Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5, ..., 7, 8, 9   >   >>

[RP]Pro Rege saepe:Pro Patria Semper l'expédition Arlésienne

Stephandra
Saleté de guerre qui n’apportait que tensions, doutes, tristesses et bien d’autres sentiments et émotions…tout cela à gérer…du mieux que l’on le pouvait chacun à sa manière.

Stéphandra comme beaucoup, comme Arian, en débordait, tentait de gérer, essayant de se freiner sur son impulsivité, tentant d’être à l’écoute de son amie mais ne pouvant pas être dans sa tête.

Les deux femmes n’en pouvaient plus de cette inactivité depuis leur arrivée à Arles, toutes deux avaient les nerfs à fleur de peau. Arian même si elle se confiait à Steph gardait en elle certaines choses…Stéphandra à son inverse ne pouvait s’empêcher de s’épancher à son amie, ce qui ne devait pas aider la Baronne qui avait déjà bien des choses à gérer.

La jovente se dit qu’il lui fallait au mieux épargner Arianrod de ses pensées, facile à dire quand on ne connaît pas les deux femmes. Dès que Steph était perturbée, son amie le ressentait et arrivait toujours à lui tirer les vers du nez.

Ces derniers jours avaient été forts en émotion, ni l’une, ni l’autre n’en sortirait indemne, cette guerre avait déjà son lot de blessures, pas visibles à l’œil nu, mais bien présentes en elles. Sûrement qu’il en était pour tous ainsi, mais est ce pour autant que ça rassurait ?

Après une nuit de solitude, les yeux rougis par les larmes, les deux femmes s’étaient retrouvées au petit matin et avaient parlé longuement seules, le lien qui les unissait invisible tel un fil, se renforçait à leur dépend. Et pourtant…

La journée n’épargnait pas Arian…non loin de là …là Steph n’y pouvait rien et avait eut du mal à la consoler et la voir tant en colère faisait presque trembler la jovente. Elle avait bien tenté de la réconforter mais y était elle parvenue ?

Elle avait erré dans le camp François tentant de passer ses mauvaises idées, avait grand mal, elle se sentait écartelée…ça devenait difficile pour la garde. En revenant à la tente du commando51, elle vit Nothias y entrer, son cœur se serra et stoppa net sa marche. N’osant pas les croiser tous les deux, elle fit demi tour et repartie marcher à l’opposé de sa tente.

Peut être devait elle éviter de croiser certaines personnes en ce moment, elle rêva un instant devenir une petite souris pour se cacher…limite de disparaître.

_________________
Armoria
Dans la tente princière :

Les courriers reçus la veille de Toulon parlaient de trève. Serait-elle respectée ? Les Français allaient-ils devoir se défendre, au risque de faire couler le sang un dimanche ? Elle avait décidé de faire parvenir un message à remettre au chef des Catalans. En français et en espagnol : elle n'aimait pas laisser les choses au hasard. Mais ce n'était pas tout : il fallait aussi faire afficher copies de ladite lettre en public. Lamber fut chargé d'aller les déposer ça et là.

Citation:


Le bonjour, messire,

Ce jour est jour de Dieu : partout en terre croyante, les hommes, le dimanche, déposent les armes. C'est ce que va faire notre armée de Toulon. Vous avez donc la possibilité d'en faire autant pour obéir aux règles de Notre Saincte Mère l'Eglise.

Et pour faire connaître notre choix de croyants, vous devez savoir que cette lettre sera affichée de façon publique. Nous sommes ennemis, mais devant Dieu, nous sommes frères : et le Dimanche est le jour où les frères et soeurs devant Dieu doivent se donner la main. La nôtre est tendue vers vous, la prendrez-vous ?

En ce jour de trève, le dimanche 28 de Février 1458,
Armoria de Mortain, Grand Maître de France.

Buenas tardes, señor,

Este dia es Dia de Dio : en cualquier sitio del mundo creyente, los hombres, en el Domingo, dejan sus armas. Esto es lo que nuestro ejercito en Toulon va a hacer. Entonces, teneis la posibilidad de hacer la misma cosa para obedecer a las reglas de Nuestra Sancta Madre la Iglesia.

