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[RP] Que la Bête meure...

Guy_kdr
Le haut gradé écoute attentivement la description de la forêt que lui fait Arthur. Dessine une carte mentale qui s'élargit et s'agrémente de détails et de légendes au fur et à mesure du récit..."plus dense"..."dénivelés"...
Hoche la tête de temps à autres, notamment au fait que la bête a des chances d'avoir planté la tente du côté de la rocaille. Une petite caverne abritée, peut-être.
Une mauvaise glissade, et c'est plusieurs pieds en contrebas, séparé du reste du groupe...


Bien. Il va nous falloir des cordes, aussi.

Reste 5 minutes environ. Regroupe les villageois sur le chemin s'il-te-plaît, je vérifie les derniers détails de matériel et je te rejoins.


Tournant la tête.

Soldats ! Regroupement là bas ! Sauf toi, avec moi.

Alors qu'ils fouillent les fontes accrochées à l'arrière de leurs montures, les objets s'entassent au sol. Torches. Cordes. Sifflets. Quelques vêtements chauds. Gourdasse et nourriture. Les armes, ça, ils les ont sur eux et c'est bien la dernière chose qu'ils risquent d'oublier.

Retour en direction du fier attroupement. Une ou deux personnes manquent à ce qu'il peut en juger au premier coup d'oeil. Une jeune femme, sûr. Leur mise en garde les a fait réfléchir. Leur a peut-être sauvé la vie.

Guy refile un sifflet à Arthur et un autre à celui qu'on appelle Savary.
De même pour les cordes. Il faudrait faire des cordées s'ils devaient prendre de la hauteur sur les flancs rocailleux.

Ne peut s'empêcher de passer une dernière fois les "troupes" en revue, fait un signe de temps en temps au soldat qui l'accompagne et qui, à chaque fois, donne aux villageois trop légèrement vêtus, qui d'une écharpe, qui d'une paire de bottes de soldats, usées mais étanche. Les torches, aussi, sont réparties.

Dernier coup d'oeil vers la route, vers le ciel. Rien. Tan pis pour Any, il faut y aller. Ils feraient sans pièges, pour l'instant. A moins que le groupe de Savary en ait ramené...

Bien.
Frères et Soeurs Auvergnats, il est temps.


Se tournant vers Laurentide, à son grand déchirement Legowen, et les autres déjà sur place.

Les soldats prévus dans le groupe d'Anyenka suivent les ordres de Messire Savary ici présent et collaborent avec ses pisteurs.

Refermant sa large main sur la longue lance qu'il avait ramenée, similaire à celle des autres,

Les piquiers, avec moi !

Les civils suivent les directives d'Arthur.

Voici comment on va procéder.

Le groupe de pisteurs emmenés par Savary, avec les chiens, prend le sentier emprunté par la première battue, là où les arbres sont calcinés, là bas.

Le groupe d'Arthur rentrera dans le sous-bois une cinquantaine de mètres à l'est de cette ouverture, tandis que le mien prendra son point de départ cinquante mètre à l'ouest, coté colline. Nous allons ratisser au plus large sans trop nous isoler les uns des autres. Assurez-vous qu'il y à en permanence au moins une personne de chaque groupe en contact visuel avec une personne d'un autre groupe. Aucun excès de confiance.

Direction initiale, tout droit. Une fois plus profond dans la partie plus dense, nous opérerons un arc de cercle vers l'ouest pour nous retrouver au pieds de la partie escarpée. Si nous n'avons rien vu d'ici là, on ira y débusquer cette horreur.

En avant !!


Sur quoi la grande équipée se mit en branle.
Ils sont prêts.
Ils sont déterminés.
Ils vont lui faire payer ses crimes.

Prépare toi, la bête, ta fin est proche.

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--Soldat_isidore
Lorsqu'il avait entendu parler de cette bête, Isidore eu tout de suite envie de se rendre utile... alors... quand le Chef avait demandé qui était volontaire afin d'aller traquer cette bête... il c'était tout de suite porté volontaire.

Il avait donc quitté son lac Montbrisonnais pour se rendre a Moulins,
c'était présenté au Sénéchal Guy afin de savoir dans quel groupe il serait affecté...
Il aurait du rejoindre le Sénéchal Anyenka, mais celle-ci ayant eu empêchement... il lui faudrait suivre le messire Savary
après tout... il avait participé a quelques bataille et chasse et revenait, comme beaucoup, de la dernière du Berry...

C'est donc tout naturellement qu'il se présenta au messire en question... ayant au préalable demandé a un villageois de le lui montrer

Petit salut habituel... claquement de bottes...


