Feanaro56
Florian regarda la femme sans trop savoir quoi faire au premier abord, puis il lui prit le bras pour la remettre sur ses deux jambes.
Malgré le fait que ce n'était pas du tout le moment, concernant le moment et ses problèmes personnels, il n'était qu'un homme et se permit l'observer de la tête au pied.
Il sortit de sa reverie et reprit son air renfrogné :
Ils ont essayé de me... Ils m'ont frappée, ma jambe me lance... Je ne peux plus marcher.
[...]
Ils m'ont pris tous mes vivres... Et m'on laissée là. Aidez moi, je vous en prie, je dois rentrer sur le prochain village au plus vite.
Il passa son bras autour de la taille de la jeune femme et l'aida à marcher.
Je vais vous aider à marcher jusqu'à mon cheval, nous irons ensuite jusqu'au prochain village.
Quelques fourrés plus loin, Héraclès attendait tranquillement broutant l'herbe fraiche au pied d'un pommier, il tourna la tête vers eux en les entendant arriver.
Tenez vous quelques petites secondes à la selle, je déplace quelques affaires et je vous ferais grimper ensuite.
Florian détacha les deux sacs qu'il transportait derrière sa selle, l'un d'entre eux contenait les écus qu'il avait récupéré suite à la vente de sacs de blé à la mairie de Lyon puis dans l'autre, une partie de sa solde de vieux soldat.
Il sortit une miche de pain de ce dernier sac et la tendit à la jeune femme.
Tenez, vous pourrez manger un peu en chemin ...
Il monta d'abord sur son cheval et agrippa le bras de la jeune femme pour la hisser, la jeune était fluette mais assez costaude pour aider Grégoire à la monter sur son cheval.
Une fois correctement installée, il taquina le flanc de son cheval qui commença à marcher le long du chemin direction ... il ne savait pas quelle direction en fait, normalement ce devait etre la route de Dié.
Malgré le fait que ce n'était pas du tout le moment, concernant le moment et ses problèmes personnels, il n'était qu'un homme et se permit l'observer de la tête au pied.
Il sortit de sa reverie et reprit son air renfrogné :
Ils ont essayé de me... Ils m'ont frappée, ma jambe me lance... Je ne peux plus marcher.
[...]
Ils m'ont pris tous mes vivres... Et m'on laissée là. Aidez moi, je vous en prie, je dois rentrer sur le prochain village au plus vite.
Il passa son bras autour de la taille de la jeune femme et l'aida à marcher.
Je vais vous aider à marcher jusqu'à mon cheval, nous irons ensuite jusqu'au prochain village.
Quelques fourrés plus loin, Héraclès attendait tranquillement broutant l'herbe fraiche au pied d'un pommier, il tourna la tête vers eux en les entendant arriver.
Tenez vous quelques petites secondes à la selle, je déplace quelques affaires et je vous ferais grimper ensuite.
Florian détacha les deux sacs qu'il transportait derrière sa selle, l'un d'entre eux contenait les écus qu'il avait récupéré suite à la vente de sacs de blé à la mairie de Lyon puis dans l'autre, une partie de sa solde de vieux soldat.
Il sortit une miche de pain de ce dernier sac et la tendit à la jeune femme.
Tenez, vous pourrez manger un peu en chemin ...
Il monta d'abord sur son cheval et agrippa le bras de la jeune femme pour la hisser, la jeune était fluette mais assez costaude pour aider Grégoire à la monter sur son cheval.
Une fois correctement installée, il taquina le flanc de son cheval qui commença à marcher le long du chemin direction ... il ne savait pas quelle direction en fait, normalement ce devait etre la route de Dié.