Miramaz
Ce qui devait s'avérer être un voyage plein de rencontres et d'aventures tournait à la visite d'une belle bourgade paisible, trop pour la Prunette qui s'ennuyait ferme. Après avoir exploré tous les coins de la ville, des beaux quartiers aux bas-fond sans avoir croisé grand monde d'intéressant -personne pour lui crier dessus à cause du port de l'épée, on ne lui avait même pas demandé ce qu'elle faisait ici l'étrangère..paisible vraiment-, donc après avoir usées ses belles botte vertes dans toutes les ruelles, elle était rentré à l'auberge, bien décidé à harceler la mère pour passer le temps.
En entrant elle vit bien une poule mouillée en train d'astiquer les tables sous le regard peu sympathique du tavernier, mais aucune trace de sa mère la pie, renseignement pris elle était aux bains. N'ayant aucune envie d'y mettre un orteil, et apitoyée par le bambin, la Nounou l'embarqua pour une promenade, bien décidé à lui apprendre la vie à ce peureux-comprendre le rendre plus insupportable mais plus courageux aussi-. Jules sur le dos, c'est au pas de course qu'elle traversa le village, riant des idioties du petiot, qui lui tirait les cheveux pour qu'elle accélère.
Longeant le grand parc ils arrivèrent à la plage où elle jeta son fardeau au sol, fardeau qui ne put s'empêcher de se plaindre comme à son habitude: Tu m'as fait mal - j'ai du sable dans les chausses - ça me gratte le dos - c'est froid - pourquoi t'as fait ça? Soupir qui franchit les lèvres de la brune, arriverait-on à en faire un homme de c'te mioche? L'avait pourtant commencé sa vie au milieu des armes, devrait être fort et courageux, mais non toutes les fillettes croisés jusqu'ici le valaient cent fois.
Elle prit une poignée de sable qu'elle lui jeta sur le ventre pour le faire taire -oui sur le visage aurait été plus efficace mais il aurait geint deux fois plus, puis l’est pas sadique non plus- et profitant de l'instant de répit qui suivit elle prit la parole:
Tiens ta langue un peu ou tu finis à l'eau, on entend que toi, pire que ta mère mais au moins elle, c'est pas pour se plaindre qu'elle jacasse. Écoute moi-bien, à partir de maintenant, tous les matins on viendra s'entraîner ici, toi et moi. Tu veux devenir comme tonton Mal'? Un grand guerrier? être plus fort que Trella quand on la reverra?
Acquiescement du petit qui sait qu'il n'a pas vraiment le choix sauf si sa mère s'y oppose, il risque quand même un: j'aurais pas mal? c'est moche les bobos pis un n'yeux en moins.. et sursaute quand une dague vient s'écraser à ses pieds alors que sa Nourrice se met en garde désarmée. Ramasse-là et fais y attention, c'est le colosse qui me l'a donné, et dès que tu te sens prêt, lance toi, j'aurai pas mal t'inquiète pas Ce qu'elle ne lui dit pas, c'est que l'entraînement vaut autant pour elle que pour lui, le duel contre la vagabonde lui a laissé un arrière goût désagréable, si elle veut tenir sa place dans la compagnie elle se doit de faire mieux.
Et l'entraînement commence, le Braillard hésitant au début, puis fâché de rouler dans le sable compense en vivacité et en ardeur son manque de force et de stratégie, c'est ce qu'escomptait la mercenaire, qui sait bien qu'en force elle le domine, mais ce qu'elle veut c'est apprendre à rester vigilante, à esquiver. Faute de compagnon d'arme aguerri, le mioche fera bien l'affaire au moins au début..
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En entrant elle vit bien une poule mouillée en train d'astiquer les tables sous le regard peu sympathique du tavernier, mais aucune trace de sa mère la pie, renseignement pris elle était aux bains. N'ayant aucune envie d'y mettre un orteil, et apitoyée par le bambin, la Nounou l'embarqua pour une promenade, bien décidé à lui apprendre la vie à ce peureux-comprendre le rendre plus insupportable mais plus courageux aussi-. Jules sur le dos, c'est au pas de course qu'elle traversa le village, riant des idioties du petiot, qui lui tirait les cheveux pour qu'elle accélère.
Longeant le grand parc ils arrivèrent à la plage où elle jeta son fardeau au sol, fardeau qui ne put s'empêcher de se plaindre comme à son habitude: Tu m'as fait mal - j'ai du sable dans les chausses - ça me gratte le dos - c'est froid - pourquoi t'as fait ça? Soupir qui franchit les lèvres de la brune, arriverait-on à en faire un homme de c'te mioche? L'avait pourtant commencé sa vie au milieu des armes, devrait être fort et courageux, mais non toutes les fillettes croisés jusqu'ici le valaient cent fois.
Elle prit une poignée de sable qu'elle lui jeta sur le ventre pour le faire taire -oui sur le visage aurait été plus efficace mais il aurait geint deux fois plus, puis l’est pas sadique non plus- et profitant de l'instant de répit qui suivit elle prit la parole:
Tiens ta langue un peu ou tu finis à l'eau, on entend que toi, pire que ta mère mais au moins elle, c'est pas pour se plaindre qu'elle jacasse. Écoute moi-bien, à partir de maintenant, tous les matins on viendra s'entraîner ici, toi et moi. Tu veux devenir comme tonton Mal'? Un grand guerrier? être plus fort que Trella quand on la reverra?
Acquiescement du petit qui sait qu'il n'a pas vraiment le choix sauf si sa mère s'y oppose, il risque quand même un: j'aurais pas mal? c'est moche les bobos pis un n'yeux en moins.. et sursaute quand une dague vient s'écraser à ses pieds alors que sa Nourrice se met en garde désarmée. Ramasse-là et fais y attention, c'est le colosse qui me l'a donné, et dès que tu te sens prêt, lance toi, j'aurai pas mal t'inquiète pas Ce qu'elle ne lui dit pas, c'est que l'entraînement vaut autant pour elle que pour lui, le duel contre la vagabonde lui a laissé un arrière goût désagréable, si elle veut tenir sa place dans la compagnie elle se doit de faire mieux.
Et l'entraînement commence, le Braillard hésitant au début, puis fâché de rouler dans le sable compense en vivacité et en ardeur son manque de force et de stratégie, c'est ce qu'escomptait la mercenaire, qui sait bien qu'en force elle le domine, mais ce qu'elle veut c'est apprendre à rester vigilante, à esquiver. Faute de compagnon d'arme aguerri, le mioche fera bien l'affaire au moins au début..
RP ouvert à tous, dans le respect de la cohérence, merci
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