Messire Savary,
Soldat Isidore... affecté a votre groupe...
mon arc est a votre disposition

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Riggins
En avant !!

C'est parti mon kiki alors se dit il.

Allons y senechal.

Tim commenca a marcher a coté de guy. 10 pas entre eux pour faire une bonne battue se souvient il.
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Malvinas
Ca y est le départ était donné, le groupe du sénéchal dont faisait parti Malvi allait ratisser vers l'ouest, ils devaient se surveiller les uns les autres, toujours avoir l'oeil sur son collègue le plus proche. L'autre oeil essayant de chercher la moindre trace de cette bête.

Malvi se mit donc en marche, Ils prirent d'abord tous ensemble le même chemin, pour rentrer dans la forêt. Les trois groupes désignés et sachant chacun ce qu'il devait faire pénétrèrent dans cette masse d'arbres.

Le silence était complet, même les oiseaux s'étaient tuent. On ne percevait que le bruit des pas, et le vent qui sifflait dans les arbres. Arrivés à l'endroit où les 3 groupes devaient se séparer, les personnes se regadèrent, ca y est ce coup ci s'était partit, la chasse commencait.

Les soldats du groupes du Sénéchal prirent donc la direction de l'ouest.
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--Bertranou
Bertranou avait écouté avec attention les paroles des deux hommes qui parraissaient être les chefs de groupe.

Comme il n'etait que paysan, il se rapprocha de l'homme à la balafre, qui heureusement lui inspirait une certaine confiance. Mais un peu inquiet tout de même, car la forêt ne lui inspirait aucune confiance, car il se sentait plus à son aise dans son champs. C'est vrai qu'il n'en sortait pas souvent, et à chaque fois qu'il le fesait, quelque chose arrivait pour le renforcer dans son idée que comme chez soi rien de mieux.

Le grand paysan se rapprocha donc du groupe des civils, une main dans sa poche et la fourche sur l'epaule, il impressionait. Sa hauteur y était pour quelque chose et son regard bleu contrastait avec ses cheveux noir comme la nuit. Il se mit donc à quelques pas derrière la mairesse qui s'était aussi rapproché d'un des orateurs. Malgrés le moment crucial qu'elle vivait, elle avait pourtant gardé un brin d'humour et sourit intèrieurment en l'écoutant dire: Je ne suis pas si petite quand même Elle le disait très sur d'elle, ne voyant surment pas qu'elle était entourée d'hommes qui lui doublait presque la grandeur et que l'épée qu'elle trainait était bien trop grande pour sa taille.
Qui donc se demanda le jeune homme avait eu l'idée de lui donné une épée pareil?

Bertranou décida qu'il ne lâcherait pas d'une semelle la jeune femme, bien que celle ci ne l'avait même pas regardé une seule fois. Il attendit donc que le groupe se mit en marche.
Arthurdayne
Les ordres étaient donnés. Guy lui avait donné un de ces sifflets en bois dont il avait parlé, ainsi que de la corde. Arthur jeta un coup d'oeil au chasseur qui prendrait sous ses ordres le groupe initialement prévu pour Any. Menant ses propres hommes et sa meute de chiens, il semblait savoir ce qui l'attendait. Tant mieux. Toute expérience était bonne à prendre. Arthur arrima la corde autour de son épaule. Il vérifia la dague de Baile, à sa ceinture. Récupéra arc, carquois, épée. La chasse était ouverte.

Un coup d'oeil vers ceux qui allaient l'accompagner. Qu'il aurait sous ses ordres. Qu'il devrait protéger, enfin. Surtout. Cris. Benoit et Ranya. Clotildette, peut être, à moins qu'elle choisisse, eut égard à sa formation, de rejoindre un des groupes de soldats. Quelques paysans. Les fils de Gaspard était là. Il reconnut également trois des frères d'Amelyne. Et ce géant avec une fourche à l'épaule. Il l'avait déjà croisé à quelques reprises dans le village, mais, paradoxalement au vu de sa taille, il était d'une grande discrétion. Et puis Aube. Ses prunelles croisèrent celles de la jeune femme. Reste toujours derrière moi. Ne prends aucun risque. Rappels muets mais nécessaires.

Arthur prit une grande inspiration.


En avant...

Et la pénombre des bois les engloutit.

Suivant les ordres de Guy, Arthur mena son groupe jusqu'à l'endroit des premières attaques, et bifurqua vers l'est. Ils s'enfoncèrent dans le sous bois, là où leur avancée se ferait moins aisé. Chaque pas qu'ils faisaient était un risque couru en plus. Ils avancèrent ainsi sur quelques lieues. Pas grand chose, à dire vrai, mais ils étaient un groupe relativement important, et Arthur surveillait constamment derrière lui, afin d'être sûr de ne perdre personne, ce qui les ralentissait, sans parler des ronces qui leur accrochaient les pieds, et de la neige qui alourdissait leur pas.