Y para que todos conoscan nuestra eleccion de creyentes, debeis saber que esta letra estara enseñada publicamente. Estamos enemigos, pero delante de Dio, estamos hermanos : y el Domingo es el dia para que hermanos y hermanas delante de Dio se dan la mano. La nuestra esta tensa hacia vosotros : la tomarais ?

En este dia de treve, el Domingo 28 de Febrero 1458,
Armoria de Mortain, Gran Maestra de Francia


A Dieu vat ! avait-elle dit en scellant la dernière copie.
_________________

Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
Arianrod


[Campement de l'armée - Tente du Commando 51]


Nothias de Noùmerchat !!!

La Baronne se redressa tout à coup, s'arrangeant sa tenue au plus vite, mais trop tard... il était déjà sous la tente, une transmission de pensée ? Elle voulait le voir et qui était là face à elle le jeune Nothias.

Vous tombez à point, j’allais justement venir vous voir... pour m’expliquer enfin m’excuser à vous du aux propos de mon fils

Elle s’inclina baissant la tête vers le sol, regard ne croisant pas celui de son hôte. Elle maudissait son fils à ce moment précis, devoir... elle... faire des excuses pour les conneries de son fils commençaient à sérieusement mettre dans une colère monstre la mère. Mais qu’avait-elle donc fait pour qu’en si peu de temps la Baronne voyait tout s’effondrer autour d’elle ?

Nothias je vous présente mes excuses pour...

Pas le temps d’en dire plus que déjà il enchainait un discours n’écoutant même pas ses excuses et tentant de la soulager pour qu’elle ne s’inquiète pas.

Elle releva légèrement la tête, et lui sourit en guise de merci, puis se redressant elle le vit sortir de la tente se cachant le fessier. Elle se mit à rire en se redressant complètement et sortie de la tente.


OUI OUIIiiiiiii cachez le sinon comme en taverne le pied au cul vous finirez si vous vous approchez encore de ma protégée.

petit sourire puis elle resta là un moment à l'entrée de la tente, espérant apercevoir celui qu'elle aimait plus que tout, son promis Julien.

_________________
Hersende
Un pigeon arriva au campement français d'Arles

Citation:


Aux responsables des armées françaises,

Le Marquisat des Alpes occidentales est terre aristotélicienne, respectueuse des préceptes de l'Eglise. Nos soldats ne sortiront pas l'épée le dimanche, tout occupés qu'ils sont à leurs dévotions.

Fait à Avignon, le 28 février 1458


Marquise des Alpes Occidentales

_________________
Hersende de Brotel, Marquise des Alpes Occidentales
Armoria
L'église était restée muette, ce matin. Elle chassa de son esprit l'idée blasphématoire que les priver de messe était volontaire. Non, tout de même pas...

Ce fut tard le soir, une fois sa montagne de documents quotidiens traités - enfin presque - qu'elle put enfin s'adonner à sa trève personnelle.

Elle quitta sa tente, s'éloigna des abords du camp, vers les arbres les plus proches. Leur silhouette, différente de celles auxquelles elle était habituée en Bourgogne, lui rappela qu'elle était une fois de plus loin de chez elle et loin des siens. Sous le couvert des arbres - à défaut de cathédrale, elle s'agenouilla pour prier.


Seigneur, donnez-moi la force de n'en point trop user. Donnez-moi la grâce de savoir demeurer ferme. Donnez-moi le courage de pardonner. Aidez-moi à écarter de mon coeur la colère et l'orgueil. Aidez-moi à soutenir ceux que je verrai sombrer. Protégez ma fille qui va prendre la route. Protéger mon Roy, et aidez-le à comprendre, quand il Vous prie, qu'il se doit trouver épouse, et assurer sa lignée. Protégez tous ceux qui doutent, car nombreux sont ceux qui tentent de les faire douter. Aidez-moi à ne jamais rien demander pour moi que je ne doive donner aux autres. Que me soit juste conservée cette force que Vous avez jugé bon me donner, et qui seule me sert d'armure.

