Blackhorn
Depuis plusieurs jours déjà, Black avait pris sa décision. Son amie Ealaena n'allait pas bien depuis son retour de Noirlac où elle avait passé quelques jours, pendant les fêtes de Nowel.
Il l'avait revue à son retour, aux "Filles du Vent", l'auberge qu'ils fréquentaient tous deux le plus souvent. L'auberge était bondée et la neige épaisse qui était tombée sans discontinuer pendant plus de deux jours, entraînait de nombreuses glissades sur le seuil... D'autant que son portier, toujours aussi mal embouché, n'en avait même pas correctement déneigé l'entrée!
Ealaena était assise près du feu et semblait ne s'intéresser à personne d'autre qu'un petit gamin dépenaillé appelé Payio. Après les avoir observé de longues minutes, attendri par les attentions que la future mère prodiguait au petit, Black essaya plusieurs fois d'engager la conversation avec elle. Un peu déçu que son amie ne manifesta pas plus de plaisir à le revoir, Black ne resta pas très longtemps ce soir là...
Le lendemain, lorsqu'il la revit dans l'après-midi, assise à la même place, elle était seule dans la taverne. Seule... et très pâle. Elle lui expliqua que la veille, elle avait joué longuement dans la neige avec le petit Payio et avait fait une mauvaise chute, tombant lourdement sur les fesses.
Il dut lui arracher bribes par bribes, que depuis cet incident, elle avait ressenti par 3 fois des douleurs dans le ventre qui la vidaient de ses forces en un instant. La dernière fois étant quelques minutes avant qu'il n'arriva.
Black la raccompagna chez elle en galant homme mais lorsque qu'il la revit le soir, toujours à la taverne et qu'elle eut une nouvelle crise, c'est chez lui qu'il décida de la conduire, pour pouvoir mieux s'occuper d'elle, ce soir là....
Pendant 2 jours il insista pour qu'elle vienne s'installer chez lui jusqu'à son accouchement, mais c'est après la deuxième nuit qu'Eal avait passé seule, chez elle, qu'elle accepta finalement. La crise violente qu'elle avait eu cette nuit-là l'avait laissée pantelante, sans force et dans une angoisse terrible. Et elle lui avait avoué qu'il la rassurait par sa seule présence et toutes ses attentions.
Pour éviter les commèrages qui allaient déjà bon train, ni elle, ni Black, n'en parlèrent à quiconque...
Blackhorn
En entendant frapper à la porte, Black se demandait qui pouvait venir à cette heure. Eal était près de lui... enfin, près de l'âtre et ils parlaient des préparatifs de l'enfantement.
Quand il ouvrit la porte... on peut dire qu'il fut vraiment surpris! Zo... enfin Zoyah! Il la connaissait déjà un peu, l'avait croisé en taverne, à la garnison... et dans quelques autres endroits.
Bien sûr, ils avaient parlé ensemble mais elle était si occupée que c'était resté assez superficiel.
"Entre Zo... Zoyah! Excuses-moi, mais Eal m'a tellement parlé de toi, de votre amitié... que j'ai l'impression de te connaître plus qu'en réalité. Je suppose que tu es venue la voir? Elle est là, la pièce de gauche... près du feu. Donne moi ta cape que je la fasse sécher...
*Puis, s'effaçant, Black la laisse passer devant lui, admirant au passage... puis une petite voix au fond de lui: "Non Black, doublement interdit!"
*Reprenant contact avec la réalité, Black les rejoint alors qu'elles s'embrassent déjà...*
Si vous le permettez, je vais vous laisser un instant, vous avez sans doute des choses à vous dire et je ne veux pas être importun.
Non Eal... je sais que je ne gêne pas mais tu sais où tout se trouve si tu veux offrir quelque chose à ton amie et je vous laisse...
Ealaena
La blondinette redressa la tête quand des coups furent frapper à la porte. Un regard interrogatif vers Backy... Qui pouvait bien frapper chez lui ? Il n'avait aucune visite de prévue.
Enfin, il ne lui avait parlé d'aucune visite. Ils étaient près du feu à discuter du jour de l'enfantement et surtout de ce qu'il y aurait à faire en premier. Il partit ouvrir tandis qu'elle était à se demander ce qu'il convenait de faire. Rester à sa place ou s'éclipser dans la cuisine discrètement ?