Alors qu'il franchissait un bosquet et baissait la tête pour ne pas que les fines branches d'un bouleau lui arrachent quelques cheveux, Arthur tourna la tête une nouvelle fois vers l'arrière du groupe. Il sentit une main se poser sur son épaule. C'était Lann, un des frères d'Amelyne.


Arthur... là...

Lann désignait, de son index, le sol à ses pieds. Enfin, plus exactement, il montrait une sorte de grosse branche sur laquelle il venait de marcher, qui semblait prise dans les branchages du bosquet qu'ils traversaient. Le doigt de Lann tremblait, son pied levé se reposa juste un peu en arrière. Arthur se baissa pour observer cette branche étrange, qui semblait entourée de tissu, et...

Un bras. C'était un bras, un bras d'homme.

Arthur se releva et balaya la forêt du regard, dans l'attente de... de quoi? D'un appel? Le propriétaire du bras n'était sûrement pas en état d'en lancer un... D'une attaque? Il fallait bouger, ne pas rester sur place.

Arthur, d'un geste, intima aux autres le silence, repoussa du pied le bras sous les buissons, et se remit en marche. Tout en avançant, pas après pas, il guettait, l'oreille à l'affut du moindre bruit suspect. Rien. Lentement, alors qu'ils s'extirpaient du bosquet, il s'avança, et découvrit... un corps... un cadavre informe...

Par tous les diables...

La silhouette gisait, désarticulée... Il lui manquait un bras, arraché à hauteur d'épaule. Sa tête... Sa tête pendait sur le côté, rattachée au cou... à ce qui restait du cou... par un mince lambeau de chair. Le ventre de l'homme, puisqu'il s'agissait d'un homme, était déchiqueté, les tripes éparpillées autour de lui. C'était le même spectacle horrible qu'ils avaient découvert la première fois, en trouvant Cersei. Il n'y avait aucun doute... C'était là l'oeuvre de la Bête.

Ne prêtant pas attention aux murmures épouvantés derrière lui, Arthur s'approcha du corps. Il était dans cet état de conscience si particulier qui précède la bataille. Là où toute considération extérieure à la simple survie n'avait plus lieu d'être. Il s'agenouilla près de l'homme et, du dos de la main, lui toucha la joue. Le sang qui avait éclaboussé le visage était encore tiède. Il avait à peine eu le temps de sécher en surface, formant cette étrange pellicule rouge que la main d'Arthur réduit à néant. Le dos de sa main était écarlate du sang de l'homme, à présent, mais il n'en avait cure. Derrière lui, il entendit l'un des fils de Gaspard dire:

J'le r'connais, c'gars là... L'était 'vec nous au rassemb'ment, tantôt. C't'un étranger, pour sûr, j'l'ai r'péré d'suite...

Cela confirmait ses craintes. L'homme avait été tué très peu de temps auparavant. Alors même qu'ils peaufinaient les derniers détails de l'opération. Pauvre fou... pourquoi être parti seul... Sans un mot, le regard toujours fixé sur le gisant, Arthur se leva.

On n'a pas le temps de s'occuper du corps pour le moment. Il faut continuer à avancer. En espérant que les loups n'auront pas terminé le travail quand on repassera.

Si on repasse... Ne pense pas à ça, Arthur. Survie. Seule cette idée là est valable, pour l'heure. Tuer l'adversaire plutôt que mourir. C'est une guerre qui s'ouvre.

On continue.

Sans un regard pour les autres, Arthur s'enfonça dans le sous bois, droit vers le sud. Le regard scrutait la pénombre entre les arbres. L'oreille guettait, se tendait au moindre bruit suspect. Les narines aussi, étaient à l'affut. Le sang, le mort, la peur, tout cela avait une odeur. La rage, aussi. La bestialité.

A ses côtés, derrière lui, le groupe avançait. Il ne manquait personne. Il espérait que cela durerait. Tous progressaient dans le plus grand silence. La découverte du cadavre de l'étranger avait planté le décor.

La Bête les attendait.

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"Je vivais à l'écart de la place publique
Serein, contemplatif, ténébreux, bucolique."
Merenwenn
Enfin prete, et impatiente de commencer la battue. L'ordre de départ etait donné, les groupes commençait a avancer. Merenwenn suivait le senechal Guy. Les groupes prirent chacune leur direction.

