[RP] Allegeances de Franche-Comté

Adrien72

Adrien arrivait. Comme tout les 2 mois, sa devait la routine...Oui c'est ça une certaines routines ces allégeances. Mais il fallait les demarrer un moment ou un autres.
Il avait pas beaucoup dormi hier, travaillait toutes la journée sur la Herauderie.Mais bon il fallait démarrer les Allégeances, la salle était ouverte quelques nobles étaient rentrée. Le nouveau Franc-Comte allait arrivé.
Dès qu'il serra arrivait, l'ouverture des allégeances devra être faites et cela sera parti pour 24h d'ennuis et d'attente.

[HRP: Plusieurs points à souligner :
- Exceptionnelement Artifice annoncera l'ouverture des allegeances au prochains poste.
- Cause de mon absence, je ne serais pas présent pour "pointer" les nobles. Je le ferais dès mon retour (Avant début Mars)
- Je compte sur Artifice pour eviter que le RP dérape. Sur vos RPs, Montrez Adrien comme assoupi et avachi sur sa table ^^
- Je rappel que votre personnage doit jure fidélité (obsequium), aide et service armé (auxilium) et conseil (consilium) au Comte.Aussi que si vous n'êtes pas présent, vous devez m'envoyer une lettre. Elle seront posté.
Bonne fin de semaine a tous.]
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Artifice

Le jour des Allégeances était arrivé, alors qu'il avait été le dernier à venir devant le Comte Debenja, le voici le premier à devoir porter allégeance, non pas devant un Comte mais devant l'Empereur. Après avoir été à l'Héraulderie il rejoignit la salle aménagé à l'occasion.

Vêtu d'une tunique de sa couleur habituel blanche, il rentra dans la pièce et vint trouver le Héraut Adrien, qui semblait pas dans sa meilleure forme. Les serviteurs de la Cour finissaient de dresser le buffet, Artifice se permis de vérifier la table et se servit une coupe de vin de Bourgogne et alla s'installer sur le trône en ayant pris soin de se débarrasser de son épée qu'il a mis à côté de son siège.

Il respira un coup et annonça

Bonjour à tous,

j'ouvre en ce moment précis les allégeances, je prie le premier noble à s'avancer, merci.

Fleur

Fleur au bras de Léonin fit son entrée à la salle des allégeances. Elle était un peu nerveuse. Ce genre de cérémonie ne l'enchantait guère tant elle la rendait mal à l'aise. Elle avait l'impression d'être un caillou dans une chausse et cela augmentait sa nervosité. Heureusement, son ange était à ses côtés. Elle lui prit la main et la serra assez fort inconsciemment pour lui donner le courage de faire son devoir. Pour la première fois, elle allait prêter allégeance en son nom propre en tant que Baronne douairière du Domaine de Quingey, ce qui était loin d'être anodin. Le nouveau Franc-Comte, Artifice, annonça l'ouverture des allégeances en priant le premier noble à s'avancer. Ne voyant personne s'aventurer pour le moment, Fleur lâcha la main de son ange et s'avança timidement devant le Franc-Comte et à son signal prit la parole, en une révérence respectueuse.

Bonjour Votre Grandeur,

Ayant le privilège d'être la première noble à vous porter allégeance, je vous prie de recevoir mes hommages en tout premier lieu. Moi, Fleur, Baronne douairière de Quingey, exerçant en ma qualité de représentante de mon fils Robin qui se verra remettre la baronnie de Quingey à sa majorité, je porte allégeance, en présence de cette noble assemblée, à notre Franc-Comte Artifice, à la Franche-Comté, à son peuple et à son Parlement. Je jure fidélité, aide, conseil et bras armés sur ma vie, mon honneur et ma foi. Je sollicite votre protection et votre justice pour ma famille et mes sujets. Que Dieu et Aristote vous garde et vous ôte de tous soucis!

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Elfriede.

De retour en Franche Comté pour quelques jours, Elfriede profita de l'occasion pour venir faire elle meme son allégeance. Elle entra dans la pièce prévu à cette effet et attendit. Elle espérait y voir sa marraine, sa cousine ou peut être ses vassaux.
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Erine

La traditionnelle cérémonie recommençait et Erine s'apprêtait à s'y rendre. Elle embrassa sa petite tribu, comme elle aimait appelé ses enfants, et elle prit la direction de Dôle pour aller prester allégeance.
Elle se réjouissait d'assister à cette cérémonie, Elfriede, sa filleule, était de retour en FC pour quelques jours et elle espérait de cet événement pour la revoir.

Sur le pas de l'entrée, Erine remarqua que peu de monde était présent...tiens tiens pensa-elle...pour une fois, je suis à l'avance.
Elle s'avança et fit un léger salut de la main au franc-comte qui était occupé avec l'allégeance de Fleur.

Elle aperçut la tête blonde d'Elfriede et se dirigea vers elle.

Bonjour ma belle lui adressa-t-elle

Je suis contente de te revoir et en pleine forme tu me parais. As-tu fais un bon voyage?
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CaC de FC
Fondatrice de MCPP (Mouvement Comtois Pour le Peuple)

Ayume

Ayume avais entendu parler de ces allegeances, elle avais promis ne serais ce qu'une petite présence parmi toutes les personnes qui lui étais inconnus et se faufile doucement, elle apperçois au loin Artifice a qui elle avais promis sa présence, elle lui adresse un sourire avant d'aller prendre place en écoutant la cérémonie

Riese

Riese vient avec une certaine fierté aujourd'hui car le Franc Comte n'est autre que son grand frère et cela lui faisait plaisir.

Elle s'avança dans la salle et trouva qu'il n'y avait pas encore trop de monde, reconnut de loin Erine et d'autres têtes qu'elle avait déjà vu auparavant lorsqu'elle s'était faufilé dans la cérémonie du temps de Debenja.

Elle se mit dans un coin pour voir son frère et assez loin des différents nobles et autres "gros bonnets" qui devaient passés pour prêter allégeance au Franc Comte comme tout les deux mois.

Elle portait une belle robe couleur prune, rehaussé de velours noir histoire de pas faire désordre quand même et avait remonté ces cheveux en cascade retenue avec le peigne offert par Hortense lors d'un repas à Rougemont. Puis, une personne inconnue fixant son frère attira son attention. Elle se rapprocha d'elle et vint doucement lui dire

Ne seriez vous pas Dame Ayume, une amie proche de mon frère? Si c'est le cas, je me présente, Riese d'Ollivaud, la soeur cadette du jeune homme là bas qui fait son beau sur le trône. finit elle en lui faisant un grand sourire moqueur.
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P'tite soeur de Green, Lluna et Artifice...

Ex Adjudant de Gendarmerie - Elève dévouée de Greenwarrior depuis la prévôté
Ex Lieutenant de l'OST Poligny - Saint Claude

Artifice

Artifice accueillit Fleur d'un sourire et l'écouta.

Il se releva son dos sur son siège et lui répondit

Tout mon respect Baronne de Quingey,

je vous accorde protection et bénéficier de la justice du Comté. Je vous souhaite bonheur, bonne santé à vous, à votre fils, votre entourage et à tous vos sujets. Qu'Aristote veille sur votre famille.

Il la regarda se retirer puis inspecta les nouvelles arrivés et sourit à Ayume qui était venue comme promis, vite rejoins par Riese. Les voilà qui se rencontraient déjà...

Ayume

Riese a écrit:

Ne seriez vous pas Dame Ayume, une amie proche de mon frère? Si c'est le cas, je me présente, Riese d'Ollivaud, la soeur cadette du jeune homme là bas qui fait son beau sur le trône.

Ayume rit doucement sous la remarque puis reprends son sérieux et sourit avant de dire
Oui c'est bien moi... je suis enchantée de vous connaitre... votre frère ma parler de vous

elle sourit a nouveau avant de le regarder Artifice qui saluer toutes personnes présentent

Imladris

Imladris arriva dans la salle du trône comme à son accoutumée. Cette cérémonie l'ennuyait au plus haut point et il n'avait pas de temps à perdre. Il arriva en face du trône avec le franc comte assis dessus et s'agenouilla. Il déclara :

Votre Grandeur, Nous, Imladris Van Ansel, Vicomte de Voiteur, Seigneur de Charency, prêtons allégeance ce jourau Parlement de Franche-Comté et à son peuple et nous jurons fidélité, conseil, aide et service armé.

Il attendit avant de se relever et d'entendre les paroles habituelles du suzerain.
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Artifice

Le second noble vint à son tour, c'était le maire de Dole, même pas un sourire... Enfin c'était son attitude depuis quelques temps, ce n'est pas les allégeances qui changeraient ça.

