger ce que lui proposait l'homme, dégoutée par ce quelle voyait.

Je vous remercie messire, mais ça va aller !

Il insistait, elle ne savait plus comment lui faire comprendre que ce qu'il lui présentait lui donnait plus envie de vomir que de ce rassasier.

Elle regardait l'attroupement qui ce formait autour d'elle, puis se leva et dit :

Retournez vous amuser, ça va je vous assure, ce n'est rien de grave !
--Etoile


Etoile vit un homme qu’i s’approche d’elles…
Ba ma grande t’as des vapeurs ? Permettez que je vous aidasse à vous relever
L’homme lui faisait pensé a un bourru ou un ronchon, elle ne savait pas trop…

Etoile toujours agenouillé alors que Noellyne s’était relevée…
Je vous jure qu’elle gourde, mais qu’elle gourde…S’appuyant plus sur un coté Etoile arrive à se redresser…
Recule pour laisser la place à la dame venant ramener à boire quand elle vit sortir de la poche de l’homme un amas de nourriture…
C’était ragoutant et vit l’expression de Noellyne…

Que faire ? S’éloigner et faire comme si elle avait rien vue ou
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