Ils filaient vers l'ouest, attentif à chaque pas, balayant du regard loin devant. Merenwenn jetait un oeil de temps à autres a ses collègues.
Leur progression se faisait silencieuse, et l'oreille à l'ecoute du moindre bruit. La visibilité devenait de moins en moins lointaine. Les arbres et les buissons de plus en plus sérré et toufu.
Le silence qui regnait, n'etait pas rassurant. Ces foret leurs etaient inconnu.

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Boten
Le jeune homme thiernois avait eu vent des terribles carnages qu’il y avait dans la foret de Moulins. Les affichages de la Garnison de Thiers l’avait renseigné ainsi qu’un Brigadier de sa garnison. Il avait été touché par le récit de cette homme qu’il ne connaissait pas mais qu’il estimait déjà. Un homme capable de demander de l’aide plutôt que laisser la population mourrrir par fierté. Le jeune homme était poussé par son désir de protection. Il devait aider le peuple, c’est en cela qu’il s’était engager dans la COBA. Il demanda donc au Sénéchal Guy s’il pouvait se joindre a la traque. Malgrés son jeune âge, il fut pris dans le groupe de ce même Sénéchal.
«On va bourlinguer m’avait dit ce colosse, prépare tes meilleurs armes et équipements gamin on part dans quelques heures ! »
Le jeune soldat se préparait pour la traque il avait pris avec lui son glaive, son immense bouclier héraldique qu’il accrochait dans son dos et sa cote de maille. Il voulait prendre des livres et autres documents pour l’aider dans sa tache de traque mais le temps le pressait. Il prit avec lui son amulette de l’ordre de Saint jean de Jerusalem. Ce porte bonheur lui avait été donné a sa naissance. Il prit son cheval et rejoingnait l’armée Thiernoise qui se dirigeait vers Moulins. Après une grande traversé de plaines et de montagnes les Thiernois arrivèrent a Moulins.
Le jeune homme n’avait jamais vue Moulins, il était subjugué par la beauté de la Ville. Un cloché au sonnait les deux coups de l’après midi. Le son raisonnait et se mélait au rumeur quotidienne de la ville. Le jeune homme se délectait de ce tableau sonore exquis. D’agréables odeurs de foret de pin chatouillait ses narines. Toutefois cette extase sensorielle fut perturbée par un Gascon sentant fort la transpiration d’un voyage de deux lunes et avec une voix rauque qui bourdonnait telle un essein en furie dans les jeune oreille du soldat Thiernois.
Il avait entendu parler des Gascons, de fier sujet de notre Roy un tantinait sur d’eux. Il n’avait rien a envier a la légende. Cette homme semblait pouvoir arrêter le mal de la terre a lui seul. Ce brave bougre ventait ses mérites et déclarait s’appeler Fons. Le jeune soldat n’y prêtait guère plus d’attention. Le Sénéchal Guy lui avait faire remarquer que l’on attendait encore que le Groupe du Sénéchal Anyenka. Il se dirigeait vers la bibliothèque de la ville pour voir s’il pouvait trouver quelques cartes de la foret afin de voir ou ils allaient. Il se précipitait au cœur de la ville. Dans sa course vers la bibliothèque il renversait un brave curé. Il s’excusait platement de son geste. Puis dans un ingratitude la plus totale lui demandait son chemin. Le vieux curé au visage ridé telle une vieille pomme rabougrie lui indiquait avec un grand sourire le batiment juste derrière lui. Le curé lui expliquait qu’il en sortiat justement de la bibliothèque. Le jeune homme sortait quelques écus de sa poche pour le donner au curé afin se faire pardonner. Le curé le prit et le donna a un mendiant quelques mètres plus loin. Il se quittèrent sur une simple « que dieu vous bénice. »
Une fois dans la bibliothèque le gamin farfouillait dans tous les coins pour trouver des cartes et autres encyclopédie sur les mythes et folklores locaux. Les livres ne lui enseignait rien qu’autre que de mauvais esprits et autres démons. Cependant il trouvait quelques parchemins sur la faunes locale. Il voulait les acheter mais le gérant s’y opposait.
Une main frêle se posait sur son épaule. Il regardait derrière lui, le vieux curé était là toujours souriant. Il se proposait de faire des copie. Le jeune homme demandait combien le vieux voulait. Celui-ci répliqua avec sa grande humilité, la sauvegarde de toute la ville contre ce démons qui sévit dehors.
Amusé le jeune homme remercie le curé et lui réplique d’un ton assuré, de braves soldats seront a l’œuvre pour éradiquer ce mal. Le curé lança « je sais » en pointant son doigt sur l’amulette.
Une fois les copies fini, le jeune homme se dirigeait vers son groupe a la lisière de la foret. Dans sa hate initiale il n’avait pas vue la peur sur le visage des villageois. Celle-ci était pourtant palpable. Une ambiance morbide plannait.
Après quelques minutes de marche le jeune homme était quelques centaines de mètres de la foret et de son groupe. Il voyait les différents groupes armées se préparer. Le jeune homme courrait le plus vite possible, comme si le diable lui piquait les fesses. Dans sa course il vit Laurentide leur cartographe. Il s’apprêtait a changer de cap et aller le voir pour obtenir des informations sur la foret mais son groupe commençait a s’enfoncer dans le champs de conifères. Il avait l’air d’un albatros sur terre avec tous son attirail, il était gauche et veule. Il arrivait sans souffle derrière Guy. Il lui chuchotait