Bien Vicomte, vous me semblez bien concis dans votre allégeance. Faites moi une meilleure tête que ça, vous m'en verrez ravi.

Malgré tout, de part votre allégeance, je vous assure protection.

Profitez quand même du buffet avant de repartir à vos occupations de maire.

Imladris

Imladris sourit au propos d'Artifice.

Désolé de cette concision dans mon allégeance, Votre Grandeur, je ne suis pas là pour faire de longs discours rébarbatifs.

Je n'ai pas envie de vous ennuyer ou pire vous endormir

Il sourit de sa plaisanterie. Depuis le temps qu'ils se connaissaient, cela lui faisait drôle de le voir sur le trône comtal. Et ils étaient encore là tous les deux pour servir la Franche-Comté.

Au fait, j'ai laissé un tonneau du meilleur Voiteur aux gardes pour Sa Grandeur. J'espère que vous l'apprécierez. Je sais que le Comte Debenja s'est pris quelques cuites avec le Voiteur donc à consommer avec modération

Il se releva et le salua. Il ignora superbement Elfriede et évita Erine. Une gifle lui avait suffit. Il prit un morceau de viande au passage et quitta la salle.
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Riese

Riese lui sourit de nouveau et regarda son frère qui justement avait remarqué que les deux femmes se parlaient.

Il vous a parlé de moi?? Que vous a t il dit de méchant a mon sujet que je me defende

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Ex Adjudant de Gendarmerie - Elève dévouée de Greenwarrior depuis la prévôté
Ex Lieutenant de l'OST Poligny - Saint Claude

Ayume

Riese a écrit:

Il vous a parlé de moi?? Que vous a t il dit de méchant a mon sujet que je me defende

Ayume se mis a rire doucement

Et bien il n'a rien dit de méchant au contraire il vous apprécie fortement

elle sourit

Franchesco

En ces jours de troubles pour le Comté, Franchesco faisait renforcer son escorte et ne voyageait plus en en carrosse mais bien à cheval. Quant à ses vêtements, terminé les voyages "civils" en tenue élégante, Franchesco voyageait désormais à son ancienne mode, tenue militaire sur le dos, épée de combat et non plus d'apparat au fourreau et bouclier frappé aux armes de Cordonnet au bras gauche. Son armure, maintenant qu'il était noble, était à la hauteur de son titre, les finances pour une fois pouvaient suivre un de ses caprices. En effet, sur sa tête trônait un heaume à bassinet protégeant tout le visage. Le cou quant à lui était protégé par un gorgerin à la forme travaillée. Le plastron de cuir qui était le seul dans les moyens de Franchesco quand il était militaire avait été détrôné par un splendide plastron à plaque lui aussi travaillé dans sa forme pour gêner au moins les mouvements. Les bras étaient protégés par des brassards et des cannons d'avants-bras très efficaces de plaques rivetées, le coude quant à lui portait une cubitière aux contours dorés. Puis les jambes, elles, étaient protégées par des cuissards qui avaient la particularité de faire le tour des cuisses plus que ne le faisaient ce genre d'accessoire à l'habitude. Enfin, pour les genouillère et les jambières, tout était classique, de même pour les gantelets. En dessous de ces pièces, Franchesco portait une épaisse cotte de maille comme tout bon combattant. Là où l'on pouvait voir sa touche de coquetterie ressortir, c'était sur le surcot. En effet, par dessus son armure, il portait une tunique reprenant les couleurs de ses armoiries, c'est à dire rouge, jaune et vert, ainsi que le motif... Une sorte de blason en tunique. Son cheval quant à lui ne portait pas d'armure. Il en avait une mais elle ne lui serait mise que lorsqu'ils iraient au combat, si ils devaient y aller. Pour l'heure, si seul Franchesco et non le cheval portait une armure, cela n'était pas grave puisque théoriquement ni l'un ni l'autre n'aurait à se battre durant le voyage... Mais mieux valait prévenir que guérir, d'autant que pour Franchesco, la Franche-Comté était en guerre contre les vils ayant prit le chateau de la capitale ! Porter son armure était aussi une façon de montrer son état d'esprit, plutôt belliqueux en l'occurance à l'égard de ceux qui malgré leurs titres ne valaient ici par leurs actes rien de plus qu'un pauvre brigand...

C'est ainsi équipé que Franchesco partit pour prêter allégeance au Franc-Comte, le seul légitime. Escorté de onze cavaliers, cinq sur chaque flancs, un en pointe derrière et Franchesco en pointe devant, les deux permiers et les deux derniers cavaliers des colonnes aux flancs portant l'étendard de Cordonnet sur le flanc droit et sur le gauche celui de la France-Comté. Après un voyage plutôt long, Franchesco arriva enfin pour prêter allégeance... Mais où devait-il aller ? Le Chateau de la capitale était tombé et cela l'aurait étonné de pouvoir encore prêter allégeance dans la salle du trône du dit chateau. Il fit le tour de Dole avec son escorte cherchant un camp militaire ou autre chose mais ne trouva dans un premier temps rien... Jusqu'à ce qu'il croise un militaire, ancien compagnon d'arme de Franchesco qui lui indiqua où il trouverait le camp, un peu en retrait de la capitale. Franchesco le remercia et prit la direction indiquée au gallop.
Une fois arrivé, il accosta un garde et lui demanda où il pouvait trouver le Franc-Comte.

- Bonjour mon brave ! Nous aimerions voir Sa Grandeur le Franc-Comte afin de lui prêter allégeance. Saurais-tu nous dire nous pouvons le trouver ?

Le garde, sans doute encore très peu expérimenté sembla nerveux et répondit sur une voie hésitante.

- Qui me dit que vous ne venez pas pour l'assassiner ? Avec ce qui s'est passé à Dole, avouez que cela se pourrait bien...

La remarque n'était pas des plus sotte mais Franchesco, sur le moment la trouva ridicule.

- Allons ! Tu as devant toi Franchesco Galli, Comte de Cordonnet, ancien Franc-Comte... Regarde attentivement notre escorte, que vois-tu ?Ne laissant pas le temps de répondre au garde qui déjà se décaler pour regarder, il reprit.N'y vois-tu pas l'étendard Comtois qui flotte fièrement au vent ? Après un soupir, le Comte prit la parole de nouveau. Bien, trêve de bavardage ! Nous sommes venues prêter allégeance et nous comptons bien le faire. Si vous ne nous laissez pas entrer dans le camp, ni ne nous indiquez où est Sa Grandeur le Franc-Comte, c'est votre supérieur qui viendra vous apprendre à reconnaitre un Noble de Franche-Comté !

Toujours aussi hésitant, le garde laissa passer Franchesco et son escorte après leur avoir indiqué où trouver le Franc-Comte. Le Comte de Cordonnet remercia le garde tout en pensant qu'il reviendrait plus tard s'excuser d'avoir prit un ton si menaçant... Mais il ne voulait plus perdre de temps.
Le camp avait été dressé autour d'un petit chateau se situant non loin de la capitale. Ce chateau avait été entouré de palissade de bois telles que celles que l'on monte lorsque l'on établi un camp avancé en campagne. Une multitude de tente, plus ou moins grande étaient plantées. Les chemin étaient arpentés par des hommes en armes, militaire de Franche-Comté mais aussi palefreniers et autres personnels nécessaires à un pareil camp. Régulièrement on tombait sur des lances, pics ou autres armes d'hasts qui étaient regroupés, les unes contre les autres sur la forme d'un cône. Après avoir remonté tout le camp, Franchesco arriva enfin devant le chateau. Il mit pied à terre, déposa son bouclier et demande à quatre de ses cavaliers de le suivre, laissant les autres garder les chevaux.

C'est dans un bruit métallique que chacun des pas de Franchesco raisonnait dans l'entrée du chateau, bruit auquel s'ajoutait celui des armures des cavaliers l'accompagnant. Après avoir demandé son chemin, il trouva enfin le Franc-Comte et s'en approcha pour prêter allégeance, laissant ses gardes dans le fond de la salle. Une fois devant le Franc-Comte, Franchesco dégaina son épée, mit un genou à terre et tendit son arme de ses deux mains vers le Franc-Comte tout en inclinant la tête.

- Votre Grandeur, mes devoirs.
En ces temps troublés pour le couronne Comtale, en ces temps où les armes sans doutes devront être tirés, Nous, Franchesco Galli, Comte de Cordonnet, noble de Franche-Comté jurons fidélité à Votre Grandeur dans le poste que Vous occupez et au Parlement que Vous représentez. Nous Vous jurons également conseil et bien évidemment nous mettons notre arme à Votre service, à celui de la Franche-Comté.
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Allegeances de Franche-Comté

Adrien72

Artifice

Fleur

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Elfriede.

