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[RP] Tentes blanches : le soin aux blessés

Majda_eulalie


Inspirant profondément, alors qu'il commence à compter, elle bloque sa respiration. Pas le temps de penser, qu'il a déjà appliqué le fer... La jeune maure manque de défaillir, retenant ses cris, mordant le cuir jusqu'à en avoir mal à la mâchoire. Elle laisse échapper un gémissement plaintif, des gouttes de sueur perlant sur son front.

Lorsqu'il retire le fer, elle souffle bruyamment, reprenant son souffle, haletant comme si elle venait de courir pendant deux heures. Majda a trouvé pire que l'entraînement de son Mestre Armant : une blessure cautérisée.

Après quelques instants dans un brouillard où elle entend vaguement le mot "tuer"... Elle reprend ses esprits, lui rendant le morceau de cuir.


Merci Senor. Je ne connais même pas votre nom... Je m'appelle Majda, et vous ?

Oh, et je suis mariée devant le Très-Haut, c'est donc Senora et non Senorita. Vous venez de prouver ce que je savais... Les Catalans sont des hommes d'honeur.


Respirant toujours fortement, reprenant doucement son souffle, elle accepte les médecines.


Je vous raccompagne jusqu'à l'autre tente, le temps de me vêtir...


Disant cela, elle joint le geste à la parole, s'habillant maladroitement, toujours un peu engourdie par la potion au pavot, mais le marathon en a dissipé la plupart des effets.

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--Diego_de_castille
Se détourne pour laisser la jeune femme se rhabiller.

_Bien Senora, excuser mon erreur, je ne suis point habitué à voir des dames marié si tôt... Je suis Diego, de Castille.

Il sourit en lui-même à la réflexion de la jeune Maure, se demandant quel serait sa réaction si elle savait ce qu'il était réellement... Il avait entendu dire qu'elle avait traités les Aigles de lâches, car ils avaient frappés en pleine nuit... Attend calmement qu'elle finisse de se rhabiller et en profite pour vérifier qu'il n'as rien perdus...
Quirin
Maelie commençait à lui répondre quand son nom fut presque crié, mais crié dans un râle plus qu'autre chose... la voix d'Adrien fût de suite reconnue par Quirin...

ses oreilles occupées, son regard le fût aussi par Majda qui se dirigeait vers la sortie accompagnée d'un médicastre, enfin il fallait espérer que ça en soit un... Mais c'en était un, son épouse n'était pas folle, elle ne suivrait pas n'importe qui... Oui mais en même temps parfois téméraire.. pourquoi sortir ? Décidément non, cela l'intriguait trop, il n'y tient plus, il faut qu'il en ait le cœur net, il va les suivre...



Maelie je vous laisse, je repasserais prendre de vos nouvelles, mais je dois m'enquérir d'une chose pour le moment...

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--Diego_de_castille
Le mercenaire sortit de la tente et se dirigea vers l'endroit ou était "entreposés" les blessés, juste à temps pour voir sortir un homme à l'allure assez pressé, visiblement pour aller voir sa patiente. Il l'interpella.

_Senor, vous désirez voir la jeune maure? Elle est dans la tente... Si sa peut vous rassurer, elle vas bien, tout c'est bien passé... D'ici quelques jours elle iras parfaitement bien... Mais si jamais il y a des problèmes, passez me voir à l'infirmerie.

Le catalan s'éloigna, sentant les regardes de l'homme dans son dos... Il se méfiait de lui... Mais que croyaient-ils? Qu'ils allait assassiner une gamine en plein milieu d'un camp bourré d'ennemis? Nan, sa lui servirait à rien... Déjà, il ne porterait jamais la main sur une personne qui lui faisait confiance... Et il ne trahirait jamais son serment; ne jamais frapper un blessé... Le Catalan était peut-être un mercenaire capable de tuer sur un champ de bataille, ce qu'il avait fait maintes fois, mais n'était pas un brigand... Une fois la bataille acheté, sa nature profondément humaine refaisait surface... C'était pour sa qu'il était la, seul et sans arme, au milieu d'un camp de guerriers dont il avait affrontés certains il y a quelques jours, et dont il avait tué un de leur compagnons...
Majda_eulalie


Finissant de se rhabiller, elle regarde le médicastre qui sort, et soupire, essuyant son front de nouveau du revers de sa manche droite. Pas simple d'arriver à enfiler ses vêtements d'une main. Enfin, elle est prête, et sort.

Voyant Quirin, elle esquisse un sourire, et se dirige vers lui, lui prenant le bras pour s'y appuyer, et qu'il la soutienne, se sentant tout de même un peu chancelante.


Mon cher époux, si nous allions sous notre tente ? J'aimerais m'occuper de mon courrier, et je pense que toi aussi, tu dois avoir des missives non ?

