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[RP/IG] Péage ducal: Passage obligatoire aux arrivants

Erwelyn
Les poneys roses, partis du Périgord une semaine auparavant, étaient bientôt arrivés au terme de leur voyage. La veille, elles avaient accueilli dans le groupe une nouvelle poneytte, présentée par Orka et Mahaut avant de partir. Tout ce qu’elle avait appris sur elle, c’était qu’elle n'aimait pas les câlins des deux bergeracoises. Bref, la troupe s’était agrandie, et le trajet était entrecoupé des inévitables :

Cheffe ?
Nan, c'est moi la cheffe qu'on a dit !

Bon, sous-cheffe, c'est quand qu'on arrive ?
Bientôt, le Maine n'est plus très loin
Cheffe ?
Mais ! C'est moi la cheffe !
J'ai envie de faire pipi

Han ! Le tonneau est vide, faut en ouvrir un second !


La rengaine habituelle quoi.
L'Anjou, enfin. Une paye que Lynette n'y avait remis les pieds. A l'époque, son parrain était encore coincé à La Flêche, c'est pour dire. Saumur en vue, ils ralentirent le rythme pour se présenter à l'entrée de la ville. Tralala en tête, elle s'arrêta devant les gardes, s'apprêtant à ouvrir la bouche mais fut stoppée dans son élan par les poneys roses qui conduisaient la charrette et qui ne trouvèrent rien de mieux que de rentrer dans sa jument pour s'arrêter.
Demi-tour, sourcil levé.

Bon sang, ça fait trois fois cette semaine !
CheffeC'est moi la cheffeuh ! - j'ai envie de faire pipi...


Retour vers les gardes, avec un léger soupir.

Bonjour – Oui parce qu'on avait dit que c'était moi la cheffe avant de partir d'abeur ! - Ahem... nous sommes les poneys roses et nous souhaitons juste passer la journée dans votre bourg pour visiter vos tavernes – non, non, promis on va pas les brûler – Dès ce soir nous reprenons la route pour Chinon. Vous nous laissez entrer ou alors toute la troupe s'arrête ici pour bivouaquer et vous occuper la journée ? On vous laisse le choix, hein...

Cheffe ?
Mais ! On avait dit que...
Quand est-ce qu'on arrive ?

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.mahaut.
Les voyages forment la jeunesse avait dit Maman Makrel avant de laisser sa fille partir en soupirant. Elle avait aussi dit que l'alcoolisme ne formait normalement pas les ambassadeurs mais ça, Mahaut ne l'avait pas écouté, toute occupée qu'elle était à négocier un espace pour survivre entre les bonnets, cache-cols, passe-montagnes, châles et moufles dont elle avait été affublée par une maman adoptive un brin inquiète de la laisser partir dans le grand nord. Ouais, le Maine, farpaitement.

On racontait que des renards polaires se disputaient leur pitance avec des yacks féroces là bas. Elle n'avait pas la moindre foutue idée de ce que pouvait être un yack, sans doute un habitant du Maine, mais elle tenait à le découvrir. Pis de toute façon, c'était son boulot.

Elle était ambassadrice, donc chargée d'aller voir des gens sur place, de ne pas foutre la honte à son Périgord natal, autant que faire se peut, et de faire signer des traités d'amitié. Traités qu'elle avait astucieusement planqués dans une poche, sous le mantel, entre la 3ème et 4ème épaisseur de lainage.

Arrivés en vue de Saumur, les poneys (troupe hautement qualifiée en travaux divers mais plus particulièrement ouverture de tonneaux et cocharrettage de poules) stoppèrent derrière Lynette, leur cheffe.
Mais on avait dit que c'était moi la cheffeuh ! Oui, bon, bref. Pis vous m'avez pas stoppé derrière, vous m'avez stoppé dedans ! Oui, bon, laissez moi poursuivre. Pour l'instant Mahaut avait un problème fondamental.

J'ai envie de faire pipiiiiiii !

C'est le problème quand on boit. Avec le froid, on élimine vite.


Raaaah mais qu'est-ce qu'ils veulent les gardes, lààààà ? Nan mais parce que moi j'ai pas trop le temps, là ! Déjà qu'il faudra que j'enlève 38 épaisseurs de trucs qui grattent, hein... Ils veulent quoi ? De l'argent ?? JAMAIS !!!

Elle se haussa vivement dans la charrette, faisant basculer tout le monde, y compris elle. Tentant vainement d'émerger dans le lot de trcus à petites étiquettes rouges "ce vetteman apartiens à Mao. Si vou lu prené, j'vou poursuivré tout vot vi. Makrel", elle finit par renoncer.

