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[RP]Petite promenade au marché

--Theadora
Serrant sa cage , avec son canari jaune et vert à l'intérieur , tout contre sa poitrine , Théadora s'était mise un peu à l'écart.
Le garçon appelé Bazin lui faisait un peu peur et elle ne put réprimer une petite moue quand elle entendit son beau père l'inviter à la maison pour demain.

Elle s'approcha du petit chat que Gaelle portait dans ses bras , mais elle n'osait pas le caresser, elle recula à nouveau , puis concentra son attention sur les animaux du marchand.
La cage commençait à se faire lourde pour ses petits bras, aussi , la tendit elle vers Domdom en lui disant :


J'en veux pu ! Cest quand qu'on rentre ?
Alkemie
alkemie était revenu plutôt que prévu en arrivent elle traversa le marcher pensent revoir sa copine , mais elle c'est dit elle est surement reparti chez elle, ainsi que le petite garçon qui se disait pas sale , elle regrettée de pas lui avoir donner sa sucette, alkemie se baladé en regardent l'étalage , sa tante devais pas êtres très loin , alkemie courrez toujours en avant
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Domdom
Citation:
J'en veux pu ! Cest quand qu'on rentre ?


Domdom , occupé à régler l'achat des animaux auprès du marchand , prit la cage dans ses mains et se baissa vers Theadora :

Ma puce...tu es une grande fille , maintenant.
Je suis sûr que tu sauras très bien t'occuper de ton nouvel ami.


Puis , il lui chuchota àl'oreille :

Et puis, il sera mieux traité à la maison qu'avec ce marchand qui n'en prend pas grand soin...

La fille de Lys reprit aussitôt:

On a qu'à lui asseter tous ses zanimos, alors !

Dom lui répondit d'un air navré qu'il n'était pas assez riche , mais que l'idée était très interessante.
Il tourna la tête vers Gaëlle qui caressait son chaton , tout en les écoutant ,puis continua :


Je vais vous raconter une belle histoire à ce sujet , les filles .
Elle vous aidera à comprendre beaucoup de choses.


Cette phrase eut pour effet de déclencher des cris de joie chez les deux petites filles :

Oui...Une histoire ! Une Histoire !

Domdom allait la commencer , lorsque son attention fut captée par une petite silhouette qu'il avait déjà vu quelque part.
et c'est avec un petit sourire qu'il leur annonça :


Les filles, nous avons de la visite ...Je viens d'apercevoir votre copine Alkemie !

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Domdom

Alkemie était pressée : elle devait reprendre la route de la Normandie avec sa tante.
Aussi Dom , les filles et Bazin lui souhaitairent ils au revoir et bon voyage , qu'elle était déjà repartie.
L'encapuché avait fini tous ses achats , il donna le signe du départ par un grand :

Allez...on rentre maintenant !"

Mais Gaëlle l'interrompit :


Ton histoire Papa...Ton histoire ...

D’accord , les enfants , d’accord …mais pour vous conter une histoire , j’aime être bien installé.

Dom avait repéré un petit banc en granit, un peu plus loin : il s’y assit , encombré de sa besace et de la cage à oiseaux , les enfants s’asseyant en demi cercle , juste devant lui , à même le sol, les jambes en tailleur .

Dom commença :
Avez vous déjà vu une étoile de mer ?

Gaëlle , toujours son chaton dans les bras , répondit de suite :

Je sais …Je sais … Papa …j’en ai vu sur une plage en Irlande avec maman…
C’est un machin en forme d’étoile avec des petits piquants !



La réponse de Gaelle fit sourire son père , qui reprit :

« Oui ma fille… Ce « machin » est un animal marin , qui vit donc dans l’eau : la plage n’est donc pas son élémént naturel , si elle y reste trop longtemps , elle meurt , comprenez vous ?

Les enfants regardaient l’homme avec de grands yeux ronds , attendant la suite...

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Domdom
Domdom commença à raconter son histoire :

Il était une fois….

Puis il s’arrêta :

« Toutes les histoires commencent par « Il était une fois » , n’est ce pas les enfants ?…

Il était une fois , un jeune homme qui marchait sur une plage.
L’aube s’était levée et déjà la lumière du jour rosissait le ciel qui était passé de bleu nuit à une teinte plus lumineuse et légère.

Le jeune homme vit au loin sur la plage un autre homme , très vieux , qui avait du mal à marcher et qui se baissait difficilement vers le sable.
Il semblait ramasser quelque chose , puis le jeter dans l’eau , allait plus loin et recommençait…

En se rapprochant , le jeune s’aperçut alors que le vieux rejetait des étoiles de mer échouées sur la plage dans l’eau.

Il l’interpella alors :

« Pourquoi faites vous cela ,vieil homme ? »

Le vieux lui rendit un beau sourire édenté en lui disant que les étoiles de mer mourraient s’il les laissait là jusqu’au lever du soleil.

