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[RP]Pro Rege saepe:Pro Patria Semper l'expédition Arlésienne

ulrich
Ulrich ouvrit grand les yeux...
Voilà, maintenant, il se souvenait d'où il l'avait vue: chez elle!
il allait balbutier un remerciement...
Mais c'était trop tard... elle était déjà loin...
Le jeune de Lasteyrie alla préparer son paquetage, ce soir il serait dans l'avant garde, et représenterait la France en terre Provençale...

Il prit ensuite soin d'aller ramasser ses courriers abandonnés, et il les envoya.
Il attendit longtemps, longtemps en regardant le ciel, pour être certain qu'ils ne seraient pas interceptés...

Puis il enfourcha son destrier, le lendemain s'annonçait plein de promesses, et peut-être, qui savait, que sa mère changerait d'avis?

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Pour vous quand il vous plaît!
Juliendumoutier
Une image qu'il chérissait plus que tout...LA femme dans ses bras, abandonnée, en confiance...s'il est une chose que Julien pouvait lui promettre, c'est bien celle ci, le réconfort de ses bras, sa capacité de protection si faible soit elle dans les faits lui paraissait à cet instant infranchissable...sa vie, il donnerait s vie pour elle !

Les seuls mots qu'elle parvint à articuler étaient incompréhensibles pour lui, mais à quoi bon, pas ce soir, ils trouveraient bien le temps d'en discuter, plus tard, après....

Il la tint dans ses bras, l'entourant totalement, murmurant à son oreille de douces paroles de réconfort.
Quand elle laissa à nouveau son esprit divaguer, qu'elle porta à nouveau son regard vers le fils, il lui dispensa quelques souvenirs....


Regarde mon cœur, regarde le, ton fils, tu te rappelles, cette légendaire bataille, contre ces rats de Bretons...tu le portais en toi, tu es arrivée à rentrer entière, en portant ton fils en toi, ta jobarde encore fumante en main !
Rappelles toi que ce jour là, nul homme présent ne put douter d'une évidence, tu es une mère, une louve...
Regarde, lui, comme toi vous apprêtez à partir au combat, toutes ces années après...viens, allons nous préparer, préparer nos chevaux, fourbir nos armes...comme lui sans doutes...et essayons de dormir un peu....demain...sera demain !

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Nkhan
[Fin de la discussion??...départ..]

Doigt qui toc sur l'épaule de son armure...se retournait et voir le visage de la Princesse Armoria...

Une phrase qui cingle.."Oui, moi, je vous suis... Ce qui me semble pour le moins incompatible avec mon souhait d'être à l'avant, n'est-ce pas : à l'avant, l'on ne saurait suivre. "

Nouvelle pensée fugace...*argh...ne pas s'embarquer dans une tergiversation avec la Princesse...sinon ils en étaient tous deux pour des heures, tête de mule qu'ils étaient..*

Prenant la parole...


Princesse, nulle envie pour moi de vous priver de combats, je pense que vous en aurez bien assez au centre du dispositif...qui plus est votre présence galvanisera les hommes, et ils tiendront encore mieux la ligne..

Sourire qui se voulait engageant...une pensée, encore une...*et puis au moins, j'espère que comme ça vous vous ferez pas tuer...*

Puis regardant la maure qui semblait bouillir à l'intérieur...peu de temps avait appris à capter un peu les réactions de la maure...

Souriant de nouveau, il ponctua la fin de son exposé par un...
Majda, vous êtes autorisés à mener vos hommes à pied sur votre destrier, il va sans dire en temps que dame..
Regard en coin amusé...

Puis reprenant le fil de l'organisation...il prit un ton plus directif..


Bien, mettons nous en route au plus vite, dans deux heures, il faut que les troupes soient en ordre de marche!
Allons, il faut nous activer!


Saluant les présents, tous se séparèrent alors...
2 heures et quelques plus tard, l'armée se mit en branle...partant dans la campagne provençale...partant pour la guerre.