C'est fini, les gars, chuis foutue. Chuis sur le dos, j'arriverai jamais à rebasculer. Adieu. Vous verserez mes bouteilles sur ma tombe, hein ? Que j'y goute une dernière fois... Pis vous me brûlerez ces trucs en laine, là, j'veux plus les voir. Pis ça graaatteuh ! Bon, vous irez dans le Maine et vous signerez les trucs pour moi. Et vous ferez ma réception de l'ambassa... HE ! NAN ! J'AI PAS FAIT MA RECEPTIOOOON !

Mue par un instinct ancestral d'alcoolique en prévision d'une grosse soirée, elle se releva et s'approcha des gardes qui parlementaient à côté de Lynette.

Allez, déconnez pas. On traverse juste, on vous attaque pas ! On est en mission officielle ! Même que ouais ! Tendez, j'vous montre. Ah, tenez, tenez moi ce mantel mon brave. Merciiii, voilà, bougez pas, tant que vous tenez, je vous refourgue ce qui vient avec. Vous voulez ce passe montagne ? Non ? c'est fait main, hein ! Oui, même le pompon. Bon, voilààà, le gileeeet, le troisième châle eeeeet... Ben mince, où j'ai mis les traités ? ALEEEEERTE !

Un homme descendit de la charrette, l'air maussade et lui tendit ses traités.


Ah Anatole, c'est pas bien de voler des papiers officiels ! Houuuuuuu ! allez tout le monde, houuuuu général !


Elle se retourna vers les gardes et leur refila les traités.

Vous voulez les signer ? allez, c'est une aubaine ! Un traité d'amitié ! Non agression, coopération judiciaire, et tout et tout ! Non ? Bon ben permettez, le temps que vous vous décidiez, je rentre en ville, je vais finir par me pisser d'ssus, moi.


Et hop, elle était rentrée.
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Stefanile
Bonjour,j aimerais rester dans votre ville 1 ou 2 jours afin de me preparer a retourner d ou je viens.Cela est il possible?

Stefanile se bourra 1 pipe en attendant la reponse.
Isabel_de_mendoza
Si les regards tuaient celui d’Isabel aurait transpercé le corset de la tavernière…
Elle s’était avancée pour choper la meilleure place en taverne avant que les autres arrivent et vident tout les stocks de bière…


Ma dame, je vous dit que sans le tampon de légalité absolue je ne peux pas vous servir à boire…
Même pas aux petites personnes ?

Non, je suis absolument intransigeante à ce sujet, faites vous tamponner à l’entrée et vous aurez à boire…

En marmonnant la brunette revint à la case départ, c'est-à-dire aux portes de la ville…
Les yeux humides, imprimant plus de pathétisme à son geste, et en hésitant à se mettre à genoux, mais restant finalement debout ce qui ne changeait pas grande chose mais tout en reflétant un grand désespoir dans ses paroles (geste mélodramatique à l’appui…)


Oh grande tamponneuse !!! Mettez moi le cachet dans mes papiers pour que je puisse aller me bourrer la gueule en compagnie de mes amies…

Le geste anxieux elle ne put pas s’empêcher d’observer le bourrage de pipe de l’autre qui faisait la queue…

Je vous ai déjà dit que je m’appelle Isabel, que je suis consul et que je voyage avec les poneys roses ?
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Luciedeclairvaux
Sauta de la dite charrette une demoiselle blonde qui, si elle n'avait pas touché la moindre larme du tonneau des poneys, n'en était pas moins saoulée. Saoulée de paroles. Oui, la Blondie avait trouvé pire qu'elle. Et bla bla bla. Et bla bla bla. Ca n'avait pas cessé de tout le court voyage qu'elle avait entrepris avec eux depuis la proche ville de Thouars.

Elle revenait à Saumur voir son papa chéri.

Ah, personne n'y croit ?

Bon, c'est vrai, elle revenait parce qu'elle n'était pas en règle en Poitou et qu'elle avait besoin de papelards qui se trouvaient dans le paternel château. A Gennes. Des trucs comme quoi, non, elle résidait en Anjou. Non elle n'avait pas de terre en Poitou et non, elle ne comprenait pas où ils avaient vu qu'elle avait déménagé puisqu'elle n'avait pas de terres en Poitou on vous dit. Sont bêtes, mais j'ai pas envie d'un procès. Plus envie. C'est long et même pas drôle. Elle en savait quelque chose parce qu'en appel ... Mais là n'est pas le sujet !