« Excusez moi du retard ! »

Le groupe d’un certain arthur trouvait un corps. Des morceau de chair étaient dispercé partout. L’homme ou du moins ses reste n’était pas clairement identifiable. Toutefois un soldat lui mit la puce a l’oreille en parlant d’un étranger. Le Gamin regardait de plus près, Avec les bouts de visages manquant il pensait identifier le gascon de tout a l’heure. Cependant aucune certitude sur son identité. Le jeune homme regardait le corps. De méchante griffures étaient apparente. Le garçon sortait de sa besace les parchemins. Après quelques minutes de recherche il tombait sur tous un descriptif sur les loups. Après une elcture attentive il regardait de nouveau le corps. Les morsure étaient trop profonde pour correspondre a la taille moyenne des crocs de loups. En retournant le cadavre il voyait derrière chaque épaule 3 à 4 trous. Avec des lacérations sur les épaules. Le responsable de ce carnage est donc bipède. Cependant les crocs laissaient penser que c’était un animal.

le jeune homme examinait le sol, aucunes traces n’étaients visibles. Le sang était éparpillé sur une grande zone. Aucunes traces de pas, le sol était parcemé de feuille et de rocher. Il fallait vérifier dans les alentours s’il y avait d’autres traces.
Benoit560
Benoit, Ranya et d autres villageois commencerent la battue sous la direction d Arthur qui etait devant eux, plus ils s enfoncaient dans la foret, plus Benoit regardait a son tour derriere lui pour voir si tout le monde suivait dans le silence quand tout a coup il entendit Arthur

Citation:
Par tous les diables...


une macabre devouverte ils avaient fait, le corps enfin si on peut ca appeller un corps, de telle mutilation sur cette personne completement dechiquetée ne pouvait etre que l oeuvre de la Bete
Benoit se retourna vers les personnes les plus sensibles en leur disant de ne pas regarder et d essayer d eviter d hurler de terreur et de peur afin de ne pas avertir la Bete de leur presence

Arthur les regardas et declara

Citation:
On n'a pas le temps de s'occuper du corps pour le moment. Il faut continuer à avancer. En espérant que les loups n'auront pas terminé le travail quand on repassera.

On continue.


Benoit lui fit signe que tout le monde etait la et pret a continuer la traque, il avancait au cote de sa douce Ranya lui tenant la main et tenait son epee dans l autre main, la Bete devait etre la mais ou exactement, les regardait elle, pret a attaquer tant de question il se posait dans sa tete tout en suivant Arthur dans la penombre de la foret
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Secretaire Ducal de Moulins
Cristras
Cris se mit en marche derrière Arthur, le suivant sans même regarder en arrière. Elle trainait la pointe de son épée dans la neige, car celle ci était un peu lourde, mais la mairette ne s'en rendait même pas compte.

La mairette était pâle, plus par l'angoisse que par le froid qui la transperçait.

Soudain elle faillit se cogner contre Arthur qui s'était arrèter sans prevenir. Cris leva les yeux et vit qu'un jeune homme lui disait:


Arthur... là...

Elle suivit du regard le geste et eu une nausée, le bras d'un homme gisait devant ses yeux, détournant le regard de ce spectacle affreux, elle respira un bon coup pour ne pas se laisser aller à la rage qui menaçait de la submerger.

On continue.

Dissimulant son malaise, elle reprit sa position, en essayant de distinguer ce qui se cachait dans la forêt et suivit les pas de l'ancien maire.
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Jehan
Deux jours qu'il marchait déjà. Un pas rapide, assuré, foulant le sol terreux menant à Moulins. L'épée à la ceinture, une plaque de bois en bandoulière dans le dos, confectionné pour des fins défensives. Jehan marchait. Tout au long de son voyage, il croisa toute sorte de personnage, du clochard se trainant sur le sol au gros bourgeois le bourse dépassant de la chemise, en passant par le simple paysan, fourche à la main. Au fur et à mesure qu'il avait marché, il les avait épié, il avait guetté le moindre de leur mouvement, provoquant parfois des réactions étranges de la part de personnes qui ne semblaient pas apprécier son regard.