Erine

Ayume

Riese

Artifice

Ayume

Riese a écrit:

Ne seriez vous pas Dame Ayume, une amie proche de mon frère? Si c'est le cas, je me présente, Riese d'Ollivaud, la soeur cadette du jeune homme là bas qui fait son beau sur le trône.

Imladris

Artifice

Imladris

Il se releva et le salua. Il ignora superbement Elfriede et évita Erine. Une gifle lui avait suffit. Il prit un morceau de viande au passage et quitta la salle.
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Riese

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P'tite soeur de Green, Lluna et Artifice...

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Ex Lieutenant de l'OST Poligny - Saint Claude

Ayume

Riese a écrit:

Il vous a parlé de moi?? Que vous a t il dit de méchant a mon sujet que je me defende

Ayume se mis a rire doucement

Et bien il n'a rien dit de méchant au contraire il vous apprécie fortement

elle sourit

Franchesco

Riese

Ayume a écrit:

Et bien il n'a rien dit de méchant au contraire il vous apprécie fortement

Hum me voilà rassurée dans un sens. Moi aussi je l'apprécie beaucoup mais on ne se voit que trop peu malheureusement. Et vous comment avez vous fait sa rencontre? Dites moi tout, cela fait tellement longtemps que j'attends de voir le jour ou il rencontrera quelqu'un!!
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P'tite soeur de Green, Lluna et Artifice...

Ex Adjudant de Gendarmerie - Elève dévouée de Greenwarrior depuis la prévôté
Ex Lieutenant de l'OST Poligny - Saint Claude

Ayume

Riese a écrit:

Ayume sourit

et bien c'est tout bête en taverne nous avons fait connaissance depuis se jour.. et voilà...

Adrien72

Adrien regardait les nobles un par un, puis le domestique lui passa des lettres sur un plateau en bois, le Hérault pris le paquet et commença sa lecture plume en main. En lisant il pensa à sa fille, sa jeune fille, il ferma les yeux, comme pour s'autoriser un repos de quelques instants. fermer les yeux le reposa, il sentait moins sa douleur de jambes, il oubliait sa migraine, son travail et pensait. Il entendait les sons, les conversations, les rires, les allégeances, le Franc Comte... et il pensait... les bruits métalliques, les marches, les chaises, et il pensait... le son, baissait, s'amoindrissait, s'estompait, et il pensait... et enfin... le noir... le calme...
Une main sur son épaule, et il leva la tête soudainement, les yeux grands ouverts, le paysage a changé, des gens le fixait, il comprit très vite qu'il revenait des bras de Morphée, et il regarda la main... du domestique, inquiet, avec un second plateau de paperasse dans sa main de gauche, il lui supplia, mort de honte... essoufflé

-Merci, que cela reste entre nous, servez-moi un truc fort... s'il vous plait

Adrien était paniqué par ce qui venait de lui arriver, cependant cela lui avait fait du bien.
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.artus.

Je n'étais pas encore à l'aise dans mon récent rôle de vassal. En voyant l'opportunité de m'avancer vers le Franc Comte, je la saisissa.

Votre Grandeur Artifice, Nous, Artus de Sparte Seigneur de Grand Charmont, vassal de Sa Grandeur Leif_ Von Dumb de Sparte, Comte de Sochaux, Vicomte de Rochefort sur Nenon, Baron de Mouthe, prêtons allégeance ce jour au Parlement de Franche-Comté et à son peuple et nous jurons fidélité, conseil, aide et service armé.

Agenouillé, j'attendis l'autorisation de me relever.
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Adrien72

Adrien se frotta la tête et demanda :

Seigneur, vous prêtez allégeance en votre nom, ou à celui de votre suzerain?

Il attendit une réponse de sa part.
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Uruk

Une lettre, comme a son habitude : les allégeances du Margny.

Citation:

A Sa Grandeur Artifice, Comte de Franche-Comté,
Salutations.

Nous, Uruk de Margny-Riddermark, Prince de Condé, vous reconnaissons par la présente pour suzerain de nos terres franc-comtoises, et vous prêstons allégeance pour nostre baronnie de Jussey. Nous vous jurons a nouveau respect, aide et conseil, a vous et au peuple de Franche-Comté.

Nous faisons savoir que si un conflit venait a vous opposer, vous, Comte Artifice, nostre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous, et pour nul autre.

Qu'il soit su.

Fait en Jussey, le second jour de Mars mil quatre cent cinquante-huit.

Uruk de Margny-Riddermark.

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Leonin

Léonin avait reçu le rappel. Il avait totalement oublié ces allégeances. Décidément, il était pas encore au fait de ce qu'il fallait faire. Il se prépara et arriva dans la salle des allégeances. Pour le moment il n'y avait pas encore beaucoup de monde. Il vit qu'il y avait quelqu'un qui passait. Il attendit que celui-ci termine en se faisant discret. Après, ce serai à son tour. Il se remémora ce qu'il devait dire.
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Vicomte de Sellières

Elfriede.

Citation:

Bonjour ma belle lui adressa-t-elle

Je suis contente de te revoir et en pleine forme tu me parais. As-tu fais un bon voyage?

Ravie de te voir aussi.

Elle fit la bise à sa marraine avant de s'avancer vers le franc comte. CEla faisait longtemps qu'elle n'avait pas fait elle même .. depuis son déménagement en fait, mais elle avait tenu à se représenter elle meme... étant encore en Franche Comté pour quelques jours.

Elle s'agenouilla.

Nous Elfriede Goulard de Rubempré de Sparte, Duchesse de Noviant, Vicomtesse de Valentigney, Dame d'Ivrey et d'Abaucourt.

Vous reconnaissons vous, Artifice, comme étant le Franc Comte de Franche Comté,

Nous vous prêtons allégeance et reconnaissons par la même notre état de vassalité.

Vous prêtons également allégeance pour nos terres de Valentigney et vous promettons, à vous notre suzerain, obsequium, auxilium et consilium en tous temps et en tous lieux.
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.artus.

Les terres de Grand Charmont faisant parties des Terres de Sochaux et étant son Vassal, comme je l'ai stipulé, il est évident que je le fasses au nom de mon suzerain.
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Artifice

Artifice aussi se posa la question sur l'allégeance d'Artus, en attendant la réponse de celui-ci, Elfriede s'avança et s'agenouilla à son tour.

Il fit signe aux deux de se relever et leur adressa quelques mots

Seigneur de Grand Charmant, nous vous remercions d'être venu au nom de votre suzerain et si vous avez l'amabilité de lui faire parvenir que par son allégeance il assure donc subsistance et protection pour lui et ceux qui sont sous sa propre protection tout comme vous bien sûr et qu'il continue à bien s'occuper de sa mairie.

Elfriede, enfin Vicomtesse Elfriede devrais-je plutôt dire, j'ai donc le plaisir de vous revoir, j'espère que vous vous portez bien. Qu'Aristote vous protège dans vos voyages et sachez que vos terres sont sous la protection de la Franche-Comté de par votre renouvellement d'allégeance.

Il avait failli lui parler de son mari mais il s'abstenait.

.artus.

Après ma précision, le comte m'autorisa à me relever. S'en suivait quelques mots que je devais transmettre à mon suzerain.

Merci, Votre Grandeur.
Je vais de ce pas rapporter vos mots à mon suzerain.

Fier d'avoir pu effectuer l'allégeance de mon suzerain, je pris la direction de la mairie de pontarlier.
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Erine

Après quelques paroles échangées avec sa filleule, Erine se dirigea à son tour vers le franc-comte et lui presta allégeance.
Elle s'agenouilla et s'adressa à lui.

Nous, Bobyzz et Erine de Sparte, Comte et Comtesse de Salins-les-Bains, Baron et Baronne de Valdoie, Seigneur et Dame de Menotey, renouvelons nostre allégeance, à la Franche-Comté, à sa Grandeur Artifice d'Ollivaud, à son peuple et à son parlement au nom de nostre Baronnie de Valdoie.

Nous vous jurons obsequium, auxilium et consilium en tous temps et en tous lieux par nostre foie.
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CaC de FC
Fondatrice de MCPP (Mouvement Comtois Pour le Peuple)

Leonin

Bon ... Cette fois-ci c'était à lui. Il quitta son recoin tranquille pour se mettre devant le nouveau Franc-Comte. Il mit un genou à terre et après s'être pour la énième fois remémorer la phrase exacte il déclara :

Moi Léonin de Monmouth, Bar... Vicomte de Sellières, viens ici pour porter allégeance à Artifice, Franc-Comte de Franche-Comté, à son Parlement et à son peuple.
Je jure aide, conseil et bras armé sur ma vie, mon honneur et ma foi en tout point où celui-ci voudra bien.