: J'ai fais avancer volontairement le RP un peu plus vite, histoire de concorder un peu mieux.
Vous pouvez toujours intervenir en faisant une aparté sur la discussion qu'ont tenu nos persos!

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GAN, Un parti qui en a!...des idées!
Damisella

Elle s'était retiré dans sa tente le temps d'envoyer une missive à son époux.

Citation:

Mon doux seigneur, mon tendre amour
..............................
(tss c'est privé namého)

Comme il lui manquait, alors qu'elle aurait tant aimé l'avoir auprès d'elle alors que pour la première fois de sa vie elle se sentait plus vulnérable en raison de la vie future qui grandissait en son sein.

Elle soupire en terminant sa lettre, la sable puis la scelle de son sceau.
Sortant de la tente, elle la remet au chevaucheur qui partait vers le nord et leurs terres auvergnates ainsi qu'une bourse pour ses frais de route.

Rentrant à nouveau dans la tente, elle referme la cassette dans laquelle ne restaient plus que quelques poignées d'écus, haussant les épaules avec philosophie.
Décidément, elle avait l'humeur changeante en ce moment sans doute étais-ce provoqué par son état et l'absence de Pierre.

Elle avale rapidement un verre d'hypocras, donnant consigne aux valets de charger les charrettes des 45, le départ approchait.


Elle se rapproche du groupe de commandement pour écouter les dernières consignes


Citation:
Le centre sera constitué en priorité de la Garde Royale, des 45 et autres soldats d'armes français, à pied, recevant le concours de l'archerie.

*Au.... au centre? Ah mais il ne nous connait pas!Et surtout il ne sait pas..... aïe aïe aïe..... Ah là il va savoir*

Ca ne rate pas et Dami éclate de rire en entendant la réplique qui fuse précédée du doigt tapotant une virile épaule

Citation:

Oui, moi, je vous suis... Ce qui me semble pour le moins incompatible avec mon souhait d'être à l'avant, n'est-ce pas : à l'avant, l'on ne saurait suivre.


Elle toussote pour retenir l'attention du chef d'armée


Au centre dites-vous baron? Ma foi si vous arrivez à l'y faire rester.... Et comme où elle est sont les 45....... Enfin, vous faites comme vous voulez, mais ne mettez pas de soldats à pied devant notre groupe, notre princesse adore que l'on se rallie à son panache blond... Et elle monte un des destriers des plus véloce. On a tout essayé... en vain.


Gentil sourire puis grimace adressée à la princesse qui s'est redressée de toute sa taille. Elle se dit qu'à part l'attacher ou la droguer, c'est peine perdue. Quand à son cheval... il refuse étonnamment les pruneaux depuis quelque temps... L'idée était bonne pourtant, il suffisait de ne pas galoper juste derrière.


Bah, il insiste, elle sourit, se met lestement en selle, son corps n'est pas encore alourdi et un bon bandage la sangle. Ecu aux armes de Roanne accroché au pommeau, épée au côté, masse d'arme pour faire bonne mesure elle a laissé en arrière soupirs et états d'âme.

Banière des 45 déployée, leur groupe rassemblé est prêt.

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Arianrod



Douce chaleur que sont ses bras qui l’entourent, douces chaleurs que sont ses paroles glissées au creux de son oreille, douce et agréable sensation que ce moment quand elle s’abandonne à lui sans son armure qu’avec le temps elle s’était obligée à se faire.

Puis voila, il lui rappelle le passé, ce passé qui lui avait laissé deux souvenirs qu’elle ne pourra jamais oublier, une cicatrice qu’elle haïssait au plus au point, et son fils... qu’elle avait eu peur de perdre sur ce champs de bataille en Bretagne elle était si jeune à cette époque là, plus jeune encore que son fils ce jour.