Un sourire aux lèvres, malgré les cernes de nuits sans sommeil dues à sa blessure, Majda ferme les yeux un instant, se sentant trop faible pour faire plus de conversation, posant son front sur le torse de son mari.

A moins que je ne commence par prendre un peu de repos.

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--Diego_de_castille

Le jeune homme revint à la tente. Aparement pas de nouveaux blessés depuis sa dernière visite... Il s'installa dans un coin de la tente, attendant que quelqu'un ait besoin de ses services, nettoyant son matériel en attendant...
Quirin
Alors qu'il sort de la grande tente blanche, il croise l'homme qu'il avait vu s'en éclipser avec son épouse, il n'a pas le temps de lui dire quoi que ce soit que celui-ci tente de le rassurer

Citation:
Senor, vous désirez voir la jeune maure? Elle est dans la tente... Si sa peut vous rassurer, elle vas bien, tout c'est bien passé... D'ici quelques jours elle iras parfaitement bien... Mais si jamais il y a des problèmes, passez me voir à l'infirmerie.



Quirin allait lui demander le pourquoi du comment de la chose, mais n'en eut pas le temps Majda arrivant sur ces entrefaites... Au moins elle était vivante, et ne semblait pas en colère... il lui demanderait à elle
.

Citation:
Mon cher époux, si nous allions sous notre tente ? J'aimerais m'occuper de mon courrier, et je pense que toi aussi, tu dois avoir des missives non ?


Hmmmm, oui, mais avant je voudrais que tu me dises, que te voulais donc cet homme, pourquoi t'a-t-il emmené hors de la tente ?

Et j'aimerais bien faire examiner mon poignet... savoir si je dois le serrer dans un linge ou au contraire le laisser libre....
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--Diego_de_castille

Le jeune catalan se levas pour aller voir la blessée dont il s'était occupé en premier. Le bandage avait grand-besoin d'être refait... Mais la plaie cicatrisant bien. Il posa sa main sur le front de la femme... L'avait de la fièvre. Le jeune homme sortit une poignée de feuilles de sa poche, fit bouillir de l'eau à la hâte et laissa tomber les feuilles dans l'eau chaude. En quelques instants il obtint une tisane qui lui suffirait pour calmer les éventuels maux de tète de la dame.

_Senorita... Prenez cela.

Pendant que la jeune femme buvait son remède le catalan enlevas son bandage et le changea.

_Prenez sa contre la douleur... Et interdiction de bouger.

Il lui tendit un gobelet contenant du vin additionné de quelques herbes de sa composition pour calmer la douleur. Il regarda autour de lui. L'afflux de blessés avait cessé, les autres étaient pris en charge... Les français faisaient du bon travail... Il fallait le reconnaitre. Malgré que son amie Gabrielle ait de nouveau été insulté en taverne. Elle avait perdus son fils et on l'avait traitée de folle pour sa. Il savait vaguement qui était responsable de cela. Ils payeraient... Lucas et les autres Aigles s'en occuperaient...
Skip
Skip était arrivé le matin même aux abord de la ville! Le temps de tourner quelque coins de ruelle sombre, de se perdre un peu... bref, de visiter comme il ce doit une ville digne de ce nom, la journée était déjà bien avancé!

Il perdit encore du temps à convaincre son Garçon de Cours que tout irait bien, de ne pas se décourager, qu'il avait déjà parcourue de plus grande distance sans se plaindre... Mais l'autre trouvait toujours à en redire. C'est vrai qu'il n'est plus tout jeune, c'est vrai que la charge est lourde, c'est vrai que les roues du chariot ont un grand besoin d'être graissé... mais on en avait pas eu le temps avant de partir... et du coup!

Tout ça le porta donc en milieux d'après-midi, sans avoir mangé, à bout de souffle, avec un mal de tête carabiné à cause des palabres de son "pauvre" Garçon de Cours...

C'est ce moment que choisi la tente blanche pour apparaître! Et ça ne semblait pas vraiment calme à l'intérieur!!!

Un soupire de soulagement ce fit entendre derrière l'apothicaire. Le regard noir que lança Skip fit s'étouffer le soupire qui se muta en grognement!


Skip- Bon, tu va stationner le chariot sur le côté de la tente et tu monte la garde! Je ne veux personne près de mon matériel!!! C'est bien claire? Si je remarque qu'il manque ne serait-ce qu'un minuscule dixième de milligramme de quoi que ce soit, tu peut être certain que ce sera toi qui fera office de bouclier sur le champs de bataille!!!

Garçon de Cours- Bien patron... oui patron... Très certainement patron... Le tout dit sur un ton blasée et complètement désabusé... C'est dire qu'il ne croit plus aux menaces de son vieux patron. Celui-ci n'est d'ailleurs pas aussi sévère qu'il ne parait et puis il a besoin de son employé pour la plus part de ses besognes journalière!

