--Rufus
[et pendant ce temps à la cave ...]
vous êtes charmant de m'aider, un malandrin a mis un tonneau en travers de la cave et je ne peux plus accéder aux bouteilles. Sieur, je suis certaine que vous allez résoudre mon problème.
Rufus à ces jolies paroles bien mélodieuses à ses douces esgourdes, avait suivi la bougresse dandinant de la croupe. Arrivés à la cave, il n'eut point le temps de réagir trop occuper à reluquer une partie de l'anatomie de la bougresse qui marchait devant lui ... Il la vit chuter. Jupe et jupons sur la tête, gigotant en tout sens de ses gambettes, le spectacle cloua sur place le pauvre vieux Rufus.
Au secours Sire, au secours.......
Rufus ne savait plus trop où il en était là. Tous ses sens étaient retournés. Il ne savait plus où mirer tant tout était piouffffff intéressant quoi. La bougresse était vraiment une belle pouliche, avait tout ce qu'il faut, là où il faut. Foutredieu.
BOUGEZ PASSSSSSSSSSSS, bougez pas, j'VA vous aider, laissez vous faire !!!
Une bavouille commençait à poindre près du bec ... Il avait chaud, chaud ...Aussi prompt soudain qu'un chevreuil, il bondit vers elle mais dans sa précipitation de venir à son secours, ses pattes s'emmêlèrent un brin et il s'écrasa de toute sa carcasse sur la donzelle à moitié débraillée. Ses paluches moites se firent exploratrices sans le vouloir, hein, c'est qu'il essayait simplement de trouver un semblant d'équilibre de sa carcasse tout en aidant l'aguicheuse à se sortir de ce guépier.