Elle épousseta d'un geste gracieux ses braies sombres et sa cape crade et encore pourpre par endroits, puis râla avec élégance :


J'ai faim.

Avec assurance, elle détacha son cheval de l'arrière de la charrette périgourdine. Lui-même trainait une carriole dont le contenu était dissimulé sous une lourde bâche. Elle dévoila l'engin à la douane et expliqua :

Salut douanier. Bombarde, offerte par sa Grandeur Kilia. Et
(Lucie écarta les bras pour se présenter dans toute sa majestuosité*) blonde enfant procréée (enfin presque) par sa majestueuse majesté, Finam de Montmorency. Mais bon, on s'connait j'crois.

*j'en ai besoin donc le mot existe, na !

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Gandrel
Marchant au pas la jument portait son maitre dans la froideur de l'hiver. Bien qu'il renâclait, l'animal se devait d'avancer, faire une pause dans la rudesse de l'hiver ne faisait pas parti des prérogatives, ce serait se les geler sur place, littéralement. La Grande avançait donc d'un pas lourd mais régulier sur la route le menant à Saumur, rêvant d'une écurie accueillante ou le foin, chaud et sec lui ferait un nid douillet pendant qu'il mastiquerait des pommes.
La Grande était le nom du canasson bien que le terme fut peu approprié au physique flatteur de l'animal de grande lignée, mais le nom avait été un hommage au Seigneur de la Grande qui l'avait offert à son mentor et dont il avait fini par hériter.

Le voyageur était impatient d'arriver, chacune de ses respirations lui brulait les poumons de froid et la peau de son tendre postérieur souffrait d'un si long trajet. Heureusement, l'arrivée à Saumur se faisait imminente, et l'emmitouflé voyageur pourrait enfin vider quelques bouteilles, il faisait soif.

Quelques heures plus tard, alors que la nuit avait couvert le ciel de son sombre manteau étoilé, Gandrel arriva enfin. De derrière les murs s'élevaient des volutes de fumées. Se rapprochant des murs, des gardes lui intimèrent l'ordre de se présenter. Nullement contrarié, et, bien que caché derrière une épaisseur de tissus et de cuir, l'homme arborait un immense sourire de satisfaction. Toujours emprunt d'un grand respect pour les forces de l'ordre, et parlant latin, le bibliothécaire porta grand intérêt à leur devise.
Mœnia fallunt hostem, dextra domat tormentum, récita t-il intérieurement. C'est fou ce que ça sonne bien.


L'blondinet sifflotait en souhaitant trouver son bonheur en les murs. Bonheur qui se résumait à un feu de cheminée, de la volaille rôtie et d'une quantité importante de vin quand un engin, fierté de l'architecture militaire, puis une blonde lui tapèrent dans l'œil.
Tandis qu'elle se présentait au douanier il se glissa nonchalamment à son côté et rétorqua.


- Douanier, je me présente Gandrel... , je ne connais personne icelieu et viens pour raisons... le conteur regarda la blonde puis les miliciens avant de reprendre ... probablement plus lubrique que ludique afin de me divertir un ou deux jours avant de retourner à Chinon voir si j'y suis.
Orkaange7876
MAIS PUISQUE ON AVAIT DIT QUE C'ETAIT MOUAAA LA CHEFFEEEUHHH... Bordel..
Ousqu'elle est passée ma bouteilleeeuh... GOURRRY REND LA MOUAAA.. Spèce d'alcoolique même pas fan de moua... tss c'tun monde quand même, t'as qu'a avoir ta tienne..
Oh Mahaut c'est bête, regarde les poules ont pris le mantel de Gourry pour leur litière.. nan mais t'en fais pas , le guano c'est follement tendance en moucheture sur les mantels..
Hé Lucie tu t'es entrainé au calin rituel aujourd'hui?? Mais naaan pars pas en courant j'te dis que c'est juste le premier qui coute
On est bientôt arrivés??
On est bientôt arrivés??
On est bientôt arrivés??
On est bientôt arrivés??
Comment ça la ferme??


Arrivés à Saumur, la blonde était baillonnée au fond d'une charette, et Lynette et mahaut négociaient avec le douanier... Tsss Elles étaient pas douées.. Ca avait vraiment l'air de laisser le douanier de marbre, il pipait pas un mot. D'un geste auguste, elle arracha le baillon et sauta de la charette, poussant tout le monde sur son passage

Poussez vous.. placeeuh.. Place, j'amène la verroterie.. C'est mouah la cheffe c'est moua qui parle d'abeur...
Se tournant vers le douanier toujours impassible Toua pas avouar peur.. Nous venir en amis..Toi vouloir des colifichets pour que toi laisse passer nous??
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Quand on est plus de quatre on est une bande de cons. A fortiori, moins de deux, c'est l'idéal.
Gourry
Gourry dormait si bien dans cette charette,il faisait de si beaux rêves lorsque....Il entendit...

