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[RP] Tentes blanches : le soin aux blessés

Prunille
Recoud, encore.
Et voilà que le géant s'agite, encore.
Et qu'elle reçoit un flot d'alcool sur les mains.
En dehors du fait que maintenant elle est trempée, elle pue la vinasse par dessus le marché.
Termine vite fait bien fait de le recoudre.
Saletés de Françoys, va !
Se redresse, essuie ses mains désinfectées sur sa bure, et s'adresse à la cantonnade, vu le mouvement dans la tente, cela valait mieux pour y voir plus clair.


Qui a besoin d'une infirmière ici ?
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Armoria
La tente se mit brusquement à trembler. Hein ? Elle regardait alentour, cherchant à comprendre ce qui se passait, quand elle vit la longue dame brune - non, pas Barbara - au-devant de laquelle elle se porta.

Duch... Votre Eminence, pardonnez-moi de ne vous point baiser la bague cardinalice, je craindrais de vous mettre du sang.

Et surtout, elle avait remarqué la tendance d'Ingeburge à se raidir sitôt qu'il était question de contacts.

Votre présence icelieu est des plus précieuses, pour soulager les âmes, tandis que nous tâcherons de soulager les corps.

Et puis surtout, allez demander à quelqu'un chez qui on soupçonne une phobie aux contacts d'aller mettre la main sur des chairs ensanglantées, vous... Elle baissa le ton.

Surtout les plus mal en point, qui ressentent peut-être le besoin de se confesser.
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Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
Pulemetchik
La nonne avait enfin finit son oeuvre, il passat le bras dans son dos et tatonnat les points de sutures grossiers mais solides en gromelant, décidément il n'aimerait jamais se faire réparer à la mode de ce pays, au moins chez lui il serait déjà à nouveau au combat...

Lutant contre son envie de dormir et le tiraillement de son dos, il réussit néanmoins à se redresser sur son fessier et tirat sa cape à lui pour se rendre compte des dégats.

Tout, de sa chemise à sa cape de fourrures en passant par son mantel et ses nombreuses autres frusques avait été marquer d'une entaille et d'une belle auréolle de sang.

Il les remit néanmoins, il prendrait bien le temps de recoudre tout sa une fois une petite pinte ingurgitée.

Il agrippat à grand peinne le pommeau de sa claymore et, s'en aidant comme d'une béquille, allat ramasser sa hache qui lui servit bientot de seconde béquille sur laquelle s'appuyer.

Même pencher sur ses armes pour s'y appuyer, le viking frolait le sommet de la tente du haut de sa carrure, il se dirigeat ainssi, claudicant par moment, jusqu'à l'entrée de la tente.

Il en sortit puis se laissat tomber tranquillement à coter de l'entrée, assis sur son fessier, profitant de la brise fraiche lui apportant des relants de terre imprégnée par le sang et la sueur, une terre comme il l'aime et lui rapellant quelques souvenirs.

Plus le vent lui apportait des relants de sang, plus il espérait sa prochaine bataille, caressant doucement le manche de sa hache.

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Majda_eulalie


Elle regarde le médicastre... Il se permet de la dévêtir ? Bah, pas le moment de faire la difficile, au moins son bras sera moins douloureux. Il retire son capuchon... Feindre de ne pas savoir qu'il est catalan ? Inutile.

_Senorita, je vais devoir cautériser la plaie... Je ne peut pas le faire ici... Si vous le voulez, nous allons faire sa dehors.

Que dire à ça ? Elle le sait, la plaie doit être cautérisée. Elle observe son bras, et sort sa dague de sa ceinture, et retire l'onguent qui a séché. Sous les croutes rougies et sombres de l'onguent, la blessure semble un peu plus correcte.


Òc, Ben... Il le faut en effet... Le temps de prévenir mon époux, et je suis à vous, Senor.

Par un mot en catalan, elle lui fait savoir qu'elle sait d'où il vient. Tentant tant bien que mal de cacher sa poitrine par la chemise qu'il a ouverte, le bras gauche pendant lamentablement, tandis que du dextre, elle se couvre, elle se faufile jusqu'à Quirin, et lui glisse à l'oreille : Je vais avec le médicastre catalan me faire cautériser le bras.

Puis, elle pose une cape sur ses épaules, pas le moment d'attraper la mort non plus, et revient près du catalan.

Je vous suis.