Le regard de la brune se posa sur son fils comme toute mère fait quand elle admire son enfant, regard aimant, attendrissant mais triste au fond d’elle, triste d’avoir appris cette nouvelle de la sorte, triste et inquiète pour son fils, pour celui qui allait être son époux, pour sa jeune amie, pour tous ceux qu’elle aimait, pour tous ces soldats qui allaient risquer leur vie dans les prochains jours.


Tu as raison mon aimé, ce n’est point le moment de flancher, le combat est proche.

Elle lui déposa un long baiser sur ses douces lèvres empli d’amour, de remerciement pour ce qu’il venait encore de faire pour la secouer, pour lui remettre les idées en place. Sienne... elle était sienne... ils ne feront qu’un bientôt elle lui avait fait promesse.

Mon cœur, je vais rejoindre Nkhan, des choses à régler avec celui-ci du à... enfin voila, je vais voir les ordres aussi car du coup j’ai rien entendu et je n’ai pas envie que cela porte préjudice à l’armée. Je te rejoins tout de suite après nous avons encore beaucoup de choses à faire avant le départ.

Elle lui effleura le visage tendrement, puis elle rejoignit Nkhan afin que celui-ci lui fasse un topo de la réunion qu’elle venait de manquer.


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Titan
les ordres étaient tombés, ils partaient pour le combat, le choc des titans ne tarderait plus à se produire.
dressé sur les étriers de tornade, il regardait les 45 prendre position.


allez!!!! allez!!!!!! on se bouge!!!!!!!! formation en V comme les oies!!!!! la Princesse derrière moi!!!!!!!!

il sourit en disant cela, comme si la Princesse allait se contenter de rester à l'abri, s'il réussissait cet exploit, il en mangerait son chapeau.

En avant!!!!!! fonçons et pas de quartier!!!!!!

les derniers vestiges du campement chargés dans les charrettes débordant de vivres , armes et différents autres accessoires.
l'armée se mit en branle en ordre parfait, chacun connaissant avec exactitude sa fonction et sa place.

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Kalopsite
Elle s'était activée monter la tente, abreuver les montures, sa belle Laylla puis le fougueux Tornade,pendant que son époux rempli ses obligations de chef de section...
Adossée a sa besace affutant sa lame elle avait regarder, écouter, un sourire aux lèvres...
Mais l'heure du départ est proche, il est temps de monter en selle et rejoindre le groupe. Pied dans l'étrier, je me hisse sur ma jument, épée affutée est la au coté, dague glissée dans ma botte, bouclier tenu, un coup sur le flan de Laylla, obéissante elle avance, a la hauteur de mon tendre.


Qu'Aristote te protège et soit avec nous

Je me penche dépose sur les lèvres aimées un tendre baiser, les ordres sont donné, sourire en imaginant la princesse rester derrière, j'ai comme un doute
Je rejoins mes compagnons derrière notre Princesse, ne plus penser, ne plus réfléchir, juste avancer...

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Le manoir des artistes
Damoiselle_milie
Le soleil se levait à peine, la brume était encore présente, tous s'étaient levés les pensées étaient à la bataille à venir, une certaine exitation envahissait Milie, mélangé à de la crainte. Jusqu'à aujourd'hui Aristote avait veillé sur elle, pouvus que ca dur....

Le silence pesant se faisait déjà ressentir, dût sans doute à la concentration de chacun. La matinée fut longue, seul quelques sons d'aiguisement de lames. Un peu avant, l'heure fatidique, Nkhan appela la troupe à se mettre en route d'une voix ferme.

Plus que quelques instant avant la bataille, ils rassemblèrent leur armes et se mit tous en route.Le cœur battant, Milie suivit.

Une pensée douce et tendre envahissait l'esprit de Milie, celle de son tendre dont elle avait reçu une missive ce matin même. Elle lui donner une sorte de force mentale.

Et c'est alors qu'une autre voix masculine se faisait entendre...


allez!!!! allez!!!!!! on se bouge!!!!!!!! formation en V comme les oies!!!!! la Princesse derrière moi!!!!!!!!