Il resta ainsi attendant la réponse d'Artifice.
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Vicomte de Sellières

Titannick

A peine la cérémonie de fin de mandat terminée, Titannick fut conviée à participer aux allégeances.
Voilà qui était encore une grande première !

Suivant les quelques parlementaires qu'elle connaissait, elle pénétra dans la salle et observa la façon dont chacun prêtait allégeance, se répétant les mots qu'ils prononçaient espérant ne rien oublier quand viendrait son tour.
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Raouldarc

raouldarc simple gueux de saint claude ,avait réussi a se faufiler dans la salle des allégeances . il regardait les nobliaux parader tous aussi fier les un que les autres .a croire que rien ne c était passer. ils etaient la a s autosastisfaire et a se tirer sur l élastique .pourtant avec la prise du chateaux il n y avait pas de quoi être fier .les responsables devraient payer et il aurait bien vu quelques unes de ses têtes gonflés sur une pique.

quand le comte s adressant a une vicomtesse sous ses termes .

Citation:

Qu'Aristote vous protège dans vos voyages et sachez que vos terres sont sous la protection de la Franche-Comté de par votre renouvellement d'allégeance.

il ne put s empêcher de parler a haute voie ;les mots sont sortant tout seul

a ben si la franche comté défend vos terres comme elle a defendu son chateau permettez moi de vous dire vicomtesse qu a votre retour il ne restera que des cendres .pour votre voyage prenez un maximun d affaire ca sera toujours ca de sauvé .
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Artifice

Les allégeances se succédèrent, il fallait suivre...

Comtesse de Salins-les-Bains, de part vostre Baronnie de Valdoie, vous assurez protection de vos terres. Continuez à servir la Franche-Comté comme vous le faites jusqu'à présent, je vous en remercie grandement.

Vicomte de Sellières, votre honneur n'est plus à prouver, nous savons que nous pouvons compter sur vous comme vous pouvez compter sur la protection de vos terres.

Vous pouvez vous relever.

Il leur sourit et attendit les suivants...

Yde

Les traits tirés par les contrariétés des derniers jours, les aller-retours incessants entre Dole et Poligny, elle avait quand meme pris le temps de passer se raffraichir et se changer.
Elle avait hesité longtemps a prendre sa fille ou pas..Mais elle l'avait si peu vue ces derniers jours, qu'elle l'habilla chaudement . Elle trouverait bien quelqu'un a qui la confier le temps de son serment.

Passant le seuil de la salle, elle salua Artus qui sortait déjà . Un rapide coup d'oeil sur ceux agenouillés et sur les alentours.

Elle sourit voyant Tita qui semblait repeter son texte , les levres remuantes legerement.
Arrivant a sa hauteur, elle l'embrassa et lui chuchota

Toutes mes felicitations Baronne pour votre election...
C'est a toi apres?.
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Heloise_

Héloïse en voyant Mamam venir dans sa chambre à la baronnerie avait fait montre de sourire d'appel, de bras tendu. Elle était bien contente de revoir sa maman après ces quelques jours sans elle.
Elle fut d'ailleurs encore plus ravis en se faisant habillé, consciente que cela signifiait que Maman allait sortir avec elle. C'est donc toute guillerette que Héloïse arriva dans les bras de sa Mamam aux allégeances.
Il faut se rappeler que sa dernière venu était dans le ventre de sa mère, elle n'avait donc pas à proprement parler vécu l'événement. Elle s'agitait dans les bras de sa Maman gaiment surtout quand elle reconnu le drole de monsieur du bapteme de Medea.
Mais Mamam allait pas le voir, elle filait vers une autre dame inconnue.
Héloïse stoppa ses sautillements et dévisagea franchement la dame en face d'elle. Deux petites dents commencaient à pointé dans sa gencive ce qui lui donnait les joues rouges. Mais les dents étaient bien caché, Héloïse avait un air sérieux. On était aux allégeances tout de meme^^
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Héloïse du Val d'Haine

Titannick

Yde a écrit:

Toutes mes felicitations Baronne pour votre election...
C'est a toi apres?.

Titannick sourit à Yde puis l'embrassant à son tour, elle lui chuchota :

Oups pas baronne ... dame ... merci pour tes félicitations !
Arf ! Tu crois que c'est déjà à moi ? Aie ! Je suis pas sûre d'avoir assez révisé ...

Se concentrant à nouveau sur les paroles qu'elle allait devoir prononcer, elle s'avança vers Artifice et s'agenouilla devant lui.

Nous, Titannick von Dumb, dame des Planches-en-Montagne, vous reconnaissons vous Artifice comme suzerain de Franche-Comté et vous prêtons allégeance à vous, au parlement franc-comtois et à son peuple.
Nous vous jurons fidélité, conseil, aide et service armé.

Espérant n’avoir rien oublié, Titannick leva les yeux sur le comte et attendit sa réponse.
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Adrien72

Adrien but ce qui avait dans le verre... c'était une boisson à base "d'alcool" que lui avait dit le domestique, elle était trés foncé, elle avait le gout d'alcool, et un arrière gout très fort et très désagréable, efficace pour ne pas s'endormir. Une nouvelle pile de lettre arrivait... on pouvait y lire:

Citation:

A l'intention du Parlement de Franche-Comté et de son Franc-Comte.

Moi, Rhuyzar, Vicomte de Delle, renouvelle par la présente lettre mon allégeance à la Franche-Comté, son peuple et ses représentants légitimement élus et choisis. Je jure, comme je l'ai toujours fait, de servir avec honneur, bonté et courage cette région que j'ai maintes fois aidée.

Faict à Mayenne, le second du troisième mois de l'An de Grâce 1458
Rhuyzar de la Louveterie dict le Chevalier aux Ailes Noires, Grand Escuyer de France, Vicomte de Delle, Ex-Dignitaire Impérial, Chevalier de Plein Droit de l'Ordre Royal de la Licorne

Citation:

Moi, Greenwarrior de Mélicour. Baron de Rougemont, Chevalier des ordres du Dahut et du Lion d'Or, Galoup de Franche-Comté.

Par la présente missive je preste allégeance à la Franche-Comté et à son peuple représenté par le Comte Artifice et son parlement élu, aux postes attribués par ses soins.

Je jure d'apporter aide, soutien, conseil et service armé en mon nom, celui de ma descendance, de mes gens et de mes ordres.

Je le jure sur ma vie, mon honneur, ma foi et ma haine envers les pillards et autres bourgeois en tout genre.

De ce fait, je ne puis être présent sur le territoire comtois car il éxiste quelques crétins à massacrer pour venger nos chères terres.

Greenwarrior de Mélicour
Baron de Rougemont
Chevalier de l'ordre du Dahut
Chevalier de l'ordre du Lion d'Or.
Galoup de Franche-Comté.

Citation:

Nous Mun von Frayner von Strass, Vidames Vice Dominus Vétéranus, Duc de Vittel, Régent des Baronnies de Fontnoy et d’Amance et Seigneur de Montigny,
Commandeur de l'ordre de l'Alérion Lorrain, Etoile de Rubis d'Isendul, Grand Officier de l'Ordre de Sainte Kyrène et Lieutenant Banneret de l’Office des Trois Ecus.

Reconnaissons comme Franc Comtois , Artifice, et pour cela nous lui rendons hommage.
Nous leur promettons fidélité, conseil, aide, protection et assistance, en échange de protection, justice et subsistance.
Tout en renouvelant notre prime allégeance à Rome.

Fait à Nancy
En ce deuxième jour du troisième mois de l'an de grâce MCCCCLVIII
Scellons de notre estampille pour authentifier le parchemin.

Citation:

Nous, Diane. de Cheroy Comtesse de Moissey, Vicomtesse de Chaumergy reconnaissons comme suzerain vous Artifice d'Ollivaud Comte de la Franche Comté.

Je jure de vous apportez aide (auxilium) et conseil (consilium), respect (obsequium).

Que si un conflit venait vous opposer vous , Artifice d'Ollivaud Comte de Franche Comté, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Fait en notre maison de Moissey , ce jour 2 Mars de l'an de grace 1458

Diane. de Cheroy.

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Gundard

Comme à son habitude Gundard sorti de son université pour venir à la cérémonie d'allégeance, il salua ses amis présent puis se dirigea vers le comte

Moi Gundard De Moulain Baron de Vernier Fontaine, viens porter allégeance au Comte de Franche-Comté, à son Parlement et à son peuple.
Je jure aide, conseil et bras armé sur ma vie, mon honneur et ma foi.