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--Diego_de_castille
Il sortit à l'air libre avec la jeune femme. Observe son embarras quand elle essaie de cacher sa poitrine... L'Aigle sort une large bande de tissus et lui tend.

_Senorita, enlevez votre chemise et mettez cela je vous prit...

Il espérait ne pas avoir à lui expliquer ce que cette bande de tissus devait cacher. La gamine devait quand même pas être idiote... Il se dirigea vers une tente un peu à l'écart et entras, suivis par la Maure. La tente était déserte, juste ce qu'il fallait pour cautériser. Se détourne pour laisser la jeune fille se dévêtir et mettre la bande de tissus pour cacher sa poitrine. En attendant, il récupère un fer à cautériser et le pose dans le brasero. Sort aussi une fiole, une bouteille d'alcool et une lanière de cuir rembourrée. Surveille son fer... Une fois que la dame a finis, se retourne vers elle.

_Je vous préviens, vous allez avoir mal... Je ne peux pas faire grand-chose pour contrer la douleur... Buvez simplement sa et.. quand je cautériserais, vous boirez le contenu de la bouteille... Je ne puis faire plus...

Lui tend la lanière de cuir.

_Mordez la-dedans, si la douleur est trop intense.
Majda_eulalie


Hochant la tête, elle prend la bande de tissus, et le suis.

Après être entrée sous la tente, alors qu'il lui explique les opérations tout en préparant son matériel, elle le regarde sans ciller, puis lui tourne le dos, posant le tissus sur une malle... Priant Aristote qu'il n'en profite pas pour la tuer au beau milieu du campement. A mi-voix, elle prononce le crédo, tout en retirant sa cape et sa chemise, et la main dextre.

Reprenant le tissus, elle le pose sur sa poitrine, glissant un coin sous son épaule gauche pour le maintenir, fait le tour de son buste, par le dos, puis revient par devant sur sa poitrine puis sous son aisselle gauche. Attrapant les deux morceaux, elle en met un dans sa bouche, et fait un noeud. Arf, pas terrible, mais au moins, ça cache ce qu'il faut. Quelle idée de n'avoir pas demandé à son époux de l'aider à s'habiller ce matin et mettre les bandes bien serrées qu'elle met d'habitude.

Après un bref soupir, limite en nage par l'effort demandé, avec le bras ballant et douloureux, elle revient vers le médicastre.

Pas d'alcool, je le supporte mal, mais si vous me le permettez...

Elle sort de sa poche un petit flacon d'une boisson dont elle a le secret depuis quelques jours, à base de pavot, qui lui permet de moins sentir la douleur, et elle s'allonge sur le lit de fortune, le bras gauche du côté du catalan.


Senor... Vous pourriez m'occire d'un simple geste... Je prie le Très-Haut que dans sa bonté, il guide votre geste pour les soins.

La boisson commence à faire de l'effet, et la douleur s'estompe, mais on ne sait jamais, elle tend donc la main droite.

Je ... je veux bien... le morceau de cuir...


Oh, elle n'a pas peur, elle le regarde droit dans les yeux, essayant d'y voir le reflet de son âme, mais ne voit rien, il se cache le bougre, même si elle voit son visage, elle est incapable de voir s'il est bon ou mauvais. Allongée, bottes et braies couvertes de boue et de sang, salissant la paillasse, elle prie de nouveau, fermant un instant les yeux.

Aristote, apporte-moi ta force et ta sagesse.


Elle porte alors le morceau de cuir à sa bouche et hoche la tête en sa direction posant sa tête sur la paillasse.


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Ingeburge
Nouvelle tente, nouvel espoir mâtiné de crainte de tomber sur des visages connus... mais certainement pas sur celui-ci. Certes, elle avait eu vent de l'arrivée de la Princesse d'Etampes en Arles mais avant le départ des deux armées, elle n'avait eu l'occasion de la croiser, ne se risquant guère en dehors sauf pour se disputer avec Namaycush. Elle esquissa donc un geste de surprise à la vue du Grand Maître de France, surprise renforcée par la vêture et l'allure de celui-ci.
Armoria, volubile et active à son habitude, l'accueillit et elle-même se montra aussi loquace que de coutume :

— Votre Altesse.

L'évocation du sang maculant les mains d'Armoria la fit revenir totalement de sa surprise et elle se risqua à observer les lieux. Le sang était partout, sur les blessés, dans les écuelles d'eau rougie, les tissus souillés et elle pouvait en respirer les relents âcres. Elle se revoyait soudain sur la route d'Avignon, là où elle était passée, seule, à la suite de l'armée de Memento, sur cette route où régnait un chaos sanglant.