En avant!!!!!! fonçons et pas de quartier!!!!!!

Milie alors brandit son arme et avança d'un pas assuré, aux cotés de ses frères et sœurs d'armes.
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Armoria
La soirée, pour elle, avait été agitée - euphémisme, mais vous aurez les détails plus tard, bande de curieux. Nuque doublement douloureuse - sauf qu'elle ignorait le "doublement" - et précieuse relique de Sainct Bynaar portée disparue, elle était à la foi en rage et saisie d'un mauvais pressentiment au moment de partir. Se faire dérober à quelques heures du combat la sainte relique offerte par Ingeburge quand elle était sa suzeraine... Forcément mauvais signe. Et son sang breton la poussait à les chercher, les signes, bons ou mauvais, l'atavisme primant sur la raison - à tel point qu'en Bretagne, ce genre de choses avait un nom particulier, les intersignes. Tout à la fois très croyante et bougrement superstitieuse, comment ne pas être inquiète ?

Enfin, il lui restait son épée, faite avec amour par Snell, et bénie par Clodeweck... Curieuse épée, dont la lame représentait les courbes d'un corps féminin : le sien. Elle avait gardé sur elle la chemise de Theognis - hein ? Theognis ? Mais pourquoi diable porte-t-elle sa chemise ? Rhaaaa, m'enfin, vous allez le savoir, j'vous dis, rodidjiu ! Le temps d'une brève prière, le front contre le chanfrein de son cheval, et hop, en selle. Elle resta bien sagement à la place qui lui avait été assignée. Enfin, le temps de faire le parcours...

Parce que sitôt qu'elle aperçut au loin les formations ennemies, elle poussa doucement son cheval jusqu'à se trouver sur le flanc gauche des troupes. Alors, elle défourailla son épée qu'elle brandit vers le ciel, renversa la tête pour faire entendre dans toute sa sauvagerie son fameux cri de guerre, et piqua des deux, la bannière des Mortain piquée dans le porte-hampe à l'arrière du caparaçon, et claquant fièrement au vent de sa course - elle savait que ses 45 la suivraient de près, puisqu'ils la connaissant par coeur sur ce point.


EN AVANT, SOLDATS DU ROY ! MONTJOIE SAINCT BYNAAR, QUI M'AIME ME SUIVE !
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Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
Titan
titan vit la Princesse glisser lentement sur le flanc de la colonne, il sourit il avait compris, lorsqu'elle s'elançat en avant en poussant son cri de guerre.

Citation:
EN AVANT, SOLDATS DU ROY ! MONTJOIE SAINCT BYNAAR, QUI M'AIME ME SUIVE !


il se dressa sur ses etriers et épée levé au ciel qu'il abattit vers l'avant d'un mouvement brusque il hurla tout en s'elançant

EN AVANT!!!!! TOUS DERRIERE LA PRINCESSE!!!! TOCOS Y SE GAUSOS!!!!!!!!!!
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Damisella
*Et vala c'est parti....*

Ignorants sont ceux qui croyaient que leur princesse resterait sagement en place.. Eux qui la connaissent bien ont surveillé sa glissade latérale faites si....innocemment

Et c'est comme un vol d'oies sauvages que tous dévient , une trouée se fait c'est parti, banières des 45 claquant furieusement


TOCOS Y SE GAUSOS


Furieuse galopade, entrechoc des armes, le combat commence
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ulrich
[Nuit du deux au trois Mars, non loin d'Aix Titan et Ulrich versus Superpepe]

Nuit noire...