Il reparti aussitôt pour la taverne avant de retourner à son étude.

Lothilde

En tenue de grand apparat, épée battant le long de sa jambe, bottes brillantes dessus-dessous, coiffée convenablement, Lothilde avance, parfaitement sereine, dans l'allée de la salle du trône, se livrant au passage à quelques sourires de circonstance à quelques vieilles connaissances amies et ennemies et se tient un instant debout devant le grand fauteuil du franc-comte. avant de retirer son épée pour mettre un genou au sol..Émue soudain, plus qu'à l'ordinaire, elle retient difficilement ses larmes en regardant flotter l'oriflamme au Lion comtois que d'immondes scélérats ont osé profané et incline la tête

Citation:

Moi, Lothilde Adams de Melincour, Vicomtesse de Dampierre
Par devant vous, franc-comte Artifice, renouvelle mon serment d'allégeance à notre empereur Long-Jean-d'Argent, au parlement comtois et à ma province qui m'est si chère.
Je jure d'apporter aide, soutien, conseil et service armé , sur mon honneur et sur ma foi.

Qu'Aristote soit ici témoin de mon serment

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Yde

Yde etait tres perplexe...ça entre ça sort, ça n'attend pas son tour...
Déjà elle trouvait ça rocambolesque avant..Là ça devenait....Elle soupira un bon coup, dodelina de la tete, embrassa le front d'Heloise et lui murmura en attendant que le Comte ouvre la bouche

Et puis on s'etonnera que le peuple ne especte pas la noblesse...mais quand on voit ça..vaut elle la peine d'etre respectée?
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Artifice

Il n'avait pas le temps de s'adresser au noble suivant qui prêtait son allégeance, que d'autres se mirent à genou et firent de même... Décidément ils étaient tous pressés tout à coup.

Dame des Planches-en-Montagne, votre allégeance est parfaite pour une première, soyez assurer de la protection de la Franche-Comté. Bon mandat à la mairie de Saint-Claude

Il lui sourit. Alors qu'il voulu répondre à Gundard celui-ci repartir directement, aussi vite qu'il n'était rentré. Il passa donc à la dernière arrivé. Alors qu'il la regardait s'agenouiller face à lui, il croisa son regard qui de la sérénité habituelle, se changea en grande tristesse voyant ces yeux qui commençaient à se brouiller. Son visage venait de s'incliner et elle prononça ces mots de fidélité.

Vicomtesse de Dampierre, je devrais vous dire que la Franche-Comté vous protège mais nous savons tous que vous êtes maitre en la matière de défense, donc je m'abstiendrai de le faire sachant très bien que c'est vous qui serez toujours prête à défendre notre comté.

Il afficha un sourire reconnaissant qui lui était destiné.

Yde

Ne voyant personnes debouler de nulle part, Yde allait s'avancer, réalisant alors son embarras.L'epee, la petite fille, l'agenouillement.

Aux grands maux, les grands remedes..Yde s'avança vers le Herault penché sur ses papiers et lui mis Heloise entre les bras, en souriant..

Ca ne sera pas long, je vous rassure

Elle s'echappa tres vite avant toute reaction, sortit son epee du fourreau, la pointa vers le sol et baissa la tete

Cette fois , encore plus que les autres, moi, Yde du Val d'Haine, Baronne de Laviron jure fidelité, conseil ,arme et ecus a la Franche Comté, son peuple et ses representants au parlement.
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Artifice

Le Franc Comte sourit de voir Yde déposer sa petite fille à l'Héraut

Baronne de Laviron, soyez assurée de la protection de la Franche Comté à vous et votre petite famille. Qu'Aristote veille sur votre fille Héloïse. Je vous remercie aussi pour votre dévouement sans faille depuis plusieurs mois maintenant.

Il se tourna vers l'Héraut se pencha vers Héloïse, lui caressant la joue tout doucement. Puis laissa Yde reprendre la petite.

Katarina

Guère en avance comme à son habitude, Katarina avait laissé ses registres pour venir preter allégeance. Elle fit attention de ne prendre la place de personne ... avant de s'approcher devant Artifice et de s'agenouiller.

Nous, Katarina de Sparte Von Dumb, Comtesse de Sochaux, Vicomtesse de Rochefort sur Nenon, Baronne de Mouthe, renouvelons notre allégeance ce jour au Parlement de Franche-Comté et à son peuple et nous jurons fidélité, conseil, aide et service armé.
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Katarina von Dumb de Sparte
Comtesse de Sochaux
Vicomtesse de Rochefort sur Nenon
Baronne de Mouthe

Derdekan

Chic, chic ! Des allégeances !
Rien de tel qu'un buffet matinal pour se mettre en route !

Derdekan attrape sa cape, saisit son hallebarde et hop, le voila parti vers la grande salle des allégeances.

Avant de commencer à faire la tournée de salutations, Derdekan resta sur le pas de la porte. Il aimait observer ce qu'il se passait.

Tiens, Elfriede était de retour ? Ca faisait une paire de mois qu'elle avait disparue... on la croyait morte.
Oh, mais voila qu'Imladris prêtait serment. On aurait dit qu'il était en train se raper la peau au couteau avec du sel, tant son expression était douloureuse.

Soudain, voici qu'arrivait le comte de Cordonnet, tout fiérot dans son armure. Un rictus légèrement moqueur s'afficha sur les lèvres de Derdekan.
Deux mois au comté et hop, on hérite d'un domaine et on parade... si le domaine est géré comme il avait géré le comté, il ne restait plus qu'à le cueillir.

Soudain, un gueux se permit de lever la voix pour énoncer de claire voix une, nous le dirons, vérité cinglante. Cependant, nul noble ne fit attention à lui et il se tut, visiblement, penaud.

Yde, Lothilde, Titannick, ... les nobles dames passaient, s'agenouillaient, prêtaient serment et se relevaient.
Il n'y avait pour l'instant plus grand monde devant le trône, hormis katarina qui attendaient la réponse du franc comte.

Derdekan décida de s'avancer dans la salle, hallebarde à l'épaule, forçant les domestiques et autres nobles à baisser la tête s'il venait à tourner trop rapidement.

Quelques saluts aux connaissances et amis qu'il croisait du regard.
Tout le monde était un peu dispersé et il ne savait pas où se raccrocher, de peur d'être impoli envers d'autres.
Il se rapprocha donc du trône comtal et se tint légèrement en retrait derrière Katarina, bien décidé à passer après elle.
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Un à un, ils y passeront.

Kilia | Aurelien. | Barberouge
Baron_arwin | Leandre | Eubies
Hanadora | Saltarius | Elven
Horkos. | Soeli | Calyce.

Heloise_

Héloise sans trop comprendre ce qui se passait se retruova dans les bras d'un parfait inconnu.
Comme à son habitude elle regarda sa mère s'éloigner en chouignant et voyant que cela ne changea rien, elle se tourna vers l'hérault et dans un grand sourire lui attrapa le nez.

Ensuite, elle sentit un truc lui chatouiller la joue, elle tourna son visage vers celui ci et lachant le nez de l'hérault attrapa le nez du chatouilleur de joue tout en souriant montrant des petites dents toutes blanches qui pointent doucement en dehors de sa gencive.
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Héloïse du Val d'Haine

Adrien72

Adrien resta pencher dans sa paperasse, puis il vut Lothilde, il lui hocha la tête par signe de respect pour sa suzeraine. Aprés cela il lut une lettre:

Citation:

Nous, Daresha de Jeneffe Riddermark, Comtesse de Scye et Baronne de St Laurent en Grandvaux, prêtons allégeance à la Franche-Comté, à son Franc-Comte, à son Parlement et à son peuple.

Nous leur jurons l'obsequium, l'auxilium et le concilium,

Escrit le septième jour du troisième mois de l'an 1458
En un monastère bourguignon

Sa Grandeur Daresha de Riddermark
Comtesse de Scye
Vicomtesse de Marchiennes
Baronne de St Laurent en Grandvaux et Calmont de Plancatge
Dame de Wavrin

[sceau]

Il pris note de son allégeance et leva la tête lorsque ses feuillets s'assombrissaient sous l'effet de l'ombre d'une dame. Il reconnu Yde, et son bébé, il fit un sourire et commença à bouger la tête comme pour lui dire non, trop tard. Il pensa que cela ne prenait que quelques minutes aprés tout, il la pris dans ses bras. Le bébé ne tarda pas à jouer avec son visage, et surtout ses cheveux... Adrien souriait, lui rappelant sa fille petite qui ne cessait de tirer la barbe. Il joua en lui chatouillant les joues avec ses mains, puis la petite lui tira la barbe, Adrien fit la grimace, et lacha un petit rire de pére en voyant l'enfant sourire. Il continua sans penser au public et à son travail...
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Artifice

Katarina s'avança, suivit de près par Derdekan qui attendit son tour.