« Mais la plage s’étend sur des lieues et des lieues et il y a des milliers d’étoiles de mer, répliqua-t-il.
Quelle différence cela va-t-il faire ? »

Le vieil homme le regarda d’un air rempli de bonté et répondit tout en montrant au jeune l’étoile de mer qu’il tenait dans sa main , avant de la jeter dans l’écume :

« Cela fera une différence pour celle-ci. ».


L’histoire finie , Domdom attendait la réaction des enfants .

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Princesseyoyo
La jeune fille adorait visiter les marchés, tout autant qu'elle adorait les tavernes. Elle y découvrait ou redécouvrait sans cesse de nouvelles choses: des odeurs, des goûts, des couleurs, des bruits...
Certains marchés étaient minuscules, et tout était assez vite vu. D'autres étaient si grands que la jeune fille se permettait de faire plusieurs fois le tour pour tenter de s'en mettre plein des yeux les oreilles ou les narines et rentrer sereine à son lieu de repos...

Et oui, pour Yohanna, le marché était un des grands plaisirs du voyage.

Quand de loin, en arrivant, elle perçut le bruit si particulier de la rumeur du marché, son cœur s'emballa et elle clama bien haut:

Java, je prend Luna, et on va faire un tour au marché! Tu viens?!
Non non, elle ne leur laissait pas le choix. Elle prit donc délicatement Luna toujours aussi handicapée -ouf, sinon elle aurait pu protester - sur son dos et se dirigea d'un bon pas vers le cœur du village, délaissant son habitude pour les tavernes et une charrette pleine d'yeux exorbités.

Au bout de longues minutes de promenades, elles tombèrent sur le stand des animaux. C'était exactement ce qui lui fallait car son amie Phréné de Saint-Aignan lui avait demandé un coup de main pour ouvrir une animalerie. Elle lui avait déjà laissé en pension son petit chat, Neige, il lui fallait donc trouver un animal qui sortait un peu de l'ordinaire.

Devant le stand, un homme racontait une histoire à ses filles, les mains pleines d'animaux. Elle le connaissait de vue. Croisée dans un marché aussi, qui contait des histoires à son fils... Elle tendit doucement l'oreille pour ne pas le déranger et observa le stand plein d'animaux qui piaillaient, miaulaient, aboyaient et tout autre bruit animalesque!
Et pour cause! L'état des cages était pitoyable, la place restreinte, et l'eau et la nourriture absente!
Révoltant!

Mais elle garda ses idées noires pour elle de peur que le vendeur ne lui accorde pas un bon prix... D'ailleurs elle allait peut-être se servir de cet argument pour... Oh celui-ci! Elle le voulait.




"Combien pour ce petit écureuil roux?" ... "Tant que çà?!!" ... "Mais je m'en moque qu'il vienne du bout du monde! Il est tout malade, tout rachitique, même la cage ne vaut pas ce prix! Je vous en propose la moitié!"

L'animal était pourtant fort joli, mais bon, marchander un prix, c'est marchander un prix! Au bout de 5 bonnes minutes de discutions, Yoyo avait eu l'animal pour 3/4 du prix de base, elle en était très fière, tellement qu'elle en lâcha presque sa cousine.. qui se retrouva debout sur ses jambes!!!
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Lilo-akao
Encore une visite du marché local! A croire qu'ils allaient tous les faire! Sa cousine était-elle une acheteuse compulsive? C'était à se poser des questions!
Étrangement, cette fois-ci, la râleuse de première ne cassa pas les oreilles de Yohanna avec ses jérémiades incessantes lorsqu'elle lui proposer de flâner entre les étales. Cela lui permettrait de se promener dans les lieux qu'elle connaissait si bien et qu'elle avait quitté dans la précipitation, bien des mois plus tôt. Elle était curieuse de découvrir les changements qui s'étaient opérés dans le village. Peut-être croiserait-elle d'anciennes connaissances... la question était de savoir si cela était une bonne chose ou non? Qui vivra verra!


- Aelith, tu nous accompagne aussi? Une petite sortie entre cousines ne nous fera pas de mal... et pendant ce temps Stephan pourra donner un coup de main à Verso pour ranger son foutoir dans la cabane croulante qu'il ose appeler "sa chaumière". Il aura besoin de bras forts et musclés. Je suis sure que le Cantelloup doit avoir ça en stock!


Et de lancer un regard moqueur à Stephan, qu'elle prenait plaisir à taquiner en l'appelant par un nom de famille qui n'était pas le sien. Après tout, il l'avait mérité! On ne se paie pas la poire de la brune impunément! Faut bien qu'elle fasse honneur à le devise qui orne son blason - qu'elle ne porte que très peu ces derniers temps et qui doit commencer à prendre la poussière! - "Nemo me impune lasseti".