Et ça commençait mal pour Ulrich, tout juste affecté aux éclaireurs... Qui étaient les autres? Il n'en avait strictement aucune idée... Et vers où devait-il se diriger?
Il l'ignorait, il s'était éloigné du chemin qui devait mener à Aix, et il était complètement perdu...
Il descendit de son destrier, et se mit à marcher à ses côtés...
Cela ne dura guère, il stoppa net...
Un bruit de galop venait d'en face...
Ulrich n'avait strictement aucune idée de comment combattre un homme à cheval, lorsque l'on était à pieds...
Une seule chose lui venait à l'esprit: ces récits anecdotiques de coupes jarrets que sa mère lui racontait le soir, pour l'endormir...
Mais il ne se souvenait pas très bien de comment procéder, juste qu'il fallait couper les jarrets du cheval de l'adversaire...

Le bruit se rapprochait, il fallait faire vite...

Le bâtard envoya son destrier dans les fourrés, et remercia Aristote de lui avoir soufflé de ne prendre qu'une cotte de mailles légère...
Il se débarrassa de son épée, et de son écu, puis farfouilla dans sa botte pour en tirer sa dague, cadeau paternel, aux couleurs des Lasteyrie...

C'était proche, et ça trottait maintenant Ulrich se tapit dans l'ombre, et quand il fut certain que le cavalier était à sa portée, il agrippa sa monture, et le désarçonna...

Les deux combattants étaient à terre, l'adversaire d'Ulrich est vif, bien trop pour être un homme...
...Et il avait le dessus, au sens propre comme au sens figuré...

Le bâtard étouffait en dessous, quand il parvint à saisir une mèche qui sortait du casque de l'inconnue...

Ni une, ni deux, l'instinct du jeune homme reprit le dessus dans sa tête pourtant peu remplie, technique de combat Lasteyrie: il entreprit de lui tirer les cheveux, tout en tentant de sortir sa dague...

Il peinait à l'attraper, et allait sombrer sous les coups de son adversaire, quand il la sentit s'effondrer sur lui....

Il en profita, et planta sa miséricorde dans la femme...

Citation:
03-03-2010 04:08 : Vous avez frappé Superpepe. Ce coup l'a probablement tué.


Mais avant de la planter, il avait senti sa tête tourner... l'odeur du sang... elle était déjà présente... Sensation qui avait manqué au jeune homme, qui balança le corps inerte de son adversaire à terre...

Derrière, un homme se tenait debout...

Ulrich alla trancher les jarrets du cheval, puisque c'était indispensable, même s'il ne comprenait pas trop pourquoi...
Il ne pensa pas une seconde qu'il s'était fourvoyé...

Puis il ôta son gant, et tendit sa main à son sauveur...

Le bonjour, Messire, vous avez probablement évité que ma mère ne vienne pleurer sur ma tombe.

Je suis Ulrich Milambert Louis de Lasteyrie de Cénorel.
Enchanté de vous avoir rencontré, et croyez-moi, ce ne sont pas des paroles en l'air...
Elle a eu son compte, je crois!


Ulrich cracha à côté de ce qu'il croyait-être un cadavre...
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Pour vous quand il vous plaît!
Titan
[quelque par en route pour la bataille]

l'attaque était maintenant imminente, tout les sens en alerte, titan fonçait vers l'ennemi à la tête de ses hommes, galvanisé par le roulement sourd de la charge lourde des chevaux de combat.
dés lors le combat de titan pouvait commencer.
tout en combattant, il regardait autour de lui afin de protéger la Princesse, lorsqu'il vit un ennemi se lancer a cheval contre un home à pied.
en un éclair, un souvenir de sa vie passée lui revint, il revit son amie Arian lors même qu'ils étaient tout deux jeunes écuyer templiers.
l'homme à pied ressemblait de loin étrangement a l'un des fils d'Arian, ce qui lui avait probablement remémoré ses souvenirs de jeunesse.
sans plus réfléchir, il éperonna tornade et fondit littéralement sur le cavalier ennemi.
tout prés de l'homme, le soldat a pied réussi à le désarçonner, dans la lancée, épée en avant , titan traversa le corps de l'homme de part en part, celui-ci s'écroula sur le soldat à pied.