Finissant ses prières en silence, elle regagna sa tente, et y trouva le message que Lambert lui avait amené. Elle songea à l'homme d'église qui avait incorporé une armée, et eut un sourire amer.

C'est entre Vos mains, Seigneur. Entre Vos mains. Eux, nous... Tout le monde. Amen.
_________________

Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
Nkhan
[Autour du campement en inspection..]

Le rassemblement était sonné...les réunions s'étaient enchainés...une vie assez monotone avait étreint le campement, malgré les frasques et surtout les hymnes inventés par les soldates de l'armée...celles-ci égaillaient grandement les soirées des soldats par leurs rires, leurs pitreries, et leur bonhommie...En plus la Maure d'Exat, la Capitaine Royale, ou même la sage Alix, la fille de son vassal, étaient d'excellents chefs...du genre de ceux qu'on aime avoir dans son armée..

Depuis quelques jours, le campement avait grandi...de nouvelles tentes cinglaient d'oriflamme non moins importants, étaient venus se greffaient au campement de base.

La ville d'Arles semblait calme...les bourgeois de la ville semblaient tous les jours s'en donnaient à coeur joie, de trucider les bourses de leurs concitoyens qu'ils disaient vouloir protéger...depuis peu, les prix flambaient...mais peu avaient encore compris que ce n'était pas les soi-disant occupant qui en pâtissaient, mais bien les habitants d'Arles en soi...

Cette journée de dimanche avait été calme..quelques prières, une courte allocution du père jub qui semblait nerveux de ne plus trouver liquide à son ventre...et le train-train habituel des chariottes de ravitaillement...l'organisation des sections..les discussions stratégiques et autres...

Nkhan avait fait sceller sa monture...et faisait le tour du campement pour inspecter le tout, en attendant la réunion avec ses chefs de section...
Il avait fait mander la Princesse, espérant qu'elle puisse être présente aussi..mais il la savait fort occuper par toutes les considérations stratégiques, diplomatiques, et organisationnelles attenantes à la campagne...

Ayant fait son tour d'inspection, réfléchissant à moult chose en même temps, Nkhan fit bifurquer sa monture vers le centre du campement...en espérant pouvoir voir ses chefs...chose qu'il fit quelques temps après...

Dans le courant de la journée..l'agitation gagna l'armée..

_________________
GAN, Un parti qui en a!...des idées!
Majda_eulalie


De bon matin, elle était partie s'entraîner un peu avec son Mestre Armant. Jack leur en faisait voir de toutes les couleurs à elle et aux hommes de la section, mais au moins, ils seraient fin prêts, et elle devait bien l'admettre, sa carrure n'était point pour l'avantager. Elle avait beau être grande, elle ne faisait pas le poids, c'était le cas de le dire...

Retour au campement, ablutions matinale et hop, petit tour à l'intendance. Croisant "Papi Nkhan" comme elle l'appelle pour taquiner le bourru, elle ne peut s'empêcher.


COUCOU PAPI NKHAN !!!

Elle se permet de lui faire la bise, après tout, il pourrait être son père, mais elle exagère juste un tout petit peu, presque pas du tout, en disant papi... Pauvre Nkhan, ses chefs de sections vont le faire tourner en bourrique, à moins qu'il n'aime les personnes qui se bougent comme on dit.


Comment allez-vous Baron ? On vient vérifier l'état des charettes ?

Clin d'oeil au bourru, espérant faire passer par une espièglerie son manque flagrant de convenances à son égard.

Ou alors vous venez voir qu'on n'a pas transformé votre armée en souk intégral ?

_________________
Kehl
Kehl regarde l'agitation dans le camp français d'Arles, assis sur un talus, à quelques distances. Serait-ce qu'ils quittaient la ville ? Alors c'est qu'il lui faudrait reprendre le travail. Les rebelles étaient plus têtus que réalistes, et un départ des Français sonnerait certainement une nouvelle tentative de révolte contre la mairie. Fini le temps passer à lire et à discuter, les tours de garde reprenaient...