Armoria lui parlait toujours et elle répondit un peu ailleurs :

— Ma présence? Euh... oui, bien sûr.
Pas très convaincant mais elle était obsédée par l'idée de savoir où étaient passés Namaycush, son vassal et d'autres. Et puis elle n'avait pas tout compris à penser à autre chose.

Sauf qu'ensuite, la lumière se fit dans son esprit quand la princesse précisa ses propos en faisant référence au secours spirituel qu'elle pourrait apporter. Ingeburge en aurait presque ri si elle en avait eu la faculté. Elle? Confesser? Elle n'attirait que rarement les confidences des pécheurs et n'était pas celle vers qui l'on se tournait volontiers, la raison était sans doute qu'elle n'incarnait en rien l'aménité ou l'ouverture Mais ses charges ecclésiastiques plaidaient contre elle, c'était, surtout dans un moment comme celui-ci ce que l'on attendait d'elle. Elle se borna donc à répondre :

— S'il l'on a besoin de moi, je suis là.

Puis, revenant aux raisons qui faisaient qu'elle voyait Armoria ici, elle demanda :
— Mais et vous, Votre Altesse? N'êtes vous donc point blessée? S'est-on correctement occupé de vous?

EDIT : 'bouffé des mots
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Armoria
Le sang de la brune éminence passant ça et là provoqua chez elle une réaction sans doute surprenante : elle sourit. Pas le large sourire disant que l'on était heureux de voir quelqu'un, mais le presque timide sourire affirmant que tout irait bien, que chacun se prenait en main. Rassurer : son côté mère poule était si rapide à prendre le pas sur le reste ! Ingeburge avait été adoptée par la Bourgogne, et aux yeux de celle que d'aucuns considéraient peu ou prou comme une mère - et le tri-Duc comme un père, c'était dire si les Bourguignons avaient une sacrée paire de Pairs pour parents - c'était une raison suffisante pour vouloir d'instinct la prendre sous son aile. De gré ou de force, d'ailleurs.

Ne serait-ce qu'avoir la possibilité de vous parler leur ferait certaiement du bien, Eminence.

Et là, ce fut le drame. Autant Ingeburge avait hésité en parlant de sa présence, comme revenant d'allez savoir quelles profondeurs, autant là, ce fut la blonde qui eut un rien de perplexité dans le regard. Et elle ? Quoi, elle ? Oh... Penser à elle... Zut, pas habituée.

Moi ? Bah, un poignet foulé, je l'ai renforcé, rien de bien méchant, fit-elle en balayant le sujet d'un geste de la main. Pardonnez-moi, j'y retourne.

Surtout ne pas lui dire qu'on lui avait volé sa relique. Adrien, Samuel ? Samuel, Adrien ? Allez, Adrien, qui s'agitait. Et...

... Bon sang, avec une Cardinale, elle ne pourrait plus jurer. Rha.

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Caro
Le temps de recoudre je pouvais observer tout de mesme que la jeune femme se faisait bien du soucis pour son époux qui était entre les mains de la princesse. Quelques points de suture plus tard le tour était joué, la plaie refermée.

Coupant le fil je reposais l'aiguille pour ensuite prendre de l'onguent qui aiderait à la cicatrisation et de bander ensuite pour éviter une infection.


Voilà qui est fait... nous surveillerons cela ces prochains jours mais tout devrait bien se passer à présent.... Je vous fais porter de quoi vous boire....

De m'approcher un peu plus près d'elle et de lui murmurer


Tout ira bien pour votre époux, il est entre de bonnes mains... reposez-vous à présent


Je remettais mon bras en écharpe histoire de le reposer un peu, de me lever et de rassembler mes affaires pour les nettoyer et aller m'occuper d'autres blessés qui n'avaient de cesse d'arriver. Certains gravement atteint et d'autres moins lourdement. La tâche s'annonçait rude et longue.

Je revenais vers les blessés faisant un rapide tour d'horizon afin de voir qui aurait besoin de mon aide


[hrp : vu le grand nombre de post et mon retard , si quelqu'un a besoin de Caro faites lui signe et elle viendra vers vous]
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Maelie
Maëlie grimaça un sourire lorsque Quirin se pencha à son tour sur son chevet : l'alcool du médicastre faisait son office et "picotait" largement la blessure.