Citation:
03-03-2010 04:08 : Vous avez frappé Superpepe. Ce coup l'a probablement tué.


il fit faire demi tour a son destrier et revint sur la scène, il regarda surpris le soldat couvert de sang, couper les jarrets de la monture de l'adversaire.
puis il tendit la main a l'homme pour l'aider à se relever.


Le bonjour, Messire, vous avez probablement évité que ma mère ne vienne pleurer sur ma tombe.

Je suis Ulrich Milambert Louis de Lasteyrie de Cénorel.
Enchanté de vous avoir rencontré, et croyez-moi, ce ne sont pas des paroles en l'air...
Elle a eu son compte, je crois!



l'homme se présentait, titan sourit et regarda le corps ensanglanté gisant inanimé sur le sol.

le Bonjour Messire, Titan de Rhodes seigneur de la Dailhe et de Puisaye pour vous servir.
enchanté de faire enfin votre connaissance, je vous avait déjà vu de loin en compagnie de votre baronne de mère que je connais de longue date.
quand à notre adversaire, je pense que oui, il as eu son compte.
mais dites moi, si je peux me permettre, pourquoi avez vous tranché les jarrets du cheval de votre adversaire ?
je vais devoir l'achever pour lui éviter des souffrances inutiles, mais à mon avis ce n'étais guère nécessaire.


joignant le geste à la parole, titan sauta au bas de sa monture et sortant la dague cachée dans sa manche, il trancha la carotide de la pauvre bête, s'écartant prestement pour ne pas recevoir un coup de sabot.
après quelques sursaut violent, le cheval s'immobilisa allongé prés de son maître.
il remonta à cheval et invita le fils d'Arian à en faire autant.


allons Messire remontez à cheval et regagnons les rangs de nos troupes, le combat est pratiquement terminé, mais il est inutile et imprudent de rester ainsi à l'écart.
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Alix_du_vivier
[En Eclaireur avant la bagarre]





Ils étaient dix mais en valaient bien cent de par leur courages, leur ténacités.
Ils avaient appris à se connaitre et cela c'était fait rapidement sans bruits, sans heurts.

Alix en connaissait certains, compagnons de toujours, Pkx et Prupiphoe ses fidèles amis de Normandie et compagnons de la Salamandre.
Les autres tout aussi charmants s'étaient rapidement adaptés, on voyait en eux des guerriers émérites.
La nuit tombée ils partirent tous en éclaireurs sur les chemins, sans un bruits épiant alentours et guettant le moindre froissement de feuilles sur le sol.
Seul les rayons de lunes les guidaient, ils avaient mission d'aller en éclaireur et de rapporter les positions des troupes ennemis.
Non loin dans une clairière ils aperçurent les étendards flotter aux vents. Les campements agités par les soldats qui montaient la garde laissaient voir une nervosité extrême.

Dotyy aux cotés de la jeune du Vivier accroupi derrière un buisson étudiait avec attention les armées qui apparaissaient au loin.
Cette jeune femme mère de nombreux bambins était une soldat confirmée par ses passages dans plusieurs armées de comtés différents.

La jeune Languedocienne d’origine, montra a Alix l’étendard de l'armée "Le Scorpion Noir".
Puis a la gauche un autre fanion se dressait en haut d’une tente qui représentait , l'armée "La Cigale Furtive"
Les deux jeunes femmes suivit par les autres lanciers se dirigèrent en haut d’un talus, et là se trouvait , ", l'armée "L'Arlesienne" .

Plus au loin une autre armée se dessinait « La Mistrale" .
Un signe de tête et tous firent demi tour rapidement, afin de rapporter tout ça aux campements.

--Prupi, as-tu noté les emplacements ?

Elle acquiesça d’un signe de la main qui montra sa besace. Pkx se mit en route le premier afin de rapporter tout ça à Nkhan qui les attendaient tous.