Peut-être qu'il aurait fallu demander à monseigneur Neocor de célébrer une messe pour les Français. Qui voudrait venir dans cette région, avec tous les brigands qui y rôdent ? Il fallait demander aux prêtres déjà sur place. Bien sûr l'évêque était attaché à un endroit perdu d'Anatolie ou de Judée, et pas à cette cathédrale, mais c'était ça ou l'abandon. L'église d'Arles était déjà désertée quand le prime chancelier impérial était arrivé, il y a exactement un mois. Un mois : triste anniversaire. Mais on ne fait pas d'omelettes sans casser des oeufs.
Armoria
Aaaaaaaaaaaaah, le bain... Chaudes effluves parfumées - pour la propreté et la détente - suivies d'une rapide bain froid - pour une peau ferme et tonique. Quand le temps s'arrêtait, et qu'il faisait bon laisser ses pensées divaguer sous le vigoureux gant de crin - pour la finesse de la peau - du valet appliqué à servir sa maîtresse. S'offrir le luxe, juste un moment, de pouvoir tout oublier, et de complètem...

Votre Altesse ? Vous êtes demandée par le chef d'armée !

... ment se dire "on n'est jamais tranquille", et marmonner en sortant du bain, en s'habillant à la hâte. Humpf. Tenue de campagne, tout sauf féminine : chemise et braies, cape chaude, épée au côté, cheveux dont la tresse battait le bas des fesses. Un soupir de regret en regardant le baquet d'où sortent encore quelques tentantes vapeurs. Allez !

Vous m'avez fait mander ?

Entrée en matière brève - mais efficace - une fois arrivée auprès de Nkhan.
_________________

Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
Stephandra
[ Commando51…sur le départ]

La nuit avait été courte, la journée mouvementée, le début de soirée n'en parlons pas... que déjà le rassemblement des troupes avait sonné…Stéphandra se rendit à la tente, vérification de son paquetage, ce n’était point le jour à omettre quoi que ce soit. Elle sauta dans ses vêtements, se força à manger un morceau et retrouva les autres.

Déjà l’agitation régnait sous la tente, ça semblait être un grand bordel organisé. Chacun vaquait à ses occupations, tous avaient la volonté au ventre…Aucun ne sentait pris au dépourvu. Une seule idée en tête….y aller.

La bernique croisa le regard de sa Capitaine, elle se dirigea d’un pas décidé vers elle, lui fit une semi révérence (c’est que les habits de combat sont pas si extensibles que les houppelandes ou les braies hein !), ce qui amusa fortement Arian qui en oublia la taloche. La jovente lui fit une bise rapide et déjà la moule se souciait de savoir si elle avait pensé à tout…On pouvait détecter dans la voix d’Arianrod toute l’inquiétude qu’elle ressentait pour Stéph, mais toutes deux savaient pertinemment où elles allaient…Comme tous les soldats…

Après une inspection minutieuse , tel le ferait une mère louve, Arian lui colla un gros poutou sur la joue (hé hé mieux qu'une talloche non?) et lui murmura

Que Dieu te garde ma belle

Stéph lui répondit de même, elles échangèrent un sourire, la jovente aperçu non loin de là Julien, elle alla le voir pour lui faire une bise, aurait bien tapé un brin de causette mais ce n'était point le moment, elle se mordit la lèvre et se hâta à l’entrée de la tente dans l’espoir de croiser un regard connu ou amical comme Majda, Alix, Mitijo, Erra, Jack, Nothias….

Beaucoup d’agitations déjà dans le camp, elle regardait chaque homme et femme passer, on pouvait percevoir la même détermination sur chaque visage….ce n’était que le départ…
Stéphandra sorti afin de s’occuper d’Acamar (sa monture) attendant la suite…

_________________
Arianrod


[Campement de l'armée]


Une journée des plus étrange encore, ce matin là elle avait croisé le chemin de sa protégée, elles s'étaient expliquées, Arianrod s'était excusée, ne se confiant pas encore à la jeune fille ou alors à demi mots mais les avaient elle compris. Enfin la jeune fille était partie le cœur léger et Arianrod a demi car elle devait encore voir son promis.