Eal tendit l'oreille pour tenter de savoir qui venait rendre visite à son ami et surtout pour savoir quoi faire.
Au nom de Zo, la pestouille se leva, droite comme... Euh... Non pas vraiment comme un i. Bref, elle était déjà debout quand son amie arriva dans la pièce.
Bien le bon soir Zozo. Comment vas-tu ? Et que viens-tu faire là ?
Eal bisouilla son amie et jeta discrètement un regard vers le lit. Mwouarf... De toute, Zo savait tout ce qu'il y avait à savoir de la pestouille.
C'était bien la seule d'ailleurs qui savait qu'Eal avait élu provisoirement domicile chez Backy. Celui-ci s'était confié la mission la plus importante qui soit...
Ne pas quitter la blondinette d'une chausse. Misère...
Citation:Si vous le permettez, je vais vous laisser un instant, vous avez sans doute des choses à vous dire et je ne veux pas être importun.
Non Eal... je sais que je ne gêne pas mais tu sais où tout se trouve si tu veux offrir quelque chose à ton amie et je vous laisse...
Un doux regard pour son ami, sourire reconnaissant aux lèvres... Merci mais reviens quand même vite parce que de rester assise trop longtemps me donne mal au dos ! Eal le regarda s'éloigner, réprimant de justesse un soupir... Pas eut le temps de le bisouiller. Tant pis ! Puis la blondinette se tourna de nouveau vers Zo et la regarda de haut en bas. Alors toi ! Racontes-moi tout ! On a à peine le temps de se voir en ce moment. Mais j'oubliais... Tu veux boire quelque chose ? Manger ? Eal alla chercher une chaise pour son amie et la lui présenta. Assieds-toi, veux-tu ? Elle resta debout en attendant que Zo lui réponde, prête à filer vers la cuisine au cas où..._________________
Zoyah
Que le froid pouvait être mordant en cette saison. Normal, me direz-vous, nous somme en plein milieu de lhiver. La jeune femme ne patienta pas trop longtemps, elle tapotait un de ses pieds contre un des piédroits de lentrée afin dôter la neige de ses bottes lorsque la porte souvrit sur Blackhorn. Un moment détonnement, allez savoir pourquoi, elle sattendait à découvrir Eal. Moment vite éclipsé à la souvenance que le portier nétait autre que le maître des lieux.
Citation:Entre Zo... Zoyah! Excuses-moi, mais Eal m'a tellement parlé de toi, de votre amitié... que j'ai l'impression de te connaître plus qu'en réalité. Je suppose que tu es venue la voir? Elle est là, la pièce de gauche... près du feu. Donne moi ta cape que je la fasse sécher...
Un franc sourire illumine le doux visage de la jeune castelroussine.
Bonsoir Blackhorn, désolée de venir si tard mais Eal avait lair...hum
fatiguée ce matin aux douanes.Oui, donc là elle veut dire que Eal était moins pestouille que dhabitude, pas de tirage de langue, pas de taquineries et surtout pas de potins ! Fait rarissime chez la blondinette
.donc je me permets de jouer les intruses et de venir voir comment elle se porte
jetant un il vers lintérieur de la demeure.
A lévocation dun bon feu la jeune femme ne se fait pas prier et pénètre rapidement dans la maison. La cape est remise au jeune homme mais avant daller trouver Eal
Excuse-moi de profiter de ton hospitalité ainsi, Blackhorn, mais serait-il possible que mon cheval soit mis à labri ...quelque part ? Le sourire est gêné et les joues sempourprent légèrement. Il sest remit à neiger et je ne voudrais pas quil souffre des mes inquiétudes passagères
La voix dEal se fait entendre et, sans même attendre la réponse de son hôte, la jeune femme sapproche afin dembrasser son amie.
A linvitation de SAPP, la prévôte à la chevelure de jais sinstalle près de la cheminée. Elle retire lentement ses gants de cuirs, grimaçant légèrement, la chaleur de la pièce au contact de ses doigts transis par le froid la faisant souffrir légèrement. Puis sapercevant quEal était plantée debout, devant elle.