Les contours de Moulins se dessinaient doucement. Des chaumières s'élevaient, des silhouettes ressortaient de la brume. Le pas toujours aussi rapide, Jehan entra dans Moulins, le torse bombé, la tête haute. Soldat de la Coba, il avait vu, comme les autres, ce message qui leur était parvenu, faisant état d'une Bête qui propageait la terreur sur son chemin. Plusieurs corps déjà retrouvés inertes, et la décision de la Coba de faire partir deux escouades, menées par les deux sénéchaux. Des escouades prêtes à affronter cette "chose" comme ils l'appelaient, prêtes à braver la mort pour le bien être de leur duché. C'était pour cela, entre autre, que Jehan s'était engagé dans le Coba. Il aurait d'ailleurs du partir avec le sénéchal Anyenka. Mais il avait finalement décidé de faire route seul. Pour tester ses limites avait-il dit, la réalité était tout autre. Bien au dessus de son envie d'aider le peuple du bourbonnais-auvergnat, Jehan avait une envie primitive, commune à bien des hommes, celle d'être reconnue en héros. Bien qu'il ne le criait pas partout, cette envie la était d'un niveau nettement supérieur.

Jehan arriva sur la place de Moulins. Plusieurs petits groupes de villageois discutaient, et bien que ces groupes tenaient chacun une dizaines de mètres entre eux, tous parlaient d'un sujet commun, celui de la Bête. Jehan s'approcha de l'un des attroupements :


- Veuillez m'excuser, les soldats sont-ils déja partis ?
- Il y a bien un bon quart d'heure m'sire. Z'avez un t'i peu de retard.


Jehan le remercia et prit sans plus attendre la direction de la foret. Il traversa deux rues de maisons empilées les unes à coté des autres, sortit du village, et s'arreta. Devant lui, la foret. Cette immensité obscure ou régnait le mal... Une force obscure que Jehan pouvait ressentir d'où il était, brouillant ses perceptions de la Force... [MODE Star Wars : STOP]. Il se remit en marche et la pénombre le recouvra lorsqu'il dépassa les premiers arbres, filtrant la lumière par leurs minuscules interstices. Un pied devant l'autre, doucement. Jehan dégaina son épée dans un frottement sonore. Un pied après l'autre encore, enjambant racine, parcourant les alentours de son regard perçant. Si il y avait quelque chose ici, Jehan ne tarderait pas à le débusquer. Prudemment, Jehan avança encore, perdant les derniers faibles rayons, qui lui parvenaient encore.

- Fscht

Jehan sursauta. Son coeur s'accéléra brusquement, entrainant une augmentation d'adrénaline qui électrisa Jehan. Il se retourna plusieurs fois sur lui-même, cherchant en vain l'origine du bruit. Des éclats dans la pénombre, deux pour être précis... Quatre maintenant, puis six. Six éclats ronds, avançant doucement sur Jehan. Trois loups, les crocs aiguisés, émettant des grognements à vous glacer le sang. D'autres grognements, venant de derrière lui. Deux autres loups s'approchaient dangereusement dans son dos. Jehan voulait être un héros, mais il n'était pas aveugle au point de voir qu'il n'avait aucune chance. Une seule option s'offrait à lui ... : La fuite.

Brusquement, manquant de s'étaler dans un dérapement, Jehan prit la tangente, coupant à travers buissons, s'écorchant les bras. Il ne sentait même pas le liquide rouge s'écouler le long de ses plaies. L'adrénaline lui donnait des ailes, et les buissons semblaient ralentir des cinq loups qui le suivaient. Mais combien de temps pourra-t-il tenir ainsi? Trois fois, il bifurqua brusquement pour tromper les bêtes qui le suivaient. Mais rien n'y faisait, il entendait toujours leurs hurlements. Soudain, dans le pénombre, il aperçut des silhouettes. Une bonne dizaine, regardant dans sa direction. Jehan reconnut le sénéchal Guy_kdr. A bout de souffle, il s'écria :

- Séééééé*souffle*
.... Sénéé..*souffle encore* Sénéchal ! *Ralentit* Compagnie !