Vicomtesse de Rochefort sur Nenon, de part votre allégeance, vous remplissez votre devoir et vous vous assurez ainsi la protection de la Franche Comté.

Hilderic.

Après de longs mois d'absence de sa Franche Comté natale, Hildéric avait à peine eu le temps de passer récupérer quelques vêtements propres dans sa modeste demeure de Saint Claude avant de rejoindre le château de Dole. Déambulant dans les couloirs du château il se dirigeait avec un brin d'appréhension vers la grande salle où se tenait les allégeances.

Un nouvel endroit du château qu'il ne connaissait pas et une foule de gens qu'il avait l'habitude de voir discuter en Agora mais qu'il n'avait pas l'habitude de fréquenter. Cherchant du regard un visage connu, il ne pu réprimer un sourire en apercevant la Dame des Planches-en-Montagne qui se relevait après avoir prêté allégeance, il se faufila pour la retrouver. Lui adressant un large sourire, il attendit à ses cotés que son tour arrive.

Reconnaissant celui qui portait hallebarde en toute circonstance, il se prépara à s'approcher du trône comtal.
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Titannick

Un sourire éclaira le visage de Titannick lorsque, se relevant à peine après avoir entendu les paroles du comte, elle aperçut l'homme qui venait d'entrer.
Elle le suivit du regard jusqu'à ce qu'il arrive près d'elle. Se retenant de lui sauter au cou, elle lui adressa son plus grand sourire.
Qu'il était bon, après de si longs mois d'absence de l'avoir enfin à ses côtés !

Le voyant s'apprêter à se diriger vers le trône comtal, elle lui murmura :
Je t'attends là, je repartirai avec toi !
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Jasona

Jasona arriva sur la place des allégeances. Elle était un peu nerveuse, c'était la deuxième fois qu'elle prêta allégeance à la place d'une personne. La première et dernière était son ancien Vassal le Comte Jontas de Valfrey.
Mais aujourd'hui, elle allait prêter allégeance au nom de son mari.
Il était retenu dans une autre province.
Elle attendit donc que la place se libère et se mit devant Artifice, posa un genoux sur le sol.

-Nous, Debenja et Jasona von Riddermark, Comte et Comtesse de Villers Buzon, Vicomte et Vicomtesse de Marnay,

Prestons allégeance à la Franche-Comté, à son peuple et à son parlement élu.

Nous jurons d'apporter aide, soutien, conseil et service armé.

Nous le jurons sur notre vie, notre honneur et notre foi.

Jasona attendit que Artifice prenne la parole.

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Lieutenant de l'Ost Luxeuil-Vesoul, Arbalétrière, ex CAM

Derdekan

Patientant poliment derrière Katarina, attendant qu'elle se relève après qu'Artifice lui ait dit l'allocution habituelle, Derdekan vit une forme le dépasser et s'agenouiller à côté de Katarina.

Jasona venait tout bonnement de dépasser et même, de faire son allégeance alors que l'autre n'était même pas terminé...
Quel manque de respect total et quelle impolitesse, Dieu...
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Un à un, ils y passeront.

Kilia | Aurelien. | Barberouge
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Katarina

Allégeance faite, Katarina se releva pour se diriger vers le buffet. Elle prit un verre, le but lentement. Puis se dirigea vers la sortie, du travail l'attendait encore.
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Katarina von Dumb de Sparte
Comtesse de Sochaux
Vicomtesse de Rochefort sur Nenon
Baronne de Mouthe

Madalen

C'est un peu nerveuse que Madalen fit son entrée cherchant du regard des visages connus et un éventuel soutien

C'était la première fois que son suzerain la mandait pour cette tâche et elle répétait son texte mentalement n'ayant pas envie de le décevoir, encore moins de paraître ridicule devant tout ce beau monde réuni

Elle s'était parée avec soin, sa longue chevelure blonde enroulée en un chignon serré sur la nuque, tout cela lui donnait un air strict mais digne après tout elle n'était là qu'en représentation pas besoin de se faire remarquer plus qu'il ne le fallait

Après avoir observé la disposition des lieux elle se dirigea d'un pas léger mais décidé afin de se mettre à la file, rassurée intérieurement de reconnaitre Derdekan, elle se dit qu'elle n'aurait qu'à suivre jusqu'à son tour le moment venu
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Artifice

Certains nobles commencèrent à s'agglutiner devant le Franc Comte, impatient de faire leurs allégeances. C'était au premier qui prenait l'initiative... Voilà que Jasona la prit sans perdre son temps

Comtesse de Villers Buzon, sachant très bien tout l'honneur et le dévouement que vous et votre mari portez à notre Comté, il est inutile de vous dire que le Comté vous doit sa protection encore une fois.

Il épiait la réaction de Derdekan le voyant un peu vexé de ne pas avoir pu passer après Katarina.

Cartil

Respectant ses habitudes, le Comte Cartil etait encore une fois parmis les derniers a preter allegeances au Franc-Comte. Pourtant, ce n'etait pas devant n'importe quel Franc-Comte qu'il allait preter serment, puisqu'il s'agissait de son ami Artifice. Il n'en revenait toujours pas, que celui qu'il avait connu gendarme soit monte aussi haut, etape par etape. Un sentiment de fierte l'envahit, et ce n'etait pas pour lui deplaire.

Une fois parvenu devant le Comte nouvellement elu, Cartil eut un sourire. Cela faisait longtemps qu'il n'avait plus rencontre certaines personnes, et cela lui faisait plaisir de les revoir. Certains avaient bien change depuis la derniere fois qu'il les avait vu, aussi, c'etait non sans emotion qu'il les salua en passant, avant de prononcer son serment :

Moi, Cartil de Margny-Riddermark, Comte de Champagnole et Baron d'Arbois declare preter allegeances au Parlement de Franche-Comte et renouveller mon allégeance à la Franche-Comté et à son peuple.
Je leur jure fidélité, aide, service armé et conseil, sur ma vie et ma foi.
Et si je puis me permettre, j'aimerais ajouter que je suis tres fier et tres admiratif de votre parcours, monsieur le Comte.

Un grand sourire accompagna ces derniers mots. Ceci dit, le Comte devait maintenant se retirer en silence. Beaucoup d'affaires l'attendaient encore en son domaine, et il n'avait malheureusement nullement le temps de discuter avec les autres invites, bien qu'il l'aurait souhaite...
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Derdekan

Alors que Jasona venait à peine de se relever d'avoir fait son serment, à peine Derdekan n'avait-il commencé à ordonner à ses muscles de se contracter pour faire un pas vers le franc comte qu'un cartil tout fier passa devant son nez pour se jeter, le genou franc en avant, devant le trône comtal.

Un tic nerveux contracta la mâchoire de Derdekan et de l'air fut soufflé de ses narines comme un taureau qui se prépare à charger, les naseaux fumants.
Pianotement de doigt sur le manche de l'hallebarde. L'abattre sans faire exprès ou pas ?
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Un à un, ils y passeront.

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Madalen

Mada se demandait si cette cérémonie était toujours aussi désorganisée, elle pensait que l'éducation était innée chez les nobles mais il n'en était apparemment rien

Un homme venait de remonter la file dépassant ceux qui attendaient leur tour dans la discipline et lorsqu'elle avait pu apercevoir le profil de Derdekan toisant ce dernier elle aurait juré qu'il avait eu envie l'espace d'un instant de faire un croche-pied à cet individu à l'air bien hautain

La jeune femme se retint de rire imaginant celui qui s'était nommé en partie comme Baron d'Arbois elle n'avait pas retenu le reste, allongé de tout son long à leurs pieds la scène aurait été bien coquace dommage ...
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Artifice

Décidément Derdekan n'arrivait pas prendre son tour. Le pauvre commençait vraiment à trépigner devant le trône. Cartil s'était déjà agenouillé.

Comte de Champagnole, vous me faites un immense plaisir de consacrer de votre temps en venant en personne prester votre allégeance. Sans vous je ne serai pas là où je suis, très cher parrain, il est vrai aussi que j'ai quasiment suivi le même parcours que vous, mais en prenant plus de temps. En plus de ma propre protection, vous êtes assuré de celle du Comté.

Il se tut quelques secondes et reprit

Encore vraiment merci de m'avoir convié à rejoindre cette brigade de Pontarlier...