Quelques minutes plus tard, la sortie entre filles est lancée. Juchée sur le dos de Yohanna, la jeune noble se fait trimbaler d'un étal à l'autre. Tisserand, poissonnier, boucher et boulanger, s'enchainent au rythme d'odeurs plus ou moins alléchantes. La marche s'interrompt devant un vendeur d'animaux, qui semble intéresser Yohanna au plus haut point. Heureusement que la brune est de bonne humeur, sinon elle se serait mise à rouspéter! Manquait plus qu'ils s'encombrent d'animaux dans leur charrette, déjà pleine à craquer!

Tandis que sa cousine marchande le prix d'un écureuil, Luna observe avec curiosité les autres bestioles à vendre : une portée de chiots, des poules caquetantes à qui mieux mieux, une oie à l'air bravache, un oiseau de proie aux plumes fripées, un bouc ridicule qui ne saurait faire de l'ombre à Julius l'adoré de sa Dame - Où qu'il est lui d'ailleurs? Versooooo! - un... truc dans une caisse...

Se penchant brusquement en avant pour essayer de distinguer de quoi il s'agit, Luna se sent soudain glisser du dos de sa cousine alors que celle-ci perd son emprise sur ses jambes. S'agrippant tant bien que mal aux épaules de Yohanna, la brune dégringole et ses pieds finissent par toucher le sol, qu'ils n'ont pas foulé depuis bien des semaines! Les jambes molles supportent le poids du corps l'espace d'un instant, avant de fléchir et de lâcher soudainement, entrainant la berrichonne dans sa chute.

Boueuse, les quatre fers en l'air et à moitié écrasée par sa cousine, la brune laisse éclater sa colère :


- Yohannaaaa! T'aurais pu faire attention! Pousses-toi! Tu m'écrases! Tu me fais mal aux jambes!


Et de gesticuler pour se dégager du corps qui la gêne, avant de s'interrompre brusquement en réalisant soudain qu'elle a mal aux jambes! Mal aux jambes!
Le cri suivant est empli de joie et d'excitation:


- J'ai mal aux jambes! J'ai mal aux jambes!... Je sens mes jambes! C'est pas normal!... Enfin si! C'est normal, mais pas quand on est paralysée! J'ai mal aux jambes! C'est génial! J'ai mal aux jambes!... Aidez-moi à me lever!
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Domdom
Assis sur son banc de pierre , Domdom regardait attentivement les trois gosses , toujours assis en tailleur devant lui.
Gaëlle continuait de caliner son chaton , Bazin réfléchissait à la signification de l’histoire qu’il venait d’entendre.
Théadora se leva lentement , un grand sourire lui barrant le visage et se dirigea vers Dom.
Elle tendit les bras vers la cage de son canari et dit :


ze veux que t’es heureux , petit zoiseau…ze m’occupera de toi très beaucoup

Dom se leva et déposa un baiser sur la tempe de cette petite fille de quatre ans qui avait compris que faire le bien commençait par de petites choses apparemment insignifiantes autour de soi , mais tellement importantes pour les autres.
Il lui tendit la cage dont elle s’empara délicatement , puis récupéra sa besace , qu’il avait posée sur le banc de granit et donna le signal du retour à la maison.

Bazin , qui n’avait toujours rien dit , prit alors la parole avec un air sérieux :


Euh…M’sire …si j’comprends bien votre histoire…l’étoile de mer du vieux , c’est moi ?

Dom lui répondit , tout en lui ébouriffant les cheveux :

C'est à toi de le savoir, mon garçon ...A toi de le savoir…

Il rabattit sa capuche sur son crâne , rassembla sa petite troupe et ils s’éloignèrent dans la brume matinale.

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Princesseyoyo
D'accord, leçon numéro un du guide de la bonne cousine: Ne jamais s'emballer et perdre sa concentration!

Yoyo avait faillit. Elle avait lâché Luna dans son empressement pour le petit animal et du coup, elle le payait a grands éclats de boue, de poussière et de cris.
Ah, depuis quelques temps, les cris, elle en soupait, mais là, elle allait se mordre les doigts pendant des jours d'avoir lâché son handicapée de cousine...


- Yohannaaaa! T'aurais pu faire attention! Pousses-toi! Tu m'écrases! Tu me fais mal aux jambes!

Yohanna mangeait la poussière, la cage de l'animal avait roulé au loin, et Luna hurlait en souffrant.. Quelle pagaille...

-Aye aye aye, pardon pardon pardon... Je suis désoléééée...

Puis soudain:

- J'ai mal aux jambes! J'ai mal aux jambes!... Je sens mes jambes! C'est pas normal!... Enfin si! C'est normal, mais pas quand on est paralysée! J'ai mal aux jambes! C'est génial! J'ai mal aux jambes!... Aidez-moi à me lever!