Une journée mouvementée... un fils qui tout juste arrivé se mettait à dos quelques nobles, le pire était que ces nobles étaient amis de sa mère. La Baronne avait présenté ses excuses auprès du jeune Nothias lui jurant de lui botter encore le fessier si jamais... et auprès de Jack... qui lui avait secoué la Baronne comme il se devait, elle l'avait même remercié, ce qui avait fait rire Nothias et Stephandra.

Une journée pleine de regret... elle avait tenté de croiser Julien toute la journée pour s'expliquer mais rien, il devait lui en vouloir, devait certainement être en colère après elle, mais elle devait lui dire les raisons mais... voila, il se cachait ou elle ne cherchait pas au bon endroit après tout elle connaissait très peu Arles.

Une journée qu'elle languissait sa fin rapidement, tourner la page mais elle n'était point finit, fallait rejoindre son chef et les chefs de section pour une réunion encore. Elle s'approcha du groupe et s'inclina devant la Princesse.


Votre Altesse... Nkhan... Majda... bonjour à vous.

_________________
Nkhan
[Campement toujours..]

Les Charrettes étaient vraiment bien fournies...Nkhan le constatait quand une cri vint interrompre ses pensées...

*COUCOU PAPI NKHAN !!!

Le vieux Baron soupira...vindiou, déjà qu'il sentait que ses articulations rouillaient à vu d'oeil, v'là maintenant que la facétieuse maure de l'Exat, dont il était de 20 ans son ainé, l'appelait Papi...Dieu, le jour où le Barbu se déciderait à se raser...c'est à dire sans doute jamais...on le traiterait de jeunot...et le jour ou ses poils deviendraient tous blanc on l'appellerait l'ancêtre...

Le Baron grognon n'était pas particulièrement adepte des surnoms...mais en même temps, derrière ses allures de vieux bougon, il était compréhensif avec ceux qui faisaient un bon travail..et il fallait dire que la maréchal d'Exat abattait une rude tâche que son jeune âge n'empêchait en rien d'accomplir avec brio.

Répondant à son vis-à-vis, il n'entendit pas arriver la Princesse...qui l'interpela..

*Vous m'avez fait mander ?*

Inclinant son buste en avant en signe de salut, il ponctua l'arrivée du Grand Maistre de France par une salutation de circonstance..


Salutations Princesse..oui j'ai fais mander tous les "chefs" pour pouvoir discuter quelque peu...j'espère ne pas vous avoir déranger..

Il sentit une effluve fleuré monter...qui était déjà présente quand il fut rejoint par Majda...mais là c'était encore plus flagrant...portant son armure discrètement à ses narines, il fit un regard circonspect...lui ne s'était pas laver depuis son arrivée en Provence, et il commençait à sentir un mélange de vieux bouc moisi croisé d'effluve de sueur...heureusement que son armure était suffisamment étanche pour ne pas empoisonner ses vis-à-vis féminins, qui semblaient plus au courant des moeurs de lavage corporel..seule la chevelure du Baron, en dehors de l'odeur, trahissait la saleté de toute campagne...ceux-ci tenaient tout seul, malgré la tignasse qu'il possédait..

Se trouvant un peu...désappointé...il vit arriver la Capitaine de la Garde Royale, son amie Arianrod..il la salua avec un sourire...et une parole amicale..un simple "Salut Arian!"..

Puis s'adressant à tous les chefs présents, il enchaina rapidement..


Je voulais voir si tous vos hommes sont prêt à faire mouvement...si les sections sont au complet, les vivres distribuées pour les premiers jours et l'armement en ordre...
Il va falloir ordonner notre troupe pour la confrontation future, et celle-ci est quand même constituait de nombre de chevaliers, d'une bonne partie de gens d'armes, mais peu de tireurs...et c'est une donnée à prendre en compte..des suggestions sur notre organisation?

_________________
GAN, Un parti qui en a!...des idées!
Armoria
Elle ne s'occupait pas de l'intendance : elle avait déjà assez à faire. Elle ne s'occupait pas de l'organisation au sein de chaque armée : pour les mêmes raisons. Elle ne faisait rien ? Eh oh, et puis quoi encore ? Humpf. Elle sourit alors de toutes ses dents, ce genre de sourire annonçant une ânerie qui n'était pas tout à fait une plaisanterie.