Il sourit au Comte et le laissa se retirer. Réfléchissant quelques secondes alors, il continua en s'adressant à Derdekan pour éviter que quelqu'un d'autre ne vienne encore passer devant lui

Je vous prie Monsieur le maire

Fccasper

Le Comte arriva enfin aux allégeances, un peu en retard, et prévoyant de ne point pouvoir y rester longtemps.

Il entra dans la grande salle au moment où Cartil terminait son allégeance. Parfait, la place allait être libre, mais le Franc-Comte se tourna vers quelqu'un semblant même l'appeler à faire son allégeance. Il faudrait donc attendre.

Le Comte se mit donc sur le coté, prêt à se jeter dans l'exercice de génuflexion dès la place libérée.
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Madalen

Madalen toisa l'homme qui essayait de passer entre elle et Derdekan et puis quoi encore ! elle n'avait pas la journée elle se tourna vers lui et lui dit d'une voix impatiente

"Messire ne pourriez-vous vous mettre à la queue comme tout le monde ! il n'y a plus guère de galanterie en Franche Comté on dirait, après Sire Derdekan vient mon tour et ensuite le vostre"

Un léger plissement à la commissure de ses lèvres démontrait que la jeune vassale du Vicomte de Saint-Sauveur commençait à perdre patience, déjà que cela n'était pas loin de là sa première qualité
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Hilderic.

Hildéric observait du coin de l'œil les nouveaux arrivants et secoua la tête en voyant chacun essayer de passer devant ceux qui attendaient patiemment.

Son tour viendrait bientôt mais il sentait qu'il allait encore devoir attendre ...
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Jasona

Quand Jasona se releva, et qu'elle se retira de devant le trône, elle remarqua qu'elle était passée devant Derdekan. Elle ne l'avait pas vu. Et vu son regard, cela ne lui avait pas plus.
Elle s'approcha donc de lui.

-Heu... bonjour Derdekan... je suis navrée d'être passé devant vous, je ne vous avait pas vu. Je n'ai pas l'habitude de faire les allégeances, et je pensais qu'il n'y avait plus personne qui passerait.

Remarquant que Cartil en profita pour passer à son tour devant Derdekan, elle ne put s'empêcher de laisser échapper un petit rire en voyant Derdekan commencer à bouillir.

-Apparemment, vous n'êtes pas assez imposant, personne ne vois que c'est votre tour. Le prochain qui passe devant vous, je lui fait un croque en jambe, comme cela, vous pourrez y aller.
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Lieutenant de l'Ost Luxeuil-Vesoul, Arbalétrière, ex CAM

Fccasper

Le Comte observa la jeune femme. Quel était donc ce ton qu'elle employait ?? Elle parlait de galanterie alors même qu'elle ne maitrisait pas la bienséance...

Très chère dame, ne vous en faites pas pour votre tour, j'arrive juste, et n'ai pas pris la peine d'encore observer à qui était le tour.
Néanmoins, avant de vouloir donner la moindre leçon de galanterie, pensez à appeler un Comte, Messire Comte, au moins cela... C'est la bienséance.

Enfin, espérant que le Baron de Clairvaux les lacs se décidera rapidement...

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Derdekan

Derdekan posa un regard mi courroucé, mi amusé sur Jasona.
Pas assez imposant ? Difficile de faire mieux quand on avait presque deux mètres de hauteur et une hallebarde qui le dépassait encore de 50 bon centimètres.
Cette femme n'avait donc pas le sens des mesures et le baron plaignait bien le comte Debenja qui ne devait jamais être assez grand.

Un sourire aux lèvres, il allait lui répondre quand alors que Cartil se relevait et qu'Artifice l'invitait à faire séant son allégeance, un fccasper tenta visiblement de s'intercaler entre lui et Madalen, déclenchant l'ire de cette dernière.

La réponse sèche du comte ne l'étonnait guère, il était connu que le titre de noblesse en franche comté était plus un argument à utiliser lors de discussions houleuses qu'autre chose.

Il répondit avant que Madalen le puisse :

Je veux bien me décider, mon cher comte, mais pour cela, je vais néanmoins attendre que le comte de champagnole décide de céder la place.
Je ne suis peut être pas ... imposant, mais je ne tiens pas pour autant à lui marcher dessus.
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Un à un, ils y passeront.

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Madalen

...pensez à appeler un Comte, Messire Comte, au moins cela... C'est la bienséance.

Les yeux de la jeune femme se posèrent à nouveau sur le petit homme rondouillard à la voix nasillarde et Mada sourit de toutes ses dents en le dévisageant de pied en cap

Sa langue douce et vive de vipère bien que rapide se vit devancée par celle plus ronde et affable de Derdekan

...Je ne suis peut être pas ... imposant, mais je ne tiens pas pour autant à lui marcher dessus.

Madalen étouffa un petit rire nerveux tout en pensant qu'elle avait bien de la chance d'avoir comme Suzerain un homme bon et avenant, plaisant à la vue ce qui ne gâtait rien de surcroit

Son humeur redescendit telle la soupe au lait que l'on retire de la flamme trop vive et elle reprit sur un ton bien plus condescendant

"Ravie de vous connaître Comte...je suis Madalen de Magnivray, Vassale du Baron et Vicomte Sacrai de Saint-Sauveur que vous devez sans doute connaitre"

Puis se tournant vers Derdekan reprit

"C'est un réel plaisir pour moi de vous revoir Baron"
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Adrien72

Adrien continuais ses fiches, baillant toutes les trente secondes, il ne s'occupait pas de ce qui se passait dans la salle mais des fiches, qui arrivait encore et encore. Il ne restait plus beaucoup de temps avant de boucler la cérémonie.

Citation:

Nous, Baronne de Maîche, reconnaissons pour Suzerain et de ce fait, prêtons allégeance et vouons aide et conseil, armé ou non, sur notre Honneur et notre Foi, à notre très aimé et adoré filleul et Comte Artifice de Montaigu, pour qu'à travers lui et notre Parlement revienne la prospérité en Franche-Comté.

Soyez autorisé, cher Adrien, à recevoir en échange notre bisou vassalique, étant toujours très loin de notre patrie.

Rubella.

Citation:

Moi, Brennus McAneyth de Les-2-Brebis de Ferroux,
Vicomte de Audincourt,
Gouverneur de l'armée Audin Morituri Sequanorum,

renouvelle par la présente mon allégeance à la Franche Comté, son Parlement et son Peuple.

Je lui jure aide, fidélité et service armée, en tout temps et en toute heure.

Brennus

Citation:

De Saumur, Duché d'Anjou,

Au peuple du Comté Franc de Bourgogne, à son parlement, à son conseil légitimement élu, et à son Comte légitimement élu de par les urnes, Artifice d'Ollivaud,

Respect et salutations.

Nous, Adrian Fauconnier de Riddermark, Vicomte d'Isle et de Montbarrey, déclarons ce que suit :

Que nous reconnaissons comme suzerain vous, Artifice d'Ollivaud, comme légitime Franc-Comte de Franche-Comté par la grâce des urnes ;

Que nous vous devons désormais respect, aide, et conseil ;

Que si un conflit vous opposait vous, Artifice d'Ollivaud, Franc-Comte de Franche-Comté, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous ;

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Pour que l'autorité de notre sermentation obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer par l'impression de notre sceau.

nous Adrian Fauconnier de Riddermark, humble vicomte de Montbarrey en terres de Franche-Comté, avons écrit et ratifié.

Qu'il en soit ainsi et heureusement. Amen.

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Lluna

Pfiou. Ce n'est toujours pas évident d'être aux mondanités à l'heure et Lluna en savait quelque chose... Et pire fut qu'elle ne put accompagner le plus athlétique et le plus apollonesque de tous les hommes du royaume, tellement de choses à gérer, entre ses loisirs à Saint Amour, ses promenades, ses rêveries, et tout le reste. Mais n'en fut-il point trop retardant qu'elle arriva, la robe même pas poussiéreuse. Et presque ultra pressée, point pour les allégeances, mais plus pour le retrouver, qu'elle arriva sans prendre le temps d'écouter les chuchotements qui pouvaient être quant à cette sortie francomtoise.

Et son regard se posa intuitivement juste là, juste devant, et c'est ainsi toute sourire qu'elle s'approcha, lui glissant un tendre et discret baiser, et tout en saluant d'un sourire poli une dame avec qui il semblait s'entretenir, bien que les deux semblaient tout aussi concentrés sur l'attente d'approcher le coussin rouge.
Tellement concentrés qu'elle ne savait si elle se devait de jouer de parole, surtout que, bon, à part la récitation pour Artifice et Adrien, et toutes les douceurs qui se disent en d'autres lieux, rien ne lui venait à l'esprit... Mais, zouh, elle joua d'un nouveau sourire, amusée, et tenta

J'ai l'impression que la lecture est une belle distraction, au point de vous jouer de meilleure patience encore, ne trouvez vous point ?