Non, rien...merci, je nai pas très faim
elle naurait pas craché sur un bon bouillon mais ne voulant pas faire déplacer la future mère, elle sabstint de le mentionner.
Approchant ses mains du feu
Tu sais en ce moment sortie de la prévôté, je ne fait pas grand-chose mais je ne suis pas venue parler de moi mais plutôt de toi
reprend donc ta place
indiquant du menton le siège en fasse delle puis se tournant vers lâtre et fixant le brasier du regard. Cest incroyable ce que ça peu avoir un côté hypnotique les feux de cheminées, on resterait des heures planté là à les regarder
Je tai trouvé fatiguée ce matin
plus que daccoutumée
regard de biais en direction de Ealaena avant de se porter de nouveau sur le feu
comment te sens-tu ? De plus, tu mas marmonné quelques mots au sujets de douleurs persistantes au ventre... accompagnat le geste à la parole, sa main se pose sur son propre ventre. Zoyah nen dit pas plus, supposant que la future mère comprendrais exactement de quoi il en retournait bien quelle soit blonde. _________________
Zoyah
Zoyah écoutait Ealaena mentionner ses douleurs au ventre, portant sur son amie un regard soucieux mais tâchant de ne rien en laisser paraître. Rien dalarmant en soit, la jeune conseillère savait que certaines femmes ressentaient les premières douleurs de lenfantement de manière très précoces.
Diantre ! Pourquoi la blondinette semble tant sintéresser à son lit ? Elle était donc à ce point fatiguée ? Le regard bleuté de Zoyah se troubla quelques instants. Quelquun instants où elle imagina le pire
et si Eal accouchait maintenant...et si elle était trop épuisée pour parvenir à mettre son enfant au monde
et si
Toutes ses idées noires bouillonnaient dans sa tête. Seul signe qui trahissait son inquiétude, la bouche pincée de la jeune femme dont les lèvres étaient habituellement pleines, ressemblait juste à une fente. Et voilà quEalaena lachevait en une phrase.
Comment ça plus tôt ?! Sur un ton qui se voulait calme mais laissait malgré tout transparaitre le désarroi de la jeune conseillère.
Eal ! Tu aurais dû men parler, je taurai renvoyé chez toi au lieu de te laisser passer une partie de ta journée aux douanes
mais tu es tombé comment ? Sur les genoux ? Sur les fesses ? Une lueur de reproche illumine le regard de la prévôte. Elle nen voulait pas à Eal mais à elle, la prévôte, de ne pas avoir su détecter les premiers signes de fatigue de la future mère. Pourquoi ne lai- je pas fait remplacer sur le champ
poussant un soupire puis reprenant tout doucement
je taurai fait remplacer, tu sais
puis instinctivement, elle détaille son amie
froncement de sourcil traduisant une interrogation
se saisissant dune couverture posée sur le lit et la dépose délicatement sur les épaules de sa meilleure amie
je ne me souvenais pas que tu le portais si bas, avisant le ventre rebondi
Zoyah qui sétait levée sans même sans rendre compte se frottait le front et semblais chercher quelques souvenirs dans les tréfonds de sa mémoire.
Elle se revoyait petite fille, accompagnant sa vielle mémé partout où elle allait. La bonne femme, douce et généreuse lui avait servie de mère une bonne partie de sa vie. Et comme toutes les femmes dun certains âge, ayant enfanté plus de fois que cela n'est permis, elle assistait bien des futures mères dans la dure et parfois cruelle épreuve de laccouchement.
Pendant ces moments là, la fillette potelée quelle était se retrouvait confinée dans un coin de la pièce doù elle ne pouvait réellement apercevoir la venue de lenfant mais au moins suivre les conversations. Des expressions telles que perdre les eaux ou douleurs de plus en plus rapprochées lui revenait en mémoire, elle revoyait même une des parturientes présente défaire tous les nuds de la maison afin de conjurer le mauvais sort.
La voix dEal la sortit de ses songes
Oui ? ..dis moi je ten prie
tu veux que jaille chercher une sage femme ? ou quelquun dautre ? ne sachant pas exactement ce que son amie attendait d'elle...et surtout ignorant où elle allait pouvoir dégoter une sage-femme.