Du moment que je suis au devant pour que l'on se puisse rallier à mon panache blond...

Elle savait ce qui allait sans doute suivre : le regard torve vers sa tête vierge de tout casque, et son bras vierge de tout bouclier. Puis son buste, juste protégé par un épais plastron de cuir. Dame, elle n'était pas bâti en hommasse, pour supporter le poids d'une armure, d'un bouclier et que sais-je encore ? Pour rester collée sur son cheval par le poids de l'équipement ? Nan nan nan.
_________________

Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
Neiviv
Neiviv se réveillait quelques heures après une garde nocturne quand il sentit le camp se mettre en branle.
Les chefs de l'armée allaient tous vers la tente du Baron Nkahn.
Neiviv n'en avait que faire, il allait à l'écurie où il laissa son cheval au soin de qui le prendrait.
Toujours armes sur lui, sauf peut-être quand il dormait, et encore, le Normand alla se placer sur une colline non loin, attendant que le départ soit enfin sonner.
Le Dieppois s'assit sur l'herbe, laissant le vent battre contre lui.
Il réfléchit..... il ne pensa qu'au combat, mais il se demandait quand il aura enfin lieu.
Il ne vivait que pour la guerre..... il l'aimait, elle le satisfaisait, il n'en demandait pas plus.

_________________
Porte-Enseigne et Cadet de Normandie
Majda_eulalie


Saluant la Princesse Armoria d'une révérence, Majda esquisse un sourire, respectant les usages pour une fois, et l'écoutant s'adresser au Baron.

Armoria : Vous m'avez fait mander ?

Nkhan : Je voulais voir si tous vos hommes sont prêt à faire mouvement...si les sections sont au complet, les vivres distribuées pour les premiers jours et l'armement en ordre...
Il va falloir ordonner notre troupe pour la confrontation future, et celle-ci est quand même constituait de nombre de chevaliers, d'une bonne partie de gens d'armes, mais peu de tireurs...et c'est une donnée à prendre en compte..des suggestions sur notre organisation?


Armoria : Du moment que je suis au devant pour que l'on se puisse rallier à mon panache blond...

Se permettant alors de prendre la parole, elle se tourne vers la GMF.

Majda : Bonjour Votre Altesse. Si vous me permettez... Etre devant oui, mais entourée comme il se doit... Nous n'apprécierions pas trop de vous voir recevoir un carreau d'arbalète ou autre projectile des félons provençaux.

Puis elle répond à Nkhan.

Majda : Oui, tout est fin près comme vous avez pu le constater. Les vivres sont en sécurité, et bien rangées. Il a fallu que nous achetions des charrettes supplémentaires pour les transporter, mais tout est enfin prêt. Ma section est complète, et quant à nos soldats, je peux vous dire pour les avoir entendu en parler, ils sont impatients de montrer aux félons ce que valent des preux se battant pour la juste cause. Pour ce qui est des tireurs, certes, nous en avons peu, mais nos soldats sont bien armés, et tous n'attendent qu'une chose Baron, être en première ligne. Je suggère d'envoyer une lance en avant, ce qui permettrait de localiser leurs tireurs assez rapidement. Ils feraient un aller-retour, puis on fait appel aux tireurs, en envoyant une autre lance, pas tous les risques aux mêmes, et une fois leurs tireurs abattus, on envoie le reste de l'armée.

Elle se tourne vers la Princesse.

Majda : Heu, Votre Altesse, je vous suggère humblement d'être avec l'armée, tous se rallieront derrière vous, et votre panache risquera moins d'attirer les carreaux après que leurs tireurs soient hors d'état de vous nuire...

Elle reprend alors pour tenter de faire avancer la prise de décision de Nkhan :


Majda : Bien entendu, ce n'est qu'une suggestion, vous avez plus d'expérience que moi, alors je vous en laisse juge.

_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5, ..., 7, 8, 9   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)