Ca doit être sûrement très agréable de porter missives, écrites au bord de l'eau sous le clair de lune... Et à ces pensées qu'elle observa le Franc Comte, pour ne pas se laisser aller à des pensées bien plus apollonesques... Bref, elle observa le porteur du coussin rouge tout en se demandant s'il décomptait les nobles qui patientaient tout sagement pour lui jouer courbettes. Pfiou... mais pourquoi faut-il toujours tout le temps des allégeances, hein, quelle idée !
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Artifice

Alors que personne ne s'avançait, il se pencha vers Adrien lui demandant si tout se passait bien pour lui... Après quelques murmures il s'avérait que la limite pour porter allégeance allait bientôt être dépassée. Il s'adressa alors aux nobles n'ayant pas encore fait leur devoir

J'invite les nobles qui n'ont pas encore renouvelé leurs allégeances de venir tous devant moi, l'un a côté de l'autre et de porter allégeance chacun votre tour sans trainer. Nous arrivons au terme de cette cérémonie, il est temps qu'elle se clôture si vous le voulez bien. Donc dans le calme, avancez vous devant moi et on vous écoute. N'attendez pas que je réponde, je le ferai quand tout le monde sera passé. Merci

Lluna

Tient, tous à la fois, telle une farandole, mais sans cacophonie. A arriver au début, dès les portes poussées, qu'on reste plus longtemps; à arriver... à la bourre que ça en devient bien plus expéditif, elle s'en souviendra pour dans deux mois. Et zouh, elle regarda le Comte de Saint Amour

Zouh, c'est à nous !

L'un à côté de l'autre... Dans une autre circonstance que cela aurait été un autre lieu, avec d'autres personnes à leurs côtés, et qu'il faudrait tout un autre discours, ponctué par un seul mot, tout magique et tout merveilleux à souhait. Mais Artifice porte un coussin rouge, pas une autre tenue tout aussi officielle. Dommage...
Et par une récitation parfaite

Moi, Lluna Adams de Melincour, au titre de la Vicomté d’Amancey, renouvelle mon serment d'allégeance à la Franche Comté, son Peuple et son représentant par les urnes, le Parlement.

Je leur jure fidélité, aide, conseil et service armé, sur ma vie, mon honneur, ma foi, les dahuts plus que discrets, la soule, et sur tous les rêves qui me tiennent tant à cœur et qui prennent plaisir à m'éloigner en des terres sereines.

N'attendez pas que je réponde, que venait de dire Artifice... Lluna regarda à leurs côtés, juste pour voir s'ils étaient encore très nombreux...
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Madalen

La jeune vassale novice à cette cérémonie suivit le mouvement et se retrouvant devant le Franc Comte plongea dans une longue et gracieuse révérence avant de déclamer

"Vostre Grandeur nous Madalen de Magnivray, vassale de Monseigneur Sacrai d'Eirbal, Baron de Saint-Sauveur, Vicomte de Saint Loup-sur-Semouse venons en son nom et titres porter ce jour allegeance à vous ainsi qu'au parlement de Franche Comté et à son peuple leur jurant fidélité, conseil, aide et service armé "

Madalen se redressa cherchant du regard un plateau, un verre mon dieu qu'elle avait soif .....
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Hilderic.

Suivant le mouvement, Hildéric s'avança aux cotés de Lluna et Madalen et prit la parole à son tour.

Nous, Hildéric Saint Clair d'Elean, Maitre instructeur de l'Ordre des Chevaliers Francs, Escuyer du Chevalier Jackdaniel's de Rosslyn, Commandeur de Chatenoy les Forges,

Reconnaissons comme Franc Comte, Artifice d'Ollivaud.
Nous jurons fidélité, conseil, aide et service armé,
Tout en renouvelant notre prime allégeance à Rome.
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Derdekan

D'accord ... murmura Derdekan, voyant trois personnes devant lui alors que ces mêmes personnes avaient clairement remarqué que c'était à son tour.
Bon, ben, puisqu'il faut la jouer à la sauvage ....
Il s'avança et posa un pied vengeur au milieu des trois agenouillés avant de faire lui même le courbéchine devant Artifice.

Ce qu'il n'avait pas prévu, c'est qu'en faisant de cette façon, son hallebarde se ramena en tranche vers le trône comtal et resta pointé vers son occupant, sans toutefois blesser personne.

Moi, Derdekan d'Argenteuil, Francois d'origine mais Comtois de cœur et citoyen de l'empire, Baron de Clairvaux les Lacs,
je preste serment d'allégeance à la franche comté et à son franc comte élu, Artifice d'Ollivaud, pour le meilleur et surtout le pire,
jusqu'à la fin de son mandat ou sa mort, si elle survint avant la fin de ce dernier.

La baronnie et son baron jurent fidélité, conseil et service armé pour un tant soit peu qu'on trouve du fer pour faire des épées.

Il resta, la tête légèrement penchée mais pas courbée.
Le regard vers Artifice, il attendait.
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Un à un, ils y passeront.

Kilia | Aurelien. | Barberouge
Baron_arwin | Leandre | Eubies
Hanadora | Saltarius | Elven
Horkos. | Soeli | Calyce.

Estelbad

Estelbad qui était restait dans le fond de la salle jusque là... attendant que son tour vienne pour porter allégeance, fut relativement amusé par cette allégeance générale... Voilà qui devait plaire au Franc Comte que de voir plusieurs nobles à genoux devant lui et en même temps.

Il s'avança donc dans la foule, jusqu'au premier rang, et alla s'agenouiller à la suite du Baron de Clairvaux les Lacs.
Sans attendre, et dès que ses camarades eussent fini de prêter allégeance, il se lança...

Nous, Estelbad von Riddermark, Baron d'Hérimoncourt, renouvelons notre allégence à la Franche Comté, son Peuple et son Parlement élu. Nous reconnaissons comme suzerin le Franc Comte Artifice d'Ollivaud, et lui jurons aide, fidélité et service armée.
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Fccasper

Le Comte s'avança donc à l'invitation du Franc-Comte

Moi, Fccasper De Valfrey, Comte de Saint-Amour, Baron de Champagney, renouvelle mon allégeance, à la Franche-Comté, à son peuple et son Parlement.
Je leur jure fidélité, aide, service armée et conseil, sur ma vie et ma foi.

Madalen a écrit:

Les yeux de la jeune femme se posèrent à nouveau sur le petit homme rondouillard à la voix nasillarde et Mada sourit de toutes ses dents en le dévisageant de pied en cap

Petit aparté, les petites descriptions gratuites histoire de rabaisser l'autre, c'est bof... Je ne crois pas avoir décrit Madalen pleine de pustules... Mais bref, c'était juste pour dire...

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Artifice

Il les écouta les uns après les autres et intervint après son chancelier

Soyez tous assuré de la protection de la Franche-Comté pour vos terres, votre personne et vos gens.

Puis il fait une très courte pause et s'adressa particulièrement à Derdekan en le regardant

Baron des Clairvaux les Lacs, vu les dégâts occasionnés par votre hallebarde, vous me feriez le plaisir d'ordonner à un de vos artisans de venir réparer la marche à vos frais. Faites plus attention la prochaine fois, vous auriez pu blesser quelqu'un!

Et que Dieu me préserve de le faire venir auprès de lui durant mon mandat de Franc Comte et même bien après que je puisse voir le résultat de votre ou vos mandats de maire.

Il se redressa et d'une voix plus forte

La fermeture des allégeances a sonné, je laisse la parole à notre Héraut.

Adrien72

Adrien releva le tête et sourit devant les quelques nobles accroupi devant le Franc Comte faisant leurs serments à la suite. Il commença à ranger quelques papier le temps que le Franc comte parle, après qu'il est pris la parole le Hérault se leva avec un feuillet dans les mains, il prit sa plus belle voix et dit :

-Merci à vous d'être venu prêter serment aux Franc Comte et à son peuple. Je vous annonce que...

Il regarda son papier, leva les sourcils et continua;

-Quasiment tous les nobles ont prêté serment, sauf un...merci encore... profitez du buffet, les allégeances sont terminées.

Adrien, embarqua toute sa paperasse et se pressa de sortir de la bâtisse, il devait encore se rendre à la Hérauderie pour les informer de la cérémonie.
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[RP] Allegeances de Franche-Comté