-Ah bah on a compris que t'as mal.. Que tu as... ?! Oh!! Mal!


La jeune fille bondit sur ses pieds pour aider sa cousine quelle voyait pour la première fois en train de -presque - rire!! Elle se pencha vers elle et passa ses bras sur les haches de sa cousine pour l'aider à se tenir tant bien que mal sur ses jambes fragiles.

- Doucement.. Voilà.. tu sent tes jambes? Tu peut marcher? Pas trop vite hein! Tu es fragile!

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--Chevalier.
Le chevalier passait par là pour acheter des vivres et continuer sa route vers le Maine. Le marché avait l'air vivant et il aimait bien ça, car on avait toujours de bonnes affaires à faire dans ce cas.
Mais là, devant ses yeux, se déroulait une scène pour le moins étrange!
D'après ce qu'il comprenait, une femme handicapée retrouvait l'usage de ses jambes après s'être cassée la figure du dos de la demoiselle qui la portait.

Il s'approcha vivement pour porter son aide quand il vit la demoiselle un peu gauche tenter de redresser la dame handicapée et protesta:


"oh! laissez-moi vous aider! Cette dame a besoin d'un homme fort et musclé pour la porter! Et puis vous vous y prenez mal! Laissez-là moi!"

Le chevalier ne laissa pas le choix à la demoiselle et lui arracha presque des mains la jolie dame qui avait besoin de lui. Il lui fit un sourire enjôleur et lui parla de sa voix virile:

"charmante créature, vous me semblez fragile, que voulez-vous faire? Que je vous porte jusqu'à une taverne? Pour reprendre votre souffle, ou vous remettre de vos émotions"
Lilo-akao
Dans un maladroit remue ménage de bras, de jambes et de popotins, les deux cousines réussissent tant bien que mal à se mettre debout. L'une, aux traits tirés et à l'air harassé par l'effort, soutenant l'autre, au visage rayonnant, bien qu'elle soit dans un état des plus boueux et froissé suite à leur chute.
A peine étaient-elles sur leurs deux pieds, qu'un homme à l'allure sur de lui arrive à grands pas pour leur venir en aide. Luna n'a pas le temps de réagir, qu'elle se retrouve déjà dans les bras du vaillant inconnu, sa cousine ayant été écartée aussi facilement qu'on chasse un misérable moustique d'un revers de la main.
Bien qu'un peu exaspérée par l'audace du chevalier, la brune lui est toutefois reconnaissante pour son aide et lui offre un ravissante sourire, s'apprêtant à le remercier, mais les paroles qu'il prononce alors brisent le charme et font mouche, provoquant l'envolée d'une claque, qui retentit en osmose avec la collection de bougonnements courroucés qui s'échappent soudain de ses lèvres :


- Lâchez-moi! Troufion! Je ne suis pas FAIBLE et FRAGILE! Je vais vous étriper! Triple buse! Abruti!

Et de se débattre comme une furie afin qu'il dessert son emprise sur elle et la libère.
S'il y a bien une chose que la jeune femme ne supporte pas, c'est qu'on lui rappelle son état de faiblesse!


- Vous espériez abuser de la situation avouez! Vil profiteur! Mécréant! YOHANNAAAA! Aides-moi!
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Aelith
L'épaule droite appuyée contre l'un des étals, Aelith regardait la scène avec un sourire qui ne manquait pas d'amusement. D'accord, elle brûlait de se jeter au cou de Luna pour la serrer dans ses bras et lui faire courir un marathon dans la seconde, juste pour être sure que ce n'était pas du chiqué - on ne sait jamais avec elle... Seulement, avant même qu'elle ait pu esquisser un pas, un noble gentilhomme s'était précipité pour l'aider, et évidemment, la brune piquante l'insultait de tous les noms. A vrai dire, Aelith finit par éclater de rire... Mais redoutant le regard noir de Luna, elle finit par s'avancer de quelques pas pour donner un coup de main à Yohanna. D'un geste délicat - en tout cas plus délicat que les gesticulations de Lilo -, elle écarta l'homme dont les intentions étaient pourtant tout à fait louables... Quoique!

Excusez-moi, mais la petite brune que vous voyez là semble plus intéressée par l'horrible douleur que lui causent ses jambes que par être sauvée de la douleur en question. Elle est un peu masochiste, que voulez-vous...

Sourire amusé. Vivement que Lilo réagisse! Ah non, elle ne pouvait pas: elle était trop occupée par ses guibolles. Aelith lui adressa un regard rempli de plein trucs: de l'espoir, de l'amusement, du soulagement, et un brin de reconnaissance pour Yohanna qui l'avait laissé brutalement choir.

Alors, cousine? Qu'est-ce qui fait le plus d'effet? Sentir à nouveau ses jambes, ou pouvoir hurler sur le premier venu?
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