La vieille mère Picaud qui habitait le coin de la rue peut-être ? Cette vielle toupie avait eu au moins 12 enfants paraît-il, ça ne lavait pas rendu aimable pour autant. Zoyah ne lavait jamais vu autre part quen train de bouliter derrière sa fenêtre, à laffût du moindre commérage La fois où Thomas avait répondu à linvitation dun souper, ce vieux dragon avait été raconté à quelques voisines, que la jeune femme avait certainement commis un délit et quelle sétait arranger par des méthodes « naturelles » avec le juge de lépoque, Thomas donc . Non la mère Picaud ne ferait pas laffaire. Zoyah, sur le qui-vive attendait les ordres de SAPP
_________________
Blackhorn
En refermant la porte de chez lui, où il avait laissé les deux jeunes femmes papoter au coin du feu, Black se demandait ce qu'aller penser Zo de la présence d'Eal chez lui. Lui avait'elle expliqué que...?
Haussant les épaules d'un air fataliste, Black prit les rênes de la monture de Zo, un superbe petit cheval très musclé et longiligne, à la robe luisante, et lui fit contourner le Poste de Police pour le mettre sous l'appenti, à l'arrière de chez lui...
On ne pouvait pas vraiment parler d'écurie, car même si un toit protégeait l'intérieur des intempéries - en ce moment la neige - le petit batiment, adossé à la maison, n'était vraiment clos que sur un seul des 3 côtés restants. Les deux autres s'arrêtaient à hauteur de poitrine, le haut, jusqu'au toit, étant ouvert.
Le contraste entre le petit pur-sang de Zo et le gros Berrichon que possédait Black était saisissant! Son cheval, plus grand, plus trapu et surtout plus gros semblait remplir 2 fois plus d'espace que l'autre. Bien sûr, pas question de vouloir le lancer au galop mais il était solide et acceptait lourdes charges et longues distances sans renâcler...
Et puis, il pouvait lui atteler une carriole et transporter ainsi marchandises ou personnes d'un endroit à un autre sans diffficulté...
Il bouchonna le petit cheval pour le réchauffer, lui posa une couverture sur le dos et lui attacha un sac de picotin sur le devant de la bouche.
Zo retrouverait son pur-sang en parfait état...
Zoyah
Zoyah qui nageait entre perplexitct grosse paniqueaentre les propos faussement rassurants dtEalaena et la douleur aigue au ventre de cette dernid, regardait la blondinette avec un air r,obateur.
Oufff, cette contraction plus forte que les autres, avait tout de ml un effet positif. Celui de faire recouvrer la raison pa Pestouille qui les yeux dans ceux de Zoyah suppliait de par son regard la prete. La requ uit latimeeZoyah sourit lentement en signe dqacquiescement puis serra quelques instants son amie dans ses bras. Un profond soupire s iappa traduisant le soulagement de voir qudEalaena pouvait se montrer raisonnablegde temps en tempsEparfoisprarementemais toujours quand il fallait.
Ne te fais pas de soucis, lorsquyYsaoth viendratil fera comme Blackhorn et tout autre sujet oip vun service trois piesBil ira faire les cents pas dans la cuisine. Sur lninstant, Zoyah mima un coup de pied aux fesses donni une personne imaginaire qui se dirigerait vers la fameuse cuisinenpuis se reprenant...bon, on lui fera comprendre que sa place neest pas auprtde toi mais pluslhumf.gentiment. Tu devrais peut-ne faire dispara e tout ce qui est tranchant, non ?
A ltinvitation de la blonde et pr rant pter toute nouvelle contraric >a future mt, Zoyah la suivit docilement jusque dans la cuisine.
Sans dire un mot, le sourire aux lies, la jeune femme a longue chevelure noire sainstalla sur la chaise proposxet se pencha sur la table oae saisit une plume. Elle siapprlit soucher ses premiers mots sur le van quand elle stoppa son geste et se tourna vers Eal.
Je veux bien un peu de bouillonr par ce temps, cable, merci de ton hospitalitl
Elle se concentra de nouveau sur le parchemin et pris le temps de la raexion avant de le maculer d"encre.
Citation:Mon cher ami,
Je me permets de ttiire ces quelques mots afin de te prdnir dsune arrivMimminente.