Senhèr, vous me faites grand honneur. Je suis heureuse de voir que Majda et vous-même allez bien, et...

Maëlie !


Le cri lui fit tourner la tête avec vigueur, en tentant de se redresser sur ses coudes. Ce mouvement maladroit lui provoqua une dague de douleur dans toute la jambe, qu'elle refoula avec un gémissement.

Adrien! Soi aici, va plan ! Va plan... amaisatz vos. Soi aici, amb vos.*

Sa voix tremblait, sans qu'on puisse déterminer s'il s'agissait de sanglots retenus ou de l'effort physique qu'elle faisait pour se redresser et repousser la douleur.

*Adrien ! Je suis là, tout va bien! Tout va bien... calmez-vous. Je suis là, avec vous.

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PC HS !
De l'art de recevoir...
Occitania per totjorn !
Ingeburge
Etrange comme chaque être possède ses propres sujets sensibles. Si Ingeburge n'aimait pas qu'on la touchât ni même qu'on lui se permît de lui adresser la parole, Armoria, elle, n'aimait pas à ce que l'on se souciât d'elle. Le Cardinal avait déjà eu l'occasion de remarquer que la princesse préférait toujours de loin s'occuper des autres avant de songer à elle-même et cela expliquait sans nul doute, avec la conscience de la place de son devoir, le poids des responsabilités qui étaient les siennes. Et cette minimisation de sa blessure en réponse à la question d'Ingeburge était la preuve éclatante.

Cette dernière fit la moue, peu convaincue par la pirouette avec laquelle la princesse s'en tirait mais c'était une moue indulgente, elle ne comprenait que trop, commençant à la connaître, qu'Armoria eût l'esprit encombré des personnes à soigner et qu'il n'était pas question de s'occuper de soi. Elle ne dit donc rien, la laissant aller, se contentant de suivre quelques secondes la silhouette aux vêtements masculins se pencher au-dessus de l'un des grabataires.

Elle-même n'était pas là pour elle, blessée, elle ne risquait pas de l'être, le seul risque qu'elle courait était de périr de désœuvrement. Non, elle n'était pas là que pour trouver ceux qu'elle cherchait, dénombrer les pertes, prendre des nouvelles de ceux restés sur le font et réconforter ceux revenus. Autant alors, en inspectant la tente, glisser quelques mots à ceux qu'elle ne connaissait pas, elle avait tout son temps et ceux de ses compagnons réacheminés sur Arles ne partiraient pas de sitôt.

Prenant une inspiration profonde, elle retira son gant main, dévoilant le saphir symbole de sa charge passé à son annulaire. Elle dégrafa ensuite sa mante, laissant apparaître la médaille pourpre cardinalice qui l'identifierait sans nul doute aux yeux de ceux auxquels elle irait parler car avec enveloppée de son noir éternel, elle ne paraissait pas être le réconfort vers lequel on se tournerait spontanément; la tâche purpurine serait comme un phare dans la nuit de ses vêtements.

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Kalopsite
Sans un mot je laisse la dame travailler, elle est concentrée sur les points qui s'additionnent, je n'ai pas le courage de les compter, avant qu'elle ne me fasse un joli bandage...

Je vous remercie dame, je me nome Kalopsite, mais tous m'appelle kalo, encore merci, pensez a vous reposer un peu aussi

Un dernier sourire avant qu'elle ne parte vers d'autres blessés, il est vrai que j'ai besoin de repos, Titan est allonger, sa respiration est régulière, la fièvre ne semble pas le gagner, je m'allonge et ferme les yeux, dormir un peu, juste un peu....
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Le manoir des artistes
Samuel_de_treviere
Samuel tourna la tête à l'approche d'Enored...Sa main sur la sienne, puis dans la sienne... il pouvait à présent sourire... toujours blessé, mais son visage avait dégonflé... Il le sentait beaucoup mieux depuis son réveil....Il l'écouta et garda cette main si précieuse près de lui... Après un temps, il la regarde et lui dit...

Ou en sommes nous ? Avons nous d’autres blessés ?

Concerné par l'état des force loyaliste de Provence. Samuel ne voyait que lui et Eno icelieu. Il espérait que cela n'était pas du a une perte d'effectif...
Sitôt la question posée... un changement de rythme dans les flots de parole sous la tente l'intrigua. Il tourna la tête de l'autre côté lentement pour ne point s'infliger trop de douleur... Les courbatures d'après le choc étaient encore présentes....
C'est ainsi qu'il entrevit la princesse cardinale...Samuel tourna alors rapidement vers Enored...