Aussitot, Jehan fit volte-face. Il distingua les cinq loups sortir des buissons qu'il avait piétiné quelques secondes avant. Le fait de voir ses camarades de la Coba l'avait boosté. Le premier loup s'élança vers lui. L'épée derrière l'épaule, Jehan lui fit décrire une courbe derrière sa tête après quoi elle s'élança avec violence vers le loup qui avait sauté, le fauchant en plein bond. Soudain un choc, brusque, étourdissant... Le deuxième loup l'avait fauché au ventre, lui coupant le souffle. Son épée vola à quelques mètres de lui. Plus qu'a espérer qu'ils aient réagis..
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Aube
Les groupes se forment. Trois groupes. Arthur rejoint leur groupe. Il se met à la tête des villageois. Lui lance un regard qu'elle comprend très bien. Ne pas quitter le groupe. Il est inquiet.

Elle sera sage, restera bien derrière ses talons, ne le quittera pas des yeux.

Ils entrent dans la forêt, personne ne parle. Le silence est lourd, les visages tendus, les souffles courts. La progression est difficile car ils passent à travers tout, buissons épineux, fougères et orties, branchages.

Tout à coup un homme stoppe tout net. Il a vu quelque chose. Il le montre à Arthur. Aube cherche à voir mais ne voit rien. Ils reprennent la route et s'arrêtent quelques pas plus loin. Un autre corps. Une autre victime... Dans le même état que le rouquin, c'est à dire méconnaissable. Aube pense que personne ne pourra jamais dire qui c'était. Un poids s'abat sur elle, une lourde angoisse qui s'insinue dans son corps. Et si la bête était plus forte? Et si il y avait plusieurs créatures? Et si elles s'attaquaient à l'un d'entre eux?

Ils reprennent la traque. Toujours en silence. Aube se rapproche d'Arthur. À ses côtés elle se sent en sécurité. Elle marche maintenant juste derrière lui, à côté de Cris, qui avance résolument, le visage fermé. Elle pense à la colère que doit ressentir la mairesse contre la créature. Elle l'admire d'être si courageuse, d'avoir pris cette lourde épée qu'elle traîne sans se plaindre. Aube n'est pas courageuse. Elle ne se battra pas. Elle est juste là pour faire nombre, pour pas risquer de perdre Arthur de vue, pour s'occuper de lui s'il est blessé, ou pour s'occuper d'un autre blessé s'il y en a.

Et soudain, du bruit au loin. Près d'un des deux autres groupes, un homme crie. Il appelle la compagnie. Le bruit vient d'assez loin, sûrement du groupe des soldats, mais le silence est tel que tout le monde l'entend. Ensuite un hurlement de loup blessé. Le groupe des villageois s'arrête, tous les regards sont dirigés vers l'ouest.




"Et les crapauds chantent la liberté..."
--Savary
Le départ avait été ordonné, la battue pouvait à présent débutée. Corde passé à son épaule, sifflet glissé en poche, il siffla la meute de chiens tenue en laisse par ses pisteurs. Les bêtes tiraillaient désormais, souhaitant aller de l’avant, entraînant derrière eux, ceux qui les tenez fermement.
Regard tourné vers le groupe qui s’était constitué et qui se tenait prêt à le suivre, il observait les traits dessinés sur les visages de chacun. Soldats, chasseurs, archers…à cheval ou à pieds, tous étaient armés, motivés à se lancer à la poursuite de ce monstre sanguinaire, cette bête mangeuse d’homme.

Derniers regard, dernières consignes de sécurité, bras en avant il les invitait maintenant à suivre les deux groupes précédents.

Allons-y …

De près les trois groupes s’étaient suivi jusqu'à se séparer. Après un bref temps d’arrêt, Savary et ses hommes s’enfoncèrent dans la forêt. Ici déjà, de nombreuses traces de pas avaient été laissées. Certainement les traces de passage des hommes ayant tenté une première fois de capturer l’animal lors de la première battue effectuée, et qui était restée vaine.
Mais cette fois il le sentait, au vu du nombre qu’ils étaient, les choses se passeraient autrement. Ils l’auraient.

Progressant, le plus silencieusement possible, il fit passer les pisteurs au devant. Les chiens humaient l’air, reniflaient terre, leur montrant le chemin qui vraisemblablement devait être suivi. S’en suivait quelques temps d’arrêt avant de replonger truffe au sol…
Sous leurs pieds, la neige les empêchait d’avancer et brouillerait certainement les pistes. Sans doute les chiens mettraient-ils plus de temps pour repérer l’effluve de la bête.
Mais il n’était pas pressé. Vigilant, sur le qui vive, tous étaient attentifs au moindre bruissements de branchage qui craquait portant rapidement mains sur leurs armes afin de riposter.