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Majda_eulalie


[le jour J]

Enfin... Voilà le moment qu'ils attendaient depuis de longues semaines...

Dernier passage en revue des détails dans sa tête concernant le plan de Nkhan. Enfourchant son cheval, elle accompagne les hommes à pied sur le flanc comme annoncé la veille. Tssss, rien de bien réjouissant, admirant non loin la charge de la Princesse, la jeune maure esquisse un sourire, elle n'apprendra donc pas à se tenir derrière ses hommes et sa garde... Les armées provençale sont là, droit en face pas le moment de fléchir, elle avance, l'épée pour le moment au fourreau, elle n'est pas assez prêt pour lancer un réel assaut.

Soudain, une douleur, profitant de son inattention un italien à son verbiage, qui se tenait en embuscade dans un buisson, vient de briser son bouclier, et le bout de son épée effleure le bras de la jeune maure... Enfin effleure...

Majda grimace, et ne peut contrôle instinctivement son geste de la main droite pour soutenir son bras gauche, ce qui a pour effet quasi immédiat, étant donné sa maladresse légendaire en Languedoc sur une monture, de la faire choir.

Le souffle court, elle rappelle ses hommes qui semblent en aussi mauvaise posture qu'elle, repli stratégique, pas la peine de tous y rester... Adrien, de ce qu'elle peut voir est en aussi mauvaise posture. Attrapant les rennes de sa monture de la main dextre, son bras gauche pendant lamentablement, la douleur sourde commençant à s'installer, elle s'occupe d'abord de rassembler les hommes. Direction l'hôpital de campagne pour plus de la moitié d'entre eux... arf, lourd tribu pour cette journée, mais les autres auront sans doute plus de chance que les languedociens.

Côte à côte avec Adrien, Quirin, Jack et les autres, ils tentent d'assurer dans un dernier effort les arrières de l'armée, sécurisant comme ils peuvent étant donné les multiples blessures qu'ils ont reçu, le chemin vers le campement.

C'est alors qu'elle commente, discutant avec son époux, lui aussi blessé...


Dites-moi, mon ange, nous n'avons pas vu l'ombre d'un provençal pour le moment ou je me trompe? En auriez-vous aperçu vous-même ? Pour ma part, je n'ai vu que des femmes sur les remparts d'Arles, dont une italienne, et encore cet étranger italien à son charabia assez incompréhensible qui était en embuscade dans les fourrés. A croire qu'ils nous attendaient les bougres... Ils n'ont donc pas d'hommes en Provence, pour envoyer des femmes et des étrangers ?


Enfin, les armées reviennent au campement, et ils partent en convoi avec les blessés, pour prendre du repos. La bannière n'a pas démérité, et ceux qui ont réussi à faire une trouée s'en sortent très bien,

Elle remercie et encourage les hommes qui restent vaillants, les confiant à Nkhan, puis va aider à préparer le convoi pour le retour sur l'hôpital de campagne.

C'est seulement à ce moment que la douleur sourde devient vive, et lui arrache quelque humiditié au coin de l'oeil. Serrant les dents, elle se tait, le souffle court, et se faisant aider pour se remettre en selle, confie les rênes à son mari, pour pouvoir tenir son bras, et éviter des secousses.

Le verdict, donné dans la matinée sera sans appel... Os cassé, entaille profonde, interdiction de retourner au front pendant un looooonnnnng moment. Elle enrage, mais ne peut qu'acquiescer, son bras reste très douloureux malgré les soins, et elle ne cesse de prendre de la camomille sous toutes les formes pour tenter de calmer la douleur.



03-03-2010 04:08 : Votre bouclier a été détruit.
03-03-2010 04:08 : Delmulin vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
03-03-2010 04:08 : Vous avez engagé le combat contre l'armée "L'Arlesienne" dirigée par Lila, l'armée "La Mistrale" dirigée par Hersende, et l'armée "Le Scorpion Noir" dirigée par Blackwolf777.

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