Skip entra donc dans la tente, laissant son précieux matériel aux bon soins de l'employé. Il se promena parmi les lits, regardant un peu l'état des gens, souriant tristement de voir autant de blessé! Puis il en reconnue deux dans le lot!

Adrien de Sage, Baron de la Voulte... s'il l'est encore ou si sa fille l'est à sa place... Skip ne le sais plus vraiment. Et Maëlie! Celle qui n'était à l'époque qu'une simple conseillère comtal très enthousiaste et qui maintenant est une jeune noble!

Il s'approche des deux concitoyens et les saluts! Il espère qu'ils seront en mesure de se souvenir du Vice-Médecin Chef du Languedoc... Charge qu'il a encore d'ailleurs!


Bonjorn! Pouvez-vous m'indiquer à qui je dois m'adresser pour offrir mes services de médecin? J'ai tout un chargement de médicament, de pansement et j'ai même apporté mon alambic portatif!

Skip les regardes attentivement, évaluant rapidement l'étendu des blessures... S'il y a quelqu'un près d'eux, Skip ne l'a même pas remarqué! En fait, il ne remarque rien d'autre que ceux qui sont blessé! D'autant plus que ce sont des connaissances!!!
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Qu'Aristote veille sur vous! Paix et repos à vos âmes!
--Diego_de_castille
[12 mars 1458, aux abords des tentes blanches]

Le jeune catalan se hâtait de rassembler ses affaires, laissant un message à la dame majda en particulier et aux français en général:

Senora Majda,
D'après ce que je sais, vous penser de moi que je suis homme d'honneur. Je prends ceci comme un compliment. Néanmoins, j'aimerais que vous sachiez une dernière chose sur moi: je fais partie de la compagnie des Aigles de Castille. J'ai crus que les français étaient aussi hommes d'honneur mais vus l'ingratitude que j'ai trouvés de votre part, je vous abandonne aux mains de vos médicastres, en qui vous avez toutes confiance apparemment et qui exigent d'avoir le monopole des soins sur les languedociens... Fort bien, mais ne comptez plus sur l'aide des provençaux pour les blessés d'Exat, pas plus que sur l'aide des Aigles... J'ai crus en votre humanité, je me suis apparemment lourdement trompé.

Diego, Compagnon des Aigles de Castille


Ses compagnons l'attendaient à Aix. Lucas arriverait bientôt... Il parvint à sortir du camp sans trop de mal et partis vers la ville. Arrivé à la première écurie, ou il avait laissé son cheval au soin des soigneurs, il le sella à la hâte et partit à fond de train vers Aix
Majda_eulalie


Citation:
Senora Majda,
D'après ce que je sais, vous penser de moi que je suis homme d'honneur. Je prends ceci comme un compliment. Néanmoins, j'aimerais que vous sachiez une dernière chose sur moi: je fais partie de la compagnie des Aigles de Castille. J'ai crus que les français étaient aussi hommes d'honneur mais vus l'ingratitude que j'ai trouvés de votre part, je vous abandonne aux mains de vos médicastres, en qui vous avez toutes confiance apparemment et qui exigent d'avoir le monopole des soins sur les languedociens... Fort bien, mais ne comptez plus sur l'aide des provençaux pour les blessés d'Exat, pas plus que sur l'aide des Aigles... J'ai crus en votre humanité, je me suis apparemment lourdement trompé.

Diego, Compagnon des Aigles de Castille


Majda lisait une missive qu'on lui avait apportée, elle fronce un sourcil, et dit à haute voix :

Attrapez le médicastre catalan ! Il signe comme la missive de menace de mort que j'ai reçue ! Vite ! Il doit être toujours proche du campement, au pire en ville d'Arles, l'encre est même pas sèche !









Suite du rp dans : d'une missive et de la fureur exatienne, laissons ici pour le rp des soins, avec votre accord, ljd Diego

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Howpe
Le soldat, revenant d'aix, se point au campement des 'tentes blanches', et se présenta a la tente de son sénécha:
Bonjorn, mon sénéchal! Comme vous pouver le voir, mon séjour a Aix n'as pas dure très longtemps... Je rejoins donc notre bande de joyeux éclopés, mais seulement pour 5 jours
Gardes D'Exat., incarné par Jack_daniel


L'heure était grave plus que grave, très très grave... Un maréchal était blessé. L'Exatien appelle quelques amis, il faut mettre de maréchal à couvert. Il est dans les pommes et se fait piétiner, il a le nez en sang, sa carapace de cuir est ouverte de partout... Il ya beaucoup de sang... Le visage du maréchal est une grosse plaie tuméfiée. Elle commencera bientôt à prendre une teinte bleue, selon le soldat... Vite l'ammener à Arles où on pourra le soigner. Le maréchal est hissé sur une civière, les hommes d'Exat repartent avec le gradé alaisien. Il aura un peu de repos comme ça...