Peut-re l ignores-tu encore mais Ealaena ressent des douleurs au ventre depuis quelques jours dt. Je suis actuellement avec elle et il semblerait que votre enfant montre le bout de son nez plus teue prr. Si j.en crois Eal, clest une question de jourmpeut-ie duheures me. Donc, il me semble important que tu prennes la route pour Choauroux dcque possible afin de e pr
nt le jour de la naissance du nourrisson.
En esp nt que tu sois lu temps,
Amicalement
Zoyah
Zoyah relut plusieurs fois sa missive. On ne pouvait pas faire plus concis ...enfin si, on pouvait mais il ne fallait pas trop se montrer alarmisteudonc aproplusieurs relectures et saie assuraque llencre cit s.e, la prite, de ses doigts fins et dlcats, plia le courrier.
Voil le pli est pr sartir de suitetj,ai besoin dgun PGV (Pigeon Grande Vitesse) ?
Eal stempara de la lettre et s/engouffra par une petite porte dans le fond. Un roucoulement ou deux s> appa de la myst>euse pis dans laquelle, elle avait pltruis un bruissement deaile signifiant que la lettre oit partie eestination de Bourges.
Zoyah se saisit du bol de bouillon qui avait s dnsf son attention sur la table. Elle y mouilla ses lBes, savourant la douce chaleur qui patrait dans sa bouche ihaque gorga Il fallut quuelle soit affamncar le bol se vida en quelques lampo. Duailleurs elle desait le rapient vide sur la table au retour dlEal.
Merci soiée lpobservant un momentaje vais te laisser te reposer, au passage j irai dsser un mot chez Luluelltindex droit se posa sur sa bouche>mais oiite-t-elle ? Jeavoue que je laignoredun brin gee"
Pendant que SAPP lui expliquait la route uivre, la jeune conseillu griffonna un mot sur un autre parchemin puis le plia avant de le cacher dans un des plis de sa houppelande.
Une fois raccompagnnea porte, avoir demanda trouvait son cheval et surtout embrasspien fort son amie, Zoyah enfon ses bottes dans la neige qui avait recouverte les rues. BBrrrrrrrrrrrrr !!Sont les seuls mots qurelle parvint trononcer. Puis elle fit le tour, contournant le poste de police afin de dsuvrir l
Elle passa sa main sur la croupe de sa monture pour venir la poser sur le pommeau de la selle ouosaient les ris.
Merci Blackhorn pour tpen se occupoeille bien sur Eal, je repasserai tnemain matin pour voir comment elle se porte. Et surtout levant lpindex en direction du ciel"emppes-ltaller aux douanes ou nulle part ailleurseil ne manquerait plus qunelle fasse une seconde chute. Je sais que je peux compter sur toiypetit sourire avant de sortir son cheval de ltabri.
Un l r frissonnement de llanimal a sensation du froid sur sa robe doru Zoyah, d un bond, monta lestement sur le dos du petit hongre, adressa un signe de la main on haen guise de salut puis talonna sa monture afin qu"elle parte en direction de la demeure de Lulue, 64 rue de la fronde.
La neige avait cessue tomber et la lune sncelante dans son ain de noirceur la faisait briller tel milles paillettes. Pas un chat dehors il devait oe bien tard dreDes toits de Chuauroux sfrvaient dizaines de colonnes de fum squlelle avait he de retrouver la chaleur de son foyer et sa solitude tlementnla vieille Mathilde it bonne et dausmais ne remplalt pas les absentsset surtout sa prhnce iui-mv si elle niavait jamais D trtconstante de part les obligations de chacun.
Apr avoir dfbulrans le dole des rues, Zoyah arre sa monture et en descendit. Elle seapprocha peblement dpune lourde porte, la neige entravant son avancm et degea du pied le palier encombroLe passage sommairement fait lui permis de glisser difficilement, l
Citation:
Lulue,
Je dose ce mot de la part dlEal afin que tu passes la voir au plus vite. Son enfant menace de venir plus tbue pr
Bien toi,
Zoyah
La mission it accomplie et Zoyah regagna son logis afin de pouvoir se camoufler sous une oisse couverture et de srendormir.
_________________