Aide moi a me redresser... je ne dois pas être présentable...

même punition qu'a l'arrivée de la princesse d'estampe... on ne le changerait pas sur ce point... Mais le seigneur n’avait pas vraiment réfléchi que la capitaine n’avait qu’une main disponible… Il se glissa vers le haut du lit avec précipitation avant que Son Altesse ne l’aperçoive…

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Enored
Se sentant observée, l'Irlandaise quitta Armoria des yeux pour revenir vers Samuel, il souriait. Léger soulagement.

Ou en sommes nous ? Avons nous d’autres blessés ? Faire un point rapide de la situation afin de le rassurer.


Pour le moment nous sommes les deux grands gagnants ... d'après ce que je sais ... Son regard croisa le sien ... un petite touche d'humour après tout ne ferait pas de mal. Ceux qui avaient rejoint Namay sont toujours dans son armée. J'sais pas où j'ai pas d'nouvelles. Ici à Arles, en dehors de nous deux, il y a la grenouille ... son crapaud ne devrait pas tarder à arriver. Ta cousine est là aussi, Istanga, ainsi que Rouge, Harding et heu ... celui dont j'ai du mal à prononcer le nom ... Terchak ? oui c'est ça. Léger silence le temps pour la jeune femme de rassembler ses pensées Dès que j'irai mieux je reformerais une lance avec eux ... Nkhan m'a contactée pour la suite des évènements ....

Le regard de l'Irlandaise suivit celui de son ami. A l'entrée de la tente, Ingeburge. Mouvement rapide juste à côté d'elle.

Aide moi a me redresser... je ne dois pas être présentable...


Il n'en fallu pas plus à la rouquine pour fulminer, elle laissa libre court à sa colère, se redressant d'un bond.


Mais c'est pas possible ! tu es blessé ! gravement blessé ! ça te rentrera quand dans la tête ! arrête de vouloir être présentable !

Elle avait haussé le ton sans le vouloir, trahissant l'inquiétude qu'elle pouvait ressentir. De sa main valide elle le plaqua conte son lit.

Toutes princesses qu'elles sont tu ne te lèveras pas pour elles ! Ça suffit Samuel ! A cet instant, plus de mercenaire, plus de capitaine, simplement une jeune femme qui avait peur pour l'état de celui qu'elle aimait. Il pourrait grogner, râler, même élever la voix qu'elle s'en moquait la rouquine.

Elle détourna le regard, la main toujours posée sur son épaule, autant pour lui cacher ce qu'elle pouvait éprouver à cet instant que pour chercher désespérément un appui de la part des deux femmes devant qui il voulait être 'présentable' ...

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--Diego_de_castille
Le jeune homme considéra un instant la jeune femme. Elle avait des doutes sur sa bonne foi... Elle en aurait encore plus si elle saurait que son médicastre de fortune était un de ceux qui avaient assaillis le campement l'autre nuit.

_Senorita, je ne compte aucunement vous occire. Si vous n'avez pas confiance en moi, je comprendrais que vous refusiez mes soins. Mais je vous jure, sur mon honneur, que mes intentions sont seulement celles d'un homme cherchant à apaiser des blessés.

Il avait faillis ajouter "sur mon honneur d'Aigle" mais s'était retenu juste à temps. Il sortit le fer du feu et la regardas. Elle risquait de souffrir...

_J'appliquerais le fer à 3. Un... deux...

Fidèle à son principe, il posa le fer rougit sur la plaie avant le trois. L'opération serait rapide, et il préférait que sa patiente n'ait pas le temps de songer à la douleur qu'elle allait subir... L'odeur acre et prenante de la chair brulée se répandit dans la tente. Il se hâta d'enlever son fer et le remit dans le brasero, soucieux de l'état de la jeune fille. Au moins, l'opération avait l'air de fonctionner comme il le désirait. La plaie était parfaitement cautérisée... Il rangea ses instruments divers et sourit à la dame.

_Vous voyez Senorita, je ne vous ais point tué... Prenez cela.

Il lui passa un pot et une petite fiole.

_Vous ferez vos cataplasmes à basse de cette herbe. Vous en changerez chaque soir. Et si la douleur est trop forte, buvez le liquide contenu dans la fiole... En cas de problème, je serais dans la tente...
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