Il était fous, partir pour un second jour d'affrontement, juste avec ses dagues car son bâton avait été cassé, en voilà der la bonne idée... Ce soldat ne comprendrais jamais les gradés, lui venait pour la solde épicétout...

Après quelques temps, ils furent à Arles, devant la tente blanche... L'alaisien reprenais conscience certaines fois, d'autres, non... Il souffrait beaucoup des diverses coupures sur ses bras, il faudrait suturer ou cautériser. Plus inquitétant, une blessure ouverte se trouvait sur son crane, partant du front vers l'arrière... Les Bandes blanches que l'on lui avait mis de façon temporaire étaient couverte de sang...

C'est donc dans un état pitoyable que les Gardes amenèrent le maréchal d'Exat...
Skip


Skip vit arriver une civière porter par des gardes aux couleur d'Exat! Le travail pourrait commencer!!! Dans de triste condition, mais quand même!

Quand il reconnu le soldat sur la civière, il eu une surprise! Jack? C'était impossible! Depuis le temps qu'il se bats! Il ne peut pas être en aussi mauvaise posture!!!

Quoi qu'il en soit, Skip est ici pour deux raisons, se battre, mais aussi pour soigner... et c'est ce qu'il fera! Comme toujours il souhaitera un miracle, il voudra tout guérir et qu'il ne reste aucune marque... Faut déjà commencer pour ça!


Soldat! Posez le ici sur ce lit! Doucement, aucun mouvement brusque!

Les gardes semblait eu aussi en très piteux états! Il leur conseilla d'aller voir un infirmier pour recevoir quelque soins et ce pencha sur le patient!

Bon Jack... On a fait mumuse sur le champs de bataille? Voyons voir ce que tu a!!

Il défit rapidement les bandages sur la tête du pauvre homme! Il y vit quelque chose qu'il n'avait pas vu depuis longtemps!!! Il faudra le vilebrequins! Il vérifia les autres blessures. Le nez est cassé, faudra le redresser, puis une côte semble affaissé, faudra voir à réparer ça! Les nombreuse plaid ne sont pas bien grave pour la plus part! Il ne perdra pas beaucoup de sang par là!

Skip appela son Garçon de Cours et lui donna la liste du matériel qu'il aurait besoin. Celui-ci alla aussitôt dans le chariot pour prendre le nécessaire! Pendant ce temps, Skip commença a bander les plaids en ordre d'importance! Il commencera par le crâne, qu'il devra raser, laver et vérifier qu'il n'y a pas de pression! Souhaitons que le vilebrequin ne soit pas nécessaire!

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Qu'Aristote veille sur vous! Paix et repos à vos âmes!
Maelie
Maëlie se réveilla en sursaut, entendant des voix s'élever avec vigueur autour d'elle. Clignant des yeux, elle apperçut... Non, c'était impossible ! Skip lo Casalèr ? Il était de retour ? Maëlie eut un petit sourire heureux : la Médecine d'Oc retrouvait une partie de son âme, et ce au meilleur endroit au meilleur moment.
Alors qu'elle allait le saluer et lui indiquer les différents médicastres à l'oeuvre pour qu'il se joigne à eux, elle entendit une autre voix, fort bien connue.


Howpe !
Elle se redressa du mieux qu'elle put pour tenter de l'appercevoir.

Qu'il est bon de vous voir, tous les deux...
Mais elle n'eut guère le temps de s'étaler que déjà on apportait un nouveau blessé... Elle écouta attentivement les propos de Skip et sursauta : Jack ? Etait-ce celui d'Exat ? Elle allait peut-être avoir des nouvelles du front.
Du regard, elle suivit ce qu'il se passait, le front barré par la fatigue et l'inquiétude. Elle réalisa avec un temps de retard que sa jambe ne la faisait plus tant souffrir qu'avant : elle tenta de la remuer et ressentit comme un engourdissement qui l'empêchait de la fléchir normalement. Bon... chaque chose en son temps, d'abord Jack et le front, ensuite sa jambe.
Un souvenir furtif vint lui percer le coeur : Majda... Majda était venue lui demander de l'aide pour armer Jack, et Maëlie, dans son délir, n'avait pas pu lui indiquer où elle avait planqué l'équipement qui lui avait été confié par le Comté. Elle se mordilla la lèvre inférieure en pâlissant, tandis que la culpabilité creusait son nid dans son esprit.


Est-ce qu'il va s'en sortir, Senhèr Skip ? demanda-t-elle, avec nervosité.
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PC HS !
De l'art de recevoir...
Occitania per totjorn !
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