Savary avait, avant de prendre le départ, préparé quelques pièges qu’il avait pensé à emporter.
Ses comparses, l’ayant accompagnés, s’affairaient à les monter et les installer. La bête peut-être viendrait s’y retrouver prisonnière.
Continuant de s’enfoncer dans cette forêt qui s’assombrissait et se densifiée au fur et à mesure des pas effectués, il leur fallait faire plus vite. Plus le temps passait et plus la possibilité de voir d’autres victimes s’accentuait.

A peine cette pensée lui effleurait l’esprit, qu’un cri venait d’être poussé, un peu plus loin vers l’Ouest. Un cri d’humain, des gémissements qui l’étaient moins…toutes les têtes s’étaient retournées en même temps.

Que venait-il de se passer ? Était-ce un homme qui venait de se faire attaquer ? La bête qui venait d’être débusquée et blessée ?
Les chevaux s'emballaient, les chiens aboyaient… Vite il fallait se renseigner, savoir, aller voir ce qu’il en retournait. Ne pas se quitter, telle était la consigne.

Savary et ses hommes, sans bouger, attendaient en silence le moindre coup de sifflet...

Franceska
[Un peu plus tard, après le départ...aux pieds des remparts]

Descendue des remparts, elle était venue rejoindre les villageois qui n'avaient pu se résoudre à partir affronter ce qui se tenait caché dans leur forêt.

Les yeux portés sur l'horizon, elle les observait s'éloigner tous autant qu'il étaient. Tant de soldats qu'elle ne connaissait pas, d'hommes et de femmes courageux, loin d'être comme elle. Et puis soudain... une pensée... pour tous ceux qui pour elle en son coeur comptaient... ses amis, sa Cris, Benoit, Ranya, Aube... Arthur, tant de personne qu'elle appréciait, qu'elle aimait.

Joignant les mains, elle implorait intérieurement le Tout-Puissant de les épargner et d'avoir rapidement le bonheur de pouvoir les retrouver.
Sans bouger, le vent la caressant, elle était restée là, jusqu'à ce que la dernière silhouette finisse par totalement disparaître.
Les yeux dans le vague, elle se laissa submerger par ce sentiment de peur qui ne la quittait plus depuis qu'elle les avait vu progresser en direction de la forêt.

Plusieurs minutes s'étaient écoulées depuis que la battue avait été lancée. Elle se retourna alors vers ceux et celles qui, comme elle, avaient fait le choix de rester .
S'en allant à la rencontre des femmes qui se trouvait là, elle leur proposa, durant ce temps ou la traque aurait lieu, de ne pas rester là sans rien faire, et de la suivre jusque chez elle, afin de préparer le retour de tousceux qui s'en étaient allés. Ensemble elles prépareraient, soupe, vin chaud, et autres mets...A leur retour, ils pourraient ainsi trouver un peu de réconfort et qui sait pourraient peut-être commencer à festoyer, triomphant d'avoir dépourvu les bois du monstre qui les habitait.

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(Chez Frances A la Pensée Bénéfique http://villagedemoulins.bbactif.com/a-la-pensee-benefique-f183/)
Malvinas
malvi avancait avec son groupe tous ses sens à l'affut, il planait un silence de mort quand tout un coup elle entendit.

Séééééé Sénéé Sénéchal

Elle se retourna brusquement et vit un homme qu'elle ne connaissait pas mais c'était un soldat vu son uniforme. Il était poursuivi par des loups, et déjà le premier l'attaqua.

Vite !!!!!!!! il faut aller l'aider sinon il va se faire bouffer.

Elle avait crié ses mots à l'adresse de ses colègues et déjà elle fit demi tour et courra pour aider cet homme contre ses loups assoiffés de sang. Elle dégaina son épée et arriva près de lui quand le deuxième l'attaqua, d'un coup d'épée elle trancha la tête de l'animal qui s'écroula à côté du soldat, mais ce dernier était blessé.

Les autres soldats avaient suivis eux aussi et ils étaient entrain de se battre contre les autres loups qui n'avaient pas pris la fuite.

Malvi laissa faire ses collègues et examina le soldat blessé, elle était infirmière et il ne fallait pas qu'il perde trop de sang, sa place était à le soigner, de toutes facons les autres soldats étaient assez nombreux pour les 3 loups qui restaient.

ne vous inquiétez pas, je vais vous soigner, je suis infirmière de la COBA

Elle sortit alors ses instruments de torture comme elle aimait à les appeler. Elle nettoya d'abord la plaie, il fallait voir la profondeur. Une fois bien nettoyée, elle était rassurée, le loup n'avait pas trop abimé le ventre de l'homme, une bonne souture, et quelques jours de repos et il serait sur pieds. Il avait eu une chance phénoménale.

Ca va ce n'est pas trop grave messire
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