Citation:
Ousqu'elle est passée ma bouteilleeeuh... GOURRRY REND LA MOUAAA.. Spèce d'alcoolique même pas fan de moua... tss c'tun monde quand même, t'as qu'a avoir ta tienne..


Vouahhh,ce que t´es criarde toiiii!!!!Et même pas partageuse!!!Bon te la rend alors,en plus elle est presque pleine,y reste au moins une voire deux gorgées.

Il lui tendit la bouteille et regarda son mantel.

Ahhhhhh,chuis tout sale,les poules m´ont tout saliiii!!!Mon beau mantel tout neuf,enfin pas tout a fait mais quand même!!!

Voyant l´entrée de village avec Lynette et Mahaut discutant avec le douanier,il s´écria.

Y z´ont un lavoir ici,hein?Hein?Hein?Dites!!Dites!!!Non??bah tant pis,tant qu´y a boire,c´est pas grave!!

Il descendit de la charette et s´approcha de tous ce tit monde.

Alors,on peut entrer ou pas??
Cavendish10
Caven vit arrivé un groupe des plus étranges arrivés, sans parler de son nom ...

Bon les poneys ... roses c'est sa ?

Il se demanda qui a bien pu inventer un nom pareil.

Vous pouvez entrer, mais vous vidé pas toutes les tavernes de bières. Bon séjour parmi nous.


Un petit sourire en coin avant de se tourner vers la personne suivante, il connaissait pas le nom de cette personne mais elle voulait rester quelques jours ici.


Oui, vous pouvez rester, en respectant nos lois.

Il lui fit signe d'entrer. Puis se fut au tour de Gandrel.


Bienvenu à vous aussi. Même chose que le sieur d'avant, respecter nos lois.

Il le laissa entrer.

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Elfyne
Elfyne poussa la porte de la douane et s'avança jusqu'au maréchal.

Bonjour maréchal, je suis Elfyne de passage dans votre ville pour affaires.
Je ne reste pas et quitterais la ville ce soir mais je repasserais d'ici quelques jours.
Cavendish10
Caven vit une jeune dame entrer.

Yop.


Il l'écouta.

D'accord, j'en prends note.

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Lunna38
Bonjour , je suis Lunna38 , je me rends à Fougère . Je suis déjà en route pour Angers , je voudrais me mettre en ordre , obtenir un laisser passer.
Je vous demanderai de bien vouloir m'excuser étant nouvelle je ne sais pas trop ce que je dois faire.
J'espère pouvoir continuer ma route sans problème; En vous remerciant de votre accueuil.
Je cherche une terre d'accueuil , peut être que d'ici peu je viendrai vous demander l'autorisation pour rester chez vous.
J'attends de vos nouvelles
Lunna
Cavendish10
Caven reçut un pigeon d'une voyageuse, il en prit connaissance et envoya sa réponse.



Bonjour,
Vous n'avez pas besoin de laissez passer, en nos terres juste passer par nos péages. Et si Saumur vous plait, je serais heureux de recevoir votre demande de vivre en nos terres.

Bonne journée, et bon voyage
Cordialement, Cavendish10

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Soaz.
Après une longue chevauchée depuis le Berry, Soaz et ses amis avaient enfin aperçu les remparts de Saumur se dresser devant une.
Abraxes, dans un élan paternaliste, lui avait plus que recommandé de passer se présenter au péage. Elle avait rechigné, prétextant un manque de temps qui masquait surtout un manque de goût pour les formalités administratives. Mais, pour lui montrer qu'elle pouvait aussi se soumettre aux règles qui l'agaçaient, elle s'y rendit, sourire aux lèvre.

Bonjour!
Je viens d'arriver en groupe avec messires Thesno et Chitoss. Nous venons de Châteauroux et Sancerre. Nous restons juste aujourd'hui et reprenons la route demain soir.

J'espère vous avoir tout dit.

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Cavendish10
Caven vit une dame entrer dans son bureau.

Bonjour.

Il l'écouta et regarda son rapport du matin.

Groupe de Thesno et Chitoss ... Vous devrez être dame Soaz. alors je suppose.
Je prends note de votre passage au péage.
Bonne